samedi 5 mai 2012

ART

                                                   


L’art[note 1] est une activité humaine, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait, s'adressant délibérément aux sens, aux émotions et à l'intellect. On peut dire que l'art est le propre de l'homme, ce qui le distingue au sein de la nature, et que cette activité n'a pas de fonctions clairement définies.

lundi 30 avril 2012

RICK CLAY




Voici une théorie qui prend tout son sens une fois qu'on a


fait le tour au sujet des illuminati, de leurs symboles, leurs façons de façonner notre monde,


leurs buts à court et long terme.


Ce jeune homme est mort, retrouvé sans vie dans son lit par son père,

une mort encore une fois, inexpliquée...

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vendredi 27 avril 2012

QUEST-CE QU'UN GOUVERNEMENT ?



Vous n'avez pas de gouvernement sur Terre aujourd'hui.

Définition : le gouvernement est quelque chose qui met de l'ordre. C'est tout ce dont il s'agit ! Et s'il ne met pas de l'ordre, ce n'est pas un gouvernement. C'est une révolution ou un projet local entrepris par un parlementaire à des fins électorales ou un marécage. Mais ce n'est pas un gouvernement.

S'il existe la moindre criminalité dans tout le pays, vous n'avez pas de gouvernement. N'est-ce pas une déclaration déraisonnable ? Et cependant, vous savez, en Europe centrale durant les siècles passés - dont j'ai un souvenir très clair - il y avait beaucoup d'ordre. Eh oui, des fous comme Charles Quint et le reste, sont arrivés et ont déclaré qu'ils étaient empereurs, et un autre a dit qu'il était empereur. Il n'y avait pas beaucoup de gens qui leur prêtaient attention. Et le véritable gouvernement du pays remettait les choses en ordre dès que les armées s'en allaient.

Heureusement, en ce temps là, le gouvernement n'avait pas la capacité à détruire un continent entier d'un pff ! C'est malheureux que cela puisse exister aujourd'hui. Mais il y avait un gouvernement. Un gouvernement existait. Il y avait des hommes de bonne intention, des hommes capables, des hommes qui étaient dévoués à leurs activités sur Terre, qui ont mis de l'ordre - non pas la loi et l'ordre - de l'ordre, dans une zone, afin que les gens puissent produire, que les marchands puissent prospérer, que le commerce puisse avancer. Et comme on le disait alors d'un grand gouvernement, qui s'était constitué il y a de nombreux siècles, une vierge avec un sac d'or aurait pu marcher d'un coin du pays à l'autre, sans que quiconque ne l'importune, même vaguement. C'est ça le gouvernement. C'est ça un gouvernement.

Non. Vous ne voulez pas un gouvernement qui maintient l'inquiétude chez tout le monde en ayant des armes d'une telle puissance qu'elles pourraient tous nous anéantir. De quelle espèce d'ordre s'agit-il ? Ce n'est pas de l'ordre.

Cela dit, je ne suis pas uniquement en train de maudire et de condamner un gouvernement. S'il y avait un gouvernement, je ne le maudirais ni le condamnerais. Tout ce que je fais, c'est dire qu'il s'agit de l'atmosphère de base au sein de laquelle nous avons essayé d'agir. Fondamentalement, c'est un gouvernement par préjugé, pas un gouvernement par la loi.

Et dès que nous essayons d'aider notre prochain, qu'obtenons-nous ?  <<  Oh ! Tout cela est réalisé là-bas à  " l'université Squirrel " et... et à Saint Elizabeth, et ils ont... tout le monde a la situation bien en main ; le niveau de folie grandissant est en train de s'élever encore et encore de manière très satisfaisante ! Nous en sommes tous très contents. Oui, oui. Il était d'un sur trente uniquement, et maintenant nous l'avons amené à un sur vingt. Bientôt nous serons à un sur quinze dans les asiles. Et vous, vous feriez mieux de ne rien y faire, parce que vous savez, vous risquez d'y mettre de l'ordre et ce n'est pas permis.  >>

Et nous n'avons pas été dissuadés. Pas très longtemps. Nous mettons de l'ordre à ce désordre, mais malheureusement, c'est l'un de ces désordres qui se présente comme quelque chose à mettre en ordre. Eh bien, je vais vous dire : ne vous y laissez pas prendre, parce qu'un jour, vous hériteriez du gouvernement de la Terre. Et qui en veut ?

Gouverner nécessite une aptitude spéciale. Les gens savaient comment faire autrefois. Il y a très longtemps, les gens y était formés. Une aptitude spéciale demande beaucoup de temps, et toute sa fonction consiste à mettre suffisamment d'ordre dans un environnement pour que quelqu'un puisse travailler, pour que quelqu'un puisse effectuer son travail. C'est sa fonction. C'est la seule raison d'exister d'un gouvernement. C'est la seule raison pour laquelle un gouvernement lève des impôts, entretien quelque chose, paye ses propres salariés ou tout le reste.

S'il peut procurer un environnement - paisible, sûr, dans lequel vous pouvez travailler - c'est presque la seule chose que quiconque a jamais demandé d'un gouvernement, c'est un bon gouvernement. LRH

samedi 21 avril 2012

BONES - SERIE TV




Synopsis:


Cette série raconte les aventures d'une anthropologue hautement qualifiée qui travaille à l'Institut Jeffersonian, Temperance Brennan (Emily Deschanel), qui est appelée à travailler en collaboration avec le FBI à partir de squelettes (d'où son surnom éponyme de la série : "Bones" qui signifie "ossements" en anglais), dans le cadre d'enquêtes criminelles. En examinant les squelettes de personnes décédées, elle est capable d'en reconstituer la vie et les circonstances de la mort. L'héroïne est secondée par un agent du FBI, Seeley Booth (David Boreanaz), avec lequel elle entretient des rapports tantôt conflictuels, tantôt complices. Elle s'appuie également sur une équipe de trois scientifiques qui sont autant de personnages secondaires.

SOCIETE PRESSE-BOUTON




SOMMES-NOUS DES ROBOTS ?

Et c'est là que l'intégralité du socialisme et du communisme s'égare complétement. Ils pensent qu'on peut créer des esclaves et ils ne le peuvent pas. Voilà l'horrible vérité qui se tient derrière ces grands mouvements sociaux. Nous les voyons se fourvoyer. Nous les voyons échouer. Ces mouvements ne sont pas viables. Ils sont basés sur la croyance qu'on peut faire pression sur quelqu'un par un mécanisme-réflexe ou la peur de la punition, la peur de la perte serait si grande que la personne continuerait à remplir son devoir. Et il n'est pas possible que sa réussisse.

Quand il découvre qu'il a été utilisé comme une machine alors qu'il est lui-même capable de penser, la violence de sa rébellion est plus importante que l'aptitude de n'importe quel mur à résister. Contraindre des hommes ou la jeunesse ou qui que ce soit d'autre est comme enfoncer en le comprimant encore et encore et encore un ressort extrêmemnet puissant. Le ressort est encore comprimé et on l'enfonce en le comprimant encore et on l'enfonce en le comprimant encore et un jour on atteint le bout de son bras mais le ressort n'est pas totalement affaissé. Quarrive-t-il alors ? Si on remue ne serait-ce qu'un doigt, il sort et s'envole dans un énorme jaillissement sonore.  Boiiiing.

C'est pourquoi le monde nous apparaît aujourd'hui tendu. C'est pourquoi il semble tendu. Il comporte plusieurs sociètès en ce moment qui ont fait cela. Elles ont comprimé ce ressort et maintenant leur bras sont arrivés au bout de leur extension, et quelqu'un est susceptible de penser une pensée.

Mais dans le monde d'aujourd'hui, l'éducation et le gouvernement ont complétement renversé, les croyances en place les plus chères. C'est un renversement malheureux. Sans l'ingrédient de la coopération de la part de l'individu, toutes les activités d'éducation de cette sorte sont vouées à l'échec. Sans une certaine coopération. Et tout ce que vous possédez en fin de compte, c'est le consentement de la personne. Si l'excitation-réflexe dans son intégralité ne fonctionne pas, alors permettez-moi de vous assurer que ça ne marche jamais. Ca ne fonctionne tout bonnement jamais.

La chose qui fonctionne, c'est le consentement de l'individu, ça fonctionne. En d'autres termes, tout ce qu'un individu possède, en parlant d'un travailleur, c'est le consentement du travailleur à travailler. Cela met en place un regard terriblement différent sur un nombre effroyable de choses. Si ce consentement est émoussé, plus rien ne subsiste. Si vous émoussez le consentement à coopérer, il n'existe plus rien là.

Je peux comprendre comment le patronat pourrait être en guerre avec le capital. Je peux comprendre ceci, parce que le capitaliste autrefois gagnait simplement de l'argent par l'argent. Il possédait quelque argent, aussi utilisait-il l'argent qu'il possédait pour gagner plus d'argent. Lui-même ne contribuait jamais en rien si n'est en argent, ce qui est une contribution plutôt mince au regard de la contribution totale d'une société, contribuer seulement de quelques actions et obligations dans une entreprise et rester assis à ne rien faire et agrafer des coupons sur la sueur de tous les autres. Nous pouvons voir, par conséquent, parce que le capitaliste n'est pas un directeur... voyez, il ne dirige rien, il distribue simplement de l'argent et agrafe des coupons. C'est la forme pure du capitalisme.

Un directeur ou une direction assument ces fonctions, vous voyez ? Donc, nous nous trouvons face à ces deux choses : la direction, qui s'étendrait à toute la ligne hiérarchique jusqu'au concierge, et le capital, qui ne fait rien. Et nous pourrions concevoir alors qu'il pourrait y avoir une lutte entre ces deux choses. C'est plutôt facile qu'il y ait là une lutte. Et, en réalité, il existe une lutte formidable entre ces deux choses que personne d'autre n'a encore réellement remarquée. Mais c'est une lutte importante.

Donc, je ne sais pourquoi la direction ne se met pas en gréve contre le capital. Parce que le capital s'approche du zéro que nous trouvons sur une ligne de production. On dit que ça a de l'importance, mais ce sont des personnes qui sont polies de sorte qu'elles peuvent emprunter plus d'argent.

De toute façon, les directeurs du monde font marcher le monde, pas les capitalistes. LRH

Q - We Are The Plan