dimanche 20 mai 2012

LE CAS DU SERGENT GRISCHA

Fichier:Bundesarchiv Bild 183-28224-0009, Berlin, Ausstellung sowjetischer Grafik.jpg

A gauche Arnold Zweig
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Le cas du sergent Grischa, un roman qui débute avec la prémisse intéressante selon laquelle quand un gouvernement fait du tort à un individu, il est alors voué à l'échec. Il lui suffit de faire du tort à un individu et il est perdu. J'ignore si le roman contenait beaucoup de philosophie pour soutenir cette prémisse, mais cette pensée m'a paru particulièrement frappante par sa justesse: faire du tort à une personne, c'est faire du tort à une personne de trop. N'est-ce pas ?

Comment pensez-vous que quelqu'un puisse apporter l'ordre public à une société s'il utilise la menace et la violence ? Il existe de meilleures méthodes. Il existe des méthodes plus efficaces.
Je veux dire qu'il y a un très grand nombre de gens bien dans ce monde qui essaient de faire marcher les choses, mais ce qui bloque le chemin de l'homme aujourd'hui, c'est l'aberration individuelle. Il faut prendre une société à raison d'un individu à la fois. La masse n'existe pas. Je me moque des lois qui ont été adoptées récemment au Kremlin, il n'existe toujours pas de masse - une masse de gens, les masses. Il n'existe pas vraiment de groupes;  il y a des rassemblements d'individus.

Et ces rassemblements d'individus ont alors l'air de coopérer ou de ne pas coopérer ou d'agir comme une entité. Mais si vous essayez de traiter cette entité, en tant que telle, sans accorder aucune attention à l'individu, vos efforts seront vains. N'est-ce pas ? L'idée de dire :  <<  Eh bien, nous travaillons pour le bien de la masse et, par conséquent, nous nous fichons de vous  >>, ça ne fonctionne pas. Après tout, qu'est-ce que la masse si ce n'est un rassemblement de   << vous  >> ?

Bon, où allez-vous trouver quelqu'un dans le monde aujourd'hui qui puisse prendre cet individu et le libérer de la violence et de la confusion qu'il a subies pendant tous les infiniment nombreux millénaires qu'il a vécus ?

Ce n'est pas que la psychanalyse et les autres pratiques du dix-neuvième siècle soient mauvaises ; elles ne sont pas mauvaises. Les gens qui les pratiques sont tout à fait sincères. Leur effort de comprendre leurs semblables reflète leur dévouement. Mais au bout de sept ans, qu'avez-vous ? Vous avez encore un patient. C'est de l'efficacité dont nous parlons maintenant. Nous ne critiquons pas quelqu'un parce qu'il essaie et ne réussit pas. Ce ne serait pas très beau joueur, n'est-ce pas ? Hein ?

Là où je veux en venir, c'est que quand on essaie de s'adresser à la vaste multitude au moyen de restrictions et de lois arbitraires en vue de soigner ses maux sociaux, on le fait parce que l'homme a oublié comment faire face à un homme. Et, en évitant de faire face à cet homme seul, il manque alors tout le monde. C'est quelque chose de tout à fait intéressant.

Vous verrez des fois une organisation ou un bateau - je parle beaucoup de bateaux parce que j'ai acquis de l'expérience avec. Vous observez ceci : une règle apparaît sur le tableau d'affichage :  <<  Jamais, à aucun moment, en aucune circonstance, nulle ne devra laisser la porte d'entrée ouverte et celui qui laissera béante la porte d'entrée se verra congédier sans ménagement !  >>

Ils destinent cette règle à toute l'organisation ? Eh bien, qui a trouvé la porte ouverte ? Un cadre. Qui a laissé la porte ouverte ? Une ou deux ou trois personnes. Alors maintenant, on va punir tout le personnel ! Et je crains que ce ne soit ainsi qu'ont pris forme le règlement du roi, le règlement de la marine américaine et tout autre ensemble de règles qui punissent, punissent, punissent, tranchent, tranchent, tranchent. Au lieu d'aller trouver celui qui a laissé la porte ouverte et de lui dire :  <<  Mon fils, vous péchâtes  >>, on peut faire face à cette chose nébuleuse appelée  <<  èquipage  >>  et le menacer d'une contrainte affreuse si jamais quelqu'un laisse à nouveau la porte ouverte. Et cela ne marche pas !

Je n'entends pas par là que les lois humaines sont impraticables ni que la société devrait être mise en pièces. De même que vous devriez toujours améliorer un individu et ne jamais le mettre en pièces, vous devriez pouvoir améliorer une société et ne pas la mettre en pièces. Vous ne pouvez pas enlever à cette société sa structure législative actuelle et en fourrer une autre à la place, juste comme ça. Et c'est ce qu'un grand nombre de réformateurs aimeraient faire. Ils disent :  <<  Toutes ces lois sont mauvaises ; nous nous en débarrasserons donc et introduirons ces lois idéales comme le code d'Hammourabi.  >>

A une époque, c'est ce qu'utilisèrent les réformateurs. Ils dirent :  <<  Nous allons faire de la société une bonne société et nous allons y arriver en arrachant un oeil pour un oeil et une dent pour une dent. Ca leur apprendra.  >>

Eh bien, ces vastes choses, ces mandats et ces arbitraires d'une vaste amplitude ne portent pas un but final de paix. Ils ne portent pas une plus grande probité parce qu'ils ont l'inconvénient de nuire à l'individu ( ouvrez les guillemets )  <<  pour le bien de la masse  >> ( fermez les guillemets )

Maintenant, voici notre problème en tant que société. Les individus dans cette sociètè sont soumis à une violence considérable au nom d'une grande humanité et chaque individu que l'on égare un peu plus au moyen de violence dégrade la société tout autant. L'empressement des gens à aider et à vivre est amputé ; il est réduit. Et qu'est-ce que la volonté de la société de survivre si ce n'est la volonté collective ou agrégée des individus de vivre ? C'est tout ce que c'est. C'est aussi simple que ça. 1958/LRH
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Roman de Zweig Arnold (Auteur)

Arnold Zweig est un écrivain allemand né en Silésie en 1887 et mort à Berlin-Est en 1968. Marqué par l'antisémitisme puis par la Première Guerre mondiale, il s'est beaucoup engagé dans le pacifisme et le sionisme. Le roman qui l'a fait connaître est Cas du sergent Grischa qui l'a aussi fait connaître à Sigmund Freud. Il a depuis entretenu avec ce dernier un lien d'amité à l'instar de celui qui liait Freud à son homonyme Stefan Zweig. L'abondante correspondance Freud - A. Zweig s'étend de 1927 à 1939. A. Zweig a aussi fait l'expérience d'une psychanalyse.

Après avoir séjourné en Israël, il s'installe à Berlin-est où il s'engage politiquement et écrit même si les libertés se restreignent de plus en plus. Ses idées pacifistes et nombre de points de vue sur des sujets de société le mettent de plus en plus en désaccord avec le communisme.

samedi 19 mai 2012

THE JIVE ACES BARE NECESSITIES-BRITAIN'S GOT



Description: Watch The Jive Aces get their groove on as they perform The Jungle Book classic Bare Necessities in the Live Semi Final. See more from Britain's Got Talent…Fantastic!!!

vendredi 18 mai 2012

DONNA SOMMER


Summer,_Donna

VENEZUELA 1977

Lors d'une émission de télévision tournée à Caracas, je me souviens de Donna Sommer. J'étais invité avec mon amie Vénézuélienne par la chaîne. Nous étions assis à côté de Donna Sommer, qui d'ailleurs m'avait esquissé un joli sourrire.

Je garde un bon souvenir de cet instant et n'oublierai jamais cette grande dame de la musique disco. PAD




Donna Summer, nom de scène de LaDonna Andrea Gaines (née le 31 décembre 1948 à Dorchester, un quartier de Boston et décédée des suites d'un cancer le 17 mai 2012[1] à Key West en Floride), est une chanteuse disco américaine. Elle est un mythe de la musique disco des années 1970 et 1980. Ses plus grands tubes sont Love to Love You Baby, I Feel Love (reprise par Beyoncé, Jimmy Somerville, John Frusciante des Red Hot Chili Peppers, Kylie Minogue, Madonna durant son Confessions Tour et David Vendetta en 2007), Last Dance (Grammy Award en 1978 dans la catégorie Best R&B vocal performance female, Hot Stuff (Grammy Award en 1979 dans la catégorie Best rock vocal performance female et célébré en 1997 dans le film The Full Monty), Could It Be Magic (reprise en français avec Le temps qui court par Alain Chamfort puis par les Enfoirés en 2006 ; inspiré du prélude no 20 de Chopin), On The Radio et She Works Hard For The Money. Elle a vendu plus de 130 millions de disques.

jeudi 10 mai 2012

VENISE





Venise (italien : Venezia /ve'nɛtʦja/, vénitien : Venesia /ve'nɛˑsja/), surnommée la « Cité des Doges » ou la « Sérénissime », est une ville de la plaine du Pô au nord-est de l'Italie et la capitale de la Vénétie.

Fondée peu après 528, elle fut la capitale pendant huit siècles (1001-1797) de la République de Venise. La ville est célèbre pour ses canaux, sa place Saint-Marc, son palais des Doges ainsi que son carnaval. Venise comptait 268 993 habitants début 2008[2] dont 60 052 intra-muros[3]. Venise et sa lagune sont inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO.

FRANCOIS HOLLANDE


Élections présidentielles. Et maintenant, préparer le 3e tour social.


Nicolas Sarkozy a été battu et va maintenant pouvoir aller se reconvertir chez Bouygues ou chez un autre de ses amis du Fouquet’s. Vu les cinq années de casse sociale que nous venons de subir et vu la campagne d’extrême-droite qu’a menée l’UMP durant ces dernières semaines, nous ne pouvons que nous réjouir d’avoir échappé à un nouveau mandat du président sortant.

Mais si la défaite du fossoyeur des droits sociaux apparaît comme un soulagement pour le camp du travail, nous sommes encore loin du vrai changement et le temps des cerises n’est certainement pas pour demain. Il y a d’abord eu les appels du pied au FN durant l’entre-deux tours. Pierre Moscovici, directeur de campagne de F. Hollande et, par ailleurs, vice-président du lobby patronal Le Cercle de l’industrie, a ainsi annoncé qu’il comptait « combattre fermement l’immigration illégale ». Les propos de F. Hollande sur l’immigration lors du débat télévisé du 2 mai étaient également plus qu’ambigus. Ensuite, la posture « anti-austérité » des socialistes ces dernières semaines ne doit pas faire oublier qu’en novembre dernier Hollande voulait « donner du sens à la rigueur » et qu’il n’a pris quasiment aucun engagement sérieusement en faveur des travailleurs et des travailleuses : rien sur la retraite pleine et entière à 60 ans, rien sur les privatisations, rien sur les licenciements etc. il s’est d’ailleurs bien gardé de promettre quoi que ce soit après l’annonce des résultats, préférant évoquer des thèmes fédérateurs qui ne mangent pas de pain : la justice et la jeunesse. La période qui s’ouvre avec l’élection de F. Hollande appelle donc à la plus grande lucidité sur la politique qu’il va mener, afin d’éviter toute désillusion. Il y a bien longtemps que le Parti Socialiste est entièrement converti au libéralisme et ne propose plus que de le modérer. A l’heure des premiers choix, il y a donc fort à parier que le nouveau pouvoir préservera sans état d’âme les intérêts des capitalistes plutôt que de défendre les droits des travailleuses et des travailleurs. Si nous ne voulons pas de l’austérité qui s’annonce et si nous ne voulons plus de ce monde qui tourne à l’envers, il va donc falloir dès maintenant organiser la résistance et nous tenir prêt-es à riposter quand les promesses électorales feront place aux mesures de rigueur. Le 2e tour est passé et c’est à présent le 3e tour social qu’il faut imposer.

Publié le 7 mai 2012 par Commission Web

mercredi 9 mai 2012

LAUSANNE CH APPARTEMENT ATTIQUE A VENDRE







Cette somptueuse résidence de haut standing, profitera d'un cadre de vie et de confort privilégiés. En retrait du trafic, dans une ruelle à sens unique, le quartier est résidentiel, verdoyant et surtout très calme.


mardi 8 mai 2012

LEADERSHIP





QUEST-CE QU'UN LEADERSHIP ?

Savez-vous c'est très bien de dire leadership. Mais quest-ce que c'est ? Quest-ce que c'est ? C'est une chose curieuse. Mais savez-vous qu'il y a des tomes qui ont été écrits sur ce sujet. Vous allez dans l'armée américaine, la marine américaine, l'armée de l'air américaine, l'armée de l'air africaine, l'armée africaine, l'armée de l'air britanique, l'armée de de Gaule, n'importe laquelle de celle-ci, et vous allez trouver des livres traitant du leadership.

Ca alors ! comme ces livres vous courbent le dos ! ils sont, pour la plupart, publiés pour les sous-officiers. Les officiers s'écartent tellement de ce qu'ils contiennent qu'ils ne le voient même pas. En général, ils les écrivent.

Nous avons ici tous ces tomes sur le sujet du leadership et il y a des petits trucs et des petits gadgets et des  << vous ne faites pas ceci mais vous faites cela >>. Il y a d'innombrables règles mais personne n'a jamais dit ce que c'était un leadership.

Si nous allons vers une sociètè virtuellement sans leader nous ferions mieux de savoir ce qu'est un leader.

Un leader est quelqu'un qui peut assumer la responsabilité de sa sphère d'influence. C'est très simple, n'est-ce pas ? Il peut assumer la responsabilité de sa sphère d'influence.

C'est très difficile d'amener une organisation à prendre une responsabilité quelconque parce qu'une organisation en elle-même n'est pas responsable. Seulement les terminaux qui en font partie peuvent être responsables.

Nous obtenons alors la prochaine caractéristique de ce qu'est le leadership. En présence de leadership, la communication est possible. Ha ha ! Dis donc, cela paraît bizarre, n'est-ce pas, lorsque vous entendez que le général marche dans les rangs et qu'aucun soldat ne doit lui parler et que nous disons : <<  Le général est le leader de ces soldats ?  >>  Ha ha ha ha ha ! Peut-être que les sergents le sont, mais pas le général.

Pourquoi ? Parce que ces soldats ne peuvent pas lui parler. La communication. Un leader doit être capable de donner et de recevoir une communication. C'est très simple, n'est-ce pas ? Donner et recevoir une communication. C'est bien sûr dans la limite de ses possibilités à avoir suffisamment de temps pour écouter chaque chose qu'on lui dit, néanmoins il peut en écouter pas mal. Et il doit certainement avoir cette capacité à communiquer.

De plus, il doit avoir la capacité à avoir de l'affinité pour les gens qu'il dirige. Il doit aussi inspirer de l'affinité chez ces gens pour lui.

Les buts et les choses dont il épouse la cause doivent être réels. Ils doivent être réels. Ils doivent jusqu'à un certain point, être réalisables. L'entente doit être suffisamment bonne en ce qui concerne ces buts.

En plus de cela, il doit être capable d'avoir une réalité sur la condition dans laquelle sont les gens qu'il essaie de diriger. Quelle est leur réalité ? En reconnaissant leur réalité clairement, il n'a pas nécessairement besoin de s'y laisser prendre le moins du monde.

Un des plus grands empires de tous les temps avait à sa tête un dénommé Soliman le Magnifique, L'Empire turc, début du XVIe siècle. En fait, il a fait s'écrouler l'empire turc. Il avait un grand défaut. Il n'a jamais assigné de tâche humainement possible à faire. Il a fait en sorte que beaucoup soit fait, mais il a tout fait s'écrouler.

En d'autres termes, il n'a jamais considéré ou obtenu une réalité sur ce que les gens pouvaient réellement faire et il a donc échoué à être le leader de cette nation en particulier.

Mais les leaders ne font pas que diriger les nations. Chaque famille doit avoir un leader. LRH


samedi 5 mai 2012

ART

                                                   


L’art[note 1] est une activité humaine, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait, s'adressant délibérément aux sens, aux émotions et à l'intellect. On peut dire que l'art est le propre de l'homme, ce qui le distingue au sein de la nature, et que cette activité n'a pas de fonctions clairement définies.

lundi 30 avril 2012

RICK CLAY




Voici une théorie qui prend tout son sens une fois qu'on a


fait le tour au sujet des illuminati, de leurs symboles, leurs façons de façonner notre monde,


leurs buts à court et long terme.


Ce jeune homme est mort, retrouvé sans vie dans son lit par son père,

une mort encore une fois, inexpliquée...

Lien :



vendredi 27 avril 2012

QUEST-CE QU'UN GOUVERNEMENT ?



Vous n'avez pas de gouvernement sur Terre aujourd'hui.

Définition : le gouvernement est quelque chose qui met de l'ordre. C'est tout ce dont il s'agit ! Et s'il ne met pas de l'ordre, ce n'est pas un gouvernement. C'est une révolution ou un projet local entrepris par un parlementaire à des fins électorales ou un marécage. Mais ce n'est pas un gouvernement.

S'il existe la moindre criminalité dans tout le pays, vous n'avez pas de gouvernement. N'est-ce pas une déclaration déraisonnable ? Et cependant, vous savez, en Europe centrale durant les siècles passés - dont j'ai un souvenir très clair - il y avait beaucoup d'ordre. Eh oui, des fous comme Charles Quint et le reste, sont arrivés et ont déclaré qu'ils étaient empereurs, et un autre a dit qu'il était empereur. Il n'y avait pas beaucoup de gens qui leur prêtaient attention. Et le véritable gouvernement du pays remettait les choses en ordre dès que les armées s'en allaient.

Heureusement, en ce temps là, le gouvernement n'avait pas la capacité à détruire un continent entier d'un pff ! C'est malheureux que cela puisse exister aujourd'hui. Mais il y avait un gouvernement. Un gouvernement existait. Il y avait des hommes de bonne intention, des hommes capables, des hommes qui étaient dévoués à leurs activités sur Terre, qui ont mis de l'ordre - non pas la loi et l'ordre - de l'ordre, dans une zone, afin que les gens puissent produire, que les marchands puissent prospérer, que le commerce puisse avancer. Et comme on le disait alors d'un grand gouvernement, qui s'était constitué il y a de nombreux siècles, une vierge avec un sac d'or aurait pu marcher d'un coin du pays à l'autre, sans que quiconque ne l'importune, même vaguement. C'est ça le gouvernement. C'est ça un gouvernement.

Non. Vous ne voulez pas un gouvernement qui maintient l'inquiétude chez tout le monde en ayant des armes d'une telle puissance qu'elles pourraient tous nous anéantir. De quelle espèce d'ordre s'agit-il ? Ce n'est pas de l'ordre.

Cela dit, je ne suis pas uniquement en train de maudire et de condamner un gouvernement. S'il y avait un gouvernement, je ne le maudirais ni le condamnerais. Tout ce que je fais, c'est dire qu'il s'agit de l'atmosphère de base au sein de laquelle nous avons essayé d'agir. Fondamentalement, c'est un gouvernement par préjugé, pas un gouvernement par la loi.

Et dès que nous essayons d'aider notre prochain, qu'obtenons-nous ?  <<  Oh ! Tout cela est réalisé là-bas à  " l'université Squirrel " et... et à Saint Elizabeth, et ils ont... tout le monde a la situation bien en main ; le niveau de folie grandissant est en train de s'élever encore et encore de manière très satisfaisante ! Nous en sommes tous très contents. Oui, oui. Il était d'un sur trente uniquement, et maintenant nous l'avons amené à un sur vingt. Bientôt nous serons à un sur quinze dans les asiles. Et vous, vous feriez mieux de ne rien y faire, parce que vous savez, vous risquez d'y mettre de l'ordre et ce n'est pas permis.  >>

Et nous n'avons pas été dissuadés. Pas très longtemps. Nous mettons de l'ordre à ce désordre, mais malheureusement, c'est l'un de ces désordres qui se présente comme quelque chose à mettre en ordre. Eh bien, je vais vous dire : ne vous y laissez pas prendre, parce qu'un jour, vous hériteriez du gouvernement de la Terre. Et qui en veut ?

Gouverner nécessite une aptitude spéciale. Les gens savaient comment faire autrefois. Il y a très longtemps, les gens y était formés. Une aptitude spéciale demande beaucoup de temps, et toute sa fonction consiste à mettre suffisamment d'ordre dans un environnement pour que quelqu'un puisse travailler, pour que quelqu'un puisse effectuer son travail. C'est sa fonction. C'est la seule raison d'exister d'un gouvernement. C'est la seule raison pour laquelle un gouvernement lève des impôts, entretien quelque chose, paye ses propres salariés ou tout le reste.

S'il peut procurer un environnement - paisible, sûr, dans lequel vous pouvez travailler - c'est presque la seule chose que quiconque a jamais demandé d'un gouvernement, c'est un bon gouvernement. LRH

samedi 21 avril 2012

BONES - SERIE TV




Synopsis:


Cette série raconte les aventures d'une anthropologue hautement qualifiée qui travaille à l'Institut Jeffersonian, Temperance Brennan (Emily Deschanel), qui est appelée à travailler en collaboration avec le FBI à partir de squelettes (d'où son surnom éponyme de la série : "Bones" qui signifie "ossements" en anglais), dans le cadre d'enquêtes criminelles. En examinant les squelettes de personnes décédées, elle est capable d'en reconstituer la vie et les circonstances de la mort. L'héroïne est secondée par un agent du FBI, Seeley Booth (David Boreanaz), avec lequel elle entretient des rapports tantôt conflictuels, tantôt complices. Elle s'appuie également sur une équipe de trois scientifiques qui sont autant de personnages secondaires.

SOCIETE PRESSE-BOUTON




SOMMES-NOUS DES ROBOTS ?

Et c'est là que l'intégralité du socialisme et du communisme s'égare complétement. Ils pensent qu'on peut créer des esclaves et ils ne le peuvent pas. Voilà l'horrible vérité qui se tient derrière ces grands mouvements sociaux. Nous les voyons se fourvoyer. Nous les voyons échouer. Ces mouvements ne sont pas viables. Ils sont basés sur la croyance qu'on peut faire pression sur quelqu'un par un mécanisme-réflexe ou la peur de la punition, la peur de la perte serait si grande que la personne continuerait à remplir son devoir. Et il n'est pas possible que sa réussisse.

Quand il découvre qu'il a été utilisé comme une machine alors qu'il est lui-même capable de penser, la violence de sa rébellion est plus importante que l'aptitude de n'importe quel mur à résister. Contraindre des hommes ou la jeunesse ou qui que ce soit d'autre est comme enfoncer en le comprimant encore et encore et encore un ressort extrêmemnet puissant. Le ressort est encore comprimé et on l'enfonce en le comprimant encore et on l'enfonce en le comprimant encore et un jour on atteint le bout de son bras mais le ressort n'est pas totalement affaissé. Quarrive-t-il alors ? Si on remue ne serait-ce qu'un doigt, il sort et s'envole dans un énorme jaillissement sonore.  Boiiiing.

C'est pourquoi le monde nous apparaît aujourd'hui tendu. C'est pourquoi il semble tendu. Il comporte plusieurs sociètès en ce moment qui ont fait cela. Elles ont comprimé ce ressort et maintenant leur bras sont arrivés au bout de leur extension, et quelqu'un est susceptible de penser une pensée.

Mais dans le monde d'aujourd'hui, l'éducation et le gouvernement ont complétement renversé, les croyances en place les plus chères. C'est un renversement malheureux. Sans l'ingrédient de la coopération de la part de l'individu, toutes les activités d'éducation de cette sorte sont vouées à l'échec. Sans une certaine coopération. Et tout ce que vous possédez en fin de compte, c'est le consentement de la personne. Si l'excitation-réflexe dans son intégralité ne fonctionne pas, alors permettez-moi de vous assurer que ça ne marche jamais. Ca ne fonctionne tout bonnement jamais.

La chose qui fonctionne, c'est le consentement de l'individu, ça fonctionne. En d'autres termes, tout ce qu'un individu possède, en parlant d'un travailleur, c'est le consentement du travailleur à travailler. Cela met en place un regard terriblement différent sur un nombre effroyable de choses. Si ce consentement est émoussé, plus rien ne subsiste. Si vous émoussez le consentement à coopérer, il n'existe plus rien là.

Je peux comprendre comment le patronat pourrait être en guerre avec le capital. Je peux comprendre ceci, parce que le capitaliste autrefois gagnait simplement de l'argent par l'argent. Il possédait quelque argent, aussi utilisait-il l'argent qu'il possédait pour gagner plus d'argent. Lui-même ne contribuait jamais en rien si n'est en argent, ce qui est une contribution plutôt mince au regard de la contribution totale d'une société, contribuer seulement de quelques actions et obligations dans une entreprise et rester assis à ne rien faire et agrafer des coupons sur la sueur de tous les autres. Nous pouvons voir, par conséquent, parce que le capitaliste n'est pas un directeur... voyez, il ne dirige rien, il distribue simplement de l'argent et agrafe des coupons. C'est la forme pure du capitalisme.

Un directeur ou une direction assument ces fonctions, vous voyez ? Donc, nous nous trouvons face à ces deux choses : la direction, qui s'étendrait à toute la ligne hiérarchique jusqu'au concierge, et le capital, qui ne fait rien. Et nous pourrions concevoir alors qu'il pourrait y avoir une lutte entre ces deux choses. C'est plutôt facile qu'il y ait là une lutte. Et, en réalité, il existe une lutte formidable entre ces deux choses que personne d'autre n'a encore réellement remarquée. Mais c'est une lutte importante.

Donc, je ne sais pourquoi la direction ne se met pas en gréve contre le capital. Parce que le capital s'approche du zéro que nous trouvons sur une ligne de production. On dit que ça a de l'importance, mais ce sont des personnes qui sont polies de sorte qu'elles peuvent emprunter plus d'argent.

De toute façon, les directeurs du monde font marcher le monde, pas les capitalistes. LRH

mardi 17 avril 2012

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dimanche 8 avril 2012

AMERICANISME



Image de l'Amérique des années 60 : Photos de ferme en Californie

 Christophe Colomb découvre l' Amérique en 1492

L'Américanisme

Malgré le gouvernement, l'américanisme va à l'étranger. Aujourd'hui, la Californie devrait faire attention à ses lauriers. La Californie devrait faire attention. La Californie s'est empâtée dans son fauteuil tournant avec une confiance exessive. La californie est restée assise là à respirer le smog et à se tenir les bretelles, vous savez, et à dire:  << On est quelque chose .>> Ils ont intérêt à faire attention. Il y a un pays appelé l'Afrique du sud qui sait tout d'eux. Meilleur climat, plus d'américanisation.

Vous seriez étonnés, aujourd'hui. En 1952, les communistes combattaient encore avec acharnement l'Amérique à l'étranger. Vous alliez voir une pièce de théâtre, ou autre chose, et vous entendiez beaucoup de sentiment anti-américains. Eh bien, ils résistaient à l'américanisation. C'est à peu près tout ce que ça signifie. On n'entend plus ces choses maintenant. A la place, eh bien, vous voyez les Buick et les Ford. Des sodas à la crème glacée et des Coca-Cola glacés. Vous voyez tout ce qui appartient à une civilisation américaine. C'est naturel parce que nous avons une meilleure civilisation.

Le monde avait une vieille civilisation appelée le civilisation romaine. Ce fut la dernière grande civilisation d'exportation. Elle a été exportée au monde connu. Maintenant nous avons une civilisation que nous exportons au monde connu. Les Anglais l'avait un certain temps. Et nous avons en fait repris leur attitude industrialisée et puis nous l'avons réexportée, y avons rajouté de nouvelles fanfreluches, etc. Et nous exportons une civilisation aujourd'hui.

Ce qui est important, c'est combien de services vous pouvez donner au monde et combien de travail vous pouvez faire et combien vous pouvez améliorer les choses. Voici les choses importantes. C'est tout ce qui importe. Un compte en banque n'a jamais mesuré la valeur d'un homme. Son aptitude à aider est la mesure de sa valeur et c'est tout. Un compte en banque peut vous aider à donner de l'aide, mais lorsqu'il cesse de faire cela, il devient inutile.

Quand vous n'êtes pas bien nourris et que vous n'avez pas votre plat favori ou quelque chose du genre, eh bien, peut-être que vous nêtes pas dans l'état d'esprit qui vous fera donner le meilleur service possible. Alors ces choses se mettent dans la balance aussi. Vous n'avez pas besoin d'être pauvre pour donner des services. LRH

L'Amèrique si c'est un rêve je le saurai.
Joseph Ira[1] Dassin, dit Joe Dassin (5 novembre 1938 à New York20 août 1980 à Papeete, France) est un chanteur francophone et compositeur franco-américain. En tant que chanteur, il a connu de nombreux succès dans la francophonie et ailleurs[2], en quinze ans de carrière (1965-1980).





jeudi 29 mars 2012

LIGNE DE COMMUNICATION COUPEE







Un individu va aussi bien qu'il peut communiquer avec n'importe quoi.

Pour ce qui est des lignes de communication, on croit que la société est très, très stricte sur le sujet. On croit que la société n'aime pas vraiment tel ou tel genre de communication. Eh bien, permettez-moi de vous faire part d'un petit secret. Il n'y a que deux choses qui sont punissables dans cet univers. Deux choses. Il n'y a que deux crimes que cet univers punisse vraiment, et tout autre crime d'un rang inférieur est fondé sur l'un ou l'autre de ces deux crimes. Donc, nous pourrions ranger tous les crimes sous ces deux crimes, et le premier de ces crimes, c'est être là. C'est un crime. Vous êtes puni pour être là.

En fait, ça a un effet tel sur un enfant que pendant une simple réprimande, il pense que fondamentalement tout ce qu'on lui dit c'est simplement cela :  << Tu ne devrais pas être là. On ne veut pas de toi. Tu devrais décamper. Nous ne voulons pas de toi dans la famille. Tu es exilé. >> En fait, ce n'est pas ce qu'on lui dit. Ce qu'ils lui disent, c'est :  << Willy, si jamais tu casses un autre pichet à crème, je ne sais pas ce que je vais faire de toi. C'était le pichet à crème de ma mère. >> C'est ça qu'on lui dit. Mais lui, dans son interprètation de base, il pense qu'on lui dit tout simplement :  << Nous ne voulons pas de toi ! Va-t'en ! Fiche le camp ! Décampe ! Nous en avons assez de toi ! Tu n'es pas assez présentable. Tu était là. >> Voyez ? C'est  << Tu étais là. Tu étais là. C'est mal ! Disparais ! Va au diable ! >>  Vous voyez ?  Très bien.

Ainsi c'est un crime, et il y a un crime qui est quelque chose de même pire que cela.
C'est communiquer.  Etre là et communiquer, c'est impardonnable. Mais, communiquer en soi est un crime. Qu'est-ce qui est mal ? Communiquer. Et nous examinons la loi. Nous avons une chose appelée la loi, je pense que nous l'avons encore, j'ai entendu dire qu'il y avait... compris l'autre jour qu'il y avait un juge, il est installé dans une région assez retirée, je crois qu'il s'agissait du sud du Dakota, et il a règlé une affaire, sans pot-de-vin, sans se laisser influencé, sans avoir été corrompu. Il l'a règlée en se conformant aux lois de l'Etat, et non pas en obéissant à des lubies personnelles. J'ai entendu parler de ça. Je crois qu'il s'agissait d'une histoire de clés de voiture perdues, ou quelque chose comme ça. Le type avait perdu ces clés de voiture et il avait attaqué quelqu'un en justice pour qu'il les lui rende et il les a finalement récupérées. Le juge en a décidé ainsi sans détour. Bien sûr, cet exemple isolé est loin de donner toute l'image de ce qui se passe vraiment.

Cela dit, la loi dramatise cela, ainsi si vous arrivez et que vous dites exactement ce que vous avez fait, vous savez :  << Maman, j'ai coupé le cerisier avec ma petite hache. >>
  La loi dit :  << Il a communiqué. Coupez-lui  la tête. >>
  La seule façon qu'a un individu d'être tranquille vis-à-vis de la loi est de ne pas communiquer. S'il refuse simplement de communiquer et ne dit jamais rien, etc., tôt ou tard, il sera acquitté.

C'est tellement pertinent que la Grande Charte, et d'autres choses comme ça a toujours un petit aspect de cela en elle. La Constitution des  Etats-Unis et la Déclaration des droits des citoyens, par exemple, disent ceci : un homme n'est pas obligé de témoigner contre lui-même.

Donc, ici, le crime, c'est de communiquer et c'est le seul crime qui existe et vous vous demandez parfois pourquoi des gens sont désagréables envers vous. Vous allez vers eux et vous leur dites :  << Eh ! Comment vas-tu , Jo ?  Si tu ne te sens pas très bien... s'il y a quelque chose que je peux te dire, tu sais ? >>,  ou quelque chose comme ça.

Et le type répond :  <<  Grrrangprhhhhummrapnnn... >>

Et vous dites :  <<  Mais qu'est-ce que j'ai dit ?  >>,  Quest-ce que j'ai bien pu dire qui ait mis cet individu dans tous ces états ? >>  Oh ! Vous cherchez simplement trop loin. Vous avez dit, vous comprenez ? C'est ça le crime et en plus, vous avez commis un double crime, vous voyez ? Vous étiez et vous avez dit quelque chose. Impardonnable ! C'est quelque chose qu'il ne faut pas faire dans cet univers.

Ainsi, jetons un coup d'oeil sur le couple. Ici, nous pourrions avoir tout un culte érigé sur le fait qu'il ne doit pas y avoir de relations sexuelles. En d'autres mots, que c'est la chose la plus sale, la plus vicieuse et la plus pourrie, à laquelle puisse se livrer un individu. Vous savez pourquoi le sexe est un crime horrible ? Eh bien, je peux vous le dire sans le moindre trouble ou quoi que ce soit. Un individu communique de telle façon qu'il perpétue la lignée génétique et apparaisse dans l'avenir... qu'il puisse être là, dans l'avenir. N'est-ce pas quelque chose d'horrible ? Donc nous avons sacrément intérêt à couper cette ligne. Nous avons sacrément intérêt à bien la couper ! Un individu communique avec un autre individu, ce qui permettra à quelqu'un d'être là quelque part dans l'avenir. Quelqu'un sera sur la piste dans l'avenir et communiquera à partir de là, avant que vous ayez le temps de dire ouf ! Et nous ne pouvons pas mettre la main sur ce quelqu'un pour l'étrangler. Ainsi la meilleure chose à faire, c'est de couper complétement la ligne en disant :  << Le sexe, c'est mal.  >>  Donc, si nous parvenons à couper suffisammnet de lignes en ce qui concerne le sexe, si nous parvenons à réduire le sexe à néant, si nous parvenons à mettre les gens dans tous leurs états par rapport au sexe, à les faire sombrer dans l'inquiétude, si nous parvenons à persuader les jeunes qu'ils peuvent devenir fous, en se livrant à de simples actes sexuels - sans la moindre preuve soit dit en passant - alors, vous voyez, nous serons parvenus à couper cette ligne de communication, qui est la plus fondamentale de toutes. Nous aurons détruit toute la race humaine. Et ça, c'est là le but du physicien nucléaire, ce n'est pas celui de Monsieur tout le monde.

Donc, là où le sexe est désapprouvé, où il est mal mené, vous trouverez généralement une impulsion à détruire, à anéantir ou à annihiler, et non pas une impulsion à construire ou à progresser. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut immédiatement introduire le libertinage, parce que personnellement j'aime bien savoir si mes enfants sont vraiment mes enfants. Ca fait une différence.

La seule source qu'on peut considérer comme succeptible de causer des aberrations, c'est une ligne de communication coupée.
Plus les lignes sont coupées, plus la société est aberrée et plus les gens se détachent les uns des autres. LRH

mardi 27 mars 2012

SORLANDET





TROIS-MATS CARRE

Sørlandet (littéralement « Le Pays du Sud » , qui est aussi le nom d'une région de Norvège) est un navire-école trois-mâts carré.

Ce trois-mâts norvégien, financé par l'armateur Skjelbred, a commencé sa carrière à l'école de la Marine marchande norvégienne, en 1927. Il n'était pas motorisé à son origine.

Il effectua son voyage inaugural vers Oslo avec le Roi Haakon de Norvège et le prince héritier Olav à son bord. En 1933, après sa première traversée de l’Atlantique, il participa à l’exposition universelle de Chicago pour représenter la Norvège.

En 1940, saisi par l'armée allemande, il est transformé en prison militaire.

Coulé par une bombe russe dans d'obscures conditions, il fut renfloué par l'occupant pour en faire un cantonnement pour les équipages des U-Boote.

Dès la libération, sa restauration est entreprise pour un réarmement en 1947. Il reprend ses fonctions de navire-école jusqu'en 1973 où l'école de la marine s'en sépare. Il participe en 1956 à la première course de grands voiliers, entre Torbay et Lisbonne. En 1960 il est doté de moteurs, et il prend part aux prestigieuses Tall Ships' Races.

C'est le petit-fils du mécène originel Kristian Skjelbred-Knudsen qui en fait don à la ville de Kristiansand en 1977.

Après sa rénovation en 1981, le voilier-école Sørlandet accueille aujourd'hui des stagiaires de la marine marchande de toutes nationalités pour des voyages initiatiques et formateurs sur l’Atlantique Nord et en Mer du Nord.

Il accueille encore occasionnellement des cadets de la Marine royale norvégienne.

dimanche 18 mars 2012

PSYCHIATRIE AIDE OU TRAHISON ?



The_everlasting_gaze_by_shagura





PSYCHIATRIE: AIDE OU TRAHISON ?

«Lorsque les responsables de l’école disent à une mère que son enfant est malade et doit prendre des psychotropes, comment peut-elle savoir que c’est tout simplement un mensonge? Comment peut-elle reconnaître que ce que les experts appellent maintenant '' Trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité ’’ n’est tout simplement pas une maladie ? Cette mère n’est pas experte dans l’histoire de la psychiatrie. Elle ne sait pas que, depuis des centaines d’années, les psychiatres utilisent des termes de diagnostic, de prétendus termes de diagnostic, pour marquer les gens d’infamie et les contrôler. […]

ÉTIQUETER UN ENFANT COMME MALADE MENTAL, C’EST LE MARQUER DU SCEAU DE L’INFAMIE, CE N'EST PAS UN DIAGNOSTIC. DONNER À UN ENFANT UNE DROGUE PSYCHIATRIQUE, C’EST DE L’EMPOISONNEMENT, PAS UN TRAITEMENT.»


La ritaline pour enfants hyperactifs ?

A force de propagande bien ciblée, l’idée est aujourd’hui communément admise qu’un enfant très turbulent est un enfant malade. Au lieu de se réjouir de voir leur enfant plein de vitalité, les parents s’inquiètent au moindre signe d’agitation.
Ils vont alors consulter leur médecin qui, le plus souvent relégué par la toute-puissante industrie pharmaceutique au simple rôle de distributeur de médicaments, prescrira un produit appartenant à la classe des amphétamines. Ces molécules puissantes stimulent la dopamine, un neurotransmetteur impliqué dans le contrôle des fonctions motrices. Ce serait parfait si l’administration de ces molécules, sous leur forme la plus prescrite, la Ritaline – par millions de doses aux Etats-Unis – n’était suivie d’effets secondaires dévastateurs.

Une drogue sur ordonnance

Depuis près de vingt ans, un important changement est intervenu en psychiatrie avec l’arrivée massive de médicaments, et particulièrement ceux destinés aux enfants et adolescents. On sait bien que la chimie est devenue la nouvelle panacée, mais, pour un enfant à problème, il serait préférable d’être confié à un pédopsychiatre plutôt que tous ses maux soient traités par la chimie, qui fait à présent partie de notre vie quotidienne.
Il serait plus sain de parler avec ces jeunes, d’étudier les facteurs sociaux, d’essayer de comprendre leur angoisse devant un avenir pour le moins incertain, et de nous demander si les normes que nous leur imposons sont compatibles avec la vie actuelle, et si notre civilisation moderne est un bon exemple de bonheur sur notre planète bien malade.
D’après une expertise faite en 2003 par l’Inserm sans enquête épidémiologique, un enfant sur 8 souffrirait de trouble mental et 5,9 % des jeunes de 15 ans seraient atteints de “troubles de conduite”.
Pour soigner les troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité chez les enfants de plus de six ans, on leur administre de la Ritaline, un psycho-stimulant amphétaminique à base de méthylphénidate classé comme stimulant du système nerveux central.
[…]

Des risques comparables à ceux de la cocaïne

La Ritaline étant une amphétamine, ses effets sont comparables à ceux de la cocaïne et elle correspond à la définition des drogues illégales. Aussi, il est évident qu’elle génère une accoutumance, forme de toxicomanie infantile. Cette drogue sur ordonnance est tellement dangereuse que l’armée américaine refuse d’enrôler les jeunes qui ont été traités par ce médicament avant l’âge de douze ans.
La société Novartis Pharma reconnaît que ses chercheurs sont incapables de prévoir à long terme les effets de ce poison, mais on a récemment découvert qu’il provoque des tumeurs cancéreuses du foie chez les souris de laboratoire. Le Dr William Carlezon et son équipe de la Harvard Medical School ont confié au correspondant de l’Agence Reuters sur les sujets de santé que la Ritaline peut avoir un effet à très long terme sur le cerveau.
[…]
En résumé, le fabricant avoue clairement que ses chercheurs n’ont pas poussé les investigations assez loin pour garantir la sécurité d’emploi du produit, ni même son efficacité. Il ignore exactement son action sur l’homme, son risque hépatique carcinogène et son potentiel
tératogène. En vérité, il sait bien peu de choses sur un produit dont il a demandé et obtenu l’autorisation de mise sur le marché.
Et si le laboratoire fabricant n’a pas poussé ses travaux assez loin, qui le fera ? Qui peut garantir mieux que lui qu’il n’y aura pas d’effets secondaires graves ? Toutefois, il est aussi possible que ces travaux aient été faits, mais que le laboratoire préfère ne pas en ébruiter les résultats.
Si la société Novartis était parfaitement convaincue de l’innocuité de son produit, elle n’emploierait certainement pas des formules telles que “pourrait causer” ou “il n’existe aucune évidence” ou bien “on ne connaît pas exactement son action sur l’homme”. Et si l’on ignore cette action sur l’adulte, il est certain qu’on l’ignore davantage encore chez l’enfant, surtout à long terme. Aussi, comment certains médecins osent-ils affirmer que la Ritaline est un “médicament très sûr” ?
[…]
Le plus incroyable est que personne ne soit en mesure de démontrer que ce genre de médicament améliore le rendement scolaire des enfants ainsi traités. Le seul effet “bénéfique” est de permettre une gestion à court terme de l’hyperactivité – un concept qui caractérise les enfants très turbulents, souffrant de grandes difficultés de concentration et de mauvaises performances scolaires – et de faciliter la vie des parents et des enseignants plutôt que celle des enfants qui risquent, un jour, de payer très cher l’inconscience de certaines familles et des médecins. Dans son ouvrage Les Inventeurs de maladies, manœuvres et manipulations de l’industrie pharmaceutique, Jörg Blech l’appelle la “pilule d’obéissance”.
La seule chose qui soit sûre, c’est que pour l’entreprise Novartis qui produit la Ritaline, ce médicament, considéré comme incontournable, représente des bénéfices considérables.
Un médicament qui génère des profits financiers fabuleux
En France, dès 1997, les laboratoires Novartis en avaient vendu 28 127 boîtes. En 2004, le total des ventes a été multiplié par six, Novartis en ayant vendu 182 109 boîtes à 7 000 enfants français. Aujourd’hui, ils sont plus de 10 000 drogués sur ordonnance.
[…]
Il est fâcheux que la France, qui se prétend un pays de liberté et le meilleur défenseur des Droits de l’homme – bien que personne ne le croie plus –, cherche à imiter un pays [les États-Unis] qui lui aussi fut un défenseur de la Liberté, mais dans lequel cette liberté se réduit chaque jour comme une peau de chagrin. Espérons qu’elle n’y parviendra jamais.

Source votre santé:  http://votre-sante.com/news.php?dateedit=1186598474&page=0


samedi 17 mars 2012

AUSTRALIE LOI EUGENIQUE : ENFANTS STERILISES





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 Loi eugénique en Australie : enfants stérilisés sans consentement parental


 

Si vous avez déjà vu le célèbre film de 1975 « Vol au-dessus d’un nid de coucou », vous vous souvenez probablement de plusieurs scènes troublantes où les malades mentaux subissent des lobotomies du lobe frontal, ou de la scène emblématique où le personnage de l'acteur Jack Nicholson subit un électrochoc. Aujourd'hui, ces formes horribles de soi-disant traitements mentaux sont considérés comme de cruelles reliques du passé, mais un nouveau projet de loi en Australie propose que les jeunes enfants reçoivent ces traitements sans le consentement des parents et même qu’ils soient autorisés à subir des méthodes de stérilisation sans consentement parental.


Le gouvernement de la Commission de l'Australie occidentale pour la santé mentale (WAMHC) a fondamentalement fait apparaître comme par magie une proposition pour une nouvelle législation sur la santé mentale qui évite le rôle parental dans le processus de traitement de santé mentale et à la place charge les enfants mineurs et de tout âge, de prendre la décision d’être stérilisés ou non, ou d’avoir leur tissu cérébral détruit ou non par des procédures de psychochirurgie. Si un « professionnel de la santé mentale » peut convaincre les enfants qu'ils ont de tels besoins de traitements pour leur propre bien, en d'autres termes,  les plus jeunes membres de la société australienne joueront ouvertement le programme eugéniste.


Ça ressemble presque à l'intrigue d'un film de malade, mais c'est vrai et entièrement documenté dans le Mental Health Bill 2011 du WAMHC.


Les eugénistes veulent stériliser des enfants australiens sans même en parler aux parents 


Dans l'esprit tordu de ceux qui se sont emparés des positions de pouvoir du monde, séparer les enfants de leurs parents et réaliser des expériences médicales sur eux en secret est une forme parfaitement acceptable de la  ''médecine''. Et cette forme de maltraitance est exactement ce que le WAMHC a proposé dans son nouveau projet de loi de santé mentale.


Les pages 135 et 136 de la loi portent sur la question de la stérilisation, expliquant que si un psychiatre décide qu'un enfant âgé de moins de 18 ans « a suffisamment de maturité », il ou elle sera capable de consentir à la stérilisation sans le consentement parental. Cela veut dire aussi que les parents ne seront jamais avisés qu'une procédure de stérilisation a eu lieu, car seul le psychiatre en chef » sera au courant de cette information.


Cela ressemble énormément aux programmes d'euthanasie apparus en Allemagne dans les années 1930, lorsque les Nazis ont commencé secrètement la stérilisation de personnes ayant une déficience physique ou mentale dans le cadre de l’« Opération T4 ». Bien entendu, ce programme eugénique a été plus tard intensifié lorsque les médecins allemands des camps nazis de la mort ont systématiquement stérilisé des hommes, des femmes et des enfants et ensuite tué, dans le cadre totalement révoltant des expériences de nettoyage ethnique du régime Nazi.
 
« Les autorités » médicales veulent arbitrairement confier des enfants aux hôpitaux psychiatriques, les retenir indéfiniment et les forcer à subir des procédures nuisibles sur le cerveau


Pire encore, ceux qui seraient autorisés à détenir ces enfants, considérés comme « praticiens autorisés de santé mentale, » sont si vaguement définis que pratiquement tout le monde pourrait être autorisé par le psychiatre en chef à enlever les soi-disant enfants « malades mentaux » et à les interner dans des établissements psychiatriques contre leur volonté et la volonté de leurs parents.Tout cela ne fait qu'empirer, toutefois, avec un autre langage disséminé à travers le projet de loi qui permettrait aux psychiatres de détenir involontairement et indéfiniment des enfants « soupçonnés » d'avoir une maladie mentale. Et pendant leur détention, ces enfants peuvent être contraints de se conformer à des protocoles de drogues, répression, et d'isolement, ainsi qu'être forcés de subir en permanence des procédures néfastes comme la psychochirurgie ou l’électrochoc.


La commission sur la santé mentale n'accepte des commentaires sur le projet de loi que jusqu'au 9 mars 2012


Les mots employés dans le projet de loi sur la santé mentale australien 2011 sont vraiment horribles, mais pas forcément surprenants. Des efforts similaires pour saper l'autorité parentale se déroulent aux États-Unis et partout dans le monde.

Le gouverneur de Californie Jerry Brown, par exemple, a récemment signé au sénat la loi 499, qui permet aux enfants dès l'âge de 12 ans de se faire vacciner contre le virus du papillome humain (VPH) Gardasil, contre l'hépatite B et de se faire injecter divers autres vaccins contre les maladies sexuellement transmissibles (MST) sans le consentement des parent.

Q - We Are The Plan