SENSATIONS PERCEPTIONS
LE SEXE
Le sexe est une sensation qui procure du plaisir assez bonne. Cependant, il existe d'autres sensations bien supérieures au sexe! Par exemple, le bonheur pourrait se définir à un but. Tout ce qui est entrepris en direction d'un but jusqu'à sa réalisation apporte du plaisir. Un artiste qui est en train de réaliser une oeuvre, un entrepreneur qui construit un pont, un parolier qui écrit une chanson, etc. Ce n'est pas comparable au sexe, c'est bien au-dessus
Pour avoir du plaisir, les perceptions d'un individu doivent être en bon état. Il en existe pas moins d'une cinquantaine hormis la vue, le toucher, l'odorat, ou l'ouie.
Les médicaments, psychotropes, l'alcool, les drogues, les insecticides, pesticides et bien d'autre produits altèrent les perceptions.
Une fois que les perceptions sont dénaturés, à quoi bon vivre! L'individu n'est plus capable de ressentir du plaisir, du bonheur et la vie devient un enfer.
Etre effet de certaines sensations en consommant des substances néfastes devient un piège. Ces substances prennent le contrôle sur l'individu. Il n'est plus au commande de sa vie.
Par Pierre-André Doriot
UN MONDE EMPOISONNE ET DROGUE
Une addiction est simplement une chose qui procure du plaisir, une habitude qui devient rapidement un piège dont on a plus le contrôle. La chose contrôle l'individu.
On pourrait dire que chaque chose qui procure une sensation ou du plaisir est un piège, si l'individu ni prend pas garde et cesse de la contrôler d'une manière à rester maître de cette chose.
Avant que la structure, le cerveau dicte la conduite à suivre, la fonction, l'être, qui est au-dessus de la structure commande. Pour cela la personne doit être saine d'esprit et en bonne forme.
Le cerveau ou la structure est comme un ordinateur, si les données sont correctes, il fonctionnera correctement, mais si les données sont fausses ou incorrectes, il fonctionnera incorrectement et sera aberré.
Toute sorte de pièges se trouvent dans l'environnement, ce qui fait un jeu. En connaissant suffisamment les règles du jeu de cet univers, il est plus aisé pour un individu de gagner et d'apprécier la vie.
Les addictions les plus connues comme l'alcool, les drogues, le sexe, les jeux (casino, loterie, tiercé, etc.) sans compter toutes les autres addictions que l'on ne pense pas être des addictions, (ex. l'excès de chocolat,
ou de sport, d'aliments, d'argent, d'objets et tant d'autres qui ruinent notre santé physique et psychique.
Notre planète se heurte à un obstacle qui entrave tout progrès social d’envergure : les drogues et autres substances biochimiques.
Notre culture a profondément souffert de la prolifération fulgurante des drogues, qui a commencé dans les années soixante, et qui se poursuit sans répit encore de nos jours. Des années avant cette décennie tumultueuse, les psychiatres avaient déjà préconisé le recours aux drogues comme solution thérapeutique à une multitude de conditions mentales et émotionnelles. Prenons l’exemple du L.S.D. : Ron Hubbard avait donné l’alerte sur les dangers qu’il représentait pour la société dès 1951. Mais il fut néanmoins l’objet d’une publicité soutenue de la part de la psychiatrie qui l’a abondamment utilisé pendant les années cinquante et soixante pour le traitement de certains états mentaux. Par la suite, il s’est propagé dans toutes les couches de la société et on l’a présenté comme un moyen d’atteindre l’illumination. C’est ainsi que le marché illégal des stupéfiants a connu un essor sans précédent. L’ingestion de narcotiques, de stimulants et d’autres substances est devenue chose de plus en plus acceptable et banale. Autrefois, restreint à une partie minime de la société, l’abus de ces drogues s’est multiplié en une véritable épidémie pendant les années soixante parmi les étudiants dans les universités et s’est propagé à partir de là.
Avec la bénédiction des géants de l’industrie pharmaceutique et un vif intérêt de la part des médias, la psychiatrie a entériné l’usage des drogues qui est devenu une activité en vogue. Outre le L.S.D., les compagnies pharmaceutiques ont déversé en masse une multitude d’autres drogues dans la société, notamment l’héroïne, la méthadone et d’innombrables tranquillisants. Ces drogues sont devenues le cauchemar de l’humanité. D’autant que l’usage toujours plus répandu de la marijuana, de la mescaline et d’autres drogues psychédéliques ont rendu les drogues en général de plus en plus à la mode et accessibles.
La tactique habituelle utilisée pour faire adopter un produit pharmaceutique est de le mettre en circulation et de le lancer à coups d’énormes campagnes de presse et de relations publiques, vantant son efficacité et son innocuité. Mais souvent, les cas discréditant cette prétendue innocuité commencent à s’accumuler, révélant au contraire qu’ils ont des effets secondaires dangereux.
Le milieu du dix-neuvième siècle vit l’apparition de la morphine, encensée par le corps médical comme un excellent traitement de l’opiomanie, sans accoutumance. Mais vers 1870, on finit par reconnaître que la morphine engendrait en fait une plus grande accoutumance que l’opium. Cela entraîna alors la production de l’héroïne, qui à son tour fut portée aux nues comme substitut de la morphine et prétendument elle aussi sans accoutumance. En moins de quinze ans, il fut clairement démontré que cela n’était certes pas le cas. Puis, après la Seconde Guerre mondiale, les psychiatres commencèrent à encourager l’utilisation d’une nouvelle drogue, la méthadone, pour les cures de désintoxication des héroïnomanes, perpétuant ainsi une escroquerie vieille d’un siècle sur un nombre croissant de victimes, tout en étant largement subventionnés par l’État.
D’autres produits prescrits sur ordonnance tels que le Valium, le Librium, le Xanax, l’Opren, l’Halcion et le Prozac-20, ont tous été déclarés inoffensifs, mais chacun d’entre eux s’est avéré produire des effets secondaires dangereux. Les psychiatres ont touché des centaines de millions de dollars en prescrivant ces médicaments et en soignant ensuite les problèmes créés par leurs propres prescriptions.
Pour les compagnies pharmaceutiques, c’est une source d’énormes profits. L’usage de plus en plus répandu des psychotropes traitant la liste croissante des symptômes de nouvelles maladies « découvertes » chaque année par les psychiatres leur rapporte des dizaines de milliards de dollars par an. Les drogues ont été implantées jusque dans le système d’éducation. Aujourd’hui, dans les écoles américaines et sans doute bientôt françaises, il suffit de coller à un enfant l’étiquette « hyperactif » pour justifier de le droguer avec une amphétamine appelée Ritaline. En outre, des centaines de psychotropes sont utilisés par des millions de personnes pour « soigner » une multitude de problèmes coutumiers de notre civilisation moderne tels que l’insomnie, la nervosité, le stress ou même tout simplement, l’ennui.
Nous vivons dans une société chimique. Les rapport de l’EPA (Agence Américaine de Protection de l’Environnement) indiquent que l’américain moyen consomme deux kilos de pesticides par an, et que son corps contient les traces de plus de quatres cents susbtances toxiques. Il existe plus de trois mille produits chimiques qui sont ajoutés à nos aliments.
Ces prétendues maladies, que l’on rend crédibles en leur donnant des noms compliqués, deviennent officielles lors du Congrès annuel de l’Association Américaine de la Psychiatrie (APA, American Psychiatric Association). Les psychiatres présentent une maladie nouvellement découverte, puis l’on passe au vote et, avec l’accord de la majorité, on crée une nouvelle maladie officielle. Pourquoi officielle ? Parce que les compagnies d’assurances et les assurances sociales ne remboursent que le traitement des maladies reconnues officiellement. Cela assure également, à la coalition psychiatrie/laboratoires pharmaceutiques, une source de revenus illimitée. Ceci est sans doute la plus grande escroquerie du vingtième siècle. Le scandale peut continuer d’être étouffé grâce aux milliards de dollars dont les intéressés disposent pour leurs campagnes de relations publiques d’avant-garde et leurs coûteuses stratégies de marketing. Celles-ci créent à leur tour des revenus publicitaires pour les médias, qui se retrouveraient paralysés financièrement s’ils exposaient l’escroquerie au grand jour.
Tout cela s’ajoute à la consommation largement répandue de drogues illégales (dont beaucoup étaient à l’origine prescrites sur ordonnance). Celles-ci représentent à elles seules une entreprise qui, selon les estimations, rapporterait environ cinq cent milliards de dollars par an. La marijuana serait la culture la plus lucrative des États-Unis à l’heure actuelle. La cocaïne et ses dérivés étaient très à la mode dans les années soixante-dix. Leur consommation est à présent généralisée, en partie à cause des informations erronées répandues par les psychiatres. En effet, ces derniers affirmaient encore en 1980, et ce dans leurs propres textes, que la cocaïne ne créait pas d’accoutumance. Ils ne pouvaient pas se trouver plus loin de la vérité. De nombreux psychotropes et autres drogues telles que l’héroïne, le L.S.D., la méthadone, la méthédrine et les tranquillisants, pour n’en citer que quelques-uns, étaient utilisés par les médecins et les psychiatres mais mal contrôlés par ceux-ci. Elles ont pu ainsi librement proliférer sur le marché illégal des drogues, et cela n’a fait qu’aggraver le problème. Actuellement, l’antidépresseur le plus prescrit, le Prozac-20, est également la dernière nouveauté qui fait fureur dans les rues des villes américaines et sur le marché des stupéfiants. Dans notre monde moderne, on en vient à croire que se droguer fait partie de la vie de tous les jours.
D’autre part, les progrès technologiques de ce siècle ont engendré une avalanche de maux qui menacent le bien-être des populations. Le smog, par exemple, était inconnu avant l’apparition des usines en Grande-Bretagne. Aujourd’hui, toutes les grandes villes du monde informent quotidiennement leurs habitants de la qualité de l’air qu’ils respirent. Il y a cent ans, les principaux conservateurs alimentaires étaient le sel et la glace. Aujourd’hui, presque tous les aliments emballés portent sur leurs étiquettes une liste d’ingrédients artificiels plus longue que la liste de leurs ingrédients naturels. Les catastrophes écologiques comme Tchernobyl auraient été impossibles il y a cinquante ans, sans parler des retombées radioactives dues à la prolifération des essais nucléaires.
Continu... http://french.purification.org/9-purif.htm