dimanche 28 mai 2017
mardi 23 mai 2017
LEGALISER LES DROGUES
Deux tiers des Suisses favorables à une légalisation du cannabis
 Les Verts ont remis sur la table en mai dernier le débat sur la 
dépénalisation du cannabis avec le dépôt d'une initiative parlementaire,
 qui sera débattue sous la Coupole. La population pourrait aussi être 
amenée à se prononcer. L'association Legalize it a déposé une initiative
 populaire ce printemps qui demande la dépénalisation du cannabis.
Les Verts ont remis sur la table en mai dernier le débat sur la 
dépénalisation du cannabis avec le dépôt d'une initiative parlementaire,
 qui sera débattue sous la Coupole. La population pourrait aussi être 
amenée à se prononcer. L'association Legalize it a déposé une initiative
 populaire ce printemps qui demande la dépénalisation du cannabis.
On peut se demander s'il n'y a pas d'autres politiques possibles et qui seraient finalement plus efficaces.  (RTS INFO)
 LES DROGUES CAPABLES DE MODIFIER L'ATTITUDE
LES DROGUES CAPABLES DE MODIFIER L'ATTITUDEL'HOMME EST FONDAMENTALEMENT BON. POUR COMMETTRE DES ATROCITES ET DEVENIR UN SERIAL KILLER, UN BARBARE, QUELQUE CHOSE A DU SE PASSER!
Le terrorisme dans le monde nous laisse entrevoir que l'homme est fondamentalement mauvais, comme le prétendent les psychiatres.
Aucun homme ne peut commettre de tels horreurs, de tels crimes en se suicidant, à moins qu'il est été endoctriné et sous l'effet des drogues!
 Les
 drogues sont apparemment capables de modifier l'attitude d'une 
personne, en transformant sa personnalité originelle en une autre qui va
 nourrir en secret des animosités et des haines qu'elle ne permettra pas
 de manifester ouvertement.
Les
 drogues sont apparemment capables de modifier l'attitude d'une 
personne, en transformant sa personnalité originelle en une autre qui va
 nourrir en secret des animosités et des haines qu'elle ne permettra pas
 de manifester ouvertement.LES ANNEES SOIXANTE
 En
 retraçant les années soixante, où la drogue atteint son apogée, 
l'agence de renseignement des Etats-Unis recruta en premier Eli Lilly 
pour fabriquer en masse de l'acide lysergique et qui utilisa le mot  
<<  trip  >> pour décrire une expérience hallucinogène.
En
 retraçant les années soixante, où la drogue atteint son apogée, 
l'agence de renseignement des Etats-Unis recruta en premier Eli Lilly 
pour fabriquer en masse de l'acide lysergique et qui utilisa le mot  
<<  trip  >> pour décrire une expérience hallucinogène. Aux
 environs du milieu des annèes soixante, l'ironie va encore plus loin 
avec ce qui constituait un poste d'observation de la CIA dans le 
quartier psychédélique de Haight-Ashubury à San Francisco. Là, des 
hyppies étaient systématiquement rendu hystériques à leur insu au moyen 
de doses de BZ super-psychédélique qui leur étaient fournies - ainsi que
 d'autres drogues -par le psychiatre contracté avec la CIA, Louis  
<<  Joly  >> West. ( Soit dit en passant, le Bz était 
l'agent qui allait être utilisé plus tard par les membres de la première
 cavalerie aéromobile avec des effets tout aussi dévastateurs sur les 
irréguliers du Vietcong.) Pendant ce temps, les analystes de la CIA à  
la Corporation Rand de Santa Monica contemplait les répercussions
 sociopolitiques que représentaient quatre millions de jeunes Américains
 prenant du LSD, tandis que plus de 7 pour 100 des soldats américains 
revenant des  zones de combat vietnamiennes étaient drogués à l'héroine -
 héroine cultivée, traitée et expédiée à Saigon par des gangs soutenus 
par la CIA.
Aux
 environs du milieu des annèes soixante, l'ironie va encore plus loin 
avec ce qui constituait un poste d'observation de la CIA dans le 
quartier psychédélique de Haight-Ashubury à San Francisco. Là, des 
hyppies étaient systématiquement rendu hystériques à leur insu au moyen 
de doses de BZ super-psychédélique qui leur étaient fournies - ainsi que
 d'autres drogues -par le psychiatre contracté avec la CIA, Louis  
<<  Joly  >> West. ( Soit dit en passant, le Bz était 
l'agent qui allait être utilisé plus tard par les membres de la première
 cavalerie aéromobile avec des effets tout aussi dévastateurs sur les 
irréguliers du Vietcong.) Pendant ce temps, les analystes de la CIA à  
la Corporation Rand de Santa Monica contemplait les répercussions
 sociopolitiques que représentaient quatre millions de jeunes Américains
 prenant du LSD, tandis que plus de 7 pour 100 des soldats américains 
revenant des  zones de combat vietnamiennes étaient drogués à l'héroine -
 héroine cultivée, traitée et expédiée à Saigon par des gangs soutenus 
par la CIA. Avec
 le recul, il est sans doute difficile d'estimer la rapidité avec 
laquelle les années soixante déraillèrent après 1967. Bien qu'à 
l'époque, au niveau de la rue, on avait tendance à blamer le crime 
organisé pour l'injection d'héroine, de méthamphétamine et de LSD impur,
 il est difficile de tenir la mafia pour responsable de ce qui marqua 
1968 comme une année de soulèvement social généralisé et de violence 
effrénée. Pour ne citer que deux chiffres : alors que les taux de 
criminalité entamaient une ascension qui allait durer trois décenniess 
et atteindre des niveaux sans précédents, cent vingt-cinq cités 
américaines explosaient en émeutes et plus de quatre mille attentats 
politiques à la bombe étaient perpétrés. Il faut également considérer 
ceci : bien que les expérimentations psychiatriques soutenues par 
l'armée aient échoué à isoler les moyens de créer le tueur parfait, le 
déversement d' hallucinogènes dans les rues de San Francisco avait eu 
tout à voir avec le façonnage de Charles Manson.
Avec
 le recul, il est sans doute difficile d'estimer la rapidité avec 
laquelle les années soixante déraillèrent après 1967. Bien qu'à 
l'époque, au niveau de la rue, on avait tendance à blamer le crime 
organisé pour l'injection d'héroine, de méthamphétamine et de LSD impur,
 il est difficile de tenir la mafia pour responsable de ce qui marqua 
1968 comme une année de soulèvement social généralisé et de violence 
effrénée. Pour ne citer que deux chiffres : alors que les taux de 
criminalité entamaient une ascension qui allait durer trois décenniess 
et atteindre des niveaux sans précédents, cent vingt-cinq cités 
américaines explosaient en émeutes et plus de quatre mille attentats 
politiques à la bombe étaient perpétrés. Il faut également considérer 
ceci : bien que les expérimentations psychiatriques soutenues par 
l'armée aient échoué à isoler les moyens de créer le tueur parfait, le 
déversement d' hallucinogènes dans les rues de San Francisco avait eu 
tout à voir avec le façonnage de Charles Manson. Charles Milles Manson, né le 12 novembre 1934 à Cincinnati, dans l'Ohio, aux États-Unis, est un criminel américain. Leader d'une communauté appelée « la famille » en pleine période hippie à la fin des années 1960, il s'est rendu célèbre par une série d'assassinats dans la région de Los Angeles en 1969.
Il a été reconnu coupable, en 1971, du meurtre, très médiatisé, de l'actrice américaine Sharon Tate, épouse du réalisateur Roman Polanski, alors enceinte, et de trois de ses amis. Il n'a pas commis lui-même les crimes, mais en a été reconnu comme le commanditaire[1],[2].
ROBERT KENNEDY
L' assassin de Rober Kennedy Sirhan Shiran était sous contrôl mental.
Depuis
 1968, l’assassin officiel dit qu’il ne se rappelle pas du moment où il a
 tiré. Et ses avocats disent que c’est parce qu’il était à ce moment 
sous l’emprise d’un contrôle mental, d’une « hypno programmation », dit 
autrement.
Un expert, prof associé en psychologie à Harvard et spécialisé dans l’hypnose, le confirme après avoir interviewé Sirhan durant
 60 heures en l’espace de trois ans. Daniel Brown, c’est son nom, 
affirme en effet que l’assassin aurait été manipulé au moment des faits,
 et même qu’il était accompagné par un moustachu à l’accent étranger, 
qui a refusé de s’identifier et de signer le registre. Le moustachu 
aurait dit à Sirhan que les officiels du gouvernement doivent être 
tués. http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/01/05/23175269.html
lundi 22 mai 2017
ISLANDE LE PEUPLE SE REVOLTE
ISLANDE 2010
Le peuple s'est révolté et a entraîné la chute du gouvernement et rejeté le sauvetage des banques privées.
Le peuple est comme un élastique, on tire...tire...tire encore, jusqu'au moment ou on lache un côté, le retour est fulgurant!
Quand tout un peuple refuse le diktat des financiers
La crise a poussé les Islandais à faire tomber 
leur gouvernement et à rejeter le sauvetage des banques privées. Une 
“révolution citoyenne” passée trop inaperçue, estime un 
hebdomadaire portugais.
Leçon démocratique n°1
Pacifiquement, les Islandais ont commencé à se rassembler quotidiennement devant l’Althingi [le Parlement islandais], exigeant la démission du gouvernement conservateur de Geir H. Haarde. Leur initiative a été couronnée de succès. A la suite d’élections anticipées, en avril 2009, une coalition de gauche formée de l’Alliance sociale-démocrate et de la Gauche verte est arrivée aux affaires, avec pour Premier ministre Jóhanna Sigurdardóttir. Cette année-là, dès le troisième trimestre, le pays est sorti de la récession.
Leçon démocratique n°2
Les clients des banques privées islandaises étaient surtout des étrangers, majoritairement étasuniens et britanniques. A la suite de la faillite de Landsbanki, les gouvernements britannique et néerlandais sont entrés en action, indemnisant leurs citoyens pour un total de 3,9 milliards d’euros et planifiant le remboursement de cette somme par l’Islande. Sauf qu’encore une fois le peuple est descendu dans la rue. Après un premier rejet massif par référendum, en mars 2010, d’un accord sur le remboursement de cette somme, les gouvernements islandais, néerlandais et britannique ont revu leur copie en prévoyant un remboursement des 3,9 milliards d’euros (12 000 euros pour chacun des 317 000 citoyens islandais) à un taux d’intérêt compris entre 3 et 3,3 % sur trente ans [au lieu de 5,5 % sur quinze ans]. Le 16 février 2011, le Parlement approuvait la loi, provoquant une nouvelle fois l’ire populaire. Après plusieurs jours de protestation dans la capitale [et une pétition signée par 40 000 citoyens], le président de l’Islande refusait, comme en 2010, de promulguer le texte et appelait à un nouveau référendum pour le 9 avril.
Leçon démocratique n°3
Pendant que le pays se prépare pour un nouvel exercice démocratique, les responsables des dettes qui ont coulé les Islandais commencent à être mis en cause – essentiellement du fait de la pression populaire sur le gouvernement de coalition, le seul au monde, semble-t-il, prêt à enquêter sur ces crimes financiers. Sigurdur Einarsson, ancien président du conseil d’administration de la banque Kaupthing, en exil à Londres, s’est dit prêt à revenir en Islande – à condition de ne pas être emprisonné – pour aider les enquêteurs. Einarsson est suspecté de fraude et de falsification de documents.
Mais la grande victoire populaire de ces derniers mois a été le feu vert donné par le gouvernement à la création d’une Assemblée constituante composée de 25 Islandais sans filiation partisane. Celle-ci a été élue le 27 novembre 2010 parmi 522 citoyens ordinaires. La nouvelle Constitution remplacera celle de 1944, année où la République islandaise fut proclamée. Elle intégrera, entre autres, l’Initiative Media [voir ci-contre], qui vise à faire du pays un lieu sûr pour les journalistes et leurs sources. C’est en quelque sorte la leçon numéro 4 donnée au monde, alors que la révolution islandaise est en train de passer inaperçue dans les médias internationaux.
Luciano Pavarotti & James Brown
jeudi 18 mai 2017
CROISIERE DE REVE SUR LE LEMAN

BABORD - TRIBORD
Croisière de rêve sur ce bateau, c’est possible sur le Lac Léman – Montreux!
Offrez-vous une magnifique croisière sur le lac Léman!
Avec en prime, un excellent repas en France voisine sur une terrasse au bord du lac, pied dans l'eau...
Demande de réservation pour croisière privée...
http://www.babord-tribord.ch/
samedi 13 mai 2017
MACRON LE PRINCE
 NICOLAS MACHIAVEL (1515) 
 
A écrit une fois un livre appelé Le Prince, et Le Prince a comme première partie, << Comment devenir un grand dirigeant >>, et comme seconde partie, << Comment le rester >>.
Et Napoléon et Hitler et toutes sortes de gens ont dit au cours des temps...
eh bien, qu'ils avaient lu Le Prince de Machiavel et qu'ils l'avaient mis en pratique à fond, et ils ont pris la première moitié et ils n'ont jamais lu la deuxième moitié. Il ne l'ont jamais fait, et ils ne le restent pas.
Oui, Machiavel. C’est en se penchant sur la biographie du jeune Macron que l’on établit le lien entre les deux personnages. Alors qu’il est étudiant, l’actuel leader d’En Marche mène son DEA à l’Université de Nanterre sur un certain Nicolas Machiavel.
A écrit une fois un livre appelé Le Prince, et Le Prince a comme première partie, << Comment devenir un grand dirigeant >>, et comme seconde partie, << Comment le rester >>.
Et Napoléon et Hitler et toutes sortes de gens ont dit au cours des temps...
eh bien, qu'ils avaient lu Le Prince de Machiavel et qu'ils l'avaient mis en pratique à fond, et ils ont pris la première moitié et ils n'ont jamais lu la deuxième moitié. Il ne l'ont jamais fait, et ils ne le restent pas.
Oui, Machiavel. C’est en se penchant sur la biographie du jeune Macron que l’on établit le lien entre les deux personnages. Alors qu’il est étudiant, l’actuel leader d’En Marche mène son DEA à l’Université de Nanterre sur un certain Nicolas Machiavel.
 LA THÉORIE DES GOUVERNEMENTS
 Combien il y a de sortes de républiques, et de quelle espèce fut la république romaine
On  peut  appeler  heureuse  la  république  à  qui  le  destin  accorde  un  homme  
tellement  prudent,  que  les  lois  qu'il  lui  donne  sont  combinées  de  manière  à  pouvoir assurer la tranquillité de chacun sans qu'il soit besoin d'y porter la réforme. Et c'est 
ainsi  qu'on  voit  Sparte  observer  les  siennes  pendant  plus  de  huit  siècles,  sans altération et sans désordre dangereux.
Au  contraire,  on  peut  considérer  comme malheureuse la cité qui, n'étant pas tombée aux mains d'un sage législateur, est obligée de rétablir elle-même l'ordre dans son sein. Parmi les villes de ce genre, la plus malheureuse est celle qui se trouve éloignée de l'ordre; et celle là en est plus éloignée, dont les institutions se trouvent toutes détournées de ce droit chemin qui peut la conduire à son but parfait et véritable, car il est presque impossible qu'elle trouve dans cette position quelque événements heureux qui rétablissent l'ordre dans son sein. Celle au contraire, dont la constitution est imparfaite, mais dont les principes sont bons et susceptible de s'améliorer, peuvent, suivant le cours des événements, s'élever jusqu'à la perfection. Mais on doit être persuadé que jamais les réformes ne se feront sans danger; car la plupart des hommes ne se lient pas volontiers à une loi nouvelle, lorsqu'elle établit dans la cité un nouvel ordre de chose auquel ils ne sentent pas la nécessité de se soumettre; et cette nécessité n'arrivant jamais sans périls, il peut se faire aisément qu'une république périsse avant d'avoir atteint à un ordre parfait. Celle de Florence en est une preuve frappante: réorganisée après la révolte d'Arezzo, en 1502, elle a été bouleversée de nouveau après la prise de Prato, en 1512. 
Voulant faire connaître quelle furent les formes du gouvernement de Rome, et par quel concours de circonstance elles atteignirent à la perfection, je dirai comme ceux qui ont écrit sur l'organisation des Etats, qu'il existe trois espèces de gouvernement, appelés monarchique aristocratique
gouvernements,  appelés  monarchique,  aristocratique ou populaire, et que tous ceux qui veulent établir l'ordre dans la cité doivent choisir entre ces trois espèces celle qui convient le mieux à leurs desseins. 
D'autres plus éclairés, suivant l'opinion générale, pensent qu'il existe six formes de gouvernements, dont trois sont tout à fait mauvaises; les trois autres sont bonnes en elles-mêmes, mais elles dégénèrent si facilement, qu'il arrive aussi qu'elles deviennent dangereuses. Les bons gouvernements sont les trois que nous avons précédemment indiqués; les mauvais sont ceux qui en dérivent; et ces derniers ont tant de ressemblance avec ceux auxquels ils correspondent, qu'ils se confondent sans peine. Ainsi la monarchie se change en despotisme, l'aristocratie tombe dans l'oligarchie et la démocratie se convertit promptement en licence. En conséquence, tout législateur qui adopte pour l'Etat qu'il fonde un de ces trois gouvernements, ne l'organise que pour bien peu de temps; car aucun remède ne peut l'empêcher de se précipiter dans l'Etat contraire, tant le bien et le mal ont dans ce cas de ressemblance. 
Le hasard seul a fait naître parmi les hommes cette variété de gouvernement; car, au commencement du monde, les habitants de la terre en petit nombre, et ils vécurent longtemps dispersés comme les animaux; la population s'étant accrue, ils se réunirent; et, afin de mieux défendre, ils commencèrent à distinguer celui qui parmi eux était le plus robuste et le plus courageux; ils en firent comme leur chef et lui obéirent. De là résulta la connaissance de ce qui était utile et honnête, en opposition avec ce qui était pernicieux et coupable. On vit que celui qui nuisait à son bienfaiteur faisait naître chez les hommes la haine pour les oppresseurs et la pitié pour leurs victimes; on détesta les ingrats; on honora ceux qui se montraient reconnaissants; et, dans la crainte d'éprouver à son tour les mêmes injures qu'avaient reçues les autres, on s'avisa d'opposer à ces maux la barrière des lois et d'infliger des punitions à ceux qui tenteraient d'y contrevenir. Telles furent les premières notions de la justice.
Alors, quand il fut question d'élire un chef, on cessera d'aller à la recherche du plus courageux, on choisit le plus sage, et surtout le plus juste; mais le prince venant ensuite à régner par droit de succession et non par le suffrage du peuple, les héritiers dégénèrent bientôt de leurs ancêtres; 
dégénérèrent  bientôt  de  leurs  ancêtres;  négligeant tout acte de vertu, ils se persuadèrent qu'ils n'avaient autre chose à faire qu'à surpasser leurs semblables en luxe, en mollesse et en tout genre de voluptés. Le prince commença dès lors à exciter la haine; la haine l'environna de terreur; mais, passant promptement de la crainte à l'offense, la tyrannie ne tarda pas à naître. Telles furent les causes de la chute des princes; alors s'ourdirent contre eux les conjurations, les complots, non plus d'homme faibles ou timides, mais où l'on vit entrer surtout ceux qui surpassaient les autres en générosité,
 surpassaient les autres en générosité,en grandeur d'âme, en richesse, en naissance, et qui ne pouvaient supporter la vie criminelle d'un tel prince. 
La multitude, entraînée par l'exemple des grands, s'armait contre le souverain, et après son châtiment elle leur obéissait comme à ses libérateurs. Ces derniers, haïssant jusqu'au  nom  du  prince,  organisaient  entre  eux  un  gouvernement,  et,  dans  les  commencement, retenus par l'exemple de la précédente tyrannie, ils conformaient leur conduite aux lois qu'ils avaient données: préférant  le  bien  publie  à  leur  propre avantage,   ils   gouvernaient   avec   justice   et veillaient avec le même soin à la conservation des intérêts communs et particuliers. Lorsque le pouvoir passa dans les mains de leurs fils, comme ces derniers ignoraient les caprices de la fortune, et que le malheur ne les avait point éprouvés, ils ne voulurent point se contenter de l'égalité civile; mais, se livrant à l'avarice et à l'ambition, arrachant les femmes à leurs maris, ils  changèrent  le  gouvernement,  qui  jusqu'alors  avait  été  aristocratique,  en  une oligarchie qui ne respecta plus aucun des droits des citoyens. Ils éprouvèrent bientôt le  même  sort  que  le  tyran  :  la  multitude,  fatiguée  de  leur  domination,  se  fit l'instrument  de  quiconque  voulait  la  venger  de ses oppresseurs,  et  il  ne  tarda  pas  à s'élever un homme qui, avec l'appui du peuple, parvint à les renverser. 
La  mémoire  du  prince  et  de  ses  outrages  vivait  encore,  l'oligarchie  venait  d'être détruite,  et  l'on  ne  voulait  pas  rétablir  le  pouvoir  d'un  seul. On  se  tourna  vers  l'état populaire, et on l'organisa de manière que ni le petit nombre des grands, ni le prince, n'y  obtinrent  aucune  autorité.  Comme  tout  gouvernement  inspire  à  son  origine quelque respect, l'état populaire se maintint d'abord, mais pendant bien peu de temps, surtout lorsque la génération qui l'avait établi fut éteinte; car on ne fut pas longtemps sans tomber dans un état de licence où l'on ne craignit plus ni les simples citoyens, ni les  hommes  publics  :  de  sorte  que,  tout  le monde  vivant  selon  son  caprice,  chaque jour  était  la  source  de  mille  outrages.  Contraint  alors  par  la  nécessité,  ou  éclairé  par les  conseils  d'un  homme  sage, ou  fatigué  d'une  telle  licence, on  en  revint  à  l'empire d'un  seul,  pour  retomber  encore  de  chute  en chute,  de  la  même  manière  et  par  les mêmes causes, dans les horreurs de l'anarchie. 
Tel est le cercle dans lequel roulent tous les États qui ont existé ou qui subsistent encore.  Mais  il  est  bien  rare  que  l'on  revienne  au  point précis  d'où  l'on  était  parti, parce  que  nul  empire  n'a  assez  de  vigueur pour  pouvoir  passer  plusieurs  fois  par  les mêmes  vicissitudes  et  maintenir  son  existence.  Il  arrive  souvent  qu'au  milieu  de  ses bouleversements  une  république, privée  de  conseils  et  de  force,  devient  la  sujette  de quelque État voisin plus sagement gouverné ; mais si cela n'arrivait point, un empire pourrait parcourir longtemps le cercle des mêmes révolutions. 
Je  dis  donc  que,  toutes  ces  formes  de gouvernements  offrent  des  inconvénients égaux  :  les  trois  premières,  parce  qu'elles n'ont  pas  d'éléments  de  durée;  les  trois autres,  par  le  principe  de  corruption  qu'elles  renferment.  Aussi  tous  les  législateurs renommés  par  leur  sagesse, ayant  reconnu  le  vice  inhérent  à  chacun,  ont  évité d'employer  uniquement  un  de  ces  modes  de gouvernement;  ils  en  ont  choisi  un  qui participait de tous, le jugeant plus solide et plus stable, parce que le prince, les grands et le peuple, gouvernant ensemble l'État, pouvaient plus facilement se surveiller entre eux.  Parmi  les  législateurs  qu'ont  illustrés  de  semblables  constitutions,  le  plus  digne d'éloges   est   Lycurgue.   Dans   les   lois   qu'il   donna   à   Sparte,   il   ont   tellement contrebalancer le pouvoir du roi, des grands et du peuple, qu'à sa grande gloire l'État se maintint en paix pendant plus de huit cents années. 
Il  arriva  le  contraire  à  Solon,  qui  dicta des  lois  à  Athènes,  et  qui,  pour  n'y  avoir établi que le gouvernement populaire, ne lui assura qu'une existence tellement éphé-mère,  qu'avant  sa  mort  même  il  vit  éclore la  tyrannie  de  Pisistrate.  Quoique  ensuite les  héritiers  du  tyran  eussent  été  chassés  au bout  de  quarante  ans,  et  qu'Athènes  eût recouvré  sa  liberté,  comme  on  se  borna  à  rétablir  le  gouvernement  de  Solon,  il  ne dura  pas  plus  d'un  siècle,  malgré  les  amendements  qu'on  y  fit  pour  le  consolider  et pour réprimer l'insolence des grands et la licence de la multitude, deux vices auxquels Solon  n'avait  point  assez  fait  attention  :  aussi,  comme  il  ne  fit  intervenir  dans  sa constitution ni l'autorité du prince, ni celle des grands, Athènes n'eut qu'une existence extrêmement bornée eu comparaison de Lacédémone. 
Mais  venons  à  Rome.  Cette  ville,  dans  le principe,  n'eut  point,  il  est  vrai,  un Lycurgue  pour  lui  donner  des  lois  et  pour y  établir  un  gouvernement  capable  de conserver  longtemps  sa  liberté  :  cependant,  par  suite  des  événements  que  fit  naître dans son sein la jalousie qui divisa toujours le peuple et les grands, elle obtint ce que le  législateur  ne  lui  avait  pas  donné.  En effet,  si  Rome  ne  jouit  pas  du  premier avantage  que  j'ai  d'abord  indiqué,  elle  eut  du  moins  la  second  en  partage  ;  et  si  ses premières lois furent défectueuses, elles ne s'écartèrent jamais du chemin qui pouvait les conduire à la perfection. Romulus et les autres rois firent une multitude de bonnes lois,  excellentes  même  pour  un  gouvernement libre  ;  mais  comme  leur  but  principal avait  été  de  fonder  une  monarchie  et  non  une république,  quand  cette  ville  recouvra son indépendance, on s'aperçut que les besoins de la liberté réclamaient une foule de dispositions  que  les  rois  n'avaient  point  songé  à  établir.  Et  quoique  ces  rois  eussent perdu la couronne par les causes et de la manière que nous avons indiquées ci-dessus, ceux qui les chassèrent ayant aussitôt établi deux consuls pour tenir lieu du roi, on ne fit  que  bannir  de  Rome  le titre  et  non  l'autorité  royale  de  sorte  que  la  république, renfermant dans son sein de consuls  et  un  sénat,  ne  présenta d'abord que le mélange de  deux  des  trois  éléments  indiqués,  c'est-à-dire  la  monarchie  et  l'aristocratie.  Il  ne restait  plus  à  y  introduire  que  le  gouvernement  populaire.  La  noblesse  romaine, enorgueillie  par  les  causes  que  nous  développerons  ci-après,  souleva  contre  elle  le ressentiment du peuple ; et, pour ne pas tout perdre, elle fut contrainte à lui céder une partie  de  l'autorité  ;  mais,  d'un  autre  côté,  le  sénat  et  les  consuls  en  retinrent  assez pour conserver dans l'État le rang qu'ils y occupaient. 
C'est  à  ces  causes  qu'est  due  l'origine  des  tribuns  du  peuple,  dont  l'institution affermit  la  république,  parce  que  chacun  des  trois  éléments  du  gouvernement  obtint une part d'autorité. La fortune favorisa tellement Rome, que, quoiqu'elle passât de la royauté  et  de  l'aristocratie  au  gouvernement  populaire, en  suivant  les  gradations amenées  par  les  mêmes  causes  que  nous  avons  développées,  cependant  on  n'enleva point au pouvoir royal toute l'autorité pour la donner aux grands; on n'en priva point non  plus  les  grands  en  faveur  du  peuple  ; mais  l'équilibre  des  trois  pouvoirs  donna naissance à une république parfaite. 
http://leviethandusavoir.e.l.f.unblog.fr/files/2010/01/leprince1.pdf
LES ROIS INVISIBLES
Assassinat de la famille Kennedy -!
Le président Kennedy a été assassiné pour 2 raisons:
1. En
 1963, le président Kennedy a signé le traité d'interdiction des essais 
nucléaires interdisant les essais nucléaires dans l'atmosphère, l'espace
 et sous-marines. 
Immédiatement après la mort du Président, le 25e amendement a été introduit qui a presque fait Nelson Rockefeller Président à vie! 
Il fut assassiné pour une troisième chose importante et étouffé depuis bien longtemps par la propagande :En 1963, John F. Kennedy utilisa la Constitution américaine qui affirme :  
2.« Le Congrès aura le pouvoir de battre la monnaie et d'en réguler la valeur. »
Kennedy mit fin au pouvoir de la Federal Reserve d'imprimer la monnaie et de la prêter au gouvernement avec intérêt en signant l'Executive Order 11.110 le 4 juin 1963. La directive appelait à la production de 4.3 trillions de dollars en billets des États-Unis par le Trésor US et non par la Federal Reserve. Il signa aussi une loi rendant les billets de un et deux dollars convertibles en or ce qui renforça la monnaie nouvellement émise par le gouvernement. James J Saxon, le contrôleur des finances de Kennedy, encouragea plus d'investissements et de pouvoirs de prêts pour les banques qui ne faisaient pas partie du système de la Federal Reserve. Il encouragea aussi ces mêmes banques à traiter directement avec les institutions financières locales et étatiques. En écartant les banques de la Federal Reserve des investissements de capitaux, Kennedy les aurait brisées et détruites.
 
  La vérité sur le combat d'un président héros qui affronta dans l'ombre avec son frère les rois invisibles des États Unis.
Le membre du Congrès CHARLES LINDBERGH disait déjà à ce moment-là en parlant de la nouvelle Federal Reserve Bank que sa puissance financière faisait d'elle le "gouvernement invisible".
 Le combat de titan des Frères Kennedy pour libéré leur pays des griffes des Rockefellers et Rothchilds
Le combat de titan des Frères Kennedy pour libéré leur pays des griffes des Rockefellers et Rothchilds
Le 4 juin le Président John F. Kennedy qui
 était le trente-cinquième Président des États-Unis 1961 - 1963) signe 
l'ordre exécutif 11110 qui a redonner au gouvernement des États-Unis la 
puissance de publier la devise, sans passer par la réserve fédérale La FED possédée par Rosthchilds et Rockefeller. Moins de 6 mois plus tard le 22 novembre, le Président Kennedy
 est assassiné par les Rothschilds et Rockefeller pour la même raison 
qu'ils ont assassiné le Président Abraham Lincoln en 1865, JFK a
 voulu imprimer l'argent américain pour les personnes américaines, ainsi
 il s'opposait au contrôle de la création d’argent alors JFK déclara une
 guerre contre la création d'argent par une l'élite étrangère non américaine . Cet ordre exécutif 11110, est
 annulé par le Président Lyndon Baines Johnson (le trente-sixième 
Président des États-Unis 1963 1969) sur Air Force One de Dallas vers 
Washington, le même jour, Alors que le Président Kennedy a été assassiné fraîchement est-ce un hasard?.Le Président John F. Kennedy a voulu changer les commandes de Réserve fédérale par l'intermédiaire de son ordre exécutif 11110 Après que M. Kennedy
 ait été assassiné juste cinq mois plus tard, plus de certificats 
d'argent n'ont été délivrés. L'appel final a appris que l'ordre exécutif
 n'a jamais été abrogé par n'importe quel président des États-Unis par 
un ordre exécutif alors l'ordre exécutif 11110 est encore valide. 
Pourquoi alors aucun président ne l'a-t-il utilisé ? Une dette 
inimaginable pratiquement incroyable a été créés depuis 1963, et si un 
président des États-Unis avait utilisé l'ordre exécutif 11110 la dette 
actuelle du développent américain serait nulle . Peut-être l'assassinat 
de JFK était un avertissement aux futurs présidents qui
 penseraient éliminer la dette des États-Unis en éliminant le Réserve 
fédéral Les rois invisibles contrôlent la création monétaire. M. Kennedy a défié le gouvernement de l'argent les enfoirés de rois invisibles. En contestant la Fed
LA FED
 Comment fonctionne, à vrai dire, cette banque ?
Comment fonctionne, à vrai dire, cette banque ?
Le "Comité du marché libre" de la Fed produit des "billets de la Federal reserve" (des dollars). Ces billets sont prêtés au gouvernement des États-Unis en échange d'obligations qui servent de sécurité à la Fed. Ces obligations sont entre les mains des douze banques Fed qui en touchent annuellement des intérêts.
Remarque sur la situation actuelle :
En 1982, le fisc des États-Unis accusait une dette d'environ 1.070.241 millions de $ (...ou 1 trillion de $). La Fed récolta donc environ 115.800 millions de $ d'intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la Fed, donc dans celles des banquiers privés internationaux.
En 1992, les obligations possédées par la Fed étaient d'une valeur d'environ 5.000.000 millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C'est la Fed qui a créé tout ce capital en prêtant de l'argent au gouvernement américain et en touchant des intérêts élevés, elle n'a eu qu'à payer les frais d'impression. C'est la plus grande duperie de l'histoire des États-Unis et personne ne l'a remarquée. En plus, la Fed, grâce aux obligations du gouvernement américain, à le droit de gage sur les propriétés publiques et privées de tous les États-Unis. D'innombrables procédures juridiques sont restées jusqu'ici sans effet et n'ont pu annuler la loi de la "Federal Reserve". Juridiquement, il n'y a aucune possibilité pour les citoyens de récupérer leur argent puisque la Fed n'est pas un département du gouvernement américain, mais une institution privée. D'après le droit constitutionnel,la Fed n'aurait même pas le droit d’exister.
C'est pourquoi neuf États des États-Unis ont déjà entamé une "procédure d'État" pour annuler la Fed.
Quant à Ronald Reagan, qui faisait partie des esclavagistes internationaux et qui les servi convenablement durant presque tout son règne, il voulut, vers la fin de son dernier mandat de président, libérer les américains de l'emprise des Maîtres Esclavagistes de cette Planète. C'est pourquoi ces derniers lui firent une publicité particulière pour le convaincre de fermer sa gueule et de quitter sa fonction publique en douce... Ils déclarèrent dans les journaux sous leur contrôle que Ronald Reagan était vieux, malade, sénile... sous-entendant qu'il était fini et inapte à continuer de gouverner. Et s'il n'avait pas obtempéré à leur menace suggestive, ils l'auraient tout simplement tué!!!
Tout comme John F. Kennedy, Abraham Lincoln et bien d'autres moins connus, Reagan connaissait la solution de parade à l'esclavagisme éhonté que nous font subir les grandes Banques sous l’emprise des Rothschild, des Rockefeller et d'autres encore ainsi que leurs tentacules ou organes mondiaux et internationaux de contrôle monétaire.
LE PRESIDENT KENNEDY
 avait compris que le système 
monétaire américain  asservissait toute la population ainsi que son 
activité économique internationnale. Ce système monétaire privé, qui 
était fondamentalement un système d'asservissement automatisé, devait 
être remplacé par un système monétaire gouvernemental  publique 
(institutionnel) avec bénéfice éventuel devant profiter à chaque 
citoyen. Ce serait là l'ultime libération de l'esclavagisme déguisé du 
petit peuple et que pour cela, il n'y avait pas d'autre solution! Cet 
esclavagisme sournois sapait tout autre effort pour accroître la 
richesse collective et qu'il devait être éradiqué de nos sociétés. C'est
 là l'une des raisons importantes pour lesquelles,il a été assassiné par
 la CIA...
avait compris que le système 
monétaire américain  asservissait toute la population ainsi que son 
activité économique internationnale. Ce système monétaire privé, qui 
était fondamentalement un système d'asservissement automatisé, devait 
être remplacé par un système monétaire gouvernemental  publique 
(institutionnel) avec bénéfice éventuel devant profiter à chaque 
citoyen. Ce serait là l'ultime libération de l'esclavagisme déguisé du 
petit peuple et que pour cela, il n'y avait pas d'autre solution! Cet 
esclavagisme sournois sapait tout autre effort pour accroître la 
richesse collective et qu'il devait être éradiqué de nos sociétés. C'est
 là l'une des raisons importantes pour lesquelles,il a été assassiné par
 la CIA...
DALLAS 1963
La mort de John Fitzgerald Kennedy
n'est plus un mystère; l'assassin principal et final ainsi que la raison de son assassinat sont connus...
Voici,à part le "complot des tireurs triangulaires" ,une théorie qui accuse le chauffeur de la voiture présidentielle:
 À partir de la vidéo de Zapruder qui circule sur Internet (sur
 le WEB) depuis de nombreuses années, et vu dans le monde entier, il 
était déjà possible de percevoir et de voir ce qu'il en était... surtout
 si on le regardait image par image ou bout de séquence par bout de 
séquence avec beaucoup d'attention. Le mouvement de tête de Kennedy qui 
recevait une balle à la tête indiquait que celle-ci provenait de l'avant
 et se dirigeait vers l'arrière. Aussi, Madame Jackie Kennedy, en 
humaine normale, tentât de s'enfuir dans la direction opposée à la 
menace ambiante qui venait d'atteindre son mari et qui était 
perceptible par le bruit, indiquant clairement qu'il s'agissait d'un 
révolver ou d'un pistolet dans leur environnement immédiat! Quant à la 
provenance perçue par elle, sa réaction instinctive de fuite vers et par
 l'arrière de la voiture (ce qui nous apparaissait être complètement 
insensé à prime abord) nous l'indiquait clairement: Il s'agissait du 
chauffeur sur la banquette avant de la voiture, juste en avant d'elle...
 De plus, le gouverneur Cohanley, venait de recevoir plusieurs balles 
aux jambes et dans le thorax par la même provenance et s'était affaissé à
 ses pieds quelques secondes auparavant. Les balles avaient probablement
 été tirées par-dessous la baie vitrée. Et ce chauffeur avait terminé 
son travail  par-dessus cette baie anti-balle pour atteindre le 
président  JF Kennedy aux vues de Jackie.
    À partir de la vidéo de Zapruder qui circule sur Internet (sur
 le WEB) depuis de nombreuses années, et vu dans le monde entier, il 
était déjà possible de percevoir et de voir ce qu'il en était... surtout
 si on le regardait image par image ou bout de séquence par bout de 
séquence avec beaucoup d'attention. Le mouvement de tête de Kennedy qui 
recevait une balle à la tête indiquait que celle-ci provenait de l'avant
 et se dirigeait vers l'arrière. Aussi, Madame Jackie Kennedy, en 
humaine normale, tentât de s'enfuir dans la direction opposée à la 
menace ambiante qui venait d'atteindre son mari et qui était 
perceptible par le bruit, indiquant clairement qu'il s'agissait d'un 
révolver ou d'un pistolet dans leur environnement immédiat! Quant à la 
provenance perçue par elle, sa réaction instinctive de fuite vers et par
 l'arrière de la voiture (ce qui nous apparaissait être complètement 
insensé à prime abord) nous l'indiquait clairement: Il s'agissait du 
chauffeur sur la banquette avant de la voiture, juste en avant d'elle...
 De plus, le gouverneur Cohanley, venait de recevoir plusieurs balles 
aux jambes et dans le thorax par la même provenance et s'était affaissé à
 ses pieds quelques secondes auparavant. Les balles avaient probablement
 été tirées par-dessous la baie vitrée. Et ce chauffeur avait terminé 
son travail  par-dessus cette baie anti-balle pour atteindre le 
président  JF Kennedy aux vues de Jackie.
ZAPRUDER DALLAS 1963
Le "Comité du marché libre" de la Fed produit des "billets de la Federal reserve" (des dollars). Ces billets sont prêtés au gouvernement des États-Unis en échange d'obligations qui servent de sécurité à la Fed. Ces obligations sont entre les mains des douze banques Fed qui en touchent annuellement des intérêts.
Remarque sur la situation actuelle :
En 1982, le fisc des États-Unis accusait une dette d'environ 1.070.241 millions de $ (...ou 1 trillion de $). La Fed récolta donc environ 115.800 millions de $ d'intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la Fed, donc dans celles des banquiers privés internationaux.
En 1992, les obligations possédées par la Fed étaient d'une valeur d'environ 5.000.000 millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C'est la Fed qui a créé tout ce capital en prêtant de l'argent au gouvernement américain et en touchant des intérêts élevés, elle n'a eu qu'à payer les frais d'impression. C'est la plus grande duperie de l'histoire des États-Unis et personne ne l'a remarquée. En plus, la Fed, grâce aux obligations du gouvernement américain, à le droit de gage sur les propriétés publiques et privées de tous les États-Unis. D'innombrables procédures juridiques sont restées jusqu'ici sans effet et n'ont pu annuler la loi de la "Federal Reserve". Juridiquement, il n'y a aucune possibilité pour les citoyens de récupérer leur argent puisque la Fed n'est pas un département du gouvernement américain, mais une institution privée. D'après le droit constitutionnel,la Fed n'aurait même pas le droit d’exister.
C'est pourquoi neuf États des États-Unis ont déjà entamé une "procédure d'État" pour annuler la Fed.
Quant à Ronald Reagan, qui faisait partie des esclavagistes internationaux et qui les servi convenablement durant presque tout son règne, il voulut, vers la fin de son dernier mandat de président, libérer les américains de l'emprise des Maîtres Esclavagistes de cette Planète. C'est pourquoi ces derniers lui firent une publicité particulière pour le convaincre de fermer sa gueule et de quitter sa fonction publique en douce... Ils déclarèrent dans les journaux sous leur contrôle que Ronald Reagan était vieux, malade, sénile... sous-entendant qu'il était fini et inapte à continuer de gouverner. Et s'il n'avait pas obtempéré à leur menace suggestive, ils l'auraient tout simplement tué!!!
Tout comme John F. Kennedy, Abraham Lincoln et bien d'autres moins connus, Reagan connaissait la solution de parade à l'esclavagisme éhonté que nous font subir les grandes Banques sous l’emprise des Rothschild, des Rockefeller et d'autres encore ainsi que leurs tentacules ou organes mondiaux et internationaux de contrôle monétaire.
LE PRESIDENT KENNEDY
DALLAS 1963
La mort de John Fitzgerald Kennedy
n'est plus un mystère; l'assassin principal et final ainsi que la raison de son assassinat sont connus...
Voici,à part le "complot des tireurs triangulaires" ,une théorie qui accuse le chauffeur de la voiture présidentielle:
 À partir de la vidéo de Zapruder qui circule sur Internet (sur
 le WEB) depuis de nombreuses années, et vu dans le monde entier, il 
était déjà possible de percevoir et de voir ce qu'il en était... surtout
 si on le regardait image par image ou bout de séquence par bout de 
séquence avec beaucoup d'attention. Le mouvement de tête de Kennedy qui 
recevait une balle à la tête indiquait que celle-ci provenait de l'avant
 et se dirigeait vers l'arrière. Aussi, Madame Jackie Kennedy, en 
humaine normale, tentât de s'enfuir dans la direction opposée à la 
menace ambiante qui venait d'atteindre son mari et qui était 
perceptible par le bruit, indiquant clairement qu'il s'agissait d'un 
révolver ou d'un pistolet dans leur environnement immédiat! Quant à la 
provenance perçue par elle, sa réaction instinctive de fuite vers et par
 l'arrière de la voiture (ce qui nous apparaissait être complètement 
insensé à prime abord) nous l'indiquait clairement: Il s'agissait du 
chauffeur sur la banquette avant de la voiture, juste en avant d'elle...
 De plus, le gouverneur Cohanley, venait de recevoir plusieurs balles 
aux jambes et dans le thorax par la même provenance et s'était affaissé à
 ses pieds quelques secondes auparavant. Les balles avaient probablement
 été tirées par-dessous la baie vitrée. Et ce chauffeur avait terminé 
son travail  par-dessus cette baie anti-balle pour atteindre le 
président  JF Kennedy aux vues de Jackie.
    À partir de la vidéo de Zapruder qui circule sur Internet (sur
 le WEB) depuis de nombreuses années, et vu dans le monde entier, il 
était déjà possible de percevoir et de voir ce qu'il en était... surtout
 si on le regardait image par image ou bout de séquence par bout de 
séquence avec beaucoup d'attention. Le mouvement de tête de Kennedy qui 
recevait une balle à la tête indiquait que celle-ci provenait de l'avant
 et se dirigeait vers l'arrière. Aussi, Madame Jackie Kennedy, en 
humaine normale, tentât de s'enfuir dans la direction opposée à la 
menace ambiante qui venait d'atteindre son mari et qui était 
perceptible par le bruit, indiquant clairement qu'il s'agissait d'un 
révolver ou d'un pistolet dans leur environnement immédiat! Quant à la 
provenance perçue par elle, sa réaction instinctive de fuite vers et par
 l'arrière de la voiture (ce qui nous apparaissait être complètement 
insensé à prime abord) nous l'indiquait clairement: Il s'agissait du 
chauffeur sur la banquette avant de la voiture, juste en avant d'elle...
 De plus, le gouverneur Cohanley, venait de recevoir plusieurs balles 
aux jambes et dans le thorax par la même provenance et s'était affaissé à
 ses pieds quelques secondes auparavant. Les balles avaient probablement
 été tirées par-dessous la baie vitrée. Et ce chauffeur avait terminé 
son travail  par-dessus cette baie anti-balle pour atteindre le 
président  JF Kennedy aux vues de Jackie.ZAPRUDER DALLAS 1963
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