Johnny Hallyday et les filles du Crazy Horse - Tour Eiffel 2000
- Le feu
Johnny Hallyday à Montreux Jazz cet été!
LADY GAGA ET TONI BENNET UN DUO INSOLITE A L'AFFICHE DU FESTIVAL DE MONTREUX
L'EPOQUE DES YEYES A MONTREUX JHONNY HALLIDAY EN JUILLET 2015 AU JAZZ FESTIVAL
BIOGRAPHIE
Johnny Hallyday est notre dieu à tous. Mais, force est de constater, comme toute divinité, Johnny n’a pas fait que des merveilles. Et surtout, surtout, il a réalisé des pépites qui sont telles qu’elles dépassent forcément toutes les autres.
Lecteurs, attention ! Certains mots vont sans doute vous transporter à travers le temps dans votre folle jeunesse jusqu'aux prémices des yé-yé. Souvenez-vous, c'était hier… À l'époque, les « bad boys » s'appelaient Johnny Hallyday ou Eddy Mitchell. Mais ces étoiles montantes du rock français balbutiant en cette fin des années 1950, pour la plupart fauchées, manquaient de bonnes guitares, telles les Fender ou Gibson, deux marques phares américaines coûtant à l'époque jusqu'à plusieurs mois de salaire… « Un luthier parisien va alors satisfaire cette demande nationale croissante à un prix abordable, affirme Marc Touché, sociologue du CNRS3, qui a participé à l'ouvrage et à l'exposition. Vincent Jacobacci, un immigrant sicilien installé à Ménilmontant depuis les années 1920. »
À l'origine, l'homme fabriquait des banjos et des mandolines. Ses fils, Roger et André, se destinaient à l'agriculture et à l'hôtellerie. Mais dans les années 1950, le rock débarque en France. Et sa vague bouleverse les plans des Jacobacci. André et Roger rejoignent finalement l'atelier de leur père qui devient très vite le lieu d'innovation d'une révolution technologique et musicale, c'est-à-dire celui de l'électrification en petite série et sur-mesure. Dès lors, les Jacobacci fournissent leurs premières guitares électriques aux groupes français, des Vautours aux Chaussettes Noires en passant par les Chats Sauvages. Et leurs guitares plates Texas et Ohio deviennent en 1960 l'attribut indispensable des jeunes rockers.
Johnny Hallyday, né Jean-Philippe Smet le 15 juin 1943 à Paris, est un chanteur, compositeur et acteur français.
Lecteurs, attention ! Certains mots vont sans doute vous transporter à travers le temps dans votre folle jeunesse jusqu'aux prémices des yé-yé. Souvenez-vous, c'était hier… À l'époque, les « bad boys » s'appelaient Johnny Hallyday ou Eddy Mitchell. Mais ces étoiles montantes du rock français balbutiant en cette fin des années 1950, pour la plupart fauchées, manquaient de bonnes guitares, telles les Fender ou Gibson, deux marques phares américaines coûtant à l'époque jusqu'à plusieurs mois de salaire… « Un luthier parisien va alors satisfaire cette demande nationale croissante à un prix abordable, affirme Marc Touché, sociologue du CNRS3, qui a participé à l'ouvrage et à l'exposition. Vincent Jacobacci, un immigrant sicilien installé à Ménilmontant depuis les années 1920. »
À l'origine, l'homme fabriquait des banjos et des mandolines. Ses fils, Roger et André, se destinaient à l'agriculture et à l'hôtellerie. Mais dans les années 1950, le rock débarque en France. Et sa vague bouleverse les plans des Jacobacci. André et Roger rejoignent finalement l'atelier de leur père qui devient très vite le lieu d'innovation d'une révolution technologique et musicale, c'est-à-dire celui de l'électrification en petite série et sur-mesure. Dès lors, les Jacobacci fournissent leurs premières guitares électriques aux groupes français, des Vautours aux Chaussettes Noires en passant par les Chats Sauvages. Et leurs guitares plates Texas et Ohio deviennent en 1960 l'attribut indispensable des jeunes rockers.
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