Rothschild a organisé des levées de fonds pour Macron dans la plus “grande discrétion”
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Emmanuel Macron donné vainqueur au second tour face à Marine Le Pen, selon les premiers sondages
Une fois de plus, la France se retrouve dans ce qu’on pourrait appeler un deuxième tour de l’absurde. À peine les résultats sont-ils exprimés que les leaders d’opinion appellent à faire barrage contre Marine Le Pen dans un consensualisme « pro-Macron » assumé ou par défaut. Mais cette effervescence rend inaudible une crise de la démocratie qui se déroule sous nos yeux. Des milliers de citoyens crient leur colère. Leur désespoir n’émane pas du résultat, mais de la manière même dont ces élections se sont déroulées. Des élections entachées d’irrégularités, de bugs, de radiations de masse et de zones d’ombres si nombreuses que certains estiment légitimes de questionner la validité des résultats. Alors que les témoignages s’accumulent par milliers, venons-nous de passer dans autre dimension ?
SAUVONS LA FRANCE! MARINE LE PEN
Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24 février.
Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion. En témoigne ce texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne :
Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient supérieurs à 5 000 euros.« Chers amis, un cocktail dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27 septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous, pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »
Nos Banqiers! Maître du monde? The Federal Reserve Cartel: The Rothschild, Rockefeller and Morgan Families
<< Que veux-dire cette main levée avec des cornes? >>
Par Manuel De Diéguez, Le 31 mars 2017
De tous temps, en tous lieux et sous tous les régimes, l’appareil judiciaire s’est mis au service de l’État du moment. Monarchique sous la monarchie, louis-philippard sous la Restauration, anti-dreyfusard du temps de l’affaire Dreyfus, ennemi de la Commune à l’heure des « Communards », unanime dans son sermon d’obéissance à Vichy.
La spécificité du tartuffisme judiciaire d’aujourd’hui tient au fait qu’il intervient directement dans la volonté de porter à l’Elysée un jeune homme de trente-huit ans, introduit par Jacques Attali dans le groupe Rothschild, où il a exercé la fonction centrale de banquier d’investissement, autrement dit, de banquier d’affaires.
La fortune totale du groupe Rothschild est estimée à quelque cent cinquante millions de milliards de dollars. J’ai bien dit cent cinquante millions de milliards de dollars, c’est-à-dire quinze suivi de seize zéros. C’est rappeler que ce groupe est le vrai maître du marché français, européen et même mondial. A ce titre, il est devenu l’actionnaire majoritaire de quatre-vingt dix pour cent des banques centrales de toutes les nations du globe terrestre.
Si l’on se souvient que Georges Pompidou, ex-banquier d’affaires lui aussi du même groupe Rothschild, avait imposé à la France l’interdiction d’emprunter à sa banque centrale et l’avait contrainte à se donner le « marché » pour créancier exclusif, on comprend que le paiement des seuls intérêts de la dette de la France auprès des banques privées soit rapidement devenu le tribut ou le bât du déficit budgétaire annuel de la nation.
Depuis le 3 janvier 1973, date de la loi « Pompidou- Rothschild » la France a payé plus de mille cinq cents milliards d’euros d’intérêts aux banques privées. Le service de la dette est devenu le budget le plus considérable du pays: il dépasse celui de l’éducation nationale et de tous les autres ministères réunis. Il représente plus de quarante cinq milliards d’euros par an pour le seul paiement des intérêts.
Michel Rocard déclarait en décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette se situerait à un niveau « bénin« , de « 16 ou 17 % du PIB« . Actuellement, la dette de la France frôle les cent pour cent de la production totale de l’année.
Quelle était, en 1973, l’argumentation, sinon conjointe, du moins parallèle, du groupe Rothschild et de l’Élysée?
Il serait absurde de soupçonner Georges Pompidou d’avoir fait passer les seuls intérêts des banques avant ceux de la France. Georges Pompidou était un vrai gaulliste et un érudit. Passionné de grec, quel aurait été son destin s’il était entré à l’école normale supérieure dont les portes lui étaient grandes ouvertes? Mais il n’a pas renoncé à sa vocation littéraire: au cours de son mandat il a publié une anthologie de la poésie française d’une sûreté de goût exceptionnelle.
Mais, à l’instar des banquiers du groupe Rothschild, il savait que tous les États sont tentés de dépenser davantage qu’ils ne gagnent.
Depuis que l’art de frapper monnaie s’est confondu avec celui de fabriquer de la monnaie fiduciaire, la prodigalité des États n’a plus connu de bornes. Du coup, leur tentation est devenue irrésistible de vaporiser leurs dettes par l’inflation afin de rembourser leurs créanciers en monnaie de singe. Sous l’occupation, le franc français était demeuré relativement stable. Mais, sitôt la guerre terminée, on a vu notre monnaie se dévaluer sur le modèle des assignats de la Révolution et ruiner les épargnants.
En 1958, à l’heure du retour au pouvoir du Général de Gaulle, la monnaie française avait perdu quatre-vingt dix-neuf pour cent de sa valeur face au franc suisse. En rétablissant la parité entre le franc français et le franc suisse et en créant ce qu’on appelait le franc fort, le Général de Gaulle était si peu parvenu à rétablir durablement la parité entre les deux monnaies sur le marché des changes, qu’il avait suffi de quelques années pour retrouver la tradition de la chute du franc gaulois dans l’abîme. Du temps où le Premier Ministre de M. Giscard d’Estaing s’appelait Raymond Barre, l’inflation française s’élevait à quatorze pour cent par an.
Aussi Georges Pompidou croyait-il sincèrement qu’à contraindre l’État à emprunter sur le marché, il porterait un coup décisif aux États dépensiers. Il se souvenait surtout de ce qu’entre 1945 et 1958, plusieurs centaines de milliers de petits épargnants français avaient été ruinés par la fonte de la monnaie nationale et pour avoir souscrit des emprunts d’État qu’on leur disait gagés par l’or de la banque de France. Et c’était cette blessure profonde qu’il fallait tenter, disait-il, de cicatriser.
Or aujourd’hui, la banque centrale européenne se trouve dirigée par M. Draghi, ancien banquier d’investissement de la banque américaine Goldman Sachs.
M. Draghi jette sur le marché dix-sept milliards d’euros papier par semaine, sous le prétexte d’une politique d’investissement, dont personne n’a vu la couleur. En réalité, grâce au fruit de la planche à billets électronique, le but de l’opération était, à l’image de ce que font la Banque d’Angleterre et la Réserve fédérale américaine, de racheter des titres obligataires, c’est-à-dire des bons du Trésor et divers titres d’entreprises irrécupérables appelés « titres pourris« .Que signifie l’envoi récent et en avant-garde d’un José Barroso, ancien Président de la Commission européenne de Bruxelles, à titre de caution du caractère soi-disant européen de la banque, alors que Barroso n’a jamais été qu’un agent déguisé du Pentagone et un fidèle exécutant des volontés de l’empire militaire mondial qu’on appelle les Etats-Unis?
M. Draghi espérait par cette opération à destination des banques privées, « débloquer les circuits du crédit« , c’est-à-dire les inciter à se montrer plus dynamiques dans la distribution de crédits aux entreprises. Mais l’objectif des banques privées est autre. Trop heureuses de se débarrasser de leurs titres toxiques, elles se montrent encore plus frileuses dans l’attribution de crédits, si bien que le marasme économique perdure. Les banques, une fois de plus, sont les seules bénéficiaires de la politique dite de quantitave easing (QE), ce que la langue de Molière traduit par « laxisme monétaire« . Les banques ne sont intéressées que par leurs propres bénéfices.
La Suisse, à laquelle on ne fera pas prendre des vessies pour des lanternes, a aussitôt compris que l’histoire de la République de Weimar allait reprendre son cours, a décidé sur l’heure de renoncer au taux de change fixe qu’elle avait accepté d’établir avec l’euro. Sa monnaie s’est immédiatement trouvé revalorisée de plus de vingt pour cent. On voit quel péril la banque centrale européenne actuelle fait courir à l’euro en renforçant momentanément par contre coup le pouvoir du dollar sur le plan international: aussi l’Allemagne est-elle allée jusqu’à menacer M. Draghi de lui intenter un procès.
Naturellement, cette menace s’est tout de suite ensablée, parce que Mme Merkel ne saurait à la fois se présenter en apôtre de l’américanisation de l’Europe et en défenderesse de la solidité de l’euro comme monnaie de réserve.
Le mythe d’un euro fort était censé créer une identité européenne. Grâce à l’euro surgirait par miracle une identité commune, donc un patriotisme européen. Or, déjà l’extrême gauche allemande descend dans la rue afin de défendre l’alliance future du parti avec les identités nationales renaissantes partout en Europe.L’euro dévalué rejoint la catastrophe financière prévisible contre laquelle la loi Pompidou- Rothschild de 1973 était censée lutter. Car à l’heure où l’euro sera devenu une monnaie aussi fictive que le deutschemark sous la République de Weimar, à l’heure où l’euro papier rivalisera, si je puis dire, avec un dollar papier, tout le monde comprendra que l’euro se trouvera réduit au rang des assignats. L’euro aura seulement permis à tous les grands et petits commerçants de France et de Navarre de confondre dans les esprits un euro avec un franc, ce qui a conduit, par exemple à augmenter le prix des pommes de terre de mille trois cents pour cent.
A l’origine, la double nationalité franco-suisse se trouvait pratiquement seule en lice, tellement elle demeurait inoffensive pour tout le monde. Mais même les petits pays d’Amérique centrale refusaient farouchement toute bi-nationalité de leurs ressortissants. On comprend qu’à l’heure où des millions d’Algériens et de Marocains en France et des millions de Turcs en Allemagne considèrent seulement la France ou l’Allemagne comme un ajout secondaire à leur nationalité originelle, comme l’a rappelé récemment l’actuelle Ministre de l’éducation nationale, Mme Vallaud Belkacem, l’unité psychologique des nations se trouve pratiquement anéantie.
Ainsi, Mme Vallaud Belkacem a déclaré qu’elle se sentait marocaine, mais qu’elle était en France pour faire carrière.
Le Président Donald Trump avait rappelé avant son élection, que l’Europe ne sera jamais une nation, mais seulement une société anonyme présidée par un conseil d’administration, donc livrée à l’anonymat et à l’irresponsabilité d’une bureaucratie dépourvue de toute autonomie politique réelle.Du reste, M. Erdogan a déjà appelé les Turcs d’Europe à porter à cinq enfants au minimum la fécondité des femmes turques sur le continent européen afin de modifier la définition même des identités nationales.
C’est dans ce contexte que la gigantesque hallucination collective et la bénédiction judiciaire de la candidature à l’élection présidentielle d’un Emmanuel Macron, ancien élève des Jésuites, armé d’un slogan digne d’un gentil scoutisme –
Entendez:« En marche » – prennent tout leur sens. Car aussi longtemps que le principe de la présence militaire éternelle des États-Unis en Europe ira de soi, tout ce théâtre de pseudo « marcheurs » nous rappellera l’opéra Aida de Verdi, dans lequel une troupe piétinante chante en chœur et à tue-tête: « Marchons, marchons« .
Cliquez sur, merci: https://youtu.be/81I1U8HC9QY
ou
CONCLU-SION
Les crabes marchent toujours en arrière.
WHO REALLY CONTROLS THE WORLD? HERE IS AN EXPOSE' OF THE ROTHSCHILD/ROCKEFELLER AGENDA: http://theconspiracyzone.podcastpeople.com/posts/39430
HOMMAGE A L'HOMME ET AUX PEUPLES QUI SUBISSENT LA FORCE L'OPPRESSION
Inutile de parler de la Syrie et de ce qui se passe dans ce Pays! La presse internationale nous abreuve déjà suffisamment de situation ou la force, l'oppression est utilisée au lieu de la raison.
Pour
l'homo
sapiens, il y a essentiellement deux droits. L'un est le droit à sa
propre santé d'esprit et l'autre le droit à sa propre vie. C'est une
extension des droits de l'homme et ceux-ci ne sont qu'une dérision
complète sans ces deux droits supplémentaires.
Il
suffit de déclarer quelqu'un fou, vous voyez ? ou quelque chose de ce
genre ou de le rendre fou ou quelque chose comme ça, et il perd
immédiatement tous ces droits. Il devient l'objet de propriété. Aussi,
méfiez-vous dans une constitution de toute lacune qui conduirait à
l'esclavage.
Et,
comme il peut se présenter une dichotomie sous forme de combat si nous
osons rendre quelqu'un sain d'esprit, il se peut que nous soyons
confrontés à toutes sortes de menaces de la part des forces dont
l'importance et la puissance sont sans conteste redoutables et
effrayantes. Oui, on pourrait toujours rencontrer de telles forces, mais
elles n'arriveraient jamais à maintenir leur position. C'est très
intéressant; elles n'arriveraient pas à maintenir leur position parce
quelle se trouvent sur une piste qui, dans cet univers, mène à sa propre
fin et non à sa perrénité.
Les gens reconnaissent cela et, bien que l'on observe une effrayante
tendance de la part de l'esclave à mettre des chaines et à les porter,
et à porter plus de chaines si possible, ily a toujours un plus grand
nombre de gens qui, en définitive, se retournent contre leur maitres.
Les
maîtres d'esclaves meurent. Ils ont toujours connu la mort dans cet
univers et ils mourront toujours. Il est possible qu'un univers meure.
Mais
ce que nous voulons démontrer, c'est simplement que la force n'a jamais
été une arme opposable à la raison. Chaque fois que la force s'est
opposée à la raison dans cet univers, c'est la force qui a perdu, pas la
raison.
Tôt
ou tard, la raison s'infiltre parce que... La force, vous voyez, ne
peut pas traverser des bastions et des barricades de cinq mètres
d'épaisseur... Prenez, par exemple, une citadelle colossale située tout
au sommet d'un mont imprenable.
Elle
dispose d'une garnison et d'assez de provisions et d'eau pour soutenir
un siège pendant des siècles. La garnison est bien entraînée et bien
armée. Aucune flèche, aucun carreau, pas même la foudre ne pourraient
transpercer cette citadelle. Cependant, par l'intermédiaire du porteur
d'eau ou par d'autres moyens, une idée peut traverser les murs de
n'importe quelle citadelle. Quand on demande: << Quelle est la
force de cette garnison? >>, il faut toujours demander aussi:
<< Quelle en est la loyauté ? >> C'est l'autre facteur et
la force n'a jamais été capable de gagner contre celui-ci. Elle peut
gagner temporairement, bien sûr, mais jamais totalement.
La
raison qui craint la force ou dont l'objectif est d'empêcher la force
de blesser quelqu'un ne constitue pas de la raison. C'est aussi une
forme d'esclavage. Mais la raison qui permet de s'élever au-dessus du
niveau de la force doit en premier lieu être capable de confronter la
force; alors seulement une telle raison est capable de prendre la
responsabilité de ces choses qu'elle seule peut produire.
Aussi
découvrez-vous que, juste avant de disparaître, une société adopte une
attitude raisonnable dans un effort ultime pour échapper à la
force, mais cette attitude consiste généralement à accepter l'esclavage
sous une forme ou une autre et non pas à assumer la liberté. Les membres
de cette société se soumettent à diverses restrictions par peur.
Cela
étant, l'homme capable d'assumer la responsabilité de la force, sans
pour autant l'employer, est beaucoup plus à craindre que l'homme qui ne
peut qu'utiliser la force.
Ainsi
très haut sur l'échelle, l'individu est cause, et à mesure qu'il
dégringole depuis être, en passant par action jusqu'à avoir, il devient
de plus en plus effet de ce qu'il a.
La
période de temps pendant laquelle cette personne se trouvait le plus
libre est celle pendant laquelle elle possédait le moins et ou elle
espérait le plus, et celle où elle était le plus abrutie et le plus mal
en point est celle du moment où elle a finalement pu se procurer les
choses. Et le moment où elle se les procure finalement est celui à
partir duquel elle cesse d'avoir du temps.
Vous
sous estimez votre propre puissance. Vous êtes en train de la sous-
estimez complètement. Rien ne peut vous dénaturez à moins que vous
n'ayez donné votre accord. Et il n'y a vraiment aucune loi plus forte
que celle-là dans cet univers... en ce qui concerne la protection.
Si
vous commencez à dire: << C'est destructif >>, cela peut
seulement le devenir. Les gens peuvent être frappés par la force parce
qu'ils ont convenu du pouvoir de destruction de la force; et seulement
alors, la force peut les frapper. La force ne pourrait théoriquement pas
toucher la personne qui n'a pas convenu de son pouvoir de destruction. (LRH-OBSUIS)
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