Inévitablement, phtalates, parabens, aluminium, acides gras trans, bisphénol A et autres perturbateurs endocriniens se retrouvent en partie dans notre alimentation. Sans être une source exclusive d’intoxication à petit feu, notre alimentation
est souvent polluée et pourrait finir par nous empoisonner. Mieux vaut
s’informer pour prévenir, en limitant autant que possible les
ingrédients et les expositions nuisibles.
L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie.
Nous vivons dans une société orientée vers la chimie.
L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie.
Nous vivons dans une société orientée vers la chimie.
Il serait difficile, dans la civilisation actuelle, de trouver une
personne qui ne soit pas affectée par ce fait. La grande majorité des
gens sont soumis chaque jour à une absorption de conservateurs
alimentaires et à d’autres poisons chimiques, parmi lesquels des poisons
atmosphériques et des pesticides. Ajoutez à cela les pilules contre la
douleur, les tranquillisants, les drogues psychiatriques, et autres
médicaments prescrits par les docteurs. En outre, l’utilisation répandue
de la marijuana, du L. S. D., de la cocaïne et d’autres drogues noircit
davantage le tableau.
Ces facteurs sont tous inhérents au problème biochimique.
Par BIOCHIMIQUE on veut dire l’interaction des formes vivantes et des substances chimiques.
Le terme BIO- signifie la vie ou relatif à ce qui vit et vient du grec bios, vie ou façon de vivre.
CHIMIQUE signifie d’origine chimique ou se rapportant à des produits chimiques. Les produits chimiques sont des substances, simples ou complexes, qui sont les éléments de base de la matière.
Le corps humain est composé de produits chimiques particuliers ainsi que de composés chimiques et il est le siège de réactions chimiques complexes qui se déroulent continuellement. Certaines substances, comme les nutriments, l’air et l’eau, sont essentielles à la continuité de ces réactions et au maintien de la santé du corps. D’autres substances sont relativement neutres et ne causent ni bienfaits ni dommages lorsqu’elles sont introduites dans le corps. Mais d’autres substances peuvent causer des dommages en bloquant ou en altérant des fonctions du corps et en rendant le corps malade ou même en le tuant.
LES SUBSTANCES TOXIQUES, qui viennent se ranger dans cette dernière catégorie, sont celles qui en perturbent l’équilibre chimique normal ou qui interfèrent avec ses processus. Ce terme est utilisé pour décrire des drogues, des produits chimiques ou n’importe quelle substance qui est un poison ou qui est néfaste pour l’organisme. Le terme toxique vient du mot grec toxicon qui signifiait à l’origine un poison dans lequel on trempait ses flèches.
La DÉSINTOXICATION consisterait à enlever un poison de quelque chose, comme du corps de quelqu’un, ou à en retirer les effets.
L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie. Les drogues, les déchets radioactifs, les polluants et les agents chimiques de toutes sortes ne sont pas seulement partout, mais sont de plus en plus présents à mesure que le temps passe. En fait, ils sont tellement communs qu’il est impossible de les éviter.
Par exemple, certains des produits qu’on met dans les légumes ou les soupes en conserves pourraient être considérés comme toxiques. Ce sont des conservateurs et l’action d’un conservateur est d’empêcher la décomposition. Pourtant, la digestion et l’activité cellulaire reposent sur la décomposition.
Autrement dit, ces conservateurs peuvent être formidables pour le fabricant, car ils préservent le produit, mais ils pourraient être très néfastes pour le consommateur. Ce n’est pas que la nourriture soit une mode qui m’emballe ou que je m’emballe contre les conservateurs. Ce qui est important, c’est que l’Homme est entouré de toxines.
Ce seul exemple des conservateurs dans la nourriture illustre à quel point les substances toxiques sont présentes dans la vie de tous les jours.
Mais il faut ajouter à cela que les ennemis de divers pays utilisent la dépendance générale aux drogues comme mécanisme de défaite et que les nations rivalisent entre elles pour fabriquer et tester des armes nucléaires, augmentant ainsi la quantité de substances radioactives libérées dans l’environnement. Puis ajoutez-y les calmants et les sédatifs, l’utilisation accrue de produits chimiques dans l’industrie et l’agriculture, et les substances toxiques mises au point pour la guerre chimique.
Bref, disons-le carrément, cette société, en ce moment, est infestée par les substances toxiques.
Certaines informations concernant les substances qui présentent une menace pour les individus et pour la société en général permettront de percevoir plus clairement le problème biochimique. C’est de ce problème que s’occupe le Programme de Purification.
C’est vrai de toute drogue et chacune produit ces résultats à des quantités différentes. Le café en est un exemple, car la caféine est une drogue. Une centaine de tasses de café tueraient probablement une personne. Dix tasses l’endormiraient probablement. Deux ou trois tasses vont la stimuler. Il s’agit là d’une drogue très courante. Elle n’est pas très nocive, car il faut l’absorber en grande quantité pour qu’elle produise un effet. Elle est par conséquent connue comme stimulant.
L’arsenic est un poison connu. Bien qu’une très faible quantité d’arsenic agisse comme un stimulant, une dose plus importante fait dormir et quelques décigrammes peuvent tuer.
Des recherches ont démontré que l’élément le plus destructif présent dans notre culture actuelle est la drogue.
D’après les rapports, certaines de ces drogues pourraient causer des lésions du cerveau ou des nerfs. Par exemple, la marijuana, si prisée par les étudiants dans les universités, étudiants qui sont censés devenir intelligents aujourd’hui pour être les cadres de demain, peut causer une atrophie du cerveau.
Des recherches ont même établi qu’il existe une « personnalité biochimique ». Elle est artificielle et créée par les drogues.
Les drogues peuvent apparemment modifier l’attitude d’une personne, transformant sa personnalité d’origine en une personnalité nourrissant secrètement des hostilités et des haines qu’elle ne laisse pas paraître. Bien que cela ne soit pas vérifié dans tous les cas, cela établit une relation entre les drogues et nos difficultés croissantes avec la criminalité, l’affaiblissement de la productivité et l’effondrement moderne de la culture sociale et industrielle.
Les effets physiologiques dévastateurs des drogues font couramment les gros titres des journaux. Qu’ils résultent aussi en une détérioration de la vivacité mentale et du sens de l’éthique n’est que trop évident.
Mais aussi brutales et nuisibles qu’elles soient, les drogues de la rue ne forment qu’une partie du problème biochimique.
Les sédatifs sont souvent administrés comme un remède universel à tous les maux. En 1951 déjà, les gens étaient tellement habitués à leurs doses journalières de pilules pour dormir ou de calmants qu’ils ne considéraient plus leurs « petites pilules » comme des drogues.
L’attitude courante est trop souvent celle-ci : « Si je ne peux pas trouver la cause de la douleur, au moins je peux la calmer. » Dans le cas de quelqu’un qui est malade mentalement, cela pourrait se formuler ainsi : « Si on ne peut pas le rendre sain d’esprit, on peut au moins le faire se tenir tranquille. »
Il n’est malheureusement pas du tout reconnu qu’une personne dont la douleur a été calmée par un sédatif a elle-même été calmée par cette même drogue, et cela la rapproche beaucoup de la sanction ultime qu’est la mort. Il devrait être évident que les gens les plus calmes au monde sont les morts.
La personne ne peut donc plus coordonner son corps. L’alcool en faibles quantités est un stimulant, en grandes quantités, un calmant.
La définition d’un alcoolique est quelqu’un qui ne peut pas boire qu’un seul verre. S’il boit un verre, il doit en boire un autre. Il est dépendant. L’un des facteurs est qu’il doit avoir un verre plein en face de lui. S’il est vide, il doit le remplir à nouveau.
Les alcooliques ressentent continuellement de l’hostilité envers tout ce qui les entoure. Ils peuvent détruire quelqu’un sans même y prêter attention.
L’alcool est une drogue. Le degré de consommation d’alcool (quantité et fréquence) détermine si oui ou non on devrait considérer un individu comme un gros consommateur.
Bien entendu, le consommateur peut lui aussi être exposé à des résidus chimiques quand il utilise ces produits.
Dans le domaine des herbicides, il existe toute une gamme de produits contenant une substance appelée « dioxine » qu’on sait être fortement toxique, même en quantités presque trop faibles pour être décelées dans le corps.
En agriculture, on peut être en contact avec des produits chimiques de nombreuses façons. Les produits chimiques peuvent être amenés dans la plante ou sur la plante et donc être ainsi ingérés. Ils peuvent être portés par le vent et respirés directement par ceux qui vivent et travaillent dans une zone agricole. Ils peuvent même être transportés par le réseau d’alimentation en eau potable.
L’introduction d’édulcorants artificiels dans les boissons « light » non alcoolisées et dans d’autres produits industriels est de plus en plus courante. Il ressort des recherches sur ces « exhausteurs de goût », ces « édulcorants » et ces « conservateurs » que beaucoup d’entre eux sont toxiques. Tout le sujet des additifs et des conservateurs dans les produits alimentaires est devenu une préoccupation pour beaucoup de monde.
Il existe un autre aspect de ce sujet de l’alimentation. Des recherches ont indiqué que l’huile rance était un risque pour la santé d’une amplitude qu’on ne soupçonnait pas jusque-là. Des chercheurs ont établi une relation entre les huiles de cuisson ou de préparation industrielle des aliments, quand elles ne sont pas fraîches et pures, mais au contraire rances, et des problèmes digestifs, musculaires et même le cancer.
Des découvertes semblent confirmer que ces produits chimiques qui flottent dans les supermarchés de quartier en tant que « parfums », sont en fait toxiques et peuvent se retrouver dans les produits alimentaires qui y sont vendus. Ingérer ces produits chimiques n’aide certainement pas la digestion.
En d’autres mots, il existe de nombreuses façons d’être exposé aux radiations. Il y en a partout et cela a toujours été ainsi. Mais il y en a simplement davantage aujourd’hui.
Les admirateurs du Soleil, les gens qui se font bronzer, ceux dont l’ambition est de rôtir au soleil année après année, s’exposent aux radiations. Qu’est-ce que le Soleil sinon une boule de radiations ? On ne peut pas trouver de meilleur exemple de radiation que notre soleil. Donc, un coup de soleil est une brûlure, mais pas une brûlure due simplement à un excès de chaleur : c’est une brûlure par radiations. Une certaine quantité de lumière solaire est probablement essentielle à la santé du corps humain. Nous parlons ici d’exposition excessive. Même si on ne parle pas de brûlure, une exposition journalière importante sur de longues périodes soumet une personne à l’effet cumulatif des radiations.
Les rayons X exposent aussi une personne aux radiations. Ils sont tout aussi mortels que la fission atomique. Ils ne sont pas accompagnés d’une grande déflagration. Vous n’obtenez pas une énorme explosion et une ville rasée.
Mais de radiographie en radiographie, une personne accumule de plus en plus de radiations, de telle sorte que si elle reçoit un peu plus de rayons X ou de retombées radioactives, elle risque de tomber malade. Une utilisation continue et répétée de rayons X sur une personne peut provoquer tout ce que fait la fission atomique quand elle pollue l’atmosphère.
Là où il existe une atmosphère radioactive, il y a aussi une baisse du niveau de la santé. Plus une personne est exposée aux radiations, moins elle peut y résister et plus les radiations ont d’effet sur elle. Autrement dit, au cours du temps, un dépôt se fait dans le corps provenant des diverses sources décrites ci-dessus. Les radiations étant cumulatives, cela complique le problème biochimique et constitue une barrière importante.
La question logique à poser concernant une procédure susceptible de remédier à de telles accumulations serait : « Est-elle efficace ? » « Donne-t-elle des résultats ? »
On trouve la réponse à ces questions dans l’expérience pratique et dans une compréhension des découvertes qui ont conduit à une procédure pour libérer l’individu des effets néfastes des substances toxiques.
Ces facteurs sont tous inhérents au problème biochimique.
Par BIOCHIMIQUE on veut dire l’interaction des formes vivantes et des substances chimiques.
Le terme BIO- signifie la vie ou relatif à ce qui vit et vient du grec bios, vie ou façon de vivre.
CHIMIQUE signifie d’origine chimique ou se rapportant à des produits chimiques. Les produits chimiques sont des substances, simples ou complexes, qui sont les éléments de base de la matière.
Le corps humain est composé de produits chimiques particuliers ainsi que de composés chimiques et il est le siège de réactions chimiques complexes qui se déroulent continuellement. Certaines substances, comme les nutriments, l’air et l’eau, sont essentielles à la continuité de ces réactions et au maintien de la santé du corps. D’autres substances sont relativement neutres et ne causent ni bienfaits ni dommages lorsqu’elles sont introduites dans le corps. Mais d’autres substances peuvent causer des dommages en bloquant ou en altérant des fonctions du corps et en rendant le corps malade ou même en le tuant.
LES SUBSTANCES TOXIQUES, qui viennent se ranger dans cette dernière catégorie, sont celles qui en perturbent l’équilibre chimique normal ou qui interfèrent avec ses processus. Ce terme est utilisé pour décrire des drogues, des produits chimiques ou n’importe quelle substance qui est un poison ou qui est néfaste pour l’organisme. Le terme toxique vient du mot grec toxicon qui signifiait à l’origine un poison dans lequel on trempait ses flèches.
La DÉSINTOXICATION consisterait à enlever un poison de quelque chose, comme du corps de quelqu’un, ou à en retirer les effets.
DES TOXINES EN ABONDANCE
Une énorme quantité de textes ont été écrits au sujet des substances toxiques, de leurs effets signalés et de leurs perspectives de traitement. Des exemples en abondent dans des publications et dans la presse.L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie. Les drogues, les déchets radioactifs, les polluants et les agents chimiques de toutes sortes ne sont pas seulement partout, mais sont de plus en plus présents à mesure que le temps passe. En fait, ils sont tellement communs qu’il est impossible de les éviter.
Par exemple, certains des produits qu’on met dans les légumes ou les soupes en conserves pourraient être considérés comme toxiques. Ce sont des conservateurs et l’action d’un conservateur est d’empêcher la décomposition. Pourtant, la digestion et l’activité cellulaire reposent sur la décomposition.
Autrement dit, ces conservateurs peuvent être formidables pour le fabricant, car ils préservent le produit, mais ils pourraient être très néfastes pour le consommateur. Ce n’est pas que la nourriture soit une mode qui m’emballe ou que je m’emballe contre les conservateurs. Ce qui est important, c’est que l’Homme est entouré de toxines.
Ce seul exemple des conservateurs dans la nourriture illustre à quel point les substances toxiques sont présentes dans la vie de tous les jours.
Mais il faut ajouter à cela que les ennemis de divers pays utilisent la dépendance générale aux drogues comme mécanisme de défaite et que les nations rivalisent entre elles pour fabriquer et tester des armes nucléaires, augmentant ainsi la quantité de substances radioactives libérées dans l’environnement. Puis ajoutez-y les calmants et les sédatifs, l’utilisation accrue de produits chimiques dans l’industrie et l’agriculture, et les substances toxiques mises au point pour la guerre chimique.
Bref, disons-le carrément, cette société, en ce moment, est infestée par les substances toxiques.
Certaines informations concernant les substances qui présentent une menace pour les individus et pour la société en général permettront de percevoir plus clairement le problème biochimique. C’est de ce problème que s’occupe le Programme de Purification.
LA DROGUE
Les drogues sont essentiellement des poisons. L’effet qu’elles provoquent est déterminé par la quantité absorbée. Une petite quantité crée un effet stimulant (elle augmente l’activité). Une quantité plus importante agit comme un sédatif (elle diminue l’activité). Une dose massive agit comme un poison et peut être mortelle.C’est vrai de toute drogue et chacune produit ces résultats à des quantités différentes. Le café en est un exemple, car la caféine est une drogue. Une centaine de tasses de café tueraient probablement une personne. Dix tasses l’endormiraient probablement. Deux ou trois tasses vont la stimuler. Il s’agit là d’une drogue très courante. Elle n’est pas très nocive, car il faut l’absorber en grande quantité pour qu’elle produise un effet. Elle est par conséquent connue comme stimulant.
L’arsenic est un poison connu. Bien qu’une très faible quantité d’arsenic agisse comme un stimulant, une dose plus importante fait dormir et quelques décigrammes peuvent tuer.
DROGUES DE LA RUE
Les problèmes de drogues s’étendent à l’échelle de la planète. Ils baignent dans le sang et la misère humaine.Des recherches ont démontré que l’élément le plus destructif présent dans notre culture actuelle est la drogue.
Des recherches ont même établi qu’il existe une « personnalité biochimique ». Elle est artificielle et créée par les drogues.
L’usage de plus en plus répandu de drogues comme le L. S. D.,
l’héroïne, la cocaïne, le cannabis et la longue liste des nouvelles
drogues de la rue contribue à miner notre société. Même les écoliers
sont poussés à prendre des drogues. Et les enfants de mères qui
consomment de la drogue naissent drogués.D’après les rapports, certaines de ces drogues pourraient causer des lésions du cerveau ou des nerfs. Par exemple, la marijuana, si prisée par les étudiants dans les universités, étudiants qui sont censés devenir intelligents aujourd’hui pour être les cadres de demain, peut causer une atrophie du cerveau.
Des recherches ont même établi qu’il existe une « personnalité biochimique ». Elle est artificielle et créée par les drogues.
Les drogues peuvent apparemment modifier l’attitude d’une personne, transformant sa personnalité d’origine en une personnalité nourrissant secrètement des hostilités et des haines qu’elle ne laisse pas paraître. Bien que cela ne soit pas vérifié dans tous les cas, cela établit une relation entre les drogues et nos difficultés croissantes avec la criminalité, l’affaiblissement de la productivité et l’effondrement moderne de la culture sociale et industrielle.
Les effets physiologiques dévastateurs des drogues font couramment les gros titres des journaux. Qu’ils résultent aussi en une détérioration de la vivacité mentale et du sens de l’éthique n’est que trop évident.
Mais aussi brutales et nuisibles qu’elles soient, les drogues de la rue ne forment qu’une partie du problème biochimique.
MÉDICAMENTS ET PSYCHOTROPES
Les médicaments et, en particulier, la longue liste des psychotropes (Ritaline, Valium, Largactil et lithium, pour n’en nommer que quelques-uns) peuvent causer autant de mal que les drogues de la rue. Ceux en usage actuellement sont tellement répandus que cela peut sembler surprenant à une personne non familiarisée avec le problème.Les sédatifs sont souvent administrés comme un remède universel à tous les maux. En 1951 déjà, les gens étaient tellement habitués à leurs doses journalières de pilules pour dormir ou de calmants qu’ils ne considéraient plus leurs « petites pilules » comme des drogues.
L’attitude courante est trop souvent celle-ci : « Si je ne peux pas trouver la cause de la douleur, au moins je peux la calmer. » Dans le cas de quelqu’un qui est malade mentalement, cela pourrait se formuler ainsi : « Si on ne peut pas le rendre sain d’esprit, on peut au moins le faire se tenir tranquille. »
Il n’est malheureusement pas du tout reconnu qu’une personne dont la douleur a été calmée par un sédatif a elle-même été calmée par cette même drogue, et cela la rapproche beaucoup de la sanction ultime qu’est la mort. Il devrait être évident que les gens les plus calmes au monde sont les morts.
L’alcool est une drogue.
Le degré de consommation d’alcool (quantité et fréquence) détermine si
oui ou non on devrait considérer un individu comme un gros consommateur.
L’ALCOOL
L’alcool n’est pas un psychotrope, mais c’est une drogue qui affecte la biochimie du corps. L’alcool n’affecte pas l’esprit, il affecte les nerfs. En brûlant rapidement toute la vitamine B1 du corps, il empêche les nerfs de fonctionner correctement.La personne ne peut donc plus coordonner son corps. L’alcool en faibles quantités est un stimulant, en grandes quantités, un calmant.
La définition d’un alcoolique est quelqu’un qui ne peut pas boire qu’un seul verre. S’il boit un verre, il doit en boire un autre. Il est dépendant. L’un des facteurs est qu’il doit avoir un verre plein en face de lui. S’il est vide, il doit le remplir à nouveau.
Les alcooliques ressentent continuellement de l’hostilité envers tout ce qui les entoure. Ils peuvent détruire quelqu’un sans même y prêter attention.
L’alcool est une drogue. Le degré de consommation d’alcool (quantité et fréquence) détermine si oui ou non on devrait considérer un individu comme un gros consommateur.
PROCESSUS ET PRODUITS COMMERCIAUX
Récemment, de nombreuses recherches ont été consacrées aux effets potentiellement toxiques de substances qu’on utilise communément au cours de divers processus industriels et pour déterminer dans quelle mesure ces substances se retrouvent dans les corps des habitants de cette planète. Ce qui suit donne quelques exemples de ce que ces recherches ont révélé.PRODUITS CHIMIQUES INDUSTRIELS
On compte parmi eux des dizaines de milliers de produits chimiques utilisés dans les industries de transformation. Bien évidemment, tous ces produits ne sont pas toxiques. Mais les ouvriers qui travaillent dans des usines qui produisent ou utilisent des pesticides, des dérivés du pétrole, des matières plastiques, des détergents, des produits chimiques de nettoyage, des solvants, des métaux plaqués, des conservateurs, des drogues, des produits dérivés de l’amiante, des engrais, certains cosmétiques, des parfums, des peintures, des colorants, de l’équipement électrique ou n’importe quelle substance radioactive, peuvent être exposés, souvent pendant des périodes prolongées, à des substances toxiques.Bien entendu, le consommateur peut lui aussi être exposé à des résidus chimiques quand il utilise ces produits.
PRODUITS CHIMIQUES AGRICOLES
Les pesticides sont les substances toxiques les plus évidentes auxquelles les ouvriers agricoles peuvent être exposés. Cela comprend les insecticides (produits chimiques qui tuent les insectes), les herbicides (produits chimiques qui tuent les plantes qu’on ne souhaite pas avoir, comme les mauvaises herbes) et les engrais synthétiques.Dans le domaine des herbicides, il existe toute une gamme de produits contenant une substance appelée « dioxine » qu’on sait être fortement toxique, même en quantités presque trop faibles pour être décelées dans le corps.
En agriculture, on peut être en contact avec des produits chimiques de nombreuses façons. Les produits chimiques peuvent être amenés dans la plante ou sur la plante et donc être ainsi ingérés. Ils peuvent être portés par le vent et respirés directement par ceux qui vivent et travaillent dans une zone agricole. Ils peuvent même être transportés par le réseau d’alimentation en eau potable.
PRODUITS ALIMENTAIRES, ADDITIFS ET CONSERVATEURS
Certaines substances ajoutées aux produits alimentaires industriels sont censées en « améliorer » la couleur ou la saveur ou, comme mentionné auparavant, empêcher la nourriture de se gâter.L’introduction d’édulcorants artificiels dans les boissons « light » non alcoolisées et dans d’autres produits industriels est de plus en plus courante. Il ressort des recherches sur ces « exhausteurs de goût », ces « édulcorants » et ces « conservateurs » que beaucoup d’entre eux sont toxiques. Tout le sujet des additifs et des conservateurs dans les produits alimentaires est devenu une préoccupation pour beaucoup de monde.
Il existe un autre aspect de ce sujet de l’alimentation. Des recherches ont indiqué que l’huile rance était un risque pour la santé d’une amplitude qu’on ne soupçonnait pas jusque-là. Des chercheurs ont établi une relation entre les huiles de cuisson ou de préparation industrielle des aliments, quand elles ne sont pas fraîches et pures, mais au contraire rances, et des problèmes digestifs, musculaires et même le cancer.
LES PARFUMS ET LES SENTEURS
L’utilisation de parfums et de senteurs dans toutes sortes de produits est devenue de plus en plus commune ces dernières années. Depuis les vêtements et les détergents pour la lessive, jusqu’aux mouchoirs en papier et aux publicités dans les magazines, partout on trouve des parfums incorporés. Cette senteur est habituellement un dérivé chimique, un extrait de goudron de houille qui coûte environ 5 centimes les cent litres.Des découvertes semblent confirmer que ces produits chimiques qui flottent dans les supermarchés de quartier en tant que « parfums », sont en fait toxiques et peuvent se retrouver dans les produits alimentaires qui y sont vendus. Ingérer ces produits chimiques n’aide certainement pas la digestion.
LES RADIATIONS
Vous avez sans doute vu aux informations qu’on peut être en contact avec des radiations en s’exposant à des essais d’armes nucléaires (ou à des particules radioactives relâchées dans l’atmosphère), à des déchets radioactifs ou à des procédés de fabrication utilisant des matériaux radioactifs. De plus, l’utilisation accrue de l’énergie nucléaire pour fournir de l’électricité, sans développer de technologie adéquate et sécurisée, présente une menace non militaire. Et la haute atmosphère de la planète, détériorée année après année par les polluants, laisse passer davantage de radiations solaires vers la surface terrestre.En d’autres mots, il existe de nombreuses façons d’être exposé aux radiations. Il y en a partout et cela a toujours été ainsi. Mais il y en a simplement davantage aujourd’hui.
Les admirateurs du Soleil, les gens qui se font bronzer, ceux dont l’ambition est de rôtir au soleil année après année, s’exposent aux radiations. Qu’est-ce que le Soleil sinon une boule de radiations ? On ne peut pas trouver de meilleur exemple de radiation que notre soleil. Donc, un coup de soleil est une brûlure, mais pas une brûlure due simplement à un excès de chaleur : c’est une brûlure par radiations. Une certaine quantité de lumière solaire est probablement essentielle à la santé du corps humain. Nous parlons ici d’exposition excessive. Même si on ne parle pas de brûlure, une exposition journalière importante sur de longues périodes soumet une personne à l’effet cumulatif des radiations.
Les rayons X exposent aussi une personne aux radiations. Ils sont tout aussi mortels que la fission atomique. Ils ne sont pas accompagnés d’une grande déflagration. Vous n’obtenez pas une énorme explosion et une ville rasée.
Mais de radiographie en radiographie, une personne accumule de plus en plus de radiations, de telle sorte que si elle reçoit un peu plus de rayons X ou de retombées radioactives, elle risque de tomber malade. Une utilisation continue et répétée de rayons X sur une personne peut provoquer tout ce que fait la fission atomique quand elle pollue l’atmosphère.
Là où il existe une atmosphère radioactive, il y a aussi une baisse du niveau de la santé. Plus une personne est exposée aux radiations, moins elle peut y résister et plus les radiations ont d’effet sur elle. Autrement dit, au cours du temps, un dépôt se fait dans le corps provenant des diverses sources décrites ci-dessus. Les radiations étant cumulatives, cela complique le problème biochimique et constitue une barrière importante.
LA SOLUTION AU MONDE BIOCHIMIQUE
À la lumière de tout ce qui est mentionné ci-dessus, le Programme de Purification est une solution proposée à ce problème biochimique. Dans une société aussi envahie par les drogues et les produits toxiques que celle-ci l’est devenue, traiter les accumulations de tels produits est d’un grand intérêt.La question logique à poser concernant une procédure susceptible de remédier à de telles accumulations serait : « Est-elle efficace ? » « Donne-t-elle des résultats ? »
On trouve la réponse à ces questions dans l’expérience pratique et dans une compréhension des découvertes qui ont conduit à une procédure pour libérer l’individu des effets néfastes des substances toxiques.
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