mardi 28 avril 2015

SOUVENIR


  

Francis le 4 mai 2009

Sortie info-ville 2006


Nous t'avons pas oublié, toi qui aimait tellement la vie, les bons repas, le bon vin et ta famille. Nous gardons en souvenir les bons moments passés ensemble! Ta famille qui pense à toi..

Pierre-André
Annie, mariage de sa petite fille Sylvie


Annie, Le 15 septembre 2014 à 15h.10, tu nous a quitté paisiblement dans ta 88ème année, à l'hopital de Vevey.

BIENVENUE SUR UNIVERS
Les tournesols peinture faite par Annie


Ton joli sourire nous manque...


Port de Clarens, bateau de Francis


Un voilier passe dans la brise du matin...


Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin,
et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.
Quelqu'un à mon côté dit : « il est parti !»
Parti vers où ? 
Parti de mon regard, c'est tout ! Son mât est toujours aussi haut, sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu'un prés de moi dit : «il est parti !» il en est d'autres qui le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux s'exclament avec joie : «Le voilà !»
C'est ça la mort ! Il n'y a pas de morts. Il y a des vivants sur les deux rives. W.B.


San-Francisco
San Francisco - Saint Francis

lundi 27 avril 2015

L' ECHANGE

L'ARGENT

Parmi les nombreux pièges que nous trouvons dans la société, celui qui remporte la palme d'or est sans aucun doute l' ARGENT 


L'argent est le bouton, la pensée qui domine toute société. Sans lui, à notre époque il est difficile de vivre, de se nourrir, de s'habiller!


LE CASINO ET SES JEUX D'ARGENT REPRESENTENT UN REEL DANGER POUR L'INDIVIDU

L'argent à remplacer le troc. Jadis le moyen d'acheter une marchandise était le troc.


L'ECHANGE


On échangeait par exemple, 1 kilo de pain contre quelques oeufs, etc. On a simplifié ce moyen d'échanger des choses, en créant des billets de banque, ce qui est plus facile à transporter.


L'argent reste un moyen d'échange, ni plus ni moins, contre une production, un travail fourni par l'individu.


Un bon échange, est un travail qui représente de l'argent, de la nourriture etc. Un mauvais échange, est un mauvais travail fourni, ou un vol, ce qui représente un crime puisque l'argent n'a pas été gagné d'une manière honnête.


Ca revient au même qu'au niveau du troc, on prend le pain mais on ne donne pas les oeufs en échange, 


Un mauvais échange n'est pas la solution. Cela apporte beaucoup de misère, c'est un crime.


Accepter des cadeaux, sans apporter un échange  est mauvais, car la personne qui reçoit ne contribue pas.


Résultat de recherche d'images pour "malheureuse"Les loteries, les jeux d'argent, les casinos sont des pièges. Gagner de l'argent avec ce principe mal faisant, n'apporte pas de satisfaction réelle. Il est prouvé qu'une personne qui gagne un gain au loto, au casino, ou d'autre moyens similaires se retrouve très rapidement ruiné, et malheureuse.


Résultat de recherche d'images pour "malheureuse"Bien mal acquis ne profite jamais


Même si les jeux d'argent procurent de l'adrénaline, des sensations fortes, eh bien au Diable tout ça!


Voir dans ce blog : Tromperie et traîtrise
 http://doriot-univers.blogspot.ch/2015/03/tromperie-et-traitrise.html


LA ROUTE DES PIRATES

BIENVENUE SUR UNIVERS
LA VERITABLE HISTOIRE DES PIRATES DES CARAIBES 


HIER J'AURAIS PU ETRE UN PIRATE - VOUS AURIEZ PU ETRE UN PIRATE ! 
BIENVENUE SUR UNIVERS

                                             Ah, oui, qu'en est-il du romantisme ?

                          Par :  Pierre-André Doriot C'est ce à quoi l'homme du passé devait faire face.


En parcourant à plusieurs reprises la route des Pirates des Caraibes et passionné par la vie de ces hommes du 17e et 18eme siècles, en particulier Henry Morgan ( 1635-1688) ou Edward Teach dit Barbe Noir 1718, pirate anglais.
 A cette époque, j'aurais pu être un pirate, vous auriez pu être également un pirate si vous faite partie de la masse radicale qui aime avoir un peu de liberté personnelle, un assez bon repas et qui déteste la punition. 


Pirates et FlibustiersLRH


La véritable histoire des Pirates des Caraibes est de loin celle racontée par l'historien, car quand l'historien veut voyager, il le fait à bord d'un paquebot bien aménagé et pour l'expérience de la mer que cela lui procure, il pourrait tout aussi bien passer quelques nuits dans un hotel local.

L'historien condamne énergiquement cette saga maritime qui dura deux siécles et l'estampille de noms comme Teach, Morgan, et l'Olonnais.

En fait, si les bateaux modernes étaient moins bien aménagés et si les équipages mangeaient encore de la viande salée, des pois séchés et buvaient de l'eau recouverte d'une écume verte, nous aurions encore des pirates, des flibustiers.

Quand nous pensons à ces pirates hurlant, agitant leurs sabres, ces pillards avec leur pavillon noir, nous oublions de nous souvenir de l'époque -- ces deux siècles d'extorsion impériale, de souverains aveugles et d'esclavage.
Pour comprendre pourquoi un pirate devenait pirate, on doit comprendre les conditions en mer à cette époque.
La discipline - cette déesse - de l'enfer était en vigueur dans les marines militaires et les marines marchandes des dix-septième et dix-huitième siècles au travers de plusieurs mécanismes, notamment le chat à neuf queues.

En théorie, ce fouet n'est rien de plus que neuf lanières attachées à un manche court. Même sous cette forme, c'était assez dur. Mais ce n'est pas ce que les capitaines militaires et les marchands de l'époque pensaient. Ils cherchèrent donc à améliorer la discipline en prenant du fil de cuivre et en l'enroulant autour des extrémités de chaque lanière. Quelques fois ils ajoutèrent une balle en plomb à l'extrémité.

Pour oublier de saluer un aspirant de marine, un marin pouvait recevoir quinze coups. Vous et moi, avec notre façon de vivre moderne, n'aurions pas survécu après dix coups.

Les Anglais avaient une coutume qui mérite d'être mentionnée. Si un marin frappait un officier - sans considération de provocation - la punition était la << flagellation à travers la flotte >>.

Le marin était amené par bateau de navire en navire et était flagellé sur chaque passerelle. Inutile de dire que personne n'a jamais survécu à l'expérience.

Toute infraction pouvait être punie par la flagellation et très peu de commandants savaient réellement à combien de coups de fouet un homme pouvait survivre - des coups donnés avec chaque parcelle de force musculaire disponible aux moyens de lanières aux extrémités en cuivre qui réduisaient le dos en bouillie.

Se plaindre au sujet de la nourriture ? Soixante coups. Faire le malade ? Une centaine de coups. Manquer d'arriver en temps voulu pour sa fonction de quart ? Soixante dix coups. Et cinquante étaient fatals, par moments.

Je ne parle pas des exceptionnels. C'était la condition dans chaque marine d'Europe - et il n'y a pas si longtemps c'était la condition au sein de notre propre Constitution. Pouvez-vous visualiser ses ponts rougis du sang des hommes flagellés ?
Des hommes mourraient du scorbut à une allure épouvantable. Et même après que ceux au pouvoir avait appris ce qui causait le scorbut - le manque de vitamine C - rien ne fut fait à ce sujet. Les dents des hommes pourrissaient, ils dépérissaient et finalement - si le capitaine avait du temps - on les enroulait dans de la toile avec quelques boulets et on les jetait par-dessus bord. Habituellement, on les jetait tout simplement.

L'eau était toujours rare, toujours putride. Les condensateurs de vapeur n'allaient exister que dans un futur lointain. Il y avait de l'écume verte dans les tonneaux et sous l'écume mille choses rampantes. Aucun effort n'était fait pour découvrir que le fer transportait l'eau dans de meilleures condition que le bois.

Il y a quelque années je suis allé aux Antilles dans un vaisseau. Nous avions environ soixante hommes à bord d'un bateau de mille tonnes et nous étions affreusement entassés et mal logés.

Mais il y a quelque siècles, un bateau de cent tonnes transportait cent personnes.Il n'y avait aucun endroit sec pour dormir. Rien de plus mou qu'une planche de chêne. Aucun effort n'était fait pour fournir des couvertures aux hommes ou pour les vêtir afin de rendre leur vie plus supportable.
Un marin ou un membre d'un navire marchand ne recevait que rarement tout le bénéfice de son salaire. Il était englouti par toutes sortes de comptes mesquins et par des prêteurs sur gage à terre -qui étaient approchés en premier lieu parce qu'un marin n'avait pas pu obtenir un sou d'avance sur la paie de sa libération.

Aucune permission à terre pour la marine ou le bateau de marchandises parce que l'équipage entier aurait pu déserter.

Qu'en est-il de ces dix-septième et dix huitième siècles colorés et romantiques ? Qu'en est-il de ces garçons vaillants qui ont tout donné pour leur roi et leur pays ? Reçurent-ils une compensation pour les blessures ? Non. Reçurent-ils des pensions ? Non. Se faisaient-ils souvent tuer ? Je dirais que oui.

Comme les marines de cette époque étaient trop mesquines pour acheter des pansements, les chirurgiens (ex-barbiers) utilisaient des éponges d'un homme à l'autre, une douzaine d'hommes par éponge et une blessure signifiait soit un membre perdu soit une vie perdue, une grosse infection dans le meilleur des cas.

Ces docteurs utilisaient des fers rouges chauffés à blanc pour cautoriser des plaies. Ils coupaient les bras au lieu de réparer les os cassés. Et si des boulets ou des chaînes tirées par des canons, ou des piques, n'avaient pas ôté la vie du marin, alors le chirurgien le faisait.

Ah, oui, qu'en est-il du romantisme ?

Les marins s'engageaient très rarement à cette époque. Ils étaient enrolés de force par des gangs qui les forçaient, les droguaient, les tabassaient, les menaient dans un enfer pour un pays, un roi et la marine marchande. Ils ne pouvaient même pas dire à leurs familles qu'ils partaient. Et même s'ils gagnaient leurs vingt dollars par mois sur un navire marchand, ils risquaient dêtre saisis à terre et jetés dans la marine militaire.
Autrement dit, ils n'avaient aucun choix. Ils étaient forcés contre leur volonté. Ils étaient traités comme du bétail et mouraient comme des fourmis écrasées par un talon. Ils étaient flagellé s'ils ne travaillaient pas ou ne combattaient pas et mouraient ainsi. Et s'ils travaillaient et combattaient, ils mouraient de toute façon.

Mais à travers cette amertume, il existe tout de même quelque chose au sujet de la mer. Quelque chose que la vapeur a perdu à nos yeux. Quelque chose au sujet des voiles, d'une quille bien dessinée et des pays lointains auquel les hommes ne pouvaient résister.

Il y avait le charme des tropiques, de l'embrun marin et d'un empire à conquérir. Mais tout cela n'était pas pour le marin ordinaire. Pour les officiers, oui. Mais un officier provenait habituellement d'une famille noble et un marin ne pouvait pas en devenir un s'il était né devant un foyer au lieu de naître dans un lit à baldaquins. L'histoire nous dit, de manière véridique, que les hommes les plus forts sont ceux qui sont hissés jusqu'à une position élevée.

Mais que les choses soit bien claires. Cela vous plairait-il d'aller faire un tour jusqu'au drugstore du coin pour prendre l'air ou d'aller acheter un paquet de cigarettes et soudainement de vous retrouver confronté à une bande d'hommes armés qui vous saisissent à bras-le-corps et vous portent jusqu'au port où vous seriez jetés dans une cale puante, infestée de vermines avec d'autres malheureux tout aussi ébranlés que vous ? Cela vous plairait-il d'être partis pendant des années, d'être battu comme un esclave, et de revenir avec l'esprit déformé et le corps meurtri pour découvrir que tout ce que vous aviez connu avait été balayé par l'inévitable progrès ?

C'est ce à quoi l'homme du passé devait faire face.

Mais regardons le bon côté de la chose. Un marin dans la marine militaire ou dans la marine marchande n'avait aucune chance. N'était-ce pas naturel pour lui de déserter à la première occasion ? Il était prêt à braver les requins, la nuit dans un port étranger, pour nager loin de son enfer flottant.

Il était heureux de monter à bord du premier bateau qui se présentait, pourvu qu'il soit meilleur. Il aurait fait n'importe quoi pour échapper à ce calvaire.
Et ainsi, les pirates étaient nés.

Devenir pirate était simple. Un jour, à l'aube, vos officiers appercevaient un bateau. Bientôt le vaisseau avait doublé le vôtre et une courte bagarre s'ensuivait. Vous vous trouviez alors là, en train de regarder ces chahuteurs barbus qui vous avaient abordés, et vous entendiez l'un deux dire que celui qui voulait être pirate n'avait qu'à avancer.

Vous regardiez leurs corps splendides et la manière libre et hautaine avec laquelle ils dressaient leur tête. Et vous avanciez.Oh, oui ! c'est ce que vous faisiez, hors-la-loi ou pas.

Ou peut-être votre vaisseau avait coulé sur un récif et vous n'aviez nulle part où aller sinon sur un autre bateau comme le vôtre.Puis, une nuit, vous entriez dans une auberge et vous aperceviez quelques brutes à la voix de stentor avaler leur cognac à grandes gorgées.Ils vous regardaient, examinaient votre taille et la force de votre bras, puis vous demandaient de vous joindre à eux.

La loi ? Vous ne pensiez pas à la loi, vous pensiez à un estomac plein et à un goût de la vie en mer comme elle devait être vécue. Vous pensiez qu'ici vous auriez une permission à terre, qu'ici vous obtiendriez de bons vêtements, qu'ici vous seriez capable de vous défendre contre des officiers despotiques.

Vous vous joigniez à eux, bien sûr.


A bord de bateau pirate on avait la belle vie, on avait la belle vie. On était en sureffectif et le travail était bien réparti. Lorsque le capitaine devenait trop rude, on le retirait de son poste. On allait à terre toutes les fois qu'on avait besoin d'eau et au diable les horaires ou les trajets prédéfinis. On mangeait bien parce qu'on avait le meilleur de ce qu'il y avait dans les garde-manger des grandes cabines que l'on avait capturés. On pouvait entretenir des relations commerciales avec les autochtones de n'importe quelle île pour avoir de la viande fraîche et des légumes frais.

On ne passait pas toutes les journée en mer. On trouvait un refuge à Saint Thomas ou à la Culebra.
On naviguait comme vous et moi naviguerions si nous avions un bon yacht et beaucoup de temps.










 Et ainsi, les pirates étaient nés.

samedi 25 avril 2015

LA PLUS BELLE VOIX

APRES KENDJI GIRAC, LILIAN RENAUD REMPORTE LA FINALE DE THE VOICE 2015





LA PLUS BELLE VOIX DE FRANCE





Kendji Girac - Conmigo

jeudi 23 avril 2015

JOHNNY HALLYDAY A MONTREUX


Johnny Hallyday à Montreux Jazz cet été!


LADY GAGA ET TONI BENNET UN DUO INSOLITE A L'AFFICHE DU FESTIVAL DE MONTREUX

L'EPOQUE DES YEYES A MONTREUX JHONNY HALLIDAY  EN JUILLET 2015 AU JAZZ FESTIVAL

Johnny Hallyday
BIOGRAPHIE


Johnny HallydayJohnny Hallyday

Johnny Hallyday, né Jean-Philippe Smet le 15 juin 1943 à Paris, est un chanteurcompositeur et acteur français.


Johnny Hallyday est notre dieu à tous. Mais, force est de constater, comme toute divinité, Johnny n’a pas fait que des merveilles. Et surtout, surtout, il a réalisé des pépites qui sont telles qu’elles dépassent forcément toutes les autres.

Johnny Hallyday

Johnny Hallyday








Johnny HallydayJohnny Hallyday




Lecteurs, attention ! Certains mots vont sans doute vous transporter à travers le temps dans votre folle jeunesse jusqu'aux prémices des yé-yé. Souvenez-vous, c'était hier… À l'époque, les « bad boys » s'appelaient Johnny Hallyday ou Eddy Mitchell. Mais ces étoiles montantes du rock français balbutiant en cette fin des années 1950, pour la plupart fauchées, manquaient de bonnes guitares, telles les Fender ou Gibson, deux marques phares américaines coûtant à l'époque jusqu'à plusieurs mois de salaire… « Un luthier parisien va alors satisfaire cette demande nationale croissante à un prix abordable, affirme Marc Touché, sociologue du CNRS3, qui a participé à l'ouvrage et à l'exposition. Vincent Jacobacci, un immigrant sicilien installé à Ménilmontant depuis les années 1920. »




johnnyÀ l'origine, l'homme fabriquait des banjos et des mandolines. Ses fils, Roger et André, se destinaient à l'agriculture et à l'hôtellerie. Mais dans les années 1950, le rock débarque en France. Et sa vague bouleverse les plans des Jacobacci. André et Roger rejoignent finalement l'atelier de leur père qui devient très vite le lieu d'innovation d'une révolution technologique et musicale, c'est-à-dire celui de l'électrification en petite série et sur-mesure. Dès lors, les Jacobacci fournissent leurs premières guitares électriques aux groupes français, des Vautours aux Chaussettes Noires en passant par les Chats Sauvages. Et leurs guitares plates Texas et Ohio deviennent en 1960 l'attribut indispensable des jeunes rockers.

giaco dans atelier



MUSIQUE 


Information exclusive pour ses fans ou erreur de communication? En rendant hommage à Claude Nobs, Johnny vient d'annoncer sur Twitter qu'il sera au festival cet été, au bord du lac Léman à Montreux!

Avec plus de cinquante ans de carrière, Johnny Hallyday est l'un des plus célèbres chanteurs francophones et l'une des personnalités les plus présentes dans le paysage médiatique français, où plus de 2 100 couvertures de magazines lui ont été consacrées[1]

Q - We Are The Plan