PROGRAMME DE RECHERCHE
Tremblements de terre, tempêtes, raz-de-marée,… Depuis quelques années, ils sont de plus en plus nombreux sur la Toile à attribuer l'origine de ces catastrophes naturelles à un programme de recherche américain : HAARP. Qu'y a-t-il vraiment derrière cet acronyme de cinq lettres ? Qui sont ses détracteurs ? Et comment le Parlement européen en est-il arrivé à se faire l'échos des thèses les plus extrémistes sur HAARP ?
BASE MILITAITE DE DIEGO GARCIA
Existant depuis 1986, la base militaire de Diego Garcia dans l'océan Indien a fait l'objet du livre «L'île de la honte» et a été soupçonnée d'implication dans le crash du vol MH370. Sa mise en place a été liée à certaines complications, dont le peuple local, les Chagossiens. Et malgré cela, elle ne semble pas intéresser les médias.
Lien : https://fr.sputniknews.com/international/201701241029763643-base-usa-diego-garcia-peuple-chagossien/
Les
militaires américains sont passés maîtres dans
l'art de camoufler leurs opérations secrètes sous le
couvert de recherches pacifiques. Ainsi, HAARP signifie "High
Atmosphere Auroral Rechearch Program" ("programme de recherche sur les
aurores boréales en haute atmosphère"), un nom
calculé pour ne faire peur à personne, avec un budget
apparemment pas trop élevé (30 millions de dollars
par an officiellement). En réalité, depuis plus de
quinze ans, se déroule sous ce couvert un projet gigantesque de
construction d'une nouvelle arme terrifiante. La première
réalisation est une station située à Gakona en en
Alaska, station dont la puissance double régulièrement au
fur et à mesure que de nouvelles installations voient le jour
(960 kW en 2003, 3,6 mégawatts en 2006, 20 mégawatts en
2008). D'autres stations sont en construction. Mais cela ne constitue
que la partie émergée de l'iceberg. L'île
américaine de Diego Garcia, au sud ouest de l'inde, serait un
autre maillon de HAARP. Il y en aurait un autre à Pine Gap, en
Australie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire