mardi 9 août 2011

CRISE MONDIALE « Le Cartel des Banques a organisé toutes les crises économiques du monde ! »



Oligarchie financière : les huit familles derrière le cartel banquier privé international ... l'ennemi des peuples a un nom et des visages !


Nous avons traduit ici un article de Dean Henderson qui décortique le panier de crabes de la haute finance internationale pour nous. Il confirme ici que les banques centrales n’ont de « centrale » que le nom, et qu’elles sont des entités privées, dirigées pour le profit et mettre le contrôle total de l’économie mondiale dans le moins de mains possible.

Les banques sont un outil d’oppression sans précédent et des armes de destruction massive qui doivent être éradiquées si nous désirons vivre libre. Le néo-esclavagisme orchestré par le cartel des banques privées et bel et bien en marche. Il suffit de lui dire NON pour que tout s’arrête et que nous reprenions notre destinée en main.

Oui, c’est aussi con que cela: être capable de dire NON ! en masse et s’y tenir…

Le cartel de la réserve fédérale 

 

FED USA



Les huit familles


Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.

D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières, le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune 500 [1]


Alors qui sont donc les actionaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT: loi sur la liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

Un des monument de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux Etats-Unis. Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuh Loebs de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.


CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale. Il nomme N.M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de Paris, la banque Kuhn Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf également cite William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale. [3] Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.


Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre “Les secrets de la réserve fédérale”, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits demeurent.


La maison Morgan


La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.


Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds “…préféraient opérer de manière anonyme aux etats-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les activités des Morgan en 1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild.” [6]


La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent Drexel et compagnie à Philadelphie.


La maison des Morgans étaient impliquées avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.


Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Egypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les Etats-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschilds. [7]


Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des Etats-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.


La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame “Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont Morgan qui déclara un jour “la compétition est un pêché” se réjouissait maintenant, “pensez un peu que tout le traffic ferrovière en compétition à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers à contrôler la base industrielle états-unienne. [9]


En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT: traduction la plus proche pour “US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gage.


La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des Etats-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des Morgans. [10]


La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de  Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.


Plusieurs états de l’ouest des Etats-Unis banirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les Etats-Unis étaient en train de tomber dans le piège de “l’esclavage financier au capital britannique”. Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.


En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.


Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les Etats-Unis devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnégie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans “L’Amérique s’en va en guerre”: “Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux Etats-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains.”


La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés. [11]


Dans les années 1930, le populisme refît surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929. [12] Le président du comité bancaire du parlement américain Luois McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression: “ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus.”


Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les etats-unis dans la première guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essort de l’industrie de l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était “La prochaine guerre”, qui réferrait cyniquement au “truc de le vielle déesse démocratie”, par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’intérieur Harold Ickes, mit en garde de “l’influence des 60 familles américaines”. L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria “l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui.”


Jack Morgan répondit en rapprochant les Etats-Unis de la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse. [13]







D. Rockefeller, << conspirateur >>  pour construire  << un seul monde >> et fier !


La maison Rockefeller


La BIS est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans “Les enfants de la matrix”, que les Rockefellers et les Morgans n’étaient que des “prête-noms” pour les Rothschilds. [14]


La BIS est une propriété de la réserve fédérale, de la banque d’angleterre, de la banque d’italie, banque du canada, banque de suisse, banque de hollande, banque fédérale allemande et la banque de france..


L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre “Tragédie et Espoir” que la BIS faisait partie d’un plan, celui de “créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entiereté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets.” Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la banque mondiale. La banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre 1994. [15]


La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la BIS est en fait le centre du blanchiement d’argent du traffic de drogue global. [16]


Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit familles inclues le Forum Economique Mondial (Davos NdT), la Conférence Monétaire Internationale et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).


Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce “Nouvel Ordre Mondial”. En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.


En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear “la bête”. Bruxelles sert de QG pour la nouvelle banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.


John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, mergea avec la banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la banque Chase Manhattan, ainsi cimentant une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des trois banques des Rothschilds aux Etats-Unis dans les années 1870; quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de l’Ohio. [17]


Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust, Les deux banques ont mergé sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles contrôlent une grosse part de Citigroup également. [18]


Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux Etats-Unis. [19] Les compagnies d’assurance, la première aux Etats-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.


Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.


La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des fréres rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.


La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico. [20]


Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés. [21]


Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré. [22]


Les Rockefellers furent instrumentaux pour former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.


John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort. [23] Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon: “Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée…”


Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.


Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le dossier Rockefeller” en 1973: “David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS.”


Famille FED



En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller. [24]

Baron Rothschild, banking



La maison  Rothschild


Contrôlent les banques centrales du modèle occidental (via l’impérialisme US) savent bien tout le bénéfice qu’ils en retirent puisque c’est leur ancêtre qui a inventé le principe. En mettant la corde au cou des gouvernements ils sont assurés de garder le contrôle dessus. Et quand cela dure depuis des siècles alors le pouvoir est solide. Ne croyez pas qu’il existe des banques centrales d’état, en vérité elles sont toutes privées et contrôlées par un cartel bancaire dominé par Rothschild l’initiateur du projet. Car c’est lui le premier à avoir privatisé la banque centrale anglaise et avoir importé le concept avec l’aide de Rockefeller aux USA. Cela s’est concrétisé par l’indépendance de la Fed Reserv US en 1913 qui n’est ni fédérale, ni de réserve, ni même américaine! En France notre banque centrale est privée depuis 1973 « grâce » à la loi Giscard-Pompidou ( ex-directeur général de la banque Rothschild). Or vous constaterez que la dette de la France commence exactement à cette époque pour augmenter exponentiellement car c’est là tout le système. Il est basé sur l’octroi de crédits à intérêts qui finissent par s’accumuler et devenir inremboursables. Un système impossible à gérer à moins de le détruire et c’est ce que demande les illuminés, comme moi, qui combattent cet ordre mondial financier sous la coupe des Rothschild! Vous imaginez le déséquilibre des forces…
La BCE européenne étant elle aussi européenne et sous contrôle des Rothschild exactement comme les banques centrales des pays arabes et musulmans dont on a financé le modèle économique et social par l’intermédiaire de dictateurs pendant trente ans. Nous avons donc « occidentalisé » les pratiques financières en confiant le prêt à l’autorité de la banque centrale contrôlée par un cartel bancaire privé contrôlé lui-même par Rothschild et ses alliés. Or ce système bancaire a une menace clairement identifié: la finance islamique. Pourquoi? Parce qu’elle ne pratique pas l’usure (pas de taux d’intérêt) et exige un investissement conforme à la charria c’est-à-dire respectant une éthique sociale et religieuse. Pas d’investissement dans le porno par exemple. C’est comme ça. Mais vous avez bien compris l’arme absolue de ne pas pratiquer l’usure qui permet de séduire nombre d’investisseurs et de nouveaux pratiquants.


Or la finance islamique est en plein développement dans le monde arabe et était très avancée …en Tunisie! Par l’intermédiaire de la famille Ben Ali qui avait lancé un vaste complexe financier islamique qui devait servir de tête de pont entre le Maghreb et l’Europe. Le projet était en place et allait monter en puissance quand… La banque s’appelle banque Zitouna et a été placé sous le contrôle de la banque centrale tunisienne (contrôlée par Rothschild) après le départ des Ben Ali. CQFD.Exit Zitouna…




G. Soros, financier milliardaire américain


On a la preuve du financement par l’intermédiaire de la NED et de Soros, de militants formatés à la révolution, d’avocats sensibilisés aux droits démocratiques, des enseignants etc et tout cela en soutenant ces dictateurs arabes qui avaient passé un deal de non-agression à Israël et de libre accès de leurs ressources naturelles aux grosses multinationales occidentales. Et cela s’intensifiait depuis quelques années en Tunisie. On apprenait aux militants révolutionnaires à se servir des réseaux sociaux pour propager la révolution. A l’instar des révolutions colorées d’Europe de l’Est dont on sait que Soros, homme de paille des Rothschild, était un acteur majeur.


L’enjeu est énorme et est mondial. La finance islamique est la seule finance capable actuellement de venir concurrencer le marché des banques occidentales contrôlées par Rothschild, d’où la réaction radicale de renverser ces régimes pour les remplacer par des dirigeants tout à fait disposés à continuer d’utiliser le même système financier qu’en occident. El Baradei en Egypte est l’homme de Rothschild et il assurera que le pays conserve sa banque centrale et donc le pouvoir occidental consolidé, et donc Rothschild rassuré.
La finance islamique souffre d’une faiblesse comme elle ne crée pas de l’argent à partir de rien (les intérêts) comme en occident, elle doit avoir des réserves correspondant réellement à l’argent qu’elle a prêtée. Son développement s’il est vertueux puisque que garanti par l’investissement réellement productif pour la société (exit la spéculation), peut se transformer en graves problèmes en cas de crise majeure et face à un retrait massif d’argent. C’est là où l’importance d’un réseau serré de banques islamiques peut aider à résoudre le problème. Un réseau qu’il vaut mieux contraindre avant de le voir mis en avant par sa réussite sociale et éthique. Il est amusant de noter que 7 des 10 plus grandes banques islamiques sont iraniennes. On comprend mieux pourquoi ce pays concentre sur lui un faisceau de haine de la part de l’occident et des médias financés par…Rothschild et ses amis bien sûr!


Nous sommes donc là au cœur de la bataille mondiale pour le contrôle global. L’islam reste encore le dernier rempart religieux vu l’affaiblissement de la religion chrétienne, et le dernier rempart financier face à la gabegie spéculative occidentale qui va nous précipiter dans la famine, la misère et le chaos. On y arrivera en Europe bientôt c’est prévu. Voilà ce qui se cache derrière le rideau de fumée de révoltes populaires pourtant bien compréhensibles mais qui sont manipulées encore et toujours par des forces supérieures et toutes ont trait à Rothschild.












L'OEIL 3- L'Origine du Mal part 2 par streettv




<< La BIS en Suisse est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale qui contrôle les banques centrales de presque toute les nations occidentales et des pays en voie de développement. >>


vendredi 5 août 2011

BANQUES LE CANCER MONDIAL


BANKING FED RESERVE FEDERALE USA

                      A une certaine époque de notre histoire , la spéculation était prohibée.
Demander un intèrêt contre un prêt était passible de la peine de mort!



Ben Peri nous invite à un nouveau et fascinant "Voyage dans les coulisses du nouvel ordre mondial... ". Après avoir lu ce livre, vous ne verrez plus le monde avec les mêmes yeux, vous n'écouterez plus les informations, ni les discours politiques avec les mêmes oreilles...


 A force de mensonges, de manipulations, de corruptions massives, de menaces, d'assassinats, de guerres, de génocides camouflés, et en utilisant la force la plus brutale, ils ont inoculé l'équivalent d'un cancer généralisé à nos démocraties, qui sont devenues des "démocraties présidentielles", c'est-à-dire de terribles dictatures, dans lesquelles un seul homme décide de tout.


A l'aide d'inventions machiavéliques, comme les Bourses, et d'artifices comptables sataniques, ils ont remplacé la valeur de l'argent lié au travail, par l'argent lié à des spéculations virtuelles, sans contrôles et sans limites. Des hommes, sans foi ni loi, sont devenus les maîtres d'un monde pourri régi par l'argent de la spéculation, dans lequel l'argent fruit du travail n'a plus aucune valeur. Avec leurs stratagèmes, ils ont inventé et imposé la pire des formes de colonialisme, le néo-colonialisme financier, et programmé le plus terrible des génocides, le génocide de milliards d'êtres humains par la ruine et la privation d'argent. Ils préparent maintenant une troisième guerre mondiale qui va rapidement devenir atomique, et bien d'autres perversions.


J'ACCUSE les prédateurs multi milliardaires de la finance internationale de la plus grande arnaque jamais organisée


Le monde est divisé en deux clans, d'une part, quelques prédateurs multimilliardaires, et de l'autre le reste du monde (les autres : médecins, ngénieurs, entrepreneurs, fonctionnaires, enseignants, forces de l'ordre, militaires...), dont nous faisons tous partie, même ceux qui pensent vivre à l'aise et posséder quelques biens ou propriétés, ou qui pensent faire leur devoir parce qu'on les a pourvus d'armes et de bâtons.
Une telle situation ne saurait exister sans une fange d'hommes cupides, sans foi ni loi, qui se mettent les yeux fermés au service des prédateurs et de leurs théories sataniques, qui sans eux ne pourraient jamais piller, oppresser, manipuler, ruiner, ni assassiner qui que ce soit.


Comment est fabriqué l'argent et par qui ?


Ben est le représentant d'un Gang de Banquiers, Barak est chef d'état, et Job est citoyen de ce pays...
C'est Barak, qui sur les traces de George et de Bill, décide, sans retenue, de toutes les dépenses de la nation, Ben qui fabrique les billets, qu'il vend à crédit, et qui inscrit soigneusement dans ses livres les sommes astronomiques soi-disant nécessaires à équilibrer les budgets de Barak.
A toutes ces opérations Ben ajoute commissions et rétrocommissions pour Barak, George, Bill et une quantité monumentale de complices. Au passage, ceux-ci lui vendent le pétrole, les armes, les services aux armées et aux sous-traitants (même le papier toilette et l'entretien des latrines) et les programmes de reconstruction, et c'est sur le compte de Job que l'on débite toutes les dépenses, frais et commissions, sans qu'il ait le moindre mot à dire...
C'est Alfred, un banquier installé à Londres, chef d'un Gang de Banquiers de l'époque qui avait réussi le tour de force, avec l'aide de Paul et d'une corruption massive, à obtenir cet invraisemblable contrat, totalement contraire à l'intérêt du peuple américain, alors que ce gang n'avait pas la moindre contrepartie financière indispensable à justifier un tel contrat.


Depuis, tout l'or des Américains a été transféré dans les coffres personnels des membres du Gang, à force d'une série impressionnant d'arnaques financières fabriquées de toutes pièces par lui-même. Ces gangsters ont même réussi à faire voter des Lois obligeants tous les bons Américains à leur vendre leur or, en échange de papier imprimé par eux...
Si vous étiez à la place de job, que diriez-vous ? Que c'est une arnaque ? Vous auriez même le droit de qualifier l'opération de grande arnaque organisée, sur le dos du peuple américain !
Mais au fait, mauvaise nouvelle, Job n'est pas seulement Américain, c'est aussi vous, c'est moi, ce sont nos amis, nos voisins de tous les pays... Aucun de nous ne contrôle plus, ni l'émission de sa monnaie, ni les invraisemblables dettes que nos politiciens et administrateurs portent régulièrement sur nos comptes de citoyens, ceux de nos enfants, petits enfants, etc.


Aujourd'hui, les citoyens des Etats-Unis, de Grande Bretagne, d'Allemagne, de France... Et de la grande majorité des pays du monde, sont obligés d'emprunter l'argent nécessaire au moindre de leur paiement. Ils sont devenus les otages du même système dont les américains sont les victimes depuis 1910, date de la création de la FED, la banque de la Réserve Fédérale américaine, un système de banques a capitaux privés, dont dépend entièrement le gouvernement américain, et que Eustace Mullins n'hésitait pas à désigner comme "Syndicat du Crime".


image:4>L'article 104 du Traité de Maastricht, devenu l'article 123 du traité de Lisbonne confirme que les pays européens depuis 1973 ne sont plus maîtres de l'émission de leur monnaie. Il interdit aux gouvernements européens d'emprunter auprès de leurs propres banques centrales... C'est-à-dire que toute création de monnaie ne se fait que de façon totalement incontrôlée par le "Cartel du Crime", pardon, des Banques.
Ces citoyens européens sont devenus les otages du même système dont les américains sont les victimes depuis 1910, date de la création de la banque de la Réserve Fédérale américaine, un système de banques a capitaux privés, totalement sous contrôle étranger. A l'instar de ce qui se passe aux Etats-Unis, depuis longtemps aucune banque centrale d'aucun pays n'émet plus aucun billet autrement qu'à crédit en empruntant aveuglément auprès du "Cartel des Banques". Contre toute logique, chaque fois que ce Cartel du Crime fait un prêt à qui que ce soit, il a décidé que cela augmentait les fonds propres de ses membres... Ainsi, plus ils signent de contrats de prêts, plus ils sont riches !

- Riches de quoi ?
- De vent, ou plutôt de la capacité de remboursement des citoyens du pays qui emprunte, citoyens qui n'ont pas le moindre mot à dire sur les énormes dettes que l'on accumule sur leur dos.
- Mais c'est une arnaque !
- C'est l'histoire de Ben; Barak et Job.
En fait, c'est bien pire, vu la masse monétaire ainsi émise, il s'agit de la plus grande arnaque jamais organisée, celle de la mondialisation.


Virgile disait : "ne cède pas aux démons, mais attaque-les audacieusement


Les pires démons que nous ayons à affronter aujourd'hui, ce sont ces dynasties de prêteurs sur gages, devenus banquiers internationaux, qui ont fondé le Cartel du Crime des prédateurs de la finance internationale, dont le business premier est celui de la fabrication et de l'exploitation de toutes sortes de guerres, qui leur a permis depuis le 7ème siècle, de monter Princes, seigneurs et rois, les uns contre les autres, fournissant à tous : les prétextes pour déclarer ces guerres, les armes et les armées à crédit, pour attaquer ou résister, sans aucun état d'âme, et sans aucune humanité pour les combattants, et encore moins pour les populations civiles ravagées et aujourd'hui exterminées...


S'il est possible d'en dénombrer les centaines de millions de victimes humaines, le Warbiz, ce "Business de la Guerre" a permis au cours des siècles, d'amasser des fortunes si colossales, que leurs possesseurs sont devenus incapables de les chiffrer. Selon certains, une seule de ces dynasties aurait accaparé à ce jour, plus de 50% des richesses du monde, pendant que d'autres affirment : "Les trois quarts".
Le Cartel des Banques, grâce à la trahison de nos élites, a réussi à faire que nos démocraties, nos entreprises et nos emplois, ne soient plus que de banals jouets entre leurs mains.

Voici plus de deux siècles, un des fondateurs de l'une de ces dynasties proclamait : "laissez-moi émettre la monnaie d'un pays et je ne craindrai pas celui qui fait ses lois". Quelques lustres plus tard, grâce à des familles du cartel des Banques, nommés Rothschild, Warburg, Baker, Brown, Harriman, Kuhn, Lazard, Lehmann, Loeb, Morgan, Rockefeller, Schiff, Schröder... Le dollar américain échappait à tout contrôle de son propre gouvernement et de ses propres citoyens. Ainsi, depuis 1913, de façon incroyable et parfaitement illégale, chaque fois que le gouvernement américain a besoin du moindre billion de dollars (ou de quelques dollars), il est contraint de l'emprunter automatiquement à crédit à la FED, à des conditions imposées par elle.
Depuis 1913, il n'existe pas un dollar dans le monde qui n'ait été émis de cette façon, à crédit, sur le dos des contribuables américains...
Aujourd'hui, grâce à un système complexe de Banques Centrales, soigneusement organisé par les prédateurs de la finance Internationale - dont Louis T. McFadden, Président de la Commission des Finance du Congrès américain n'hésitait pas à qualifier les actions de "Plus grand crime de l'histoire", et qui mourut lui aussi assassiné - plus aucun pays n'émet le moindre de ses propres billets, et lorsqu'ils sont autorisés à le faire, ils le font à crédit, in fine directement ou indirectement, auprès des membres du "Cartel du Crime".


Ce Cartel gère, entre autres, La BIS (la Banque des Règlements Internationaux), centre stratégique du cartel, La "City" de Londres, la Banque d'Angleterre, la Réserve Fédérale américaine - et détourne de ce conglomérat, des billions de dollars - impose sa stratégie aux banques centrales du monde, qui "contrôlent" et "régulent" à leur tour les banques de leurs pays respectifs. Des crises sont régulièrement fabriquées par le Cartel, pour que les établissement de petites et moyennes tailles soient absorbés par les plus grandes banques, afin d'éviter que le moindre "business" ne soit dérivé vers ces établissements et ne mette en péril le monopole du Cartel. Cette stratégie a encore été vérifiée en 2008 et 2009, avec les nouvelles faillites et absorptions de petits et moyens établissements enregistrées de par le monde. La Banque Centrale Européenne passe, comme les autres banques centrales, par les fourches caudines du Cartel, pour prêter aux principaux pays européens les fonds qu'elle n'a pas. Au lieu de créer sa propre monnaie indispensable à la conduite de sa politique et à son développement, elle emprunte l'argent qui lui manque, dans une opacité totale, par diverses techniques bancaires comme les "Swaps", auprès de la FED et des autres banques du cartel.
Vous pouvez, dès lors, mesurer la totale "dépendance" économique de l'Europe, vis-à-vis du Cartel du Crime !


La puissance financière de ce cartel est plusieurs milliers de fois supérieure à celle de tous les états réunis, et ce phénomène ira toujours en s'aggravant puisqu'en fait la richesse de ces banques n'est que le fruit de prêts illégaux, et de sombres spéculations électroniques, que personne ne peut encadrer ni contrôler.


Les membres du Cartel des Banques ne sont placés sous aucun contrôle d'aucune sorte. Ils imposent leurs propres règles aux banques du monde, et à toutes les formes de financement d'activité industrielle, commerciale, et étatiques...
Non seulement ces prédateurs ne sont placés sous aucune autorité, mais en plus, ils édictent leurs propres règles comptables qui ne servent qu'à dissimuler toutes leurs manigances. Citons entre autre le fait que lorsqu'une banque fait le moindre prêt, elle augmente de ce fait ses fonds propres...
(sic !). Tout ce que les banques du Cartel ont à faire pour réaliser des prêts c'est de passer des écritures comptables, sans jamais donner aucune garantie en échange, ce qui n'est pas le cas des autres banques, qui doivent toutes réemprunter aux banques du Cartel, les sommes prêtées par elles...
Les banques de ce cartel se réservent aussi le droit de spéculer sur tout, sans limite, sans garanties et sans aucun contrôle, réalisant au cours des séances boursières les plus gras bénéfices, que les cours soient à la hausse ou à la baisse, pendant que les petits épargnants sont systématiquement grugés et laminés...


Un seul trader (arbitragiste) de la Société Générale, Jérôme Kerviel, en parfait accord avec sa direction, avait réalisé 1,5 milliards d'Euros de plus-values boursières durant la seule année 2007. Je vous laisse imaginer ce qu'ont pu gagner les prédateurs du cartel chaque année - y compris la célèbre banque Goldmann Sachs... Déclarée en faillite - sachant que le volume d'une sale de "trading" d'une grande banque peut atteindre en un seul jour plusieurs centaines de milliards de dollars...


Comment pouvons-nous accepter de telles pratiques, pendant que nos agriculteurs sont étranglés et désespèrent de cette société qu'ils nourrissent, que nos ouvriers et employés n'arrivent que rarement a jouir de la vie ? Faudra-t-il attendre le jour où les prédateurs de la finance internationale se rendront compte que rien de comestible ne sort de leurs ordinateurs, ni des jeux boursiers qu'ils ont inventé, que rien ne pousse sur le béton et que les billets de banque ne remplissent pas les estomacs ?


James A. Garfield

 
<< Quiconque contrôle la quantité d'argent dans ce pays est maître absolu
de toute l'industrie et de tout le commerce...
Et si vous savez que le système tout entier est facilement contrôlable d'une
façon ou d'une autre, par quelques hommes tout puissants, pas besoin de
vous expliquer quelle est l'origine des pèriodes d'inflation et de dépression.>>

-James A. Garfield ancien président des Etats-Uni, mort assassiné


L' Argent Dette


mardi 2 août 2011

USA LE PARASITISME FINANCIER



Dette US : pour Vladimir Poutine, les américains vivent comme des parasites sur l'économie mondiale !


Pour le Premier ministre russe, les américains vivent "au-dessus de leurs moyens et placent une partie du poids de leurs problèmes sur l'économie mondiale"..."Ils vivent comme des parasites sur l'économie mondiale avec le monopole du dollar".

Le Nouvel Ordre Mondial, les sociétés secrètes, les stratégies sionistes, la propagande médiatique c'est bien joli mais sans pouvoir financier (pour corrompre et faire taire), rien de tout cela ne serait possible. Puisque l'histoire de la domination bancaire se trouve être aussi l'histoire du libéralisme triomphant....

Un peu d'histoire: banques juives et banques protestantes (Renaissance-1900)

Dans les sociétés chrétiennes occidentales, le pouvoir bancaire, et ça n'étonnera personne (au pire ça offusquera juste "par principe" nos ethno-masochistes adorés) a été historiquement confié aux juifs, le prêt à intérêt étant farouchement interdit par l'Église. Prêt "honteux", donc, qui se fera sous le manteau pendant plusieurs siècles. Les richesses s'accumulant (toute volonté de développement demandant des fonds supplémentaires), les banques juives se retrouvèrent vite à la tête d'une fortune considérable. Vénalité et jalousies, cumulées à la suppression des privilèges (4 août 1789) et donc de la "vieille noblesse" et la Banque n'avait plus qu'à s'engouffrer dans la brèche pour établir sa domination (d'autant plus perverse en ces temps d'égalité et de droits de l'homme). Soit la Révolution au service du petite peuple et de la citoyenneté, finalement récupérée par la Banque apatride et irraisonnée.

Dès lors, les banques se créent comme des petits pains et leur pouvoir ne cesse de croître. La grande partie d'entre elles adoptant la logique protestante (celle de Jean Calvin, du moins) du "spéculons sans honte" (tout le contraire de la logique catholique, opposition expliquant l'éternel combat idéologique entre anglo-saxons et -vrais-européens), base du capitalisme. En 1534, par l'Acte de Suprématie, Henri VIII d'Angleterre rompt avec l'Eglise catholique pour fonder l'Eglise Anglicane, qui incorporera nombre de principes protestants (dont celui du prêt "amoral") et place finalement la Banque au même niveau que la Couronne elle même (je vous laisse imaginer le potentiel de corruption...). Cette même Banque prit finalement le pouvoir au prix de siècles de lutte, grâce à sa privatisation et via la possibilité d'émettre monnaie (privilège alors réservé à la Couronne et qui maintenait un certain équilibre politique et social). Aucun contrôle, aucun pouvoir ne pouvait dès lors empêcher la Banque de modeler l'Angleterre comme bon lui semblait. Ainsi, en 1694 (date de création de la banque d'Angleterre), tout était déjà joué... ce qui donnera à terme, via l'immigration massive anglo-saxonne vers l'Amérique...Wall Street et sa logique sanguinaire.

La Banque contre les Nations: le prêt spéculatif

Le pouvoir financier devenant donc le Pouvoir tout court, il faudra donc que les politiques s'affairent à maquiller cette supercherie (puisque payés par les premiers), qu'elles limitent la casse...politiques qui seront alors responsables des maux du libéralisme aux yeux des citoyens, puisque ceux ci ne connaissent pas l'existence de la toute puissance bancaire.

Deuxième étape du génocide des Nations par la Banque: le prêt à intérêt "spéculatif" (puisque banques désormais privatisées). Prêt à intérêt spécifique dont le principe est le suivant: la banque prêt à un État de l'argent qu'elle n'a pas. Absurdité effarante, le prêt correspondant normalement au montant exact dont la banque dispose (somme déposée préalablement par X personnes) et l'intérêt coïncidant (en théorie) avec un certain surplus de richesse créé par cet emprunt (le prêt étant réservé en principe à l'investissement). Intérêt, qui lui, correspond à la rémunération de la banque. Cette spéculation, pourtant inoffensive (1) si l'État en question connaît la prospérité et si des lois restreignent cette pratique, devenue monnaie courante, à tel point que les banques prêtent majoritairement de l'argent qu'elles n'ont pas en réserve. Une économie fictive dépassant dans les faits l'économie réelle (la croissance donc) et faisant de la Banque un immense entonnoir à richesses, richesses qu'elle crée en produisant...du vide, avec à la clef une promesse: celle de mettre plusieurs décennies avant que l'Etat puisse rembourser ses dettes (puisque décalage économie fictive-économie réelle). Ainsi, en France, depuis le 1er janvier 1973 (Pompidou étant un ex-directeur de Rothschild, on comprend soudainement mieux la chose) et à plus grande échelle depuis le traité de Maastrich, l'Etat ne bénéficie plus du prêt à taux zéro, indispensable pour son développement. La Banque rackette ainsi les États en douce, jusqu'à devenir plus riche que les États eux même, ainsi que les peuples, qui eux, épongent l'intérêt de la dette via l'impôt sur le revenu (la totalité de l'IR étant par ailleurs égal au montant de l'intérêt de la dette...raison suffisante pour chasser tous ces escrocs hors du pays).

Réserve Fédérale, dollar et parasitisme mondial

En 1913 est créée la Réserve Fédérale Américaine (FED en abrégé), soit la vitrine du parasitisme mondial lui même, devant la menace du pouvoir financier sur l'économie des USA. FED censée limiter les agissements criminels des banques...si la direction de celle ci n'était pas confiée aux plus grands groupes bancaires mondiaux (soit les intarissables Rockefeller, Rotschild, Vanderlip, Morgan, Kuhn,...). Soit des meurtriers à qui l'on confie le soin de se taper sur les doigts (la logique bancaire étant toujours un régal...). FED qui travailla d'arrache-pied pour que le dollar (dont elle tient les rênes de bout en bout) devienne la référence mondiale...et par ce biais là avoir le contrôle du monde, purement et simplement. La preuve ?

La Réserve fédérale :

décide de la politique monétaire des États-Unis

      o  avec un double objectif de stabilité des prix et de plein emploi,


      o  et l'obligation de faciliter la croissance économique,


-  supervise le système bancaire américain,


- publie des rapports, tels que le livre beige, relatifs à l'économie américaine


- agit comme prêteur de dernier ressort,


- peut agir sur la valeur externe de la monnaie, le dollar américain notamment à travers l'utilisation de ses taux directeurs (rémunération des prêteurs) pour motiver la venue ou la fuite de capitaux, et donc influer sur la masse monétaire et la croissance économique des États-Unis (exemple du protectionnisme déguisé qui entraîne par la suite une dévaluation du dollar et donc une meilleure compétitivité-prix),->soit le contrôle absolu de la monnaie référence


- est indépendante des institutions politiques (donc incontrôlable)


(Source: Wikipédia)

La FED encore et toujours, qui a son actif compte:

- l'allongement de la durée de la Première Guerre Mondiale (n'oublions pas que l'industrie de l'armement représente des intérêts colossaux), qui, sans le principe de monnaie fictive, aurait duré deux ans de moins
- la Crise des années 30, soit le principe des bulles spéculatives (années 20: prospérité, années 30: Grande Dépression)

- la Seconde Guerre Mondiale, financée sur le principe de la Première

FED aujourd'hui relayée par le FMI et la Banque Mondiale ou la mascarade de l'ONU à son apogée...

Le dollar, quand à lui, passe de l'étalon-or à l'étalon rien du tout, quand, en 1971, le président Nixon annonce qu'il ne sera plus convertible ni adossé à quoi que ce soit... Devant la puissance militaire américaine, personne ne moufte...jusqu'en 1973 où le dollar est alors étalonné sur le pétrole (et vice versa, via l'OPEP), ressource indispensable, pour pousser le monde entier à se doter du même dollar...

On peut désormais affirmer sans honte que la Banque est partout relié au chaos de grande ampleur (les crises financières et les guerres étant des formidables raisons d'emprunter), puisque sa stratégie se résume à endetter au maximum les Nations de tout bord, pour s'enrichir sur les intérêts (irremboursables) de la dette. Soit un monde qui court bel et bien dans le mur le sourire aux lèvres. Pour information, la dette américaine est passé de 1 000 milliards de dollars en 1973 à plus de 50 000 milliards en 2010... C'est suffisamment parlant, je crois.

Et le peuple dans tout ça? Et bien, le peuple voit son pouvoir d'achat baisser constamment, car plus il y a de fausse monnaie en circulation (en cas d'emprunt), plus l'argent lui même perd de la valeur. Ainsi, pour rester aux États Unis, les détenteurs de dollars ont vu leur monnaie perdre plus de 90% de sa valeur depuis 1913 (et donc autant de pouvoir d'achat en moins)... une aubaine pour les sociétés de crédit (cercle sans fin et qui explique pourquoi la FED a tout intérêt à semer le chaos).

Années 60: Élimination des derniers résistants

Seul président américain (2) à s'être levé contre la FED (les autres devant leur poste à cette dernière), J.F. Kennedy tenta d'adosser le dollar à l'argent, en 1963. Le 22 novembre (1963 toujours), celui ci fût assassiné... et tout repartit de plus belle... En 1969, De Gaulle, seul président français ouvertement anti-mondialiste est lui aussi mis à la porte via des manœuvres elles aussi obscures (mai 1968,...).

Aujourd'hui qui gêne encore la Banque? Le monde musulman, qui interdit la spéculation et l'investissement immoral. Cette éthique spirituelle expliquant à elle seule le combat mené en Occident contre la communauté musulmane (défendue par les sionistes quand ça emmerde le blanc, accusée par les mêmes de coloniser le blanc pour emmerder les arabes, soit faire monter les tensions nationalistes pour provoquer la guerre civile). L'Irak lui même en a fait les frais, quand Saddam Hussein désirait vendre son pétrole en euros, on le bombarda en prétextant qu'il possédait des armes de destruction massive. La belle blague!

La Crise jusqu'au bout!

Qu'est ce que l'Occident a fait pour nous sortir de la crise? Rien. Ou plutôt si: pire. Pire en faisant casquer au peuple les conneries des Élites et en injectant massivement de l'argent ("fictif" puisqu'emprunté soit le même argent qui nous coule depuis des lustres) dans le circuit économique pour renflouer ces dernières. Ce qui équivaut à nourrir la bête qui nous mord...

Solutions?

Pourtant des solutions existent...

Bankrun

Solution risquée mais qui a le mérite de mettre à mort une bonne partie de ces parasites.

Les déposants se ruent à leur banque pour retirer leurs dépôts, récupérer physiquement leur monnaie sous une forme sûre (selon le cas, monnaie métallique ou monnaie légale ). Si la banque fonctionnait selon le currency principe (Cf supra), rien ne se passerait. Mais si la banque fonctionne selon le banking principe (comme c'est le cas de nos jours), elle a prêté à d'autres l'argent mis en dépôt chez elle (obtenant en échange des bien dont la valeur est supérieure, mais moins disponibles) et elle est incapable de rembourser à vue : c'est la faillite assurée. Sauf intervention d'un sauveteur. Comme selon toute probabilité la banque a elle-même des dettes chez d'autres banques, celles-ci sont fragilisées et peuvent à leur tour devenir victimes d'une panique, éventuellement avec un effet boule de neige capable de dévaster entièrement le système bancaire d'un pays en quelques mois. C'est une des composantes du "risque systémique".


Banques en ligne

Évitez à tout prix les banques d'investissement ainsi que les banques de dépôt et privilégiez les petites banques en ligne. Cela vous permettra de boycotter le marché financier spéculatif et de ne plus être importuné par des coups de fil vous proposant moults produits financiers intempestifs.


La conclusion, elle, est simple: le pouvoir bancaire (3) est un parasite dont il faut se débarrasser le plus vite possible par un cadre législatif strict et une re-moralisation de l'économie. Parasite qui, aujourd'hui, a choisi la spéculation sur les matières premières pour étancher sa soif immorale et qui nous condamne encore et toujours à une précarisation de nos conditions de vie, par le biais d'une augmentation historique du prix des aliments...

PS: Cet article se basant essentiellement sur le chapitre "Dieu, la raison et la banque" de Comprendre l'Empire (Alain Soral), je ne saurai trop vous recommander l'ouvrage en question.

(1) Puisque fonctionnant sur le même principe de intérêt, cet argent fictif finit par se transformer en argent réel grâce à la valeur ajoutée

(2) catholique et riche (donc indépendant du pouvoir financier) de surcroît

(3) pouvoir bancaire superflu (spéculation et co.), car il est évident que les banques sont une nécessité, le capitalisme bancaire ayant de toute façon triomphé du capitalisme entrepreneurial et industriel du début XXe


Attention !
Le contenu des articles publiés ici ont fait l'objet d'investigations et d'analyses. Ce qui peut paraître comme un simple énonciation de faits repose sur des preuves avérées. Vérifiez donc par vous même.
Lien : 
http://restezeveilles.blogspot.com/2011/02/dossier-16-le-parasitisme-financier.html




samedi 30 juillet 2011

CRISE FINANCIERE ORCHESTREE






Résultats catastrophiques pour une crise orchestrée

Le 29 Juillet 2011
Par Paul Craig Roberts

Avec le monde concerné par la crédibilité financière des Etat-Unis et la pauvre perspective de son économie, ce n’est pas le moment pour les républicains de monter sur leurs grands chevaux en ce qui concerne la dette publique. Le plafond de la dette avait besoin d’être relevé sans faire de vagues. Au lieu de cela, les républicains ont commencé à mettre le feu puis à jeter de l’essence dessus, créant ainsi un enfer qui pourrait bien brûler le filet de sécurité américain ou l’évaluation du crédit de la trésorerie américaine ainsi que le rôle du dollar en tant que monnaie de réserve, voire même ce qu’il reste de la séparation des pouvoirs.


En conséquence, les marchés financiers mondiaux, les marchés des changes, des commodités, les banques centrales et les fonds mutuels ainsi que le marché des bons du trésor ne savent plus sur quel pied danser.


Ce niveau d’irresponsabilité a été rarement vu, même venant de la part de politiciens américains.


Les républicains ont créé une crise interne totalement inutile et l’ont transformé en un attirant théâtre politique. Les Etats-Unis vont-ils faire défaut ? La tolérance en sera t’elle diminuée ? Obama saisira t’il les cordes de la bourse du congrès afin de sauver le dollar et la note des crédits américains ? Aucune de ces questions n’avait besoin d’être.


Pendant que les médias du monde se focalisent sur la crise du plafond de la dette bien orchestrée, le gouverneent américain lui, continue de bombarder des civils en Afghanistan, en Libye, en Irak, au Pakistan, au Yémen et en Somalie; de même il continue les préparations pour faire de même en Syrie et en Iran.


Les violations des souverainetés d’autres pays, les agressions sand fard qui constituent autant de crimes de guerre, le meurtre de non-combattants et l’horrible tribut moral et économique infligé pour la maximisation des profits du complexe militaro-industriel et de la sécurité, ne sont pas eux une crise. Ces faits sont juste la routine, la normalité, les affaires nécessaires du quotidien. Rien à en dire et surtout rien à y redire.


Les délocalisations massives du travail américain, le PIB, la fiscalité et la demande de consommation qui ont érodés l’économie américaine et la base de revenus du gouvernement, ainsi augmentant le déficit, tout cela n’est pas non plus une crise. Juste les impératif de la mondialisation et la routine de la maximisation des profits des actionnaires et des primes de performance du management.


Les Etats-Unis sont devenus un tel ramassis d’idiots qu’aucune crise réelle ne peut plus y être reconnue. Au lieu de cela, le pays est hypnotisé par une crise bidon.


Mais cette crise bidon totalement orchestrée peut par contre facilement en devenir une véritable. Si les programmes de soutien des revenus sont démantelés, ainsi le sera également la demande à la consommation et l’économie américaine s’enfoncera de plus belle, augmentant le déficit budgétaire et la dette nationale.


Si les républicains forcent le pays à faire défaut sur sa dette, le dollar en souffrira. Dans le meilleur des cas, le prix des importations va augmenter ainsi que le déficit de la balance commerciale. Au pire, le dollar perdra son rôle de monnaie de réserve et les Etats-Unis ne seront plus capables de payer leurs factures de pétrole dans leur propre monnaie. Avec la balance des paiement déja  bien dans le rouge, ils n’ont pas de monnaie étrangère avec laquelle acheter le pétrole.


Si Obama doit prendre les cordelettes de la bourse afin de prévenir qu’une nouvelle crise financière ne vienne s’ajouter à celle déjà existante, la démocratie en prendra un autre sérieux coup.


Les Américains ont besoin de sérieusement se poser la question de savoir pourquoi ils ont mis au pouvoir des gens si gravement irresponsables et incompétents capables de créer une crise inutile qui a le potentiel d’amener des résultats encore plus désastreux. Il semblerait que la population américaine est par trop insouciante pour utiliser le vote avec une certaine attention.


Pas de quoi s’étonner donc que le président est en train de devenir un César.


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 La « crise » sur l’élévation du plafond de la dette américaine n’est qu’une crise bidon, orchestrée à des fins de diversion.


Le monde s’enfonce jour après jour dans le totalitarisme fasciste (quand nous disons fascistes, nous pesons nos mots et le disons en accord avec la définition même du fascisme selon Mussolini: « … fusion de l’état et de la grande industrie ») total devant les yeux endormis des populations, qui continuent d’espérer pour une réforme du système par le système et qui comme sœur Anne… ne voient jamais rien venir !


Le temps est venu de prendre conscience de l’étendu du désastre au profit du plus petit nombre… et de reléguer État, institutions, capitalismes et farce économico-bancaire aux oubliettes de l’Histoire.
Boycott du vote, des institutions et de l’impôt; les trois piliers de l’oppression systémique.


Q - We Are The Plan