lundi 29 février 2016

LE PENITENCIER


Les choses sont bonnes lorsqu'elles sont complémentaires à la survie de l'individu, de sa famille, de ses enfants, de son groupe, de l'humanité, de la vie et de l'univers physique.


La punition est l'outil de la société. 

La maxime: Plus vous punissez une personne pour ce qu'elle à fait, plus elle le refera!

Le système carcéral

 Le système carcéral devrait être plus gradué qu'il ne l'est actuellement. Il a 2 rôles: punition et réinsertion dans la société. Ces rôles sont contradictoires et peuvent difficilement être réalisés au même endroit. Les mentalités civilisées supportent de plus en plus mal les prisons inhumaines, et les moyens manquent pour faire autre chose qu'enfermer une multitude de gens sans vraiment les préparer à leur réinsertion. Aucun des rôles n'est correctement assuré. Commence le cercle vicieux infernal: incarcération, libération, récidive, augmentation de la population carcérale qui dilue encore plus les moyens existants. Le système carcéral devrait être plus gradué qu'il ne l'est actuellement. Il a 2 rôles: punition et réinsertion dans la société. Ces rôles sont contradictoires et peuvent difficilement être réalisés au même endroit. 


L'ADOLESCENCE
 
Il y a de nombreuses solutions autres que la solution facile, bancale et stupide qui consiste à envoyer un adolescent en prison. Il y a suffisamment de solutions pour remplir une encyclopédie. Mais la race humaine a été éduquée, ou non éduquée, de telle manière que le voeux  <<  renvoyez-le-dans-le-ventre-maternel  >>  prédomine, et ce à un point tel que la plupart des gens ne sont conscients d'aucune autre solution.

 
Il suffit de dire que la discipline - et non l'éducation criminelle par le biais de la prison - a changé la destinée de plus d'hommes qu'il n'y a d'hommes prêts à l'admettre.

Un jeune homme, servant en ce moment pour quatre ans dans le corps des marines des Etats-Unis commença sa carrière criminelle en volant des voitures et en agaçant de manière générale la police et la population. Un juge lui dit qu'il aurait soit deux ans dans un pénitencier soit quatre ans dans les marines, et que c'était à lui de faire son choix. En tant que marine, son état de service est sans tache, il s'est élevé au rang de caporal par son intelligence, et aux dernières nouvelles il faisait diverses études ayant trait à des projets utilitaires dans le civil.

Les choses sont bonnes lorsqu'elles sont complémentaires à la survie de l'individu, de sa famille, de ses enfants, de son groupe, de l'humanité, de la vie et de l'univers physique.

Parce que lorsqu'on mène l'équation de l'éthique jusqu'au bout, notre survie optimale en tant qu'individu dépend absolument de tout le reste, et ce n'est qu'en considérant sans cesse la survie du plus grand nombre que nous pouvons assurer notre propre survie.

Comme LRH le rappelle, étant donné que l'homme est fondamentalement bon :  <<  Lorsqu'il voit qu'il commet trop de mal, alors intentionnellement, inconsciemment ou sans le faire exprès, l'homme met son éthique en place en se détruisant lui-même.  >>  Il offre comme exemple le cas du criminel qui laisse habituellement des indices de façon à causer sa propre perte ou le cas du dictateur qui devient fou. Mais dans les faits, ajoute-t-il, le phénomène est universel et les cas sont innombrables. Ayant causé du mal à de trop nombreuses personnes et manquant de moyen pour réparer leurs torts, les hommes vont directement et délibérément se détruire eux-mêmes.

 JOHNNY HALLIDAY
 

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