mercredi 1 juin 2011

INJUSTICE







   
UNE INJUSTICE COMMISE QUELQUE PART EST UNE MENACE POUR LA JUSTICE DANS LE MONDE ENTIER

LA VERITABLE GRANDEUR D'UN HOMME NE SE MESURE PAS A DES MOMENTS OU IL EST A SON AISE, MAIS LORSQU'IL TRAVERSE UNE PERIODE DE CONTROVERSE ET DE DEFIS.
Martin Luther King / CEDH
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(La politique est derrière)
EDITORIAL DE JEAN-CLAUDE DORIOT

INFO-VILLE OCTOBRE 2010
LETTRE  OUVERTE A  LA  POPULATION
AFFAIRE DORIOT : TOUT CA POUR CA !



Par Montreux Info-Ville, je tenais à m’adresser à vous Montreusiennes et Montreusiens sur les points essentiels d’un scandale bien orchestré par les uns et les autres – à gauche comme à droite - pour éliminer un homme devenu trop gênant. Ceci avec la complicité de l’Etat de Vaud, de sa justice et des médias.


Le 2 avril 2008, suite à une dénonciation, j’ai été enfermé pendant 14 jours. J’ai subi de nombreux interrogatoires d’intimidations, des pressions psychiques, et j’ai été soupçonné puis inculpé pour le motif d’avoir accepté une somme d’argent importante  lors de la vente des Bosquets. Ceci en trompant mes collègues de la Municipalité d’alors.

Cette affaire est devenue cauchemardesque sur le plan pénal, politique et médiatique pendant 2 ans et demi. Enfin les opposants de toute construction sur le domaine des Bosquets tenaient un coupable pour faire repartir la procédure à zéro. J’ai été humilié, sali et trahi. On n’a pas hésité un seul instant à me condamner pour m’exclure, pour me retirer de toutes les affaires, pour tenter d’éliminer le journal Info-Ville, et pour m’inviter, par voie de presse, à démissionner.
Ma « présomption de culpabilité » signifiait pour la plupart ma culpabilité, ma corruption. De cette façon on jetait l’homme politique dans le bac à cochons pour le détruire.

Voici une affaire qui n’a jamais reposé que sur un élément de corruption imaginaire.


J’ai toujours clamé mon innocence, toujours combattu les tentatives qui visaient à m’évincer de la Municipalité, parce que Mesdames et Messieurs, je n’ai jamais trompé ni le Collège municipal, ni le Conseil communal et encore moins la population montreusienne. C’est pour toutes ces raisons que je me suis battu afin de prouver ma bonne foi.


Et c’est ainsi que, le 3 septembre dernier, le Tribunal correctionnel de Vevey m’a libéré du grief de corruption passive et acquitté de la lourde charge qui m’accablait depuis deux ans et demi.

Trahison, manipulation ou perte de mémoire ?

Le processus de la vente des terrains des Bosquets de Fontanivent était connu de l’ensemble des membres de la Municipalité. Tous étaient au courant de la procédure et avaient donné leur accord. Je tiens à remercier M. Hubert Diedrichs, municipal à cette époque, d’avoir témoigné dans ce sens. Son témoignage clair et lucide, ainsi que celui du secrétaire municipal M. Charles Riolo, ont largement contribué à déjouer l’accusation dont je faisais l’objet.

On peut se demander pourquoi le syndic de Montreux, Pierre Salvi, ne s’est jamais vraiment exprimé depuis le début de l’affaire. Lui qui a laissé planer le doute et laissé la suspicion s’installer au sein du Conseil communal, dans les médias, dans la population, auprès du Conseil d’Etat ou encore de la Justice.
Il était parfaitement au courant des deux variantes concernant la vente des terrains, des offres, des projets et des prix. Il semble que seul le prix le plus haut l’intéressait. Il aurait suffit qu’il s’exprime en donnant sa position car il était impossible pour un seul homme (moi en l’occurrence) de tout décider comme bon lui semblait, sans tenir compte de l’avis de ses collègues. Jamais cette affaire ne se serait enflammée pareillement.
Par ailleurs, concernant le fameux prêt dont il a été question, j’avais informé Pierre Salvi d’une liaison financière avec un ami architecte au sujet de ma propriété. Il avait considéré que puisqu’il s’agissait d’une affaire privée il n’avait pas à s’exprimer.

Il est certain que si tout avait été fait dans le but de sauver la sérénité de la commune et l’intégrité du municipal concerné, dans la plus grande transparence, le déballage médiatique ainsi que le procès n’auraient pas vu le jour.
Malheureusement tout a été fait à l’inverse avec les conséquences médiatiques désastreuses que l’on connait. En montant l’Affaire Doriot en épingle certains se protégeaient, ils focalisaient l’attention de la population sur lui, et par la même occasion ils le coulaient !

 Condamnation

Mon souci de transparence est de vous informer sans détour de ma condamnation :  15 mois de prison avec sursis pendant 2 ans ; Fr. 115 000.- d’amende ferme à l’Etat de Vaud pour un prêt de Fr. 115 000.- déclaré pourtant à l’office des impôts.
Fr. 10 000.- d’amende ferme pour la pension alimentaire de Fr. 1 000.- par mois que je devais verser à mon ex-compagne et qui a été considérée par le procureur général comme un dessous de table sur une transaction immobilière.
Fr. 17 000.- de frais de justice.
Et, pour couronner le tout, la confiscation en cas de non payement de mon bateau qui semble déranger bien du monde.

A cela il faut ajouter les frais de procédure et d’avocat se montant à Fr. 100 000.-.
Soit un total à mes dépens de Fr. 242 000.-


Complot 2006
La vengeance des uns et la jalousie des autres ont amené à détruire la vie d’un homme et de toute une famille. Cependant,  cela n’apportera pas la conscience tranquille de celles et ceux qui se reconnaissent dans ce complot mis en place au début 2006 déjà.
Ne vous réjouissez pas trop vite, ne fêtez pas trop tôt. Je n’oublierai jamais tout le mal que l’on m'a fait. Nous sommes encore loin de la fin de cette affaire car, un jour ou l’autre, il faudra bien que les justiciers publics ravalent leur langue. « J’ai appris la patience qui n’était pas mienne disait un certain Edmond Dantès ».


Recours

Aujourd’hui, après m’être battu seul contre tous, je pouvais donc démissionner de la Municipalité librement, l’esprit dégagé de toute accusation, pour me consacrer à ma défense pénale en homme libre.

Le droit de tout citoyen est de pouvoir faire recours à une décision de justice, (sauf pour le parti socialiste de Montreux qui me traite d’autiste ou de paranoïaque). J’ai donc décidé de me battre jusqu’au bout tellement je trouve la sanction qui m’a été appliquée contraire aux droits humains, absurde et sévère. Une sanction pour faire un exemple comme l’a relevé le procureur général à la presse, mais je refuse de servir d’exemple dans ce canton.


Merci

Je ne saurais terminer mes propos sans oublier toutes les personnes qui m’ont soutenu, encouragé, conseillé, écrit, téléphoné pendant ces deux ans et demi. Ma femme et ma famille se joignent à moi pour vous remercier sincèrement de votre soutien constant de près ou de loin. Un tout grand MERCI à vous toutes et tous.

Jean-Claude Doriot, ancien municipal.


La justice quand elle est bien faite, elle est belle, elle est noble !

Quand elle est mal faite, elle est sale, elle dégoûte ! 

MONTE-CRISTO


                        
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JUSTICE VAUDOISE EN 2010


LE 5 JANVIER 2011 SUR TSR  : L'AFFAIRE DORIOT, ETC.

DU RIFIFI A MONTREUX
MOBBING

PROCUREUR DU CANTON DE VAUD ERIC COTTIER
http://www.tsr.ch/video/info/couleurs-locales/#id=2868843


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