Mensonge - Vérité
Plus le mensonge est gros, meilleur il est
10 raisons pour lesquelles la fable du 11 septembre est tellement populaire
« Ce doute des gens concernant eux-mêmes et la réalité de leur propre expérience révèle seulement ce que les nazis ont toujours su : que les hommes déterminés à commettre des crimes trouveront opportun de les organiser sur l’échelle la plus vaste et la plus improbable. Non seulement parce que cela rend les peines prévues par les systèmes juridiques insuffisantes et absurdes, mais parce que l’immensité même des crimes garantit que les meurtriers qui proclament leur innocence avec toutes sortes de raisons ou de mensonges seront plus facilement crus que les victimes qui disent la vérité. » (The Portable Hannah Arendt ; page 120).
2. Les archétypes mythiques d’Oussama Ben Laden et des terroristes islamiques. L’image emblématique d’Oussama Ben Laden et le credo de la Djihad islamique contre la civilisation occidentale sont du matériel historique passionnant. C’est, en fait, un bon scénario hollywoodien. Les gens sont captivés et effrayés à la pensée du soulèvement des musulmans contre leurs oppresseurs, frappant au cœur de l’Occident et de l’Amérique en détruisant les deux principaux artefacts culturels, le Pentagone et le World Trade Center. Mais c’est de la fiction et non pas la réalité. Les maîtres impériaux de la fiction ont conçu le mythe Oussama Ben Laden pour représenter symboliquement le nouvel esprit des temps et la nature changeante de l’ordre mondial dans l’effondrement de l’union post-soviétique.
Comment pouvez-vous diriger une foule désorientée et sans chef ? Les néocons, la CIA, le Mossad et le MI6 connaissent le truc. Vous mettez vos propres personnages révolutionnaires fabriqués en face de la foule pour l’induire en erreur et détourner son attention vers la violence et la vengeance. Dans ce cas, le personnage est Ben Laden. Cette astuce fonctionne de la même manière dans toutes les sociétés et dans toutes les époques. Se placer en face de la foule avec un drapeau et un credo simpliste à suivre, c’est un des tours antiques de l’art de gouverner.
3. La plupart des gens sont des enfants qui sont facilement contrôlés par la peur et guidés mentalement par la rhétorique autoritaire. Ils croiront toutes les absurdités, si les voix de l’autorité leur disent que c’est vrai. L’autorité est leur père et le gouvernement est leur mère. Pour eux, l’état est infaillible. Ils sont psychologiquement incapables de se rebeller mentalement et de questionner les histoires du gouvernement et les déclarations gouvernementales.
4. La pression des pairs, et la peur des moqueries et du ridicule. Beaucoup de gens, surtout ceux de la gauche, ont peur d’être appelés des escrocs et des théoriciens de la conspiration, alors ils ne sortent jamais pour dire la vérité telle qu’ils la connaissent. Ils estiment qu’il est insensé de questionner les fondements de l’histoire officielle du 11 septembre, alors ils ne prennent même pas la peine d’examiner les faits et les preuves qui servent de fondement au mouvement de la vérité du 9 septembre. Le troupeau humain se bouscule dans les champs des faits et des vallées de la vérité pour en arriver à un désert d’ignorance.
5. Le terrorisme est considéré comme un phénomène mystérieux et caché, et en montrant les preuves selon lesquelles la CIA, le Mossad et le MI6 sont derrière les attentats terroristes en Occident, nous donnons aux gens la connaissance pour réexaminer leurs croyances et ainsi agir.
L’idée que la fausse bannière du terrorisme puisse être expliquée en examinant les données historiques (Opération Gladio en Europe, l’attaque de Pearl Harbor, le golfe du Tonkin, l’USS Liberty) et en recherchant toutes les preuves respectées par les citoyens ordinaires est une idée qui provoque un inconfort chez beaucoup de gens. Ils sont mis sur la sellette, car soudainement leur fausse perception des événements du 11 septembre et le terrorisme en général se révèle et brise des tabous.
6. Le complexe financier-terrorisme-médiatique-militaire-industriel-sioniste du Congrès est une bête de proie qui proclame quotidiennement les propagandes afin de créer une culture de la désinformation et du mythe. Cette bête contrôle les opinions les plus sacrées du peuple.
En raison de la guerre médiatique et gouvernementale contre l’opinion public, la vérité est prise pour un sous-produit de la folie alors que le mensonge est chéri et protégé. Dans cet état, la plupart des gens sont comme des poissons dans l’eau, ils n’ont aucune idée qu’ils vivent et respirent dans un océan de mensonges.
7. Lavage de cerveaux culturel, politique et social. La société occidentale est contrôlée par des gouvernements totalitaires et un système médiatique totalitaire qui inclut la télévision, les médias imprimés, les sociétés d’édition, les films, la musique et les autres aspects de l’industrie de la culture. La conformité est prêchée et l’uniformité de la pensée est encouragée. Une diversité radicale de l’opinion au sujet de la guerre contre le terrorisme, du 11 septembre et des autres mythes n’est pas autorisée.
8. Un manque de connaissance de l’histoire. Beaucoup de gens n’ont jamais eu conscience de l’Opération Gladio, de l’attaque du USS Liberty et la réalité des fausses bannières du terrorisme.
9. Un manque de scepticisme, de curiosité et d’émerveillement. Les gens qui renient la vérité sur le 11 septembre croient avoir toutes les connaissances sur le terrorisme et croient que le gouvernement a un monopole sur la vérité. Alors, ils se sentent libres de renoncer à leur indépendance mentale sur la question du 11 septembre et se laissent aller avec le courant au lieu d’utiliser leurs compétences analytiques pour creuser plus profondément.
10. Le mensonge du 11 septembre est sacré. Questionner le mensonge et dire que le gouvernement obscur des États-Unis était derrière les attaques est un sacrilège blasphématoire. Questionner le mensonge ne menace pas seulement une vision du monde entier, mais la civilisation telle que nous la connaissons. Le sentiment individuel de bien-être est basé sur le mensonge comme étant réel, et la personne subit la terreur d’une transformation psychologique en arrivant en face à face avec la vérité monstrueuse au sujet du 11 septembre.
Le mensonge est une attaque psychologique envers la communauté, l’individu et la nature. Les conspirateurs criminels derrière les attaques et le camouflage veulent détruire non seulement la vérité et l’histoire sombre de cette journée, mais l’idée même de la vérité.
Lien : http://www.prisonplanet.com/11-reasons-why-the-911-fable-is-so-popular.html
En mars 2002, Paul Kennedy, professeur à Yale, écrivait ces lignes dans Le Monde. Ses propos restent d'une incroyable actualité en cette veille du 11 septembre:
La sympathie qu'a manifestée l'étranger après l'horreur du 11 septembre 2001 fut certes sincère, mais elle s'adressait à des disparus innocents et aimés : ceux qui travaillaient au World Trade Center, les policiers, les pompiers. Il y avait aussi ce sentiment de compassion qui est né de la peur que pareille chose n'arrive à Sydney, à Oslo ou à New Delhi. Mais cela n'impliquait pas un amour et un soutien inconditionnels à l'Oncle Sam.
Beaucoup d'Américains qui liront ce point de vue ne se préoccupent peut-être pas vraiment des critiques et des inquiétudes croissantes qui s'expriment à l'étranger. Pour eux, la réalité est que les Etats-Unis sont sans discussion possible le numéro un et qu'il ne reste à tous les autres - Europe, Russie, Chine, monde arabe - qu'à accepter cette évidence. Agir comme s'il en était autrement ne sert à rien.
Mais j'entends aussi des Américains - anciens du Corps des volontaires de la paix, parents dont les enfants étudient à l'étranger (comme eux-mêmes l'ont fait autrefois), hommes d'affaires qui ont noué des liens solides hors du pays, hommes et femmes de religion, défenseurs de l'environnement - s'inquiéter sérieusement de l'"empreinte" que nous laissons et des murmures venus de lointains horizons.
Il est intéressant d'y réfléchir : par trois fois au cours du siècle dernier, le monde a dans sa majorité regardé avec espoir et un désir ardent en direction d'un dirigeant américain qui défendait les plus hautes valeurs de l'homme. Car Woodrow Wilson, Franklin D. Roosevelt et John Kennedy ont fait se gonfler les cœurs à l'étranger en rejetant le parti pris étriqué de "l'Amérique d'abord" et en parlant de la misère de l'humanité tout entière. C'est de cette Amérique ouverte et réfléchie que tant d'amis étrangers inquiets et déçus veulent voir le retour.
Il existe, à l'heure actuelle, à l'étranger, le désir profond d'un véritable leadership des Etats-Unis. Pas au sens d'"arrogance du pouvoir" que lui donna un jour le sénateur William J. Fulbright, mais un leadership tel que Roosevelt a pu l'illustrer. Je parle d'un leadership qui se définirait par sa largeur de vue, la perception de notre condition humaine commune, la conviction d'avoir autant à apprendre des autres qu'à leur transmettre. Un leadership qui s'adresserait aux faibles et aux opprimés du monde entier, et inciterait les Etats-Unis à se joindre à d'autres nations privilégiées puissantes afin d'aider ensemble ceux qui ont du mal à subsister.
Paul Kennedy, Le Monde 4. 3. 2002
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2 commentaires:
"Tout ce qui se construit sur le mensonge ne peut pas durer.car pour lutter contre le terroriste,il ne faut pas simplement lutter contre l'islam radical mais il faut construire un monde pétri de justice."
"les Verts ont semble-t'il réussi à retenir la leçon du sacro saint mensonge,celui-ci fit boule de neige depuis !"
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