Derrière les vaccins, médicaments, diagnostics et thérapies, soins
dentaires, psychiatrie et pratiquement toute la recherche médicale,
existe une industrie et une source de profit pour les sociétés.
, mettent au
point les médicaments dont on se sert en chimiothérapie et ceux qu’on
donne pour prévenir les récidives. Dans quelle réalité vivons-nous où
les seuls moyens acceptables de traiter le cancer sont de trancher,
empoisonner et irradier ?
L’industrie du cancer détruit ou marginalise les remèdes sans danger
et efficaces tout en encourageant ses propres remèdes brevetés, coûteux
et toxiques qui font plus de mal que de bien.
.
Les traitements par chimiothérapie considérés par la médecine dominante
comme une « réussite » ne font que gérer les symptômes, au prix
habituellement d’interférences avec les autres fonctions physiologiques
précieuses qui engendreront tôt ou tard des effets secondaires. Il
n’existe aucun médicament qui n’ait aucun effet secondaire.
La chimiothérapie regorge d’effets négatifs après traitement. Une
majorité d’agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent
dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un
certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux
central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou
bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l’âge adulte.
Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont
grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par
mourir de maladies sans relation avec le cancer d’origine,
Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d’alkylation) sont
réputés pour occasionner d’autres cancers dont la leucémie, et nombre
de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d’alkylation
endommagent directement l’ADN de toutes les cellules. Ces agents ne
sont pas spécifiques à une phase ; en d’autres mots, ils sont actifs
dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues
endommagent l’ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et
par conséquent affecter l’immunité future. Avec ces produits existe le
risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son
diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence
à augmenter environ deux ans après le traitement, qu’il est le plus
élevé entre 5 et 10 ans. C’est la raison des décès de patients par
chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.
La radiothérapie peut également accroître le risque de développement
d’un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers
secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent
principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent
habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à
dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent
une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le
traitement et non comme la conséquence du cancer d’origine. Les cancers
radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une
recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une
chimiothérapie.
D’autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs
peuvent se développer à l’endroit de la zone exposée aux rayons ou tout
près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent
être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la
thyroïde. Dans certains cas, l’âge au moment de la radiothérapie va
jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du
sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une
thérapie par les rayons que des patientes âgées.
Un exemple notoire demeure le
régime cétogène. Oui, simplement une bonne alimentation peut vous débarrasser d’un cancer. Voir
ici un cas rapporté par la CBN.
Il faut des millions pour financer les essais en laboratoire
et cliniques nécessaires pour fabriquer un nouveau médicament
anticancéreux qui pourra être breveté et vendu. Il a été dit que la clé
de la réussite dans le commerce de la santé est de sortir un truc génial
qui donnera des gens des malades à vie. Pensez à tous ces gens dont les
analyses de sang étaient mauvaises, qui sont restés sous médicaments
jusqu’à les tuer, alors qu’une prise brève de médicaments avec à côté
des changements majeurs de régime alimentaire et de mode de vie, les
auraient ramené à une santé sans médication.
Selon le Dr John Diamond, «
Une étude sur plus de 10.000 patients
montre clairement que les soi-disant excellents antécédents de chimio
sur maladie de Hodgkin (cancer des globules blancs ou lymphome) sont
mensongers. Les malades qui ont subi de la chimio ont été 14
fois plus sujets à développer une leucémie et 6 fois plus enclins à
développer un cancer des os, des articulations, des tissus mous que les
patients n’ayant pas subi de chimio.«
Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, fut l’un des plus grands
spécialistes du cancer aux États-Unis. Il utilisait des traitements
alternatifs avec grand succès. Parlant du traitement du cancer dans ce
pays, il disait : « Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison ».
Le Dr Alan C. Nixon, ancien président de la Société de Chimie américaine écrit, «
En tant que chimiste formé pour interpréter les données, je
trouve incompréhensible que des médecins puissent ignorer l’évidence,
que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien« . Et selon le Dr Charles Mathé, spécialiste français du cancer, « …
si j’avais un cancer, je n’irai jamais dans un centre anticancéreux classique. Seules les victimes du cancer qui vivent loin de ces centres ont une chance. »
Le Dr Allen Levin déclarait : « Une majorité de malades du cancer de ce pays meurent par la chimiothérapie.
La chimiothérapie n’élimine pas les cancers du sein, du colon ou du
poumon. Ce fait est documenté depuis plus de dix ans, pourtant les
médecins utilisent toujours la chimiothérapie pour ces tumeurs. » Dans
son livre, « Le Topic du cancer : quand on doit en finir avec la
tuerie », Dick Richards cite plusieurs études d’autopsie montrant que les
patients cancéreux sont morts en fait à cause des traitements
conventionnels avant que la tumeur n’ait eu une chance de les tuer.
Comment la chimiothérapie stimule la croissance du cancer
Des chercheurs ont testé les effets d’un type de chimiothérapie
sur des tissus prélevés sur des hommes avec un cancer de la prostate et
ont découvert « une preuve de dommages de l’ADN » sur les cellules
saines après traitement, ont écrit des scientifiques dans Nature Medecine.
La chimiothérapie fonctionne en inhibant la reproduction des cellules
à division rapide du type de celles trouvées dans les tumeurs.
Les scientifiques ont découvert que les cellules saines endommagées
par la chimiothérapie sécrétaient davantage une protéine appelée WNT16B
qui stimule la survie de la cellule cancéreuse (voir article
ICI du BBB sur ce sujet).
« L’augmentation de WNT16B était complètement inattendue », a dit à
l’AFP le co-auteur de l’étude Peter Nelson du centre de recherche sur le
cancer Fred Hutchinson à Seattle.
La protéine était absorbée par les cellules tumorales voisines des cellules endommagées.
« WNT16B, quand elle est sécrétée, interagirait avec les cellules
tumorales proches et les ferait grossir, devenir envahissantes et le
plus important, les rendrait par la suite résistantes à la thérapie, » a
expliqué Nelson.
Dans le traitement du cancer, les tumeurs répondent souvent bien au
départ, puis s’ensuit une rapide prolifération et enfin une résistance à
la chimiothérapie suivante.
On a démontré que le rythme de reproduction des cellules cancéreuses s’accélérait entre les traitements.
«
Nos résultats indiquent que les réponses aux dommages des
cellules bénignes…peuvent directement contribuer à accélérer l’activité
de croissance des tumeurs« , écrivait l’équipe.
Les chercheurs ont dit qu’ils ont confirmé leurs découvertes sur des tumeurs cancéreuses du sein et des ovaires.
Les malades avec un cancer incurable sont promis à accéder plus
facilement aux toute dernières drogues qui pourraient leur offrir
quelques mois ou quelques années de vie supplémentaire, pourtant de
nombreux médecins ont été poussés à devenir plus prudents pour présenter
un traitement à ces patients en phase terminale car la chimiothérapie
peut souvent faire plus de mal que de bien, conseil soutenu par l’étude
de Nelson.
90 % des patients qui reçoivent de la chimiothérapie souffrent d’effets fatals
Le NCEPOD ( National Confidential Enquiry into Patient Outcome and
Death) a déclaré que plus de 4 patients sur 10 ayant reçu de la
chimiothérapie vers la fin de leur vie ont souffert d’effets fatals par
les médicaments et
que le traitement était « inapproprié » dans presque un cinquième des cas.
Globalement, presque 90 % des malades à qui on a administré de la
chimiothérapie meurent dans les 15 ans, soit de cancers secondaires ou
d’une immunité compromise, conséquence directe du traitement.
Chimiothérapie et rayons combinés sont les causes principales des
cancers secondaires de par le monde.
Il y a eu
une augmentation de 68 % dans l’usage de produits de chimiothérapie depuis 2003
et malgré l’augmentation massive de l’incidence des cancers depuis, les
facteurs de risque (selon l’industrie du cancer) pour des cancers
primitifs et secondaires sont toujours dus au tabac, à l’alcool, aux
expositions professionnelles et aux déterminants génétiques. Le
traitement ou le diagnostic du cancer n’est jamais mentionné comme la
cause de cancers primitifs ou secondaires.
Le cancer est la cause principale des maladies et si on regarde pour
l’avenir les récentes tendances au plan mondial des cancers majeurs, le
fardeau du cancer s’augmentera de 22 millions de nouveaux cas chaque
année d’ici 2030. Ce qui représente une hausse de 75 % comparé à 2008.
Plus de la moitié de tous les malades du cancer souffrent d’une
toxicité notable en lien avec le traitement. Ce dernier peut aussi
engendrer des infections graves ou les malades peuvent simplement mourir
de leur cancer.
Quand on lui a demandé comment améliorer la réponse et le résultat du patient, Nelson a répondu «
en alternance, il peut être possible d’utiliser des doses plus faibles, moins toxiques dans la thérapie« .
En résumé, la chimiothérapie détruit virtuellement toutes les
cellules et l’organisme avant de s’occuper du vrai cancer. Ce qui veut
dire que votre système nerveux central, les organes et le système
immunitaire (pour n’en nommer que quelques-uns) sont tous compromis même
des années après l’arrêt du traitement. Oubliez ce qui a été dit sur la
chimiothérapie qui fait un meilleur travail sur le long terme en tuant
le cancer.
La chimiothérapie cause la mort des cellules cérébrales longtemps
après la fin du traitement et pourrait être l’une des causes biologiques
sous-jacentes des effets cognitifs collatéraux – ou « cerveau
chimiqué » – qu’expérimentent de nombreux malades cancéreux.
Le traitement conventionnel du cancer est une énorme et coûteuse
tromperie – un non-traitement qui rend malade et tue plus de gens qu’ils
ne les « guérissent ». Il ne peut jamais guérir quoi que ce soit car il
empoisonne le corps, ce qui ne fait qu’entraîner plus tard d’autres
maladies.
La question [de savoir si la chimiothérapie prolonge réellement ou
non la vie, note de l’éditeur] ne peut probablement plus recevoir de
réponse. Dans les études cliniques, les fabricants comparent toujours
leurs nouveaux produits avec les précédents poisons cellulaires. Il n’y a
pas de groupes de contrôle n’ayant reçu aucun traitement.
Pour qu’ils soient autorisés sur le marché, il suffit d’obtenir un
avantage « statistiquement significatif » dans un petit groupe de
sujets- tests soigneusement sélectionnés comparé aux malades traités
avec un poison cellulaire approuvé.
La
Santé, parlons-en, saviez-vous que des enquêtes et des questionnaires
montrent que trois docteurs sur quatre (donc 75%) refusent toute
chimiothérapie sur eux-mêmes, en cas de cancer en raison de son
inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la
totalité de l’organisme humain.
En savoir plus sur http://www.alterinfo.net/La-Verite-sur-la-Chimiotherapie_a49774.html#WZFuKiFiFObWbwUc.99