dimanche 16 octobre 2011

MES LE NOUVEAU DICTATEUR EUROPEEN


Qu'y a-t-il de spécial dans ce traité du MES? Les Ministres des Finances auront un travail à temps partiel comme Gouverneur du MES. Les parlements nationaux n'auront aucune autorité sur ces ministres lorsqu'ils agissent en tant que Gouverneurs. Dans cette fonction ils disposeront librement des Caisses de l'État. Un droit de véto pour les parlements nationaux n'est pas prévu. Ratifier ce traité, c'est la mort des démocraties souveraines de la zone euro.

TINTIN ET LE SECRET DE LA LICORNE DE SPIELBERG


LE SECRET DE LA LICORNE

Tintin et le Secret de la Licorne sortira le 26 Octobre 2011 en France. En attendant, le buzz autour du film frémit gentiment de plus en plus...

Après deux premiers trailers bien énigmatiques, Steven Spielberg dévoile enfin une bande-annonce consistante où l'on découvre vraiment le résultat de son adaptation de la célèbre bande-dessinée d'Hergé.

Contrairement aux dernières adaptations d'Astérix avec Gérard Depardieu, Christian Clavier ou Clovis Cornillac, les aventures de Tintin ont été adaptées totalement en image de synthèse grâce à la technologie motion capture. Un résultat il faut l'avouer bluffant ! En même temps, avec un budget de 135 millions de dollars...

Et pour donner voix aux personnages, Jamie Bell (l'ancien Billy Elliot) a été choisi pour incarner Tintin, Andy Serkis le Capitaine Haddock, Daniel Craig le cruel Rackham le Rouge et Gad Elmaleh... Ben Salaad !

Steven Spielberg photos

Steven Spielberg

Biographie

Steven Allan Spielberg est un cinéaste et producteur de cinéma américain. Il est le Fondateur de la société de production Amblin, le cofondateur du studio DreamWorks SKG et le fondateur de la Shoah Foundation Institute for Visual History and Education. Steven Spielberg a à son actif des films notables comme Les Dents de la mer, Rencontres du troisième type, Les, Aventuriers de l'Arche Perdue, E.T. l'extra-terrestre, Indiana Jones et le Temple Maudit, La Couleur pourpre, Indiana Jones et la Dernière Croisade, Jurassic Park, Il faut sauver le soldat Ryan, A.I. Intelligence artificielle ou Munich. Tout au long de sa carrière il a reçu de nombreux prix dont 3 Oscars et 5 Golden Globes.

points forts :  Ses films sont adorés du grand public



vendredi 14 octobre 2011

HALLOWEN



THIS HALLOWEN





Halloween tire son origine d’une fête celtique, la Samain (Samhuin), qui marquait le1er jour de l’année celtique. Celle-ci était divisée en 2 cycles de 6 mois. La Samain se célébrait le 1er novembre. Mais les Celtes comptaient en nuits et non en jours, de sorte que la célébration devait commencer le 31 octobre au soir. D’après leur philosophie, l’être est issu du non être, et la lumière naît des ténèbres, ce qui explique aussi pourquoi l’année celtique commençait par l’hiver.
 

mardi 11 octobre 2011

LE DOSSIER ROCKFELLER 3 EME ET DERNIERE PARTIE

« Quelqu’un un jour a dit que 60 familles ont dirigé les destinées de cette nation. Nous devrions aussi dire que si quelqu’un voulait concentrer les feux de la rampe sur 25 personnes qui contrôlent les finances de la nation, nous aurions face a nous les véritables faiseurs de guerres du monde. »
- Henry Ford (interview New York Times, 1938) –

( Il est dit  aujourd'hui, que seul 10 personnes contrôlent la planète et l'homo sapiens!  P.A.D )


Dossier Rockfeller 1 ere partie : 
http://doriot-univers.blogspot.com/2011/09/rockfeller-file-1ere-partie.html





USA Fed.Familles


Chapitre 10

Le plan de jeu des Rockefeller est d’utiliser le contrôle de la population, de la production alimentaire et de l’énergie comme méthode de contrôle des gens et des nations, ce qui mènera immanquablement à la grande fusion. Le gros du travail de sape pour établir cette stratégie est effectué par Henry Kissinger, qui fut un enployé personnel de Nelson Rockefeller pendant plus de dix ans avant que celui-ci ne le place dans le gouvernment Nixon. En de nombreuses occasions Herr Kissinger a déclaré que son but était de créer un “Nouvel Ordre Mondial” (NdT: chose qu’il réitéra à Wall Street en 2009 au début de la crise). A ce sujet, le journaliste Paul Scott révèle:

“Kissinger croit, selon ses aides de camps, qu’en contrôlant l’alimentaire, on eut contrôler les peuples, en contrôlant l’énergie, spécifiquement le pétrole, on peut contrôler les nations et leur système financier. En plaçant la nourriture et le pétrole ainsi que le système monétaire mondial sous contrôle international, Kissinger est convaincu qu’une première mouture de gouvernement mondial opérant sous les auspices de l’ONU peut devenir une realité avant 1980.”… De manière évidente, le plan est de s’emparer des biens d’autrui et de les placer sous le parapluie protecteur d’un gouvernement mondial contrôlé par les Rockefeller.

Cette nouvelle stratégie pourrait être appellée la “route de la crise” vers le Nouvel Ordre Mondial. (NdT: si la date de 1980 pour une première mouture ne fut pas respectée, observons la “route de la crise” depuis et son emballement aujourd’hui, surtout depuis l’évènement catalyseur nécessaire du 11 Septembre 2001…)…

Le plan, tel qu’il fut publiquement annoncé par le membre du CFR Richard Gardner, fonctionnaire à temps partiel du département d’état et professeur de droit et d’organisations internationales à l’université de Columbia, explique qu’au lieu d’essayer de faire de l’ONU une dictature mondiale complète dès le départ, l’establishment identifiera des problèmes dans différents pays. Ensuite ils proposeront des “solutions”, qui ne pourront être réalisées que par une sorte d’agence internationale, de façon que chaque pays concerné soit obliger de soumettre segment après segment son indépendance nationale[...]

[...] Mais si plus de nations parvenaient à l’indépendance alimentaire, le terreau pour une gouvernance mondiale disparaîtrait. Pour que les Rockefellers puissent créer leur Nouvel Ordre Mondial, ils doivent d’abord créer les famines et entretenir la peur de plus de souffrance. Tout ce dont on a besoin pour créer une famine est de mettre l’agriculture sous le contrôle d’une bureaucratie gouvernementale, et d’attendre un peu. Plus grosse est la bureaucratie et moins il faut attendre de plus une bureaucratie internationale est le nec plus ultra pour produire de la corruption et du blocage administratif au lieu de blé.

Entremêlée avec le contrôle alimentaire est la poussée pour plus de contrôle des populations. La gestion de la population (NdT: par la doctrine néo-malthusienne mâtinée de darwinisme-social) est un outil important pour construire le filet qui amènera les petits poissons vers le Nouvel Ordre Mondial. “L’explosion démographique” réelle ou totalement imaginée, est utilisée en parallèle avec les problèmes alimentaires, énergétiques et de change international afin d’imposer Big Brother[...]

[...] Pour les Rockefeller le socialisme n’est pas un sytème de redistribution de la richesse et spécifiquement pas de la leur, mais un système de contrôle des populations et de la concurrence. Le socialisme met le pouvoir aux mains du gouvernement et parce que les Rockefeller contrôlent le gouvernement, contrôle par le gouvernement veut en fait dire, contrôle par les Rockefeller. Vous ne le saviez peut-être pas… Mais vous pouvez être sûr qu’eux le savent ! [...]

Chapitre 11

[...] Il y a encore cinq ans de cela (NdT: 1970-71), pas une personne sur mille n’avait entendu le mot “écologie”; mais d’un seul coup d’un seul, nous sommes tous supposés paniquer à l’idée de la polution qui nous étouffe dans notre sommeil.

Les sources de financement de ce “mouvement spontané” furent les divers fondations Rockefeller, la fondation Carnegie, contrôlée par les Rockefeller et les fondations impliquées avec les Rockefeller comme celles de Mellon (Gulf Oil). Parmi les promoteurs publics les plus fervents du mouvement furent enrôlés Robert O. Anderson de Richfield Atlantic Oil (et membre du CFR) et Henry Ford le second de la compagnie Ford Motor (et membre du CFR). La tirelire principale du mouvement écologiste a été la fondation Ford (NdT: dont aujourd’hui Michelle Obama et sa mère sont de purs produits), dont pratiquement tous les trustees sont membres du CFR des Rockefeller. La fondation a littéralement déversée des millions de dollars (NdT: et continue à le faire aujourd’hui avec le renfort des néo-eugénistes des fondations Gates et Turner) pour développer des plans de contrôle de la population et de l’environnement de toute sorte[...]

[...] Le fond des frères Rockefeller, la fondation Rockefeller et le fond de la famille Rockefeller contribuent lourdement à la révolution environementaliste de laquelle la Standard Oil (NdT: mainenant Exxon-Mobil) profite très largement en pouvant mener les prix du pétrole en orbite[...]

[...] L’Aspen Institute (of Humanistic Studies) est lourdement financé par le fond des frères Rockefeller, nous espérons que cela ne choque pas trop; les Rockefeller ne sont pas les seuls intérêts pétroliers à financer le mouvemement écologique anti-pétrole. De gros donateurs ont été la fondation Gulf Oil, le trust de charité de la compagnie Humble, la fondation Mobil et la fondation de l’union pétrolière de Californie. Toutes ces entités étant bien sûr soit contrôlées soit en affaire avec les Rockefeller au travers du CFR[...]

[...] Les crises créées dans les domaines de l’énergie, de l’alimentation et de la population sont des leurres, créés de l’intérieur de façon à ce qu’elles puissent être “résolues” et qu’un “Nouvel Ordre Mondial” puisse être établi (NdT: le terme “New World Order” est ici utilisé par Gary Allen dans ce livre ecrit en 1975 et publié en 1976. Ce terme fut déjà utilisé par l’écrivain H.G. Wells pour le titre d’un de ses ouvrages publié en Janvier 1940…). Oui, les crises sont un grand élément fédérateur[...]

[...] Si le peuple américain avale les couleuvres de a propagande inspirée et financée par la famille Rockefeller, la prédiction d’une apocalypse faite de dépression économique et de famine deviendra une prophétie s’auto-réalisant. Si nous pouvons être réduits à l’état de panique au point de soumettre notre liberté au nom de notre survie, alors la dictature socialiste-fasciste du Nouvel Ordre Mondial des Rockefeller deviendra une réalité.

Chapitre 12

Quand John D. Rockefeller fut proche de monopoliser l’industrie du raffinement pétrolier, une de ses tactiques favorites et des plus efficaces était de capturer la concurrence depuis l’intérieur. Il plaçait ses hommes de main dans les bureaux de sa concurrence, ou soudoyait les employés des autres compagnies pour accomplir ses volontés.

Les descendants de John D. jouent maintenant le même jeu avec notre gouvernement. Cela ne fait absolument aucune différence quel parti est au pouvoir, que ce soit un gouvernement républicain ou démocrate, les gens des Rockefeller tiennent les positions clefs, spécifiquement dans les domaines de la politique étrangère et de la finance. La maison Rockefeller est le pouvoir éternel derrière le trône.

L’influence des Rockefeller sur la Maison Blanche a commencé en 1894 avec l’élection de William MacKinley; mais ce ne fut pas avant l’élection de Franklin Delano Roosevelt à la Maison Blanche qu’ils ne furent en position décisive de pouvoir déterminer la politique. Ce bien des façons, le New Deal de Roosevelt était une nouvelle donne de Rockefeller[...]

[...] Les Rockefeller ont fait du secrétariat au trésor (NdT: ministère des finances en France) une succursale virtuelle de la Chase Manhattan Bank…

Alors que le poste de secrétaire d’état au trésor (NdT: ministres des finances et du budget chez nous) est une position importante, celui de directeur du comité de la réserve fédérale l’est bien plus. La Réserve Fédérale est un mystère enrobé d’énigme pour la vaste majorité des Américains. Nánmoins, elle est essentielle et critique pour les manipulations économiques des Rockefeller. La famille fut instrumentale à créer ce sytème de Réserve Fédérale. Elle fut créée en 1910 au cours d’une réunion secrète sur l’île de Jekyll au large des côtes de Georgie, comme admit plusieurs annés plus tard par l’agent des Rockefeller Frank Vanderlip dans ses mémoires…

De cette réunion de l’île Jekyll naquît le rapport de la commission monétaire dont s’inspira la loi Aldrich, qui créa la réserve fédérale.

Le parti républicain étant vu comme étant trop associé aux intérêts de Wall Street, les conspirateurs décidèrent de faire promouvoir la loi par les démocrates comme un moyen de limiter la puissance de Wall Street !

La loi fut passée au congrès américain le 22 Décembre 1913, juste avant l’interruption de Noël.

Après le vote, Charles Lindbergh Sr, le père du célèbre aviateur, déclara au congrès:

“Cette loi établit le plus grand cartel banquier sur terre. Quand le président signera cette loi, le gouvernement invisible de la puissance de l’argent, dont l’existence est prouvée par l’enquête sur les trusts monétaires, sera légalisé. Voilà ce qu’est la loi Aldrich sous son déguisement… Cette nouvelle loi permettra au cartel banquier de créer de l’inflation quand ce mème cartel le jugera nécessaire pour ses intértêts…”

La loi sur la réserve fédérale était et est toujours vue hier et aujourd’hui, comme une grande victoire de la “démocratie” sur le “cartel de l’argent”. Rien ne peut être plus loin de la réalité. Le concept même du système des banques centrales fut inventé par ceux à qui on voulait retirer le pouvoir financier.

Quel est le degré de puisance de notre “banque centrale” ? Elle contrôle notre volume monétaire est les taux d’intérêts et manipule de la sorte toute l’économie, créant à volonté de l’inflation, de la déflation, des récessions ou des boums économiques; elle peut aussi influer grandement et à volonté sur le marché boursier. La réserve fédérale est si puissante que le parlementaire Wright Patman, président du comité parlementaire des finances affirme:

“Aujourd’hui aux Etats-Unis, nous avons deux gouvernements de facto, nous avons le gouvernement dûment constitué et nous avons un gouvernement indépendant, incontrôlé et incoordonné avec l’entité de la réserve fédérale, qui possède le pouvoir de créer la monnaie alors que celui-ci est réservé au congrès de par la constitution.”

A cet effet, la réserve fédérale gouverne les présidents, les parlementaires et les ministres des finances[...]

[...] Sous la brillante expertise des gérants monétaires agents des Rockefeller et du CFR, le dollar a perdu les trois-quarts de son pouvoir d’achat depuis 1940. (NdT: et bien plus depuis 1976…). La vitesse de dépréciation s’accélère. Bientôt votre dollar papier, complètement détaché de quelque valeur or ou argent que ce soit par les bons soins des agents Rockefeller, ne vaudra plus le papier sur lequel il est imprimé (NdT: n’est pas imprimé devrait-on mème dire aujourd’hui, puisque la masse de l’argent est une masse virtuelle qui n’existe pas et n’existera jamais, elle n’est qu’une illusion créée sur des écrans ordinateurs…). Ceci ne présente pas de problèmes pour les Rockefeller qui ne doivent pas vivre sur un revenu ou une pension de retraite fixes.

L’Amérique d’aujourd’hui est programmée pour une autre débâcle du style de 1929 (NdT: écrit en 1976… visionnaire, pas tant que cela car si prévisible…)[...]

[...] Les Rockefeller aiguisent maintenant leurs tondeuses à moutons et vont passer le monde à une nouvelle tonte. Cette fois-ci sera sans doute la dernière. En 1929, l’Amérique était loin d’un système de gouvernement total. La prochaine dépression sera utilisée comme prétexte pour l’établissement de contrôles socio-fascistes dans le pays et d’un super état mondial de manière internationale.

De la même façon que les Rockefeller utilise la banque Export-Import comme d’un outil pour piller le capital et pour seuvrer l’économie américaine de crédit ainsi que ses citoyens sur-impôsés, ils utiliseront la Banque Mondiale des Nations-Unies (NdT: et le FMI) comme un autre moyen de siphoner dans le porte-feuille du contribuable états-unien.

EPILOGUE

[...] Nous avons montré que la maison Rockefeller vaut des milliards de dollars et possède un moyen de levier sur ses centaines de millairds de plus au travers de son influence sur les mega-banques, les institutions financières, la production manufacturière et pétrolière. La famille a utilisé des fondations et leurs réseaux pour préserver et faire multiplier sa richesse ansi que pour façonner l’opinion publique par le biais de l’éducation, des médias et de la religion. A travers le Conseil en Relations Etrangères (CFR), elle a augmenté son influence sur le gouvernement, la réserve fédérale, la communication et l’éducation. Une soif sans fin, quasi psychopathique pour le pouvoir monopoliste, a motivé trois générations de Rockefeller. Parce que les Etats-Unis sont un pays de grande taille, diversifié et une nation décentralisée, cela a pris à la famille cent ans pour bâtir l’échaffaudage qui étranglerait finalement la liberté. Maintenant elle est prête à nous mettre la corde au cou et à tirer le levier de la trappe.

La question est: Pourra t’on couper la corde avant que les Rockefeller ovrent la trappe ? La réponse la plus honnête et la plus réaliste est celle-ci: peut-être…

[...] La résistance au Nouvel Ordre Mondial des Rockefeller demande la même motivation et les mêmes efforts que cela a pris pour vaincre Hitler. Heureusement, cela ne devrait pas demander le même sacrifice en vies humaines que d’autres guerres ont causé, si en fait le temps, l’argent et l’effort de le faire sont faits maintenant, avant que la dernière résistance possible ne se fasse de derrière des clôtures de fils de fer barbelés.

Ce livre n’a pas été écrit pour vous distraire ou simplement vous informer, ni même pour vous faire peur. Il a été écrit pour donner une épée aiguisée qui pourra couper la corde que le bourreau nous passera autour du cou. Nous l’avons publié. Le reste est de votre ressort. Si vous ne faites rien de cette connaissance, les Rockefeller eux seront sans pitié.


Toute reproduction autorisée sous réserve de citer : http://doriot-univers.blogspot.com

dimanche 9 octobre 2011

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A L 'AUBE DU TROISIEME MILLENAIRE


QUI GENERE L' IMMIGRATION ET LE TERRORISME ?
Par Adriana Evangeliz


Quand l’Occident perd la mémoire...







Les deux fléaux contre lesquels nos gouvernements ont décidé de lutter avec acharnement et sans répit sont l’Immigration et le Terrorisme. Il est clair et net que l’un comme l’autre sont les créations de ceux-là même qui nous gouvernent.

L’article "L’attrait naturel des richesses" de Ahmed Zaki, en dit long sur la mentalité occidentale dont la courte mémoire n’est pas le moindre des défauts. Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet, oui beaucoup. La Gaule, par exemple, jusqu’en l’An 1000 de notre ère était incapable de construire quoi que ce soit qui ressemblat à un édifice représentatif de sa culture. Une horde de barbares venant de diverses contrées de l’Est ou du Nord, livrés à eux-mêmes et s’entretuant entre eux. Il a fallu que les premiers croisés partent en Orient pour y découvrir tant les chiffres arabes que les raffinements d’une civilisation qui ne leur avaient même pas effleuré l’esprit tellement ils étaient incultes et ignorants des autres peuples beaucoup plus évolués qu’eux de par le monde.

Les premières cathédrales dignes de ce nom ne purent être construites que grâce à l’apport de l’architecture orientale. Mais dès le départ, au lieu de respecter l’autre dans son propre pays, les seigneurs de guerre occidentaux pratiquèrent le pillage et s’emparèrent, sans états d’âme, de ce qui ne leur appartenait pas, massacrant les peuples civilisateurs et les forçant à adopter des croyances qui n’étaient pas les leurs. Les pays Arabes et d’Afrique portent à jamais les stigmates de ce brigandage colonisateur. Prendre, toujours prendre et ne rien donner en échange si ce n’est le malheur, les drames et les larmes.

Mille ans ont passé mais rien n’a changé. Les populations exsangues tant africaines que du Maghreb ne connaissent que famine et misère tandis que leurs gouvernants corrompus par les élites occidentales remplissent bien leur panse et leurs coffres en se foutant pas mal de la misère du Peuple. Et les Peuples affamés rêvent... ils rêvent de cet eldorado de France et d’ailleurs où les gens sont sensés pouvoir manger à leur faim. Ils n’ignorent pas non plus que si l’Occident est riche aujourd’hui c’est parce qu’il les a pillés, eux hier, en les laissant démunis de tout mais surtout de l’essentiel. Car le boire et le manger ne sont-ils pas les deux premières nécessités auxquelles l’Être humain ne peut se soustraire sans y laisser la vie ?

Alors quoi de plus normal que de vouloir chercher ailleurs ce que l’on n’a plus chez soi parce que des impudents sans conscience et sans coeur vous ont tout volé ? Pourquoi ne pas se dire après tout "J’ai bien le droit moi aussi d’essayer de vivre comme ceux qui n’ont pas eu honte de s’enrichir sur notre dos ?" mais l’oubli est une denrée récurrente chez les élites qui nous dirigent. Pour remercier les populations spolliées, on leur contruit des barrières, des frontières, des murs électrifiés ou bardées de sentinelles armées pour les empêcher d’échapper à leur fatal destin tracé par ceux-là mêmes qui continuent de les traiter en quantités négligeables. Voilà le monde où nous vivons... en se repaissant de lois où il est écrit"Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit", nos dictateurs de conscience nous abreuvent de mots dont ils ont oublié le sens profond, s’ils ne l’ont jamais su d’ailleurs. D’autant qu’aux alentours de 1789, ces beaux principes furent aussi véhiculés outre-atlantique et que ce sont nos frères indiens qui firent les frais de cette belle rhétorique...

A l’aube du troisième millénaire, les teneurs de rênes de notre planète nous ont inventé deux fléaux terribles : l’Immigration et le Terrorisme. Mais leur courte vue, leurs calculs mesquins et leur inextinguible soif de Pouvoir leur font oublier qu’ils sont eux-mêmes les créateurs de ces calamités. Il est un proverbe bien français qui dit : "Ventre affamé n’a point d’oreille"... Pouvons-nous penser que les gens bien nourris aient envie de quitter leur pays ? Lorsque l’on accule les gens à la misère, n’est-il pas légitime qu’ils aillent chercher ailleurs ce qu’ils n’ont pas chez eux ? Nos dirigeants manqueraient-ils d’intelligence au point de ne pas comprendre que la misère est génératrice d’un lot incalculables de soit-disants méfaits ? C’est sans compter les guerres perpétrées dans certaines contrées sous de fallacieux prétextes mais dont le but principal est encore et toujours la spolliation et la colonisation. Qui ne rêve pas de s’évader de sa contrée lorsqu’elle est envahie par des armées étrangères ? Quelles solutions ont les irakiens ou les palestiniens, par exemple ? Nous n’en voyons que trois : la soumission, l’évasion ou la rébellion. Or l’évasion se traduit par l’immigration et la rébellion par "le terrorisme". L’une étant sévèrement réprimée et l’autre impitoyablement condamnée.

Nous nous trouvons-là dans une situation anachronique où les opprimés se trouvent criminalisés parce qu’ils défendent leurs droits les plus élémentaires. Ils seraient peut-être grand temps d’ouvrir les yeux sur ce que sont en train d’instaurer les individus régnant sur notre monde. En aucun cas, le vrai criminel ne peut être le Peuple qui demande simplement à manger à sa faim ou celui qui cherche à se débarrasser d’un occupant vampire.

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De: Pierre-André Doriot

samedi 8 octobre 2011

F1 GRAND PRIX DU JAPON



 F1 2011 – Japon, classement qualifications : la pole pour Sebastian Vettel


Sebastian Vettel a décroché une nouvelle fois la pole position ce samedi , la douzième de la saison pour l’allemand, sur le circuit de Suzuka à l’occasion du Grand Prix du Japon.
Le pilote Red Bull s’impose un souffle devant la McLaren de Jenson Button qui avait pourtant dominé le début du week-end. Derrière les deux hommes on retrouve l’autre McLaren de Lewis Hamilton.


Les deux Ferrari de Felipe Massa et Fernando Alonso complètent le top 5. Suivent Mark Webber, Schumacher, Senna, Petrov et Kobayashi.



Photo: Ferrari / Ercole Colombo




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LOMBORGHINI




Lamborghini est un constructeur automobile, anciennement constructeur de tracteurs agricoles, installé à Sant'Agata Bolognese en Italie. Fondée en 1951 par l'industriel Ferruccio Lamborghini, l'entreprise se destine à répondre à une demande croissante de tracteurs agricoles en Italie. Rapidement, Lamborghini devient le 3e industriel fabricant de tracteurs en Italie, derrière Fiat et Ferguson.


 
Ayant fait fortune en à peine dix ans, Ferruccio Lamborghini décide alors d'assouvir sa passion pour les « belles mécaniques » et les GT italiennes. Désireux de produire des automobiles plus performantes, plus sophistiquées et plus fiables que les Ferrari et Maserati, il fonde, le 30 octobre 1963, la firme Automobili Lamborghini spécialisée dans la production de voitures sportives de prestige.



En 1971, la société de construction de matériel agricole Trattori Lamborghini est vendue au groupe Same Deutz-Fahr Group, Lamborghini se consacrant alors uniquement à la conception d'automobiles. De nombreuses entreprises vont acquérir la firme italienne jusqu'en 1998, date à laquelle Lamborghini est repris par Audi — et appartient par conséquent au groupe Volkswagen —, le propriétaire actuel.



Malgré l'absence de références à la compétition, les Lamborghini — de la 350 GT à l' Aventador — ont réussi à se hisser aux côtés des automobiles d'exception. Fort du génie du carrossier Nuccio Bertone et du talent de l'artiste Marcello Gandini, les Lamborghini ont fait preuve « d'un esprit avant-gardiste, d'une grande capacité d'innovation et d'un design d'exception »


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mercredi 5 octobre 2011

LE DOSSIER ROCKFELLER 2 EME PARTIE



= = Suite de notre traduction en trois parties de larges extraits du livre de Gary Allen « The Rockefeller File » = =


Chapitre 5

[...] Les Rockefeller ont maîtrisé à un point terrifiant l’art d’utiliser la puissance économique afin de bâtir une puissance politique qui va renforcer encore plus avant leur pouvoir économique et ainsi de suite, ad infinitum[...]

[...] La pierre angulaire de l’establishment Rockefeller est le Council on Foreign Relation (CFR). Le leadership du CFR est l’équivalent du cerveau de la pieuvre. David Rockefeller est le président du comité directeur (NdT: en 1975-1976, il est président honoraire aujourd’hui)…

Le CFR est basé à New York et est composé d’environ 1600 “initiés” au faîte des affaires de la nation dans les domaines de la haute finance, de la politique, de l’éducation supérieure, du commerce, des fondations et des médias audio-visuels et écrits… Pendant ses cinquante premières années d’existence, le CFR ne fut pratiquement jamais mentionné par les grands de la presse nationale. Mais quand vous réalisez que le CFR a pour membres les top exécutifs du New York Times, du Washington Post, du Los Angeles Times, de Time, Life, Fortune, Business Week, et des chaînes NBC, CBS (NdT: CNN, Fox News, MSNBC etc n’existaient pas dans les années 70… Ils ont rejoint le club depuis…) et bien d’autres, vous pouvez être certain qu’une telle anonymité n’est pas une coïncidence et qu’elle est parfaitement délibérée… Anticipant de manière évidente une attention publique grandissante au sujet du CFR, le New York Times et le New York magazine se fendirent de deux articles. La stratégie était d’admettre que le CFR avait de longue date agit en super-gouvernement non élu des Etats-Unis, mais de maintenir la ligne que cela avait été fait de manière altruiste, idéaliste et par dévotion abnégatoire envers le bien public. (NdT: ceci se passa de la même façon pour le groupe Bilderberg, dont l’existence même était niée il y a encore une dizaine d’année et le fait de le mentionner n’amenait que le déni et l’accusation d’élucubrations conspirationnistes. Aujourd’hui, la presse de masse est obligée d’en parler car le groupe ne peut plus avancer caché)[...]

[...] De fait, le CFR a servi d’agence pour l’emploi virtuelle pour le gouvernement fédéral, à la fois républicain ou démocrate. Dans son article du New York Times, Anthony Lukas observa: “Tout le monde sait comment fonctionne la fraternité de groupe pour gravir les échelons de la vie. Si vous voulez être dans la politique étrangère, il n’y a pas de meilleure fraternité que le Council on Foreign Relation et il faut en faire partie…” [...]

[...] Qu’essaient de faire les Rockefeller avec leur CFR ?
Pour la première fois dans l’histoire, nous avons un membre du CFR qui est prêt à parler contre l’organisation.

Il s’appelle Chester Ward et est un Amiral en retraite de la marine américaine, qui est devenu l’avocat général du tribunal militaire de la marine. Alors qu’il gravissait les échelons du succès au sein de la marine, il fut invité à rejoindre le “prestigieux” CFR. L’establishment anticipa le fait que comme beaucoup d’autres avant lui, l’Amiral Ward succomberait à la flatterie d’être invité dans le sein des saints du sanctuaire de l’establishment et qu’en faisant appel subtilement à son ambition personnelle, il resterait gentillement dans la ligne de conduite. Les “initiés” sous-estimèrent grandement la dureté de caractère de l’amiral Ward. Il devint très vite un opposant très vocal de l’organisation. L’amiral déclara:

“L’objectif de la majorité influente des membres du CFR n’a pas changé depuis depuis sa création en 1922 il y a donc plus de 50 ans. Dans le numéro du cinquantenaire de Foreign Affairs (la publication officielle du CFR), le premier article directeur était écrit par le membre du CFR Kingman Brewster Jr et intitulé “Réflexions sur notre but national”. Il ne se découragea pas et le nomma expressément comme suit: notre but national devrait être l’abolition de notre nationalité. Il déballa tous les arguments pour un gouvernement global…”

Si le CFR de la famille Rockefeller a “pour passion de renier la souveraineté” des Etats-Unis, a qui donc sommes-nous supposés la rendre ?
L’amiral Ward répond que le but est de “submerger la souveraineté et l’indépendance nationales dans un tout-puissant gouvernement mondial; et en accord avec l’amiral, environ 95% des 1600  membres du CFR sont au courant que cela est le véritable but du conseil, et ils soutiennent tous ce but ! [...]

[...] un des plus grands dangers pour les internationalistes du CFR est la peur que sufisamment de citoyens américains comprennent finalement ce qu’ils sont en train de faire et que dans la bonne vieille tradition d’un électorat en colère, ils “balancent les rats hors du navire”. Face a la possibilité qu’une centaine de mini-nations au sein du pays ne vous boudent, ou pire, que les citoyens du pays ne deviennent clairvoyants et sages concernant le plan de jeu que vous leur avez préparé, que feriez-vous ?
La réponse fut évidente pour les Rockefellers depuis plus de cinquante ans: vous créez un gouvernement mondial que vous contrôlez et vous avez ce gouvernement à la tète de tous les autres.

Ceci a été le plan établi depuis au moins les 54 dernières années (NdT: 1922, année de la création du CFR…) et depuis que papy pétrodollars lui-même donna de l’argent pour construire la Ligue des Nations à Genève[...]

[...] Un tel “Nouvel Ordre Mondial” de manière emphatique, ne veut pas dire une société rendue impotente débattant de sujets avec le CFR. Non, cela veut dire un régime international qui contrôle les armées du monde, les armes, les cours de justice, les collecteurs d’impôts (NdT: dont par exemple la fameuse inepte taxe carbone fait partie intégrante. Le but est de la payer directement au cartel banquier qui sera en contrôle du gouvernement mondial), les écoles, les gouvernements locaux et tout le reste[...]

[...] Le “Nouvel Ordre Mondial” planifié par les Rockefeller sera une dictature globale. Les conservateurs l’appelleront socialisme ou communisme; les gens de gauche l’appelleront fascisme. L’étiquette ne fait absolument aucune différence. Ce sera l’archipel du Goulag à l’échelle planétaire.

Bien sûr les promoteurs d’un tel gouvernement mondial déguisent leurs intentions derrière toute une série de propos à double sens. A titre d’exemple voici comment le sénateur Alan Cranston de Californie (qui fut pendant de nombreuses années le président de la dépendance des Rockefeller: United World Federalists), défendît la proposition d’un super-état:

“La proposition 64 de gouvernement mondial ne dit pas que nous devrons abandonner notre souveraineté. Elle propose simplement des moyens par lesquels nous pourrons exercer au mieux notre souveraineté impotente sur des choses vitales comme par exemple la prévention de la guerre. Elle propose que nous créions un gouvernement mondial limité et que nous y déposions notre souveraineté…” En clair, nous n’abandonnons rien, mais nous “déposons”, Orwell appelait cela la novlangue[...]

[...] Même Nelson Rockefeller (NdT: vice président du président Gérald Ford, qui était en fonction au moment de la publication de ce livre, juste avant l’élection de Jimmy Carter, qui lui aussi s’entourera de membres du CFR et de la commission trilatérale également créée par Rockefeller…) sait que la révolution américaine fut une protestion contre exactement la sorte de pouvoir centralisé dont il se fait l’avocat. L’empire britannique était le gouvernement mondial de l’époque. Nos pères fondateurs ne voulaient pas être inter-dépendants, ils voulaient être indépendants. Ils étaient d’accord de payer le prix pour cette indépendance, dans la même monnaie que tout homme libre doit toujours payer: en sang et en or.

Chapitre 6

[...] “De manière toute aussi important est l’influence du CFR sur les médias… Le CFR contrôle ou possède les journaux principaux, les magazines ainsi que les réseaux de radio et de télévision…” Amiral Chester Ward (CFR et amiral en retraite)

Les Rockefellers comme nous l’avons vu ne sont pas de ceux qui laissent l’opinion publique se forger par chance. C’est pourquoi ils ont aussi investi leur argent charitable si judicieusement dans les filières de l’éducation et de la religion. Il serait d’une grande naïveté d’assumer que la famille ne puisse pas exercer toute influence subtile ou moins subtile sur les médias de masse de la nation[...]

[...] Les Rockefellers se sont assurés que les faiseurs d’opinion et les preneurs de décision du domaine des médias et de la presse ont été proprement introduits et initiés dans leur loge du CFR[...]

[...] Feu Arthur Hays Sulzberger, chairman du comité directeur du New York Times (NdT: à cette période), était membre du CFR et aujourd’hui (NdT: en 1975-76, c’est pire aujourd’hui !), il y a au moins 11 personnes ayant de hautes fonctions au sein du New York Times qui sont membres du CFR[...]

[...] L’implication des Rockefeller dans les médias est multiple. Principalement, les plans du gang Rockefeller pour créer un gouvernement mondial monopoliste ne sont jamais, au grand jamais, discutés au sein de la grande machine de désinformation. Les médias décident ce dont on parlera dans le pays. Nous avons dans ce pays ce que le journaliste Kevin Phillips a appelé une “médiacratie”.

Une médiacratie peut s’occuper de quelqu’un comme Ralph Nader et en faire un héro populaire instantané; ou ils peuvent prendre un ennemi des Rockefeller et en créer une image telle qu’il apparaît comme un crétin, un bouffon, un bigot ou un paranoïaque dangereux[...]

[...] Les faiseurs d’opinion de Madison avenue, le think tank de la Rand Corporation ou de l’Institut Hudson, peuvent manipuler et de fait manipulent l’opinion publique. Les élitistes de l’establishment appellent cela “le façonage du consentement”, ce qui veut dire que nous sommes manipuler à croire les mottos que nous ajustons sur les bracelets de nos poignets. Les techniques développées par le Thought Trust des Rockefellers viennent juste d’être adoptées et plus brutalement mises en œuvre par les communistes. Avec l’argent, les Rockefeller ont acquis les médias et leur contrôle; avec les médias, la famille a conquis l’opinion publique. Avec le contrôle de l’opinion publique, elle a gagné la politique et avec le contrôle du paradigme politique, elle a pris le contrôle de la nation[...]

Chapitre 7

“Nous aurons un gouvernement mondial que vous le vouliez ou non, le tout est de savoir si ce sera par conquête ou par consentement.”

(James Warburg, membre du CFR, déclaration faite à l’occasion d’un témoignage devant le comité sénatorial des relations étrangères le 17 Février 1950)

[...] Une liste complète de toutes les organisations, mouvements, publications et programmes soutenant l’idée d’un gouvernement mondial, qui a leur tour sont gérés par l’axe Rockefeller-CFR de derrière le rideau, serait du volume d’un livre aussi volumineux que l’annuaire de téléphone de Los Angelès. De manière évidente nous ne pouvons mentionner ici qu’un petit nombre des éléments de la piste Rockefeller vers le gouvernement mondial.

Certainement le chemin le plus visible vers le gouvernement mondial est celui qui passe par l’organisation créée en 1945 par les rockefeller avec justement ce but: L’Organisation des Nations Unies; à cet égard, les médias sous contrôle ont créé l’illusion, le mythe que l’ONU est un organisme de débat sans fondement réel[...]

[...] Si les contrôleurs de la pensée travaillant pour les Rockefeller peuvent persuader suffisamment d’Américains d’accepter de soumettre volontairement la souverainté des Etats-Unis aux mains de l’ONU, la longue campagne pour le gouvernment mondial sera terminée. Le Nouvel Ordre Mondial sera en vigueur. Les Rockefeller désireraient payer beaucoup d’argent pour un tel coup d’état pacifique et sans effusion de sang.
De fait ils financent toutes les possibilités. Voici juste quelques organisations aux Etats-Unis qui sont financées et / ou dirigées par le consortium dirigé par les Rockefeller et leur CFR et qui font la promotion directe de l’abandon de la souveraineté américaine: (NdT: nous ne citerons ici que celles éventuellement les plus connues en France, la liste est bien plus longue dans le livre !…)
  •    American Associations for the United Nations
  •    Atlantic Union
  •    Chatham House
  •    CFR
  •    Federation of World Governments
  •    Institute of International Education
  •    Trilateral Commission
  •    United World Federalists
[...] Peu de temps après la création de la Commission Trilatérale, Zbigniew Brzezinski en fut nommé directeur. Celui-ci écrivit un article pour le journal du CFR (dont il est aussi membre) “Foreign Affairs”, dans lequel il déclara:

“Il y a tres peu de chance que le monde s’unisse volontairement derrière une idéologie commune d’un super-gouvernement. Le seul espoir pratique est que celui-ci réponde à une préoccupation sur sa propre survie…”

En clair, Brzezinski dit qu’il est temps d’oublier l’approche ouverte et bonne enfant sur le gouvernement mondial proposée par exemple par L’Union Atlantique. L’union volontaire ne sera pas effectuée à temps, mieux vaut essayer une approche nouvelle. Quelle est cette nouvelle approche ? De manière simple,  il s’agit d’imposer les mêmes contrôles sur les nations qu’un gouvernement mondial ne le proposerait, mais cette fois-ci sous le déguisement de résoudre des problèmes économiques, écologiques ou énergétiques[...]

[...] La Commission Trilatérale a été créée par David Rockefeller afin du guider ses pairs internationalistes dans l’utilisation de leur influence privée pour garantir que leur gouvernement reste dans la droite ligne, celle de la grande poussée vers la grande fusion globale. Le pays qui ignore ces avertissements et donne trop d’importance à ses problèmes domestiques, pourrait bien se retrouver confronté à des problèmes alimentaires, d’approvisionnement en carburant ou de crise financière, qui fera passer la grande dépression pour une randonnée champêtre à travers la terre promise.

Chapitres 8 & 9

“Il y a toujours eu une alliance continuelle, bien que cachée, entre les capitalistes, la politique internationale et les socialistes révolutionnaires internationaux et ce pour leur bénéfice mutuel.”

(Antony Sutton, historien, université de Stanford, Californie, dans son livre “Wall Street et la révolution bolchévique”)

Si beaucoup de biographes ont parlé de la fortune et de la puissance politique et économique quasi illimitée dont dispose la famille Rockefeller, très peu se sont frottés avec l’aspect le plus remarquable de cette famille: sa relation proche, voire intime, au travers de plusieurs générations, avec ce qui est supposé être leur ennemi juré: le communisme… Dire que tout n’est pas toujours ce qu’il paraît être relève du cliché, mais il n’y a pas de mystère plus grand que l’identité de l’ultime soutien au mouvement communiste international[...]

[...] Aujourd’hui, beaucoup de gens pensent que les communistes furent capables de s’imposer en Russie parce qu’ils furent capables de gagner le soutien des paysans qui en avaient assez de la tyrannie des Tsars. Ceci n’est pas ce qui se passa… Au moment où le tsar Nicolas II abdiqua, et pour les mois qui s’en suivirent, les leaders de la révolution bolchévique, Lénine et Trotsky, n’étaient même pas sur le sol russe. Lénine était en Suisse où il vivait en exil depuis 1905. Trotsky était lui aussi en exil, travaillant comme journaliste pour un journal communiste à New York.

Trotsky fut autorisé à retourner en Russie avec un passeport américain et Lénine fut introduit en Russie par l’intermédiaire du fameux train scellé[...]

[...] Les bolchéviques purent parvenir au pouvoir non pas parce que les masses populaires de Russie les ont rappelé pour mener la révolution; mais parce que des hommes puissants en Europe et aux Etats-Unis, incluant les membres de la famille Rockefeller, les envoyèrent en Russie. Mais alors que ces faits ont été en partie supprimés dans le narratif, le plus grand secret de toute cette période réside sans aucun doute avec le fait que le financement pour cette révolution provint en fait des super capitalistes occidentaux et principalement des Etats-Unis.

Un ouvrage à la documentation méticuleuse fut écrit par l’historien Antony C. Sutton sur le sujet: “Wall Street and the Bolshevik Revolution”

[...] Le chercheur du Hoover Institute de l’université de Stanford pose la question la plus évidente: quelle serait la motivation derrière une coalition entre les capitalistes et les bolchéviques ? Les avantages sont très clairs pour les communistes; mais quels seraient les bénéfices potentiels d’une telle union pour les super-capitalistes occidentaux?
Sutton suggère que la Russie était et est toujours aujourd’hui (NdT: rappel de la date: 1976), le plus gros marché non exploité au monde. De plus, la Russie d’hier et d’aujourd’hui représente le plus gros risque de compétition sur le marché pour l’Amérique et sa suprématie industrielle et financière.

“Wall Street”, dit Sutton, “doit avoir des sueurs froides en se représentant la Russie comme un second géant industriel à l’instar de l’Amérique”. En mettant en selle la Russie, avec un système économique improductif dépendant de l’Ouest pour des injections constantes de liquidité et de technologie afin de survivre, celle-ci pourrait être à la fois contrôlée et exploitée[...]

[...] Avec la révolution bolchévique, nous avons quelques uns des hommes les plus riches du monde qui financent un mouvement qui clâme que sa raison même d’exister est d’accaparer la richesse des cartels super-riches, des banquiers capitalistes comme les Rockefellers.

De manière évidente ces hommes n’ont aucune peur du communisme international. Il est donc très logique d’assumer que s’ils l’ont financé et sont enclins, avides même de coopérer avec celui-ci, ce doit être parce qu’ils le contrôlent. Peut-il y a voir une autre explication qui ait un sens ? N’oublions pas que pendant plus de 100 ans, ce fut une routine procédurière standard pour les Rockefeller et leurs alliés de contrôler les deux côtés de chaque conflit.

Ayant créé leur colonie en Russie, les Rockefellers et leurs alliés ont puissamment lutté depuis lors pour la maintenir en vie. Depuis 1918 cette clique s’est engagée à transférer argent et probablement plus important, de l’information technique et technologique vers l’URSS. Ceci est étudié dane le détail dans le triptique historique grandiose d’Antony Sutton “La technologie occidentale dans le développement économique soviétique”. Utilisant dans la plupart des cas des documents du département d’état américain, Sutton prouve sans doute possible que virtuellement tout ce que possède l’URSS a été acquis en occident, principalement aux Etats-Unis. Ce n’est pas une exagération que de dire que l’URSS est en fait made in the USA. Personne n’a même tenté de réfuter le travail de recherche de Sutton. C’est impossible. Mais la machine de la désinformation que compose notre médiacratie peut ignorer Sutton. C’est ce qu’elle fait. Totalement[...]

[...] Dans ses trois volumes historiques sur le développment technologique de l’URSS, le professeur Sutton prouve de manière conclusive qu’il n’y a pas un segment de l’économie soviétique qui n’est pas le résultat du transfert de technologie occidentale, surtout états-unienne.

Ceci ne peut pas être une simple coïncidence; depuis plus de cinquante ans les membres initiés de la clique réserve fédérale-CFR-Rockefeller ont soutenu et implémenté des politiques qui visaient à accroître la puissance de leur satellite: l’Union Soviétique. Ainsi, les Etats-Unis dépensent 90 milliards de dollars annuels dans un budget de défense (NdT: en 1975-76, il est bien plus considérable aujourd’hui, l’URSS ayant été remplacée par une autre “menace” également créée de toute pièce: la guerre contre le terrorisme et Al Qaïda..) dont le but est de se protéger contre un ennemi que les “initiés” bâtissent au fur et à mesure[...]

[...] En 1964 David Rockefeller et Nikita Kroutchvev ont eu un meeting à huis clos de deux heures et demie. Le Chicago Tribune du 12 Octobre 1964 rapporta:
“David Rockefeller a eu un briefing avec le président Johnson aujourd’hui en rapport avec sa récente réunion avec le premier Nikita Kroutchev de Russie… Le leader rouge a indiqué que les Etats-Unis et l’URSS devaient ‘faire plus de commerce’. Kroutchev, d’après Rockefeller, a dit qu’il désirerait voir les Etats-Unis étendre ses crédits à longs termes à l’Union Soviétique.”

En fait ce meeting entre Rockefeller et Kroutchvev eut lieu deux mois plus tôt en Juillet. Quelques soient les problèmes qui émergèrent de cette réunion, ils ne furent pas résolus avant que le président des Etats-Unis ait eu un briefing en Septembre avec Rockefeller. Un mois plus tard, Kroutchev fut déposé. David Rockefeller rencontra peu aprés son remplaçant sur les bords de la Mer Noire et en Octobre 1966, Lyndon Johnson annonça sa nouvelle politique de “réconciliation” avec l’Europe de l’Est. Ceci fut fait dans une période où le bloc communiste escaladait son aide au Vietnam, dont virtuellement tout le matériel militaire venait des usines de munitions et d’armement d’Europe de l’Est[...]

[...] Le Viet Cong et l’armée nord-vietnamienne recevaient 85% de leur armement et matériel de guerre des nations du pacte de Varsovie… Les USA ont équippé et financé les deux côtés de cette terrible guerre du Vietnam qui a tuée près de 55 000 soldats américains par proxy (NdT: et plus d’un million de Vietnamiens bien sûr…). Une fois de plus, les médias de masse ont laissé le public américain dans l’ignorance de cette vérité choquante et scandaleuse[...]

[...] Ainsi, par la possibilité d’achat de patentes pour les communistes, les Rockefeller sont virtuellement en charge de la recherche et du développement de la machine militaire soviétique. Leur but est de permettre aux soviétiques de produire en masse de la technologie made in USA. Insistons ici sur le fait que le transfert d’une telle connaissance technologique est bien plus important que la vente d’armes[...]

[...] Parce que les Rockefeller ont maintenant le contrat exclusif de suppléer des patentes américaines aux Soviétiques, ils sont, par définition, les agents de la grande machine rouge. Il va sans dire qu’ils sont les plus gros agents des communistes de l’histoire. Ou peut-être serait-il plus à propos de décrire les communistes comme les agents des Rockefeller ?

Un outil de plus en plus important pour le pillage des Etats-Unis par les Rockefeller et leurs cohortes est la banque Export-Import, connue sous le nom de Eximbank (NdT: qui existe toujours de nos jours et est très proche de l’administration Obama). Cette banque fut établie en 1934 afin de financer et de promouvoir le commerce avec l’URSS. Mais ce ne fut pas avant que Richard Nixon eut signé la “détermination présidentielle” le 18 Octobre 1972, que l’Eximbank commença à financer le commerce avec les Soviétiques[...]

[...] Comme faisant part de l’effort phénoménal de bâtir l’économie soviétique en pillant les Etats-Unis, par le crédit (NdT: çà ne date pas d’hier ces histoires de crédits…), Richard Nixon nomma William Casey comme directeur de la banque Export-Import (NdT: ce même William Casey deviendra directeur de la CIA sous George Bush père, de fait, depuis la création de la CIA après la seconde guerre mondiale, une très vaste majorité de ses directeurs ont été liés de près à Wall Street, de là à dire que la CIA est une ramification, création de Wall Street, il n’y a qu’un pas facilement franchissable…). Casey, membre du CFR contrôlé par les Rockefeller est l’homme parfait pour le travail que Nixon et Kissinger ont en tête[...]

[...] Mais David Rockefeller est sûr du repaiement de la dette. Les prêts de la Chase sont garantis par les contribuables américains à travers d’autres agences gouvernementales comme l’Overseas Private Investment Corporation (OPIC) et la Foreign Credit Insurance Association (FCIA). Gràce à cela, le contribuable américain est pris à l’hameçon jusqu’au dernier centime. De la même manière qu’avec les prêts de l’Eximbank, l’OPIC et la FCIA garantissent aux “hommes d’affaires” un profit quelque soit la manière dont l’affaire se termine. Ce qui se passe en fait, est que nous donnons aux soviétiques une usine de camions valant 2 milliards de dollars tout en assurant les Rockefeller de leur commission sur le contrat[...]

[...] “L’URSS est le plus grand marché non développé pour les Etats-Unis (NdT: dans les années 70)”, dit Alfred R. Wentworth, senior vice président de la Chase Manhattan Bank et directeur de l’agence moscovite récemment ouverte. “Ce marché s’ouvre maintenant et nos banques désirent participer à la multitude d’opportunités ainsi créées.” … Comme le magazine Newsweek titra: “Le Kremlin a maintenant un camarade à la Chase”[...]

[...] Le professeur Sutton a assemblé un puit d’abondance concernant les preuves, que personne n’a jamais essayé de réfuter. Dans un premier temps, il prouva que le système communiste d’état est un système stagnant incapable d’inovation et de productivité. Sa survie même au niveau basique a requis des transfusions régulières de fonds et de technologie. Sans aide de l’Ouest, l’URSS se serait effondrée depuis longtemps; mais sans elle, les Rockefeller et les autres super-riches n’auraient pas eu “l’ennemi” à disposition pour justifier leur plans de gouvernment mondial monopoliste. L’URSS fut d’abord sauvée par Herbert Hoover avec de la nourriture; puis est venu la NEP de Lénine, sa nouvelle politique économique, qui a rouvert les portes de la Russie aux super-capitalistes… La seconde guerre mondiale a vu des prêts de 11 milliards de dollars… Pendant la présidence de Kennedy, nous leur avons donné du blé pour nourrir les ouvriers d’usine. Pendant la guerre du Vietnam, les Etats-Unis ont envoyé de la logistique déterminante aux pays du bloc de l’Est, qui produisit au Nord-Vietnam son équipement de guerre pour tuer notre propre soldats. Aujourd’hui nous leur fournissons la plus grande usine de camion au monde, des ordinateurs très sophistiqués et de a technologie de production. Cerise sur la gâteau, le Wall Street Journal du 25 Avril 1975 titre: “Les Etats-Unis envoient en catimini de l’uranium à l’URSS afin de fabriquer du combustible nucléaire.”

Comme l’observa justement l’ex-secrétaire d’état à la marine James Forrestal: “La consistence n’a jamais étee une marque de stupidité. Si les diplomates qui ont mal géré notre relation avec l’URSS étaient simplement stupides, ils feraient de temps en temps une erreur en notre faveur.” En bref, ce qui se passe n’est pas simplement le pillage de notre économie, mais de la trahison pure et simple[...]

A suivre





Le projet de la famille Rockefeller par Super_Resistence

mardi 4 octobre 2011

SUISSE: LA CRISE DE LA DETTE, LA BNS ET LA POLITIQUE DE L'UDC



Xaviez Schwitzguebel sur la crise de la dette... par Mecanopolis président des jeunes UDC de Genève, est candidat au Conseil national (parlement). Nous avons déjà eu l’occasion de l’interroger pour Mecanopolis et nous présenterons, aujourd’hui un nouvel entretien vidéo où il s’exprime sur la crise de la dette, la décision de la BNS de plafonner le franc suisse à 1.20 CHF pour 1.00 euro, et la politiquede l’UDC.

Q - We Are The Plan