vendredi 22 avril 2016

PRINCE STAR



 

 

 La mort de Prince choque le monde entier

 

Prince connaissait bien la Suisse, spécialement Montreux. Il est venu six fois au festival de jazz.

 

Chanteurs, acteurs, personnalités ont pris quelques secondes pour rendre hommage au Kid de Minneapolis à travers les réseaux sociaux après avoir appris sa mort.



Le président des Etats-Unis Barack Obama a tenu à saluer Prince, «une icône créatrice» et «un artiste qui enflamme». Le chanteur des Rolling Stones Mick Jagger a rendu hommage au Kid du Minnesota, un «artiste révolutionnaire» dont le talent était «infini». «Je suis profondément choqué d'apprendre la mort de Prince», a confié Mick Jagger dans une série de quatre tweets, saluant «l'artiste révolutionnaire, le grand musicien, le compositeur, le merveilleux parolier, et l'étonnant guitariste».

«Et tout d'un coup... le monde a perdu une part de sa magie. Repose en paix Prince! Merci de nous avoir tant donné», a tweeté la chanteuse Katy Perry, personnalité la plus suivie du réseau social Twitter.

«Repose en paix le roi Prince, merci de m'avoir inspiré pour devenir musicien et utiliser cet outil pour guérir les gens», a de son côté tweeté le chanteur Wyclef Jean.

  Le musicien vivait toujours en périphérie de Minneapolis, dans le Minnesota, où il a grandi. Il s’est fait connaître à la fin des années 1970 avec les titres Why You Wanna Treat Me So Bad? et I Wanna Be Your Lover. Le « kid de Minneapolis » a été l’un des plus grands musiciens des années 1980 et 1990 ; ses tubes ont fait danser le monde entier, mêlant riffs de guitare et rythmes f

Prince mesurait moins d’1,60 m, mais avait une personnalité surdimensionnée. Parfois présenté comme un rival de Michael Jackson, il était une véritable bête de scène, au style dandy, et il cultivait un côté androgyne. Jouant de la guitare dans un style flamboyant, largement inspiré de Jimi Hendrix, Prince était reconnaissable entre tous pour ses cris aigus qui ponctuaient ses chansons. Dans les années 1990, il avait changé son nom pour un imprononçable « Love Symbol ».

Excellent guitariste, chanteur et danseur, Prince avait récemment organisé des concerts dans ses studios de Paisley Park, et en Australie, durant lesquels il a joué du piano en solo. Il avait alors déclaré qu’il voulait se lancer un nouveau défi artistique.
 Alors qu’il avait commencé sa série de concerts, il avait aussi annoncé le mois dernier qu’il allait publier ses Mémoires, dont son éditeur prédit qu’ils seront « anticonformistes ».

PRINCE STAR VIDEO

samedi 16 avril 2016

ART NUMERIQUE ET VAN GOGH

L'art numérique désigne un ensemble varié de catégories de création utilisant les spécificités du langage numérique1. Il s'est développé comme genre artistique depuis le début des années 1960.

Portée par la puissance de calcul de l'ordinateur et le développement d'interfaces électroniques autorisant une interaction entre le sujet humain, le programme et le résultat de cette rencontre, la création numérique s'est considérablement développée en déclinant des catégories artistiques déjà bien identifiées. En effet, des sous-catégories spécifiques telles que la « réalité virtuelle », la « réalité augmentée », « l’art audiovisuel », « l’art génératif », ou encore « l’art interactif » viennent compléter les désignations techniques du Net-art, de la photographie numérique ou de l'art robotique.

Soulignant la nécessité de construire un dialogue entre les médias traditionnels (peinture, sculpture, dessin) et les nouveaux médias, qui se sont tournés le dos abusivement, Hervé Fischer a proposé d'explorer ce que pourraient être les « beaux-arts numériques ».

De nombreux festivals, expositions et événements présentent les arts numériques, tels que le festival Ars Electronica à Linz (Autriche), Deaf à Rotterdam, transmediale à Berlin, ISEA (International Symposium of Electronic Arts) ainsi que le festival EXIT à la Maison des Arts de Créteil qui existe depuis 1994.

Les compétitions internationales d'animation par ordinateur telles que Imagina à Monte Carlo et Images du futur (Montréal) organisé par la Cité des arts et des nouvelles technologies de Montréal de 1986 à 1997, la biennale de l'NTT InterCommunication Center à Tokyo, l'Art Show du Siggraph aux États-Unis.

À partir des années 2000, les manifestations se multiplient, le plus souvent en relation avec les musiques électroniques : le Festival Elektra, Mutek… et, plus récemment en France, le Cube Festival à Issy-les-Moulineaux, les festivals Gamerz2 et Seconde Nature à Aix-en-Provence, les Empreintes numériques à Toulouse, les Bains Numériques à Enghien-les-Bains, le festival "Electrochoc" à Bourgoin-Jallieu, ou encore Désert Numérique à Saint-Nazaire-le-Désert (liste non-exhaustive).

à la suite des grands centres internationaux comme le ZKM de Karlsruhe, l'Ars Electronica Center de Linz ou V2 à Rotterdam, la Gaîté lyrique qui ouvre à Paris en 2011 est un lieu entièrement consacré aux arts numériques et aux musiques actuelles.

Magnifique film avec un air de Van Gogh et fond musical de Pierre-André Doriot


https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/8e/Self-portrait_with_Felt_Hat_by_Vincent_van_Gogh.jpg

Vincent Willem van GoghNote 2, né le 30 mars 1853 à Groot-Zundert (Pays-Bas) et mort le 29 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise (France), est un peintre et dessinateur néerlandais. Son œuvre pleine de naturalisme, inspirée par l'impressionnisme et le pointillisme, annonce le fauvisme et l'expressionnisme.

Van Gogh grandit au sein d'une famille de l'ancienne bourgeoisie. Il tente d'abord de faire carrière comme marchand d'art chez Goupil & Cie. Cependant, refusant de voir l'art comme une marchandise, il est licencié. Il aspire alors à devenir pasteur, mais il échoue aux examens de théologie. À l'approche de 1880, il se tourne vers la peinture. Pendant ces années, il quitte les Pays-Bas pour la Belgique, puis s'établit en France. Autodidacte, Van Gogh prend néanmoins des cours de peinture. Passionné, il ne cesse d'enrichir sa culture picturale : il analyse le travail des peintres de l'époque, il visite les musées et les galeries d'art, il échange des idées avec ses amis peintres, il étudie les estampes japonaises, les gravures anglaises, etc. Sa peinture reflète ses recherches et l'étendue de ses connaissances artistiques. Toutefois, sa vie est parsemée de crises qui révèlent son instabilité mentale. L'une d'elles provoque son suicide, à l'âge de 37 ans.



mercredi 13 avril 2016

SELFIES EN TABLEAUX DE MAITRES



DeepArt transforme les selfies en tableaux de maîtres

 Selfie: Pierre-André Doriot

Lukasz Kidzinski, chercheur au Laboratoire d’ergonomie éducative de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, a développé, en collaboration avec l’Université de Tübingen en Allemagne, le projet DeepArt. Il s’agit d’algorithmes qui permettent de réaliser une peinture numérique à partir de n’importe quelle photographie.

«Un selfie peut être transformé en tableau de Van Gogh ou Matisse», explique Lukasz Kidzinski. L’utilisateur soumet une photo à l’ordinateur et lui demande de créer un tableau suivant un style ou un artiste particulier. «L’algorithme analyse l’image pour en extraire les éléments principaux, comme un visage ou un objet», précise le chercheur. Le programme va alors peindre une image en comparant sans cesse les éléments de départ avec le tableau dont il doit s’inspirer. Après environ 10 minutes de calcul, les algorithmes de DeepArt délivrent l’œuvre selon le style artistique sélectionné. «Nous proposons près de 1000 styles artistiques différents», note le jeune entrepreneur.

Le procédé fait appel à des algorithmes d’apprentissage automatique avec un haut niveau d’abstraction, utilisés par exemple pour la reconnaissance faciale ou la vision par ordinateur. Au mois de janvier, Lukasz Kidzinski a créé avec quatre associés, la start-up DeepArt à Tübingen. «Près de 100 000 personnes se sont déjà connectées à notre site web, lancé en début d’année», précise-t-il. Si l’accès au site est gratuit, la start-up espère générer des revenus grâce à certains services, à l’exemple de l’envoi de posters ou de tableaux, réalisés grâce aux algorithmes de DeepArt.

La start-up bâloise Appamics a aussi lancé une application permettant d’allier art et technologie. Dénommé Portraits Play, cette application s’est fait connaître lors d’une exposition à la Phillips Collection à Washington en automne dernier. Le portrait du visiteur était transformé, selon le style de Marc Chagall, Ferdinand Hodler, Alexej von Jawlensky ou Edouard Manet. En s’approchant, par exemple, d’un tableau, le selfie du visiteur était automatiquement revisité en fonction de style de l’artiste. La présence du visiteur était détectée via Bluetooth.

Les machines rendront-elles bientôt le coup de pinceau humain obsolète? «DeepArt n’est pas une menace pour l’art, au contraire. Il offrira sans doute de nouvelles possibilités d’expression artistique», estime Lukasz Kidzinski. Le projet pourra par exemple intéresser les historiens d’art, en les aidant à restaurer des œuvres endommagées.

Vidéo: Hélico-Erotico

mercredi 6 avril 2016

LA ZONE 51 EXISTE

Le film "Independence Day" (Roland Emmerich, 1996) se déroule en partie dans une reconstitution de la Zone 51.


La Zone 51 existe, c'est la CIA qui le dit!

 

La mystérieuse base militaire au centre des théories les plus folles sur les contacts avec les extraterrestres, notamment, existe bel et bien au Nevada.

  https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiq6Gz2t51NWYarsB68hy4p2bHdFJpYoWMw6SKrAD8wmmc4jWAi-Shgl7lggYoWMaKgGHAWzKirdQK4cbxUAZ49mkKmnx7DBlqKQD9P2FPFvmD5-_DnbHyz2shzxvm_c45P5jSd9ZqjV3MS/s1600/Untitled+24.001.jpg

Fox Mulder, l'infatigable chasseur de soucoupes volantes de la série X-Files, avait au moins raison sur un point : l'armée américaine dispose d'une mystérieuse base d'essais au coeur du désert du Nevada. Ou plutôt, d'une base désormais officielle, puisque son existence vient d'être reconnue par la CIA. L'agence centrale de renseignements américaine a déclassifié jeudi un document sur son avion-espion U-2 (qui avait été au coeur de la crise des missiles de Cuba en 1962), dans lequel figurent plusieurs références au lieu où l'avion a effectué ses premiers essais. Il y a même une carte des installations !

La Zone 51 est située, comme le supposaient les spécialistes, à 200 kilomètres au nord-ouest de Las Vegas, dans une zone désertique, non loin d'un lac asséché. L'accès aux alentours est de plus en plus réglementé, difficile donc d'avoir des informations fiables. Mais l'installation disposerait aujourd'hui de plusieurs pistes opérationnelles, flanquées d'un important complexe de soutien, en développement constant. Selon les théories plus ou moins fantaisistes des chasseurs d'ovnis, la base aurait notamment accueilli un vaisseau spatial accidenté à Roswell en 1947, à des fins de rétro-ingénierie. Elle serait le siège d'une unité spéciale chargé d'établir ou d'entretenir le contact avec des civilisations extraterrestres. Ces thèses sont largement utilisées par le cinéma et les auteurs de séries, dans Independence Day ou X-Files, par exemple.
 
Sur un plan plus terre-à-terre, si l'on peut dire, la base aurait surtout servi à effectuer les essais des aéronefs les plus secrets de l'armée américaine. Parmi eux, l'avion-espion U-2, c'est désormais sûr, mais aussi les avions furtifs F-117, B-2, F-22, F-35 ou encore l'hypothétique projet Aurora. La Zone 51 aurait aussi servi à étudier plusieurs avions russes durant la guerre froide, dont ceux des pilotes qui sont passés à l'Ouest.  

Image: Boeing"Dans la culture populaire, la Zone 51 est synonyme de secret d'État", relève CNN. "Nombreux sont ceux qui pensent que la base recèle la réponse à l'une des questions les plus importantes de l'humanité : Sommes-nous seuls dans l'univers ?" poursuit la chaîne américaine. L'aveu de la CIA est plus symbolique qu'autre chose : l'existence de la base était largement connue, et une simple recherche sur un service de cartographie en ligne permettait de voir une photo aérienne des installations. Et puis, si la CIA en parle, c'est peut-être qu'une autre base a pris le relais. C'est bien connu, la vérité est ailleurs...



VIDEO : AVIONS FURTIFS TOP SECRET

 
  ZONE 51

 

Situé dans un espace aérien strictement interdit appelé "Dreamland" (le pays des rêves), la zone 51 est une base connue aussi sous le nom de "Groom Lake" (du nom du lac asséché où s'est installée la base), absente de toute carte, elle est organisée autour de ses deux pistes et de ses installations techniques. La firme EGetG, spécialiste dans l'organisation de recherches de pointe est responsable d'une grande partie de la sécurité extérieure de la zone 51 et du transfert des employés extérieurs par avion.

 
L'accès à la zone 51 est interdit. Des panneaux placés à ces limites indiquent que l'utilisation de la force armée est autorisée contre tout intrus.
 
La zone 6113 est une zone militaire qui serait située en Alaska et que le secret qui continue d'entourer la zone 51 ne serait maintenu que pour induire en erreur les curieux.

Zone 51 de la taille de la Suisse, à environ 190 kilomètres au nord-ouest de Las Vegas, dans le désert du Nevada,elle n'apparait sur aucune carte officielle et pourtant des montagnes ,une immense piste d'envol de 9,5Km ,des bâtiments,des hangars,des mouvements militaires sont bien présent

Nous sommes sur le territoire de la Nellis Air Force Range et du site nucléaire du Nevada,L'accès à cette zone est interdite. elle fut établie en 1954 pour servir de base secrète à la Lockheed Aircraft Corporation,qui mettait alors au point des avions-espions pour le compte de la CIA et du Pentagone Le bombardier furtif Stealth fut testé sur cette base.


Des panneaux indiquent que l'utilisation de la force armée est autorisée à l'encontre des intrus,. Son espace aérien est le plus inviolable des États-Unis.

L'US Aire Force a reconnu sont 'existence en 1994

Certains avancent l'hypothèse que des projets étudiés sur cette base ne seraient pas d'origine terrienne , les employés ne seraient pas uniquement d'origine américaine une partie serait extraterrestre.

C'est sur un plateau de télévision, en mai 1989 que Bob Lazar fit cette déclaration il occupait un poste de scientifique sur la base depuis cinq mois.Il révéla que le gouvernement américain y conduisait un programme d'examen de neuf soucoupes volantes et tentait d'adapter la technologie extraterrestre sur ses propres appareils .Quand cet homme déclara l'endroit exact ou se trouvait ces engins, c'est a dire le site ultra secret "S4", situé à l'intérieur de la Zone 51, près du Lac Papoose ,les autorités américaines montrèrent un embarras évident .

Selon Lazar, le S4 était un vaste complexe souterrain occupant la surface d'une chaîne de montagne . Sur les appareils Il n'y a pas de joint physique, pas de boulons, ni soudure, ni rivets visible .Les objets présentaient une sorte de bord arrondi, comme s'ils avaient été moulé dans la cire,pourvus de hublots, de voûtes et de tout petits sièges hauts de 30 cm.

George Knapp, qui interviewa Lazar à la télévision affirme qu'une douzaine de personnes ayant dirigé plusieurs programmes militaires de grande ampleur à la base 51, se sont manifestées pour compléter et étayer les propos de lazar,en indiquant que les autorités disposent d'extraterrestres et de leur technologie depuis les années 50.

L'écrivain Jim Goodall affirme lui, qu'au moins huit programmes de vols spatiaux sont en cours sur la Zone 51.Ces Black Programs projets,ultrasecrets qui incluent des essais d'avions-sondes sans pilotes dont la vitesse et la maniabilité pourraient faire croire qu'il s'agit de soucoupes volantes.

Les propos de chacun laisse place au doute ,la zone 51 est elle un base d'essai militaire ultra secrète d'avion de nouvelle génération dit furtif ou une base d'expérimentation et d'analyse d'une technologie extra terrestre?

De nombreux journalistes, d'ufologues et militaires se posent la même question ,mais n'ont toujours pas la réponse. La base 51 est sujet à de nombreuses polémiques ,ce site militaire devient la cible de plusieurs ufologues Américain et étranger,ainsi que d'hommes d'états .Un jour La vérité finira par être dévoilée.



mardi 5 avril 2016

COREE DU NORD BOMBE H

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz-0Qba27T8CYuB9jhF6Yuh2h8A08l8T9DNIm6CfpKYMghvmrtDr6uT37PbqxG5XOgSf5Co92c2V-MPmkZ_kwRx6ovyTgZE37XA-iL3ojiOs-3Q4PE_9vkTl34OTAu2IQp5rV6BD2SpmQ/s1600/Kim_Jong_Un_13_04_2013+mini.jpg Le Kremlin se déclare extrêmement préoccupé par les déclarations de la Corée du Nord sur le succès du test de bombe à hydrogène, a communiqué son porte-parole Dmitri Peskov.

L'explosion d'une bombe nucléaire. 
 « Moscou est vivement préoccupé par l’information d’après laquelle la Corée du Nord a fait exploser une bombe à hydrogène », a-t-il déclaré.

La Corée du nord envisage de tester une bombe atomique sur l’Afrique.



Selon nos sources dans cette region, le jeune dirigeant de la Corée du Nord Kim Jong envisage de lancer un missile balistique à capacité nucléaire sur l’Afrique.


 

 

 

 

La Corée du Nord accuse Washington de lui faire subir un siège tel celui de Leningrad


Pyongyang a accusé Washington de lui faire subir un siège similaire à celui subi par la ville russe de Leningrad pendant la Seconde guerre mondiale. 

Premier essai d'une bombe à hydrogène, lors de l'essai Ivy Mike, 10 mégatonnes, le 1er novembre 1952 par les Etats-Unis sur l'atoll d'Enewetak dans le Pacifique.La bombe H, 10 à 100 fois plus puissante que la bombe A

  Premier essai d'une bombe à hydrogène, lors de l'essai Ivy Mike, 10 mégatonnes, le 1er novembre 1952 par les Etats-Unis sur l'atoll d'Enewetak dans le Pacifique. Crédits photo : CTBTO

Les différences entre une bombe-A et une bombe-H sont profondes, et permettent surtout de gagner en puissance tout en réduisant l'encombrement.

Kim Jong-Un voudrait plonger la présidente de Corée du Sud dans "un océan de flammes" 

La plus haute instance militaire de Corée du Nord a accusé lundi des "forces hostiles" emmenées par Washington de soumettre le pays au même type de sièges que ceux endurés par Leningrad (aujourd'hui Saint-Petersbourg) pendant la Seconde guerre mondiale ou Cuba pendant la crise des missiles.





 

  

La Corée du Nord pourrait lancer sa fusée dès dimanche Des sanctions "suicidaires". 
Dans un communiqué publié par l'agence officielle KCNA, un porte-parole de la puissante Commission de défense nationale (CDN) dit également que les dernières résolutions imposées à Pyongyang par l'ONU sont "anachroniques et suicidaires", et susceptibles de provoquer une frappe nucléaire sur le continent américain. Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté début mars l'arsenal de sanctions les plus lourdes jamais infligées à la Corée du Nord en réaction à son quatrième essai nucléaire du 6 janvier, suivi le 7 février par un tir de fusée considéré largement comme un essai de missile balistique déguisé.

Ces sanctions sont l'oeuvre "des forces américaines et d'autres forces hostiles" déterminées à attaquer la Corée du Nord "en masse pour l'avaler", a affirmé le porte-parole de la CDN. "Le blocus de Leningrad qui a semé la terreur dans le cœur des gens (...) et la crise caribéenne de la Guerre froide peuvent à peine souffrir la comparaison avec la situation".

Menaces habituelles. Mais loin de saper le moral de Pyongyang, cette campagne ne fera que renforcer sa détermination, ajoute la CDN. Washington est en train de provoquer une crise qui pourrait conduire le Nord à "mener en représailles une frappe nucléaire contre le continent américain à tout moment", déclare-t-elle également. Depuis des semaines, le Nord ne cesse de menacer les Etats-Unis et la Corée du Sud de frappes nucléaires ou conventionnelles.

lundi 4 avril 2016

CANCER CHIMIOTHERAPIE RAYONS

Ce que l’industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons



Les traitements contre le cancer tuent davantage que le cancer!

En complément de la chirurgie, la chimiothérapie a un rôle essentiel pour diminuer le risque de récidive. Pour éviter la détérioration des veines du bras, on pose souvent un boîtier d'accès veineux relié au cathéter.Le cancer est une maladie métabolique du système, le résultat d’un corps qui manque de nutriments spécifiques, contient trop de toxines, un taux de PH (Potentiel d’Hydrogène) trop bas, signifiant que le corps a un trop plein d’acides. Si le corps de la personne n’est pas suffisamment alimenté par les nutriments essentiels, afin de se régénérer et d’évacuer les toxines, alors il reviendra la plupart du temps. 
http://chaoscontrole.canalblog.com/archives/2014/03/17/29460447.html

Ils nous disent que la chimiothérapie sauve des vies, augmente le taux de survie à long terme et n’endommage pas les cellules saines. Toutes ces affirmations de l’industrie du cancer sont fausses. Un poison tue sans discrimination – il l’a toujours fait et le fera toujours. Tout en endommageant les cellules saines, la chimiothérapie y déclenche la sécrétion d’une protéine qui entretient la croissance de la tumeur et sa résistance à un traitement ultérieur. C’est exact… la chimiothérapie va en fait stimuler la croissance cancéreuse et le traitement des cancers est la cause majeure des cancers secondaires.

Derrière les vaccins, médicaments, diagnostics et thérapies, soins dentaires, psychiatrie et pratiquement toute la recherche médicale, existe une industrie et une source de profit pour les sociétés. L’industrie du cancer fait preuve d’une ironie particulière car les produits cancérigènes sont fabriqués par des divisions des mêmes corporations multinationales dont les filiales construisent les scanners et l’équipement utilisé pour diagnostiquer les cancers, mettent au point les médicaments dont on se sert en chimiothérapie et ceux qu’on donne pour prévenir les récidives. Dans quelle réalité vivons-nous où les seuls moyens acceptables de traiter le cancer sont de trancher, empoisonner et irradier ?

L’industrie du cancer détruit ou marginalise les remèdes sans danger et efficaces tout en encourageant ses propres remèdes brevetés, coûteux et toxiques qui font plus de mal que de bien.

Aucun produit de chimiothérapie n’a jamais réellement guéri ou résolu les causes sous-jacentes du cancer. Les traitements par chimiothérapie considérés par la médecine dominante comme une « réussite » ne font que gérer les symptômes, au prix habituellement d’interférences avec les autres fonctions physiologiques précieuses qui engendreront tôt ou tard des effets secondaires. Il n’existe aucun médicament qui n’ait aucun effet secondaire.

La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi

La chimiothérapie regorge d’effets négatifs après traitement. Une majorité d’agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l’âge adulte.

Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d’origine, mais liés au traitement.

Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d’alkylation) sont réputés pour occasionner d’autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d’alkylation endommagent directement l’ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d’autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l’ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l’immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu’il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C’est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.

La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d’un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d’origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.

D’autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l’endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l’âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.

Des médecins dénoncent l’industrie du cancer

Le Dr Robert Atkins raconta un jour qu’il existe plusieurs traitements pour le cancer, mais qu’il n’y a pas d’argent à gagner. Ils sont naturels, efficaces et bon marché, ils ne contiennent aucun produit coûteux mais nécessitent une grande auto-discipline de la part des malades. 

Un exemple notoire demeure le régime cétogène. Oui, simplement une bonne alimentation peut vous débarrasser d’un cancer. Voir ici un cas rapporté par la CBN.
Il faut des millions pour financer les essais en laboratoire et cliniques nécessaires pour fabriquer un nouveau médicament anticancéreux qui pourra être breveté et vendu. Il a été dit que la clé de la réussite dans le commerce de la santé est de sortir un truc génial qui donnera des gens des malades à vie. Pensez à tous ces gens dont les analyses de sang étaient mauvaises, qui sont restés sous médicaments jusqu’à les tuer, alors qu’une prise brève de médicaments avec à côté des changements majeurs de régime alimentaire et de mode de vie, les auraient ramené à une santé sans médication.

Selon le Dr John Diamond, « Une étude sur plus de 10.000 patients montre clairement que les soi-disant excellents antécédents de chimio sur maladie de Hodgkin (cancer des globules blancs ou lymphome) sont mensongers. Les malades qui ont subi de la chimio ont été 14 fois plus sujets à développer une leucémie et 6 fois plus enclins à développer un cancer des os, des articulations, des tissus mous que les patients n’ayant pas subi de chimio.« 


Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, fut l’un des plus grands spécialistes du cancer aux États-Unis. Il utilisait des traitements alternatifs avec grand succès. Parlant du traitement du cancer dans ce pays, il disait : « Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison ».

Le Dr Alan C. Nixon, ancien président de la Société de Chimie américaine écrit, « En tant que chimiste formé pour interpréter les données, je trouve incompréhensible que des médecins puissent ignorer l’évidence, que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien« . Et selon le Dr Charles Mathé, spécialiste français du cancer, « …si j’avais un cancer, je n’irai jamais dans un centre anticancéreux classique. Seules les victimes du cancer qui vivent loin de ces centres ont une chance. »

Le Dr Allen Levin déclarait : « Une majorité de malades du cancer de ce pays meurent par la chimiothérapie. La chimiothérapie n’élimine pas les cancers du sein, du colon ou du poumon. Ce fait est documenté depuis plus de dix ans, pourtant les médecins utilisent toujours la chimiothérapie pour ces tumeurs. » Dans son livre, « Le Topic du cancer : quand on doit en finir avec la tuerie », Dick Richards cite plusieurs études d’autopsie montrant que les patients cancéreux sont morts en fait à cause des traitements conventionnels avant que la tumeur n’ait eu une chance de les tuer.

Comment la chimiothérapie stimule la croissance du cancer

Des chercheurs ont testé les effets d’un type de chimiothérapie sur des tissus prélevés sur des hommes avec un cancer de la prostate et ont découvert « une preuve de dommages de l’ADN » sur les cellules saines après traitement, ont écrit des scientifiques dans Nature Medecine.

La chimiothérapie fonctionne en inhibant la reproduction des cellules à division rapide du type de celles trouvées dans les tumeurs.

Les scientifiques ont découvert que les cellules saines endommagées par la chimiothérapie sécrétaient davantage une protéine appelée WNT16B qui stimule la survie de la cellule cancéreuse (voir article ICI du BBB sur ce sujet).

« L’augmentation de WNT16B était complètement inattendue », a dit à l’AFP le co-auteur de l’étude Peter Nelson du centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson à Seattle.

La protéine était absorbée par les cellules tumorales voisines des cellules endommagées.

« WNT16B, quand elle est sécrétée, interagirait avec les cellules tumorales proches et les ferait grossir, devenir envahissantes et le plus important, les rendrait par la suite résistantes à la thérapie, » a expliqué Nelson.

Dans le traitement du cancer, les tumeurs répondent souvent bien au départ, puis s’ensuit une rapide prolifération et enfin une résistance à la chimiothérapie suivante.

On a démontré que le rythme de reproduction des cellules cancéreuses s’accélérait entre les traitements.

« Nos résultats indiquent que les réponses aux dommages des cellules bénignes…peuvent directement contribuer à accélérer l’activité de croissance des tumeurs« , écrivait l’équipe.

Les chercheurs ont dit qu’ils ont confirmé leurs découvertes sur des tumeurs cancéreuses du sein et des ovaires.

Les malades avec un cancer incurable sont promis à accéder plus facilement aux toute dernières drogues qui pourraient leur offrir quelques mois ou quelques années de vie supplémentaire, pourtant de nombreux médecins ont été poussés à devenir plus prudents pour présenter un traitement à ces patients en phase terminale car la chimiothérapie peut souvent faire plus de mal que de bien, conseil soutenu par l’étude de Nelson.

90 % des patients qui reçoivent de la chimiothérapie souffrent d’effets fatals

Le NCEPOD ( National Confidential Enquiry into Patient Outcome and Death) a déclaré que plus de 4 patients sur 10 ayant reçu de la chimiothérapie vers la fin de leur vie ont souffert d’effets fatals par les médicaments et que le traitement était « inapproprié » dans presque un cinquième des cas.

Globalement, presque 90 % des malades à qui on a administré de la chimiothérapie meurent dans les 15 ans, soit de cancers secondaires ou d’une immunité compromise, conséquence directe du traitement. Chimiothérapie et rayons combinés sont les causes principales des cancers secondaires de par le monde.

Il y a eu une augmentation de 68 % dans l’usage de produits de chimiothérapie depuis 2003 et malgré l’augmentation massive de l’incidence des cancers depuis, les facteurs de risque (selon l’industrie du cancer) pour des cancers primitifs et secondaires sont toujours dus au tabac, à l’alcool, aux expositions professionnelles et aux déterminants génétiques. Le traitement ou le diagnostic du cancer n’est jamais mentionné comme la cause de cancers primitifs ou secondaires.

Le cancer est la cause principale des maladies et si on regarde pour l’avenir les récentes tendances au plan mondial des cancers majeurs, le fardeau du cancer s’augmentera de 22 millions de nouveaux cas chaque année d’ici 2030. Ce qui représente une hausse de 75 % comparé à 2008.

Plus de la moitié de tous les malades du cancer souffrent d’une toxicité notable en lien avec le traitement. Ce dernier peut aussi engendrer des infections graves ou les malades peuvent simplement mourir de leur cancer.

Quand on lui a demandé comment améliorer la réponse et le résultat du patient, Nelson a répondu « en alternance, il peut être possible d’utiliser des doses plus faibles, moins toxiques dans la thérapie« .

En résumé, la chimiothérapie détruit virtuellement toutes les cellules et l’organisme avant de s’occuper du vrai cancer. Ce qui veut dire que votre système nerveux central, les organes et le système immunitaire (pour n’en nommer que quelques-uns) sont tous compromis même des années après l’arrêt du traitement. Oubliez ce qui a été dit sur la chimiothérapie qui fait un meilleur travail sur le long terme en tuant le cancer.

La chimiothérapie cause la mort des cellules cérébrales longtemps après la fin du traitement et pourrait être l’une des causes biologiques sous-jacentes des effets cognitifs collatéraux – ou « cerveau chimiqué » – qu’expérimentent de nombreux malades cancéreux.

Le traitement conventionnel du cancer est une énorme et coûteuse tromperie – un non-traitement qui rend malade et tue plus de gens qu’ils ne les « guérissent ». Il ne peut jamais guérir quoi que ce soit car il empoisonne le corps, ce qui ne fait qu’entraîner plus tard d’autres maladies.

La question [de savoir si la chimiothérapie prolonge réellement ou non la vie, note de l’éditeur] ne peut probablement plus recevoir de réponse. Dans les études cliniques, les fabricants comparent toujours leurs nouveaux produits avec les précédents poisons cellulaires. Il n’y a pas de groupes de contrôle n’ayant reçu aucun traitement.

Pour qu’ils soient autorisés sur le marché, il suffit d’obtenir un avantage « statistiquement significatif » dans un petit groupe de sujets- tests soigneusement sélectionnés comparé aux malades traités avec un poison cellulaire approuvé.


La Vérité sur la ChimiothérapieLa Santé, parlons-en, saviez-vous que des enquêtes et des questionnaires montrent que trois docteurs sur quatre (donc 75%) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes, en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain.

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