La CIA choisit les dictateurs dans le monde
La CIA est aussi secrète que la réseve fédérale (FED), pensez simplement aux dégâts qu'elle a fait depuis sa création après la seconde guerre mondiale. Elle est un gouvernement dans le gouvernement. Elle est dans les affaires, le trafic de drogue, ils font et défont les dictateurs....
La Central Intelligence Agency ou CIA (« Agence centrale de renseignement »), fondée en 1947 par le National Security Act, est l'une des agences de renseignement les plus connues des États-Unis. Elle est chargée de l'acquisition du renseignement (notamment par l'espionnage) et de la plupart des opérations clandestines effectuées hors de ce pays. Elle a le statut juridique d'agence indépendante du gouvernement des États-Unis.
Le candidat à la présidentielle élabore sur le “coup d’état” de la CIA
Nous avons traduit un article relatant les positions du candidat à la présidentielle américaine 2012 Ron Paul quant à l’immanence de la CIA dans toutes les affaires de l’empire. Beaucoup de Français ne connaissent sans doute pas Ron Paul, député républicain à la chambre basse du congrès des Etats-Unis (parlement chez nous), ancien candidat à la présidentielle de 1988 du Libertarian Party (créé en 1971), médecin gynécologue de formation et profession, et très certainement la personnalité la plus attachante du paysage politique nord-américain. Il est aussi membre des comités parlementaires aux affaires étrangères et aux services financiers. Il est particulièrement connu pour mettre sur le grill les présidents de la réserve fédérale lorsqu’ils sont auditionnés par le parlement: ses algarades avec Alan Greenspan et Ben Bernanke sont devenues célèbres…
Ron Paul est un avocat de la minimisation optimale du rôle de l’état dans la société (les Etats-Unis sont les champions du détournement sémantique… Un libertaire aux Etats-Unis n’est pas un anarchiste comme chez nous bien qu’il emprunte quelques idées aux concepts libertaires réels, mais quelqu’un qui prône une minimisation du rôle de l’état et non sa suppression, une politique étrangère non interventionniste et une dérégulation des marchés afin qu’ils s’auto-régulent, du moins dans la théorie, nous savons aujourd’hui que cela est impossible..), c’est un pacifiste attaché à la constitution des Etats-Unis, qui veut un arrêt immédiat des guerres impérialistes menées par son pays à travers le monde sous des prétextes qu’il reconnaît comme étant erronés, il prône l’audit de la réserve fédérale, l’arrêt des mesures d’austérité ineptes et criminelles, le retour du travail délocalisé au pays et le démantèlement de la CIA, vue à juste titre comme un gouvernement dans le gouvernement.
Dans un optique gouvernementale, il est loin de ce qui se fait de pire pour un pays…
Ron Paul est ostracisé par les médias et la classe politique qui voit en lui au mieux un farfelu, au pire un empêcheur de tourner en rond. Rappelons-nous que JFK avait déjà déclaré peut avant son assassinat qu’il voulait démanteler la CIA, tout comme il voulait mettre un terme à la toute puissance de la réserve fédérale, cartel de banques privées en charge de la monnaie et de l’impression de la dette des Etats-Unis qui enchaîne les citoyens toujours plus avant à l’usure machiavélique des banksters privés en charge de l’économie mondiale et à qui les peuples du monde paient les intérêts de la dette de leur pays directement.
Kennedy avait été choisi par l’oligarchie car venant d’une famille mafieuse et pour sa faiblesse vis à vis des femmes, qui en faisait un idiot utile, pensait-elle, facilement contrôlable… L’oligarchie s’est trompée et a dû interrompre radicalement le jeu qui ne se déroulait plus selon ses règles.
Ron Paul ne sera jamais élu, il n’a pas le soutien de l’oligarchie financière et il s’est inféodé au parti républicain, car il a vu là une plus grande bannière pour appuyer ses idées. Il est écrasé dans la machine à broyer de la dissidence et comme d’autres politiciens minoritaires, il n’est autorisé à parler que pour donner une fois de plus l’illusion de la liberté d’expression, l’illusion de la démocratie made in USA et l’illusion de choix…
Ron Paul nous dit ici que la CIA fait et défait les dictateurs de ce monde à son gré. Il peut être considéré de par ses fonctions et son passé politique comme une source officielle. Le Dr. Paul, sait de quoi il parle !…
Un membre du département d’état américain déclarait il y a plusieurs années à propos d’un dictateur local mis en place par leurs soins: « C’est un beau fils de pute… Mais c’est notre fils de pute… » – Eloquent non ?
Dans un optique gouvernementale, il est loin de ce qui se fait de pire pour un pays…
Ron Paul est ostracisé par les médias et la classe politique qui voit en lui au mieux un farfelu, au pire un empêcheur de tourner en rond. Rappelons-nous que JFK avait déjà déclaré peut avant son assassinat qu’il voulait démanteler la CIA, tout comme il voulait mettre un terme à la toute puissance de la réserve fédérale, cartel de banques privées en charge de la monnaie et de l’impression de la dette des Etats-Unis qui enchaîne les citoyens toujours plus avant à l’usure machiavélique des banksters privés en charge de l’économie mondiale et à qui les peuples du monde paient les intérêts de la dette de leur pays directement.
Kennedy avait été choisi par l’oligarchie car venant d’une famille mafieuse et pour sa faiblesse vis à vis des femmes, qui en faisait un idiot utile, pensait-elle, facilement contrôlable… L’oligarchie s’est trompée et a dû interrompre radicalement le jeu qui ne se déroulait plus selon ses règles.
Ron Paul ne sera jamais élu, il n’a pas le soutien de l’oligarchie financière et il s’est inféodé au parti républicain, car il a vu là une plus grande bannière pour appuyer ses idées. Il est écrasé dans la machine à broyer de la dissidence et comme d’autres politiciens minoritaires, il n’est autorisé à parler que pour donner une fois de plus l’illusion de la liberté d’expression, l’illusion de la démocratie made in USA et l’illusion de choix…
Ron Paul nous dit ici que la CIA fait et défait les dictateurs de ce monde à son gré. Il peut être considéré de par ses fonctions et son passé politique comme une source officielle. Le Dr. Paul, sait de quoi il parle !…
Un membre du département d’état américain déclarait il y a plusieurs années à propos d’un dictateur local mis en place par leurs soins: « C’est un beau fils de pute… Mais c’est notre fils de pute… » – Eloquent non ?
“La CIA est véritablement le monsieur loyal du cirque; elle est impliquée dans la guerre, elle est impliquée dans les activités militaires, ils choisissent les cibles depuis Langley en Virginie (NdT: QG de la CIA), ils peuvent tirer des missiles en tout point de la terre, en général tuant beaucoup d’innocents dans le processus et manquant le cible qu’ils essaient d’éliminer”, a dit le Dr. Paul, ajoutant que ce type d’activités était même en dehors de la réalité déjà anticonstitutionnelle d’Obama bombardant la Libye.
“Maintenant nous avons une personne clef du département de la défense (NdT: Ministère de la Défense états-unien) qui s’en va présider à la CIA et le chef de la CIA qui s’en va à la tête de l’armée », a dit Paul, ajoutant “Je sais que la CIA a été impliquée dans beaucoup d’élections à travers le monde, ils sélectionnent les dictateurs… Je ne pense pas qu’il y ait quelque doute que ce soit qu’elle ne soit impliquée dans ces révolutions qui se déroulent autour de la Méditérannée, nous allons juste sélectionner le bon dictateur”, a dit Paul, ajoutant également que le secret entourant les actions de la CIA était complètement “hors de contrôle”.
Les commentaires initiaux du député Ron Paul concernant le “coup” de la CIA furent faits durant la conférence régionale Campagne pour la Liberté, à Atlanta Géorgie, en Janvier 2010.
“Savez-vous qu’il y a eu un ‘coup’ ? C’est un coup de la CIA”, déclara Paul. “La CIA gère et contrôle tout, elle dirige l’armée. C’est elle qui lobe des missiles et des bombes sur les pays… et bien sûr la CIA est aussi secrète que la réserve fédérale, pensez simplement aux dégâts qu’elle a fait depuis sa création après la seconde guerre mondiale. Elle est un gouvernement dans le gouvernement. Elle est dans les affaires, le traffic de drogue, ils font et défont les dictateurs.. Nous devons nous débarasser de la CIA”, a t’il ajouté.
R 71
Par Paul Joseph Watson
CIA, DE HEICHMANN (SS) A BEN LADEN
PETRAEUS À LA TÊTE DE LA CIADavid Petraeus, qui commande actuellement la Force internationale de l'Otan en Afghanistan (ISAF), est nommé à la place de Leon Panetta au poste de directeur de la CIA, selon des informations diffusées par les chaînes américaines ABC et NBC, mais non confirmées par le responsable interrogé par l'AFP.
Autre remaniement, le général
Engagé dans le parti nazi dès 1932, Adolf Eichmann à fait carrière chez les SS, obtenant le grade de colonel. Il servira au sein du Bureau des Affaires juives et fut en charge de la logistique de la « solution finale ». Capturé après la guerre, il s’évade miraculeusement des prisons américaines, se cache en Europe avant de s’évaporer en Argentine en 1950, avec un faux passeport allemand au nom de Ricardo Klement. Il sera enlevé par des agents du Mossad, les services secrets israéliens, en 1960, jugé l’année suivant et exécuté en 1962. Des sources du renseignement israélien indiquent clairement que la CIA connaissait la planque de Eichmann en Argentine depuis 1953, mais ils ne leur ont jamais communiqué ces informations. La CIA a en fait couvert un bon nombre de criminel nazi dès la fin de la deuxième guerre mondiale.
Si Eichmann a pu « échapper » des geôles américaines, c’est qu’il collaborait pleinement avec l’agence, tout comme Hans Globke, également attaché au Bureau des Affaires juives, et qui, dès 1946, sera le point central entre le gouvernement de Bonn, la CIA et l’OTAN, avant de devenir le conseiller spécial à la sécurité nationale du chancelier Konrad Adenauer. Après l’arrestation d’Adolf Eichmann, la CIA a refusé de collaborer avec la justice israélienne, car cela aurait mis en péril tout leur réseau d’ex-nazi recruté au sein de l’organisation Ghelen, l’ancêtre des services secrets de l’Allemagne de l’ouest (du nom de Reinhard Gehlen, ancien chef du renseignement nazi sur le front de l’Est), créé directement par la centrale américaine.
Les menaces changent, mais les méthodes restent les mêmes. En 1953, l’opération AJAX aura pour but de destituer le Chah d’Iran et de mettre en place les fondamentalistes islamistes. À partir de cette date, la politique de la CIA au Moyen-orient n’aura pour but que de déstabiliser les régimes laïques et indépendants, au profit d’organisations islamistes.
Depuis que Washington est parvenu à obtenir du Roi Ibn Séoud, le 29 mai 1933, la stratégie » islamo-pétrolière » des USA a été la suivante : « Nous vous laissons régner et appliquer la loi islamique en Arabie Saoudite et vous coopérez économiquement avec nous« .
Afin de comprendre l’islamisme radical moderne, il est nécéssaire de prendre en compte le choc pétrolier des années septante et la hausse du cours du brut provoquée par les pays arabes producteurs de pétrole et par les sociétés pétrolières américaines. Ceci aura pour conséquence l’enrichissement considérable de l’Arabie Saoudite – dont les revenus annuels sont passés, de 4,35 à 36 milliards de dollars entre 1973 et 1978 – qui investira une grande partie de ses bénéfices dans la promotion de l’islam wahhabite. L’introduction de l’islamisme radical saoudien au sein des législations des États musulmans sera la condition sine qua non de l’aide au développement. La quasi-totalité des réseaux islamistes implantés dans le monde musulman seront ainsi financés par l’État saoudien et par le biais des institutions islamiques internationales qu’il contrôle : l’Organisation de la Conférence Islamique, la Ligue islamique mondiale, et surtout les banques saoudiennes, tels Fayçal Islamic Bank, Fayçal Islamic Bank, Dellah el-Baraka, etc.
Dans leurs manuels d’histoire, les élèves des écoles américaines apprennent que les méchants Soviétiques, en 1979, ont envahi l’Afghanistan en faisant preuve d’une force écrasante. Les Etats-Unis se seraient ensuite « portés au secours » de la résistance afghane. En effet, selon la version officielle, la CIA aurait commencé à fournir de l’aide aux moudjahidin en 1980, c’est-à-dire après l’invasion de l’Afghanistan par l’armée soviétique le 24 décembre 1979. En réalité, la CIA avait mis sur pied dès 1977 des réseaux de propagande islamiste destinés à infiltrer les mouvements nationalistes musulmans en Asie centrale afin de les dégager de l’influence soviétique de l’époque. Des exemplaires du Coran et de la littérature interdite par Moscou (qui avait fait détruire 70’000 mosquées par l’armée rouge), sur les héros de guerres anciennes contre les Russes, furent introduits en masse, ainsi que des armes. Ces réseaux furent organisés sous l’autorité du patron du NSC (National Security Council), Zbigniew Brzezinski, qui parvint à convaincre Carter de jouer la carte islamique pour affaiblir l’Union soviétique. La CIA a aidé les moujahidîn, en rébellion contre Najibullah, dès le 3 juillet 1979, soit six mois avant l’invasion soviétique. Ils ont en fait, à travers cette opération clandestine, provoqué l’invasion soviétique. Le soutien américain des moudjahidin en Afghanistan visait clairement de se placer dans un conflit indirect contre les Soviétiques, et de leur faire connaître un « Vietnam » dans le but de réduire au maximum leur influence dans la région.
Entre-temps, en avril 1979, Zulficar Ali Bhutto, Premier ministre élu du Pakistan, était renversé par un coup d’Etat militaire et condamné à mort par le général Zia ul-Haq. Là aussi, les relations entre la CIA et l’ISI (les services secrets militaire pakistanais), s’étaient réchauffées juste avant le coup d’Etat.
L’entraînement et le financement de la guérilla afghane par la CIA a intégré la création de millier de madrasas, permettant ainsi l’essor du mouvement fondamentaliste Taliban.
Anecdote qui démontre à quel point les liens entre fondamentalistes islamistes et CIA étaient étroits : la « porte-parole officielle » du régime taliban à l’ONU n’était autre que Laili Helms, petite-fille de Faïz Mohammed Zikira, dernier ministre des Affaires étrangères du régime Taliban, et surtout épouse de Richard Helms, numéro 2 de la CIA à l’époque.
C’est en 1982 que le prince Turki Ibn-Fayçal issu du clan ultra-puissant des Sudaïri, et chef des services secrets saoudiens, mandate Oussama Ben Laden pour créer la «Légion islamique afghane», milice qui sera ensuite directement soutenue par la CIA l’ISI et Riyad.
Au début des années quatre-vingt, 3’000 volontaires arabes étaient venu pour combattre en Afghanistan. En 1985, ils seront 16’000 auprès de Hekmatyar et Ben Laden. En avril 1982, le premier centre de recrutement pour combattants islamistes, le « El-Kifah Center », à été ouvert sous le patronage de la CIA et avec la bénédiction de William Casey, à Brooklyn, USA. La direction en avait été confiée à l’Egyptien Mustafa Shalabi. Les volontaires recrutés dans ce centre iront ensuite s’entraîner au High Rock Shooting Range de Naugatuck dans le Connecticut. Dix-sept centres semblables au « El-Kifah Center » seront ouverts par la suite aux USA.
Le rôle de Ben Laden et de ses lieutenants était de faire le lien entre les services secrets saoudiens, américains, pakistanais et les combattants. C’est pour cela qu’il a créé Al-Qaeda, qui était la base de donnée qui faisait le pont entre les différents services et qui répertoriait les noms, fonctions et états de services des moudjahidin. Al-Qaeda n’a jamais été ce nom comme définissant un groupe d’action ou d’organisation. Ça n’a jamais été qu’une base de donnée, entre les mains de la CIA, de l’ISI et des services secrets saoudiens. Le nom d’Al-Qaeda est apparu pour la première fois dans un rapport du congrès US en 1998. C’est alors devenu un slogan pour désigner une partie des combattants qui avaient servi contre les Soviétiques en Afghanistan.
Spencer Delane, Mecanopolis
Ihab El Sherif, L’Islamisme militant en Egypte : son origine, son évolution et sa radicalisation, 1970-1990, Thèse de doctorat, Sorbonne Paris IV, 1993, p. 422.
Victor Ostrovsky et Claire Hoy, Mossad, un agent des services secrets israéliens parle , Presse de la Cité, Toronto, p. 299.
Ibid. , p. 14.
Ibid. , p. 301.
Nicolas Nasr , Le suicide américain , Dar-al-Amal, Beyrouth, 2002, p. 514.
Alexandre de Marenches, Dans le secret des princes, Stock, 1986, p. 256. Même thèse dans Jean Louis Martrez, » Eloge du Shah d’Iran « , dans Religion, Politique et Société. Mélanges offerts à Jacques Ellul , Paris, PUF, P. 19.
Entretien au Nouvel Observateur , 15-20 janvier 1998.
Dans Assem Akram, Histoire de la guerre d’Afghanistan , Balland, Paris, 1996, p. 320.
Idem, p. 326.
Ghassan Salamé, Géopolitique des réislamisations à travers le monde , Séminaire Monde musulman ; Institut d’Études politiques de Paris, 1995.
P. M. Gallois, Le Soleil d’Allah aveugle l’Occident , L’Age d’Homme, Lausanne, 2000, p. 39.
A Sense of Siege : The Geopolitics of Islams and the West , Rand Corporation, Westview Press, 2002, pp. 122-123, 135 ; Politica Exterior , n° 50, mars/avril 1996.
Yves Bataille, » La CIA obtient les assurances du FIS « , Nouvelle Afrique-Asie , N°57, juin 1994.
L’Islam et la guerre , conférence, Boulogne, juin 1997.
Denise Artaud, » Les Etats-Unis et l’Europe, une nouvelle architecture de sécurité « , Defense Nationale , janvier 1999, p. 14.
Robert Mortimer, Monde Arabe-Maghreb-Machrek , juillet-sept 1995, P 5.
Zbigniew Brzezinski, » Le Grand Echiquier. L’Amérique et le reste du monde « , Bayard, 1997.
Edward G. Shirley, Foreign Affairs , mai/juin 2004, pp. 29-30.
Xavier Raufer, note d’information du Laboratoire Minos, Les identités criminelles hybrides, le cas du GIA , Centre des Hautes .
Le Monde , 5 octobre 2003
Dans le quotidien Al Hayat de juin 2005
Dans Neu Zuricher Zeitung , 30 octobre 2004
Washington Post , 9 janvier 1998.
M. Dorri-Najafabadi, hebdomadaire Gozarech , 18 janvier 1998.
» La politique des Etats-Unis en Irak est criminelle »
Le Monde diplomatique , mai 1997.
P.-M. Gallois, Le soleil d’Allah aveugle l’Occident, La capitulation ? , pp. 7 et 15.
Denise Artaud, » Les Etats-Unis et l’Europe : une nouvelle architecture de sécurité ? « , Défense Nationale , janvier 1999.
Consulter l’ouvrage du Général Gallois, Le Sang du Pétrole, Bosnie , Age d’Homme, 1996.
Sergio Romano, « Aujourd’hui, l’OTAN sert les intérêts américains, non l’Europe », Il Folio, 28 février 1996 (en italien dans le texte). Sergio Romano est ancien ambassadeur d’Italie à Moscou.
Victor Ostrovsky et Claire Hoy, Mossad, un agent des services secrets israéliens parle , Presse de la Cité, Toronto, p. 299.
Ibid. , p. 14.
Ibid. , p. 301.
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Idem, p. 326.
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Dans le quotidien Al Hayat de juin 2005
Dans Neu Zuricher Zeitung , 30 octobre 2004
Washington Post , 9 janvier 1998.
M. Dorri-Najafabadi, hebdomadaire Gozarech , 18 janvier 1998.
» La politique des Etats-Unis en Irak est criminelle »
Le Monde diplomatique , mai 1997.
P.-M. Gallois, Le soleil d’Allah aveugle l’Occident, La capitulation ? , pp. 7 et 15.
Denise Artaud, » Les Etats-Unis et l’Europe : une nouvelle architecture de sécurité ? « , Défense Nationale , janvier 1999.
Consulter l’ouvrage du Général Gallois, Le Sang du Pétrole, Bosnie , Age d’Homme, 1996.
Sergio Romano, « Aujourd’hui, l’OTAN sert les intérêts américains, non l’Europe », Il Folio, 28 février 1996 (en italien dans le texte). Sergio Romano est ancien ambassadeur d’Italie à Moscou.
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