jeudi 4 mai 2017

MACRON DIT-IL LA VERITE?

Résultat de recherche d'images pour "macron dit la vérité fotos" MACRON DIT-IL LA VÉRITÉ SUR CE QU’IL A GAGNÉ À LA BANQUE ROTHSCHILD ? 

À côté de Macron, Cahuzac c’est un dealer de shit. Mais il faut se dire qu’il y a pire. Imaginons qu’un journaliste ait la preuve que Macron possède un compte offshore. Est-ce-que ce journaliste pourrait diffuser cette information dans la presse? Non. Pourquoi? Parce que les médias sont tenus à 99,99% par des pro-macron et que divulguer cette information capitale reviendrait à faire élire Marine le Pen…
Ça donne à réfléchir sur l’état de notre démocratie.

 Les propos de Marine le Pen dérange L'Establishment tout entier, puisque même Obama apporte son soutien à Macron.

Ce que dissimule Emmanuel Macron aux Français

En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire


 Emmanuel Macron que ses soutiens omniprésents dans les médias présentent comme « un homme libre et indépendant » est en réalité un pur produit standardisé du système : le clone de François Hollande. Rappelons à ces montreurs de marionnette que leur « homme libre et indépendant » refuse toujours de publier la liste des contributeurs financiers à sa campagne électorale. Est-ce à dire qu’il aurait bénéficié de millions d’euros de plusieurs représentants du système pour monter son spectacle et entrer en scène médiatique en jouant le candidat anti-système ? Car Macron ne devint pas dès le mois de mai 2012 conseiller économique de François Hollande puis ministre de l’Economie par un travail personnel important et innovant en matière économique. Il entra à l’Elysée sur les recommandations appuyées des vieux briscards des réseaux du clan élitiste et arrogant des anciens des grandes écoles et de la grande finance capitaliste. De Jacques Attali à Alain Minc en passant par les inévitables salonards parisiens comme Bernard-Henri Lévy et quelques milliardaires à l’image de Pierre Bergé, les entremetteurs ne manquent pas, tous liés aux cercles atlantistes. De 2011 aux élections présidentielles de 2017, ceux-ci n’ont cessé de border son parcours avec le concours, plus ou moins déclaré, des représentants au pouvoir de la caste des grands propriétaires privés de l’économie. Peu importe qu’ils soient membres de Les Républicains ou « socialistes», le principal étant d’assurer la continuité du système. Son parcours a donc un bilan que les médias officiels n’évoquent pas et qu’il est donc nécessaire de rappeler.

Un bilan économique désastreux

Rappelons que du 15 mai 2012 au 15 juillet 2014 Macron fut Secrétaire général de l’Elysée, chef du pôle Economie et finance, puis, du 26 août 2014 au 30 août 2016 ministre de l’Economie et de l’industrie. A ce titre il est donc celui qui a joué le rôle le plus important avec le président de la République et les deux Premiers ministres Ayrault et Valls dans la politique économique et financière de la France de 2012 à 2016. Quels sont les résultats de la politique Macron-Hollande ? Le chômage a explosé : à son arrivée en mai 2012, la France comptait moins de 5 millions de chômeurs toutes catégories confondues. A son départ en août 2016, 11 millions de personnes sont sans emploi ! Car, parmi celles-ci, aux 6,5 millions de sans emplois officiels s’en ajoutent plus de 5 millions exclues des statistiques. La dette publique : elle se situait à un peu lus de 1800 milliards d’euros à son arrivée et dépasse les 2200 milliards d’euros à son départ en août 2016, soit quasiment 100% du Produit Intérieur Brut. Quant aux impôts dont le montant total se situait à un peu lus de 900 milliards d’euros par an ils sont de 1000 milliards d’euros par an en août 2016. Les entreprises ? Selon une étude publiée par le Cabinet Deloitte et Altares, spécialiste des données sur les entreprises, plus de 63 000 d’entre elles (63 081) ont défailli en 2015, soit 0,8% de plus qu’en 2014 (62 586). Et au premier trimestre 2015, plus de 18.000 sociétés feront faillite entre janvier et mars alors que, depuis 2009, chaque premier trimestre se conclut aux environs de 16.500 défaillances. Le nombre d’emplois menacés par ces défaillances dépasse les 66.000, chiffre record depuis 2009. Si en 2016, la tendance est à une légère baisse sur la majorité des secteurs d’activité (58057 défaillances contre 63081), par contre dans l’agriculture, la sylviculture et la pêche le nombre de défaillances augmente de 4,5 %, passant de 1365 redressements ou mises en liquidation fin 2015 à 1427 fin 2016 ! L’évolution de ces principaux indicateurs montre clairement la responsabilité d’Emmanuel Macron dans l’aggravation de la crise économique et sociale. A peine entré à Matignon comme ministre de l’Economie et de l’industrie, le jouvenceau de la Rothschild poursuivit la même politique que ses prédécesseurs.

Le programme Macron est déjà en application

Comme eux, il liquida une nouvelle partie du patrimoine français, jeta au chômage des milliers de salariés et décida de nouvelles privatisations importantes : aéroport de Toulouse-Blagnac, de Nice-Côte d’Azur, de Lyon… Se trouvant un destin médiatiquement obligé pour la France afin d’assurer la continuité de la politique atlantiste de François Hollande au service des grandes puissances financières, il peaufina la casse industrielle : libéralisation des lignes d’autobus ; accroissement du travail du dimanche et de nuit ; limitation du rôle des prud’hommes ; affaiblissement du code du travail ; déréglementation de la profession des notaires ; privatisation de l’industrie de l’armement et des aéroports ; filialisation de centres hospitaliers universitaires ; assouplissement des normes environnementales… « Si le projet apparaît comme un fourre-tout, il n’en possède pas moins une grande cohérence idéologique, que l’on peut résumer d’une formule : « Toujours moins ». Moins d’Etat, moins de protection sociale, moins de droits syndicaux, moins de règles pour les entreprises, moins de contrôle public » soulignait déjà, en avril 2015, la journaliste Martine Bulard.1 Déjà mis en chantier à cette époque sous l’ancien Premier ministre Valls sous l’appellation grandiloquente de projet « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques »2, imposé par la force à coup d’article 49-3, ce début de programme Macron a déjà des allures de grand bond En marche… arrière puisqu’il s’est déjà traduit par une aggravation de la situation économique et sociale. Emmanuel Macron se garde bien, tout comme les médias officiels, de revenir sur cette loi dont il est l’initiateur comme sur ses conséquences catastrophiques pour les entreprises et les français. En réalité, au-travers de sa loi c’est déjà le programme Macron qui est En marche. De même, la « loi travail » Valls-El Khomri-Macron n’est qu’un échantillon de son programme dissimulé sous le vocable trompeur de « libérer le travail ». Chacun peut imaginer facilement ce qui arrivera si celui-ci avait les mains libres pour le poursuivre à marche forcée – et funèbre – une fois installé à l’Elysée.

Ces GOPE que Macron dissimule…

Force est de constater qu’Emmanuel Macron est de tous les projets conçus pour soumettre la France à des puissances étrangères : soutien au traité de libre échange transatlantique (TTIP ou TAFTA) qui placerait les entreprises française sous le droit étasunien, soutien à l’Union dite « européenne » de Bruxelles qui compte aujourd’hui 123 millions de citoyens pauvres ou en exclusion sociale, soutien à l’OTAN et à la guerre en cours contre la Syrie, etc. Mais qui en parle dans les médias officiels ? Aussi, cet homme là qui n’a de cesse d’agir contre l’intérêt général des français ainsi que son bilan en atteste n’a pas qualité à se présenter comme un défenseur du pays dont cet ignare considère même qu’ « il n’y a pas de culture française » !…3 Toute son action politique, ses décisions en matière économique et financière témoignent de son imposture. Les citoyens qui, au-delà des annonces médiatiques, s’intéressent aux programmes politiques des candidats et à la réalité de leur activité politique savent que les Grandes Orientations de Politique Economique (GOPE) décidées par la Commission européenne des hauts fonctionnaires de Bruxelles seront appliquées à la lettre par Emmanuel Macron qui les a déjà faites siennes pour en reprendre les principes et objectifs. Celles-ci se résument en dix points :

1°- « Réduction des dépenses publiques ». Le gouvernement a annoncé son plan de 50 milliards d’économie. C’est la fameuse contrepartie du « pacte de responsabilité » pour ne pas faire exploser le déficit. Or, tous les économistes savent que pratiquer des coupes sombres dans les dépenses publiques lorsqu’un pays est déjà en période de stagnation économique est une politique qui ne peut que conduire à la récession ;

2°- Redéfinir « la portée de l’action des pouvoirs publics ». Cela signifie accentuer les privatisations et la destruction de notre système de santé et de nos services publics auxquels les Français sont majoritairement attachés. La fermeture de plusieurs dizaines de services d’urgence médicale est déjà programmée;

3°- Réaliser « d’importantes économies à court terme (qui) ne peuvent être réalisées sans une réduction significative de l’augmentation des dépenses de sécurité sociale ». Cela se fera par une baisse massive des remboursements de santé puisque la branche maladie représente quasiment 50 % des dépenses de la Sécurité sociale et la privatisation rampante de la Sécurité sociale via le recours croissant aux mutuelles privées. Pour la branche vieillesse, après la hausse de l’âge de départ à la retraite le gel du montant des pensions est à l’ordre du jour. Pour le chômage, le texte parle de « dégressivité des allocations » : cela augure d’une baisse plus importante et plus rapide des allocations dans le temps.

4°- « Simplifier les différents échelons administratifs » : il ne s’agit pas de lutter contre la bureaucratie mais d’éloigner les citoyens des centres de décision. L’objectif est d’en finir avec la République française comme Etat souverain et indépendant pour en faire une province de Washington. Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, le déclara lui-même aux agriculteurs en colère : « On ne peut rien faire. La politique agricole se décide à Bruxelles »

5°- Dans le chapitre coût du travail, « il convient que le salaire minimum continue d’évoluer d’une manière propice à la compétitivité et à la création d’emploi ». Traduction : arrêter les revalorisations du SMIC et commencer à mettre en œuvre sa suppression.

6°- «Une attention particulière devrait être accordée aux dispositions réglementaires du Code du travail ou aux règles comptables liées aux seuils spécifiques en matière d’effectifs, qui entravent la croissance des entreprises françaises ». Le candidat Macron appelle cela « libérer le travail ». Il s’agit en fait de renforcer la « liberté d’exploitation » par le grand patronat que la « loi travail » a commencé à mettre en œuvre. Les français étant fiers de leur pays, des valeurs de leur République et de leurs conquêtes sociales, les grands propriétaires privés de l’économie ont souhaité bénéficier d’une main d’œuvre sous-éduquée, bon marché, non syndiquée et corvéable à merci.[i] Avec les guerres contre la Libye, puis contre la Syrie, Nicolas Sarkozy et François Hollande ont ouvert les filières dites « Méditerranée » et « des Balkan »s. Résultat : non seulement la France est aujourd’hui en pleine illégalité internationale mais, selon la Commission européenne, « trois millions de personnes supplémentaires devraient arriver dans l’Union européenne » par ces deux corridors pour la seule période 2015-2017. La Commission n’a pas fixé de quotas par pays pour les groupes criminels venus par les mêmes filières…

7°- « Accroître la souplesse des conditions de travail en cas de difficultés économiques provisoires ». Il s’agit, comme à commencer à l’instituer la « loi travail » Valls-Macron- El Mokhri, de poursuivre la remise en cause de l’existence même des contrats de travail à durée indéterminée (CDI) et d’accroître leur précarisation.

8°- « Une majorité reste confrontée à d’importantes barrières à l’entrée ou à l’exercice (par exemple les taxis, le secteur des soins de santé, les notaires et, plus généralement, les professions juridiques) ». L’objectif est de pousser plus loin la déréglementation de ces professions déjà en difficultés suite à différents traités de l’Union « européenne ».

9°- « Les tarifs réglementés restent d’application pour les ménages et, en ce qui concerne l’électricité, ils sont fixés en dessous des niveaux de coûts et l’accès pour les autres fournisseurs est limité.» La hausse des tarifs et la privatisation d’EDF sont également programmées.

10°- « Dans le secteur ferroviaire, des barrières à l’entrée continuent d’entraver le bon fonctionnement du marché ». La privatisation de la SNCF et sa mise en concurrence forcée sont également envisagés. La privatisation partielle de la SNCF a déjà eu des effets très « significatifs » en matière de compétitivité : depuis le lancement du TGV en 1982, aucune ligne à grande vitesse ne relie toujours pas Paris à une capitale régionale comme Bordeaux, les actionnaires des sociétés privées trouvant cette réalisation trop coûteuse…4

Pour faire passer tous ces mauvais coups tout un dispositif de communication a été élaboré avec des objectifs différents pour le premier et le second tour des élections présidentielles.

Le contrat social français et la paix en danger

L’importante campagne de communication et de désinformation orchestrée par l’équipe d’Emmanuel Macron dissimule les conséquences du programme politique de candidat de la grande finance : la dislocation du contrat social français et la continuité de la politique belliciste de Bruxelles contre la Fédération de Russie et la paix. Lors du premier tour des élections présidentielles, l’objectif recherché par l’équipe et les soutiens d’Emmanuel Macron fut de mettre François Fillon hors course sans mener de campagne particulière contre Marine Le Pen. Le but recherché était alors de réorienter le vote des électeurs LR et du centre vers le candidat mis en scène par François Hollande et les milieux atlantistes. D’autre part, ces derniers laissèrent Benoit Hamon mener sa campagne sous les couleurs du parti « socialiste » avec le seul objectif de faire échec à Jean-Luc Mélenchon. François Fillon, seul candidat qui aurait pu mettre en échec Macron, mis hors de course, la communication change d’orientation pour le second tour. Après « la rupture » de Nicolas Sarkozy et « le changement maintenant » de François Hollande, il ne reste plus aux dirigeants « socialistes » qu’à laisser continuer de diaboliser le Front national par ses habituels détracteurs tout en présentant Emmanuel Macron comme « l’homme du renouveau ». Nouveaux visages et recette éprouvée pour la même vieille politique.

« Il nous vend un personnage de théâtre… »

Au théâtre médiatique Macron joue aux français la pièce du « candidat anti-système». Cette compétition à qui distribuera le plus de promesses non tenues a fonctionné à fond. Dans cette démocratie rabaissée à un simple concours de maquillage, les messes médiatiques à grand spectacle ont donné à certains le sentiment de participer au « pouvoir du peuple ». Las ! Ils ne sont que les brailleurs d’un show de divertissement politique jetable, les chauffeurs de salle et petits porteurs de drapeaux applaudissant aux déclarations d’épate, les paumés gavés d’un produit toxique rendu consommable et envedetté à coups d’annonces médiatiques répétées. Ainsi que l’a souligné, non sans humour, l’économiste Jacques Sapir, « tout ceci met au grand jour ce qu’est la candidature d’Emmanuel Macron. Une pièce montée, avec ce goût un peu douceâtre et écoeurant des pâtisseries de supermarché qui ont le sucre et les lipides en excès. C’est une candidature qui précède le programme, alors que la logique imposerait l’inverse. Car, se présenter à l’élection présidentielle, ce n’est pas rien, même si ce n’est que pour briguer le poste de gouverneur d’une France soumise à l’Allemagne. On attend d’un candidat un programme et une vision, qui ne se limite pas à des effets de manche dans des salles de réunions et devant des auditoires conquis d’avance. On attend du fond ; et le fond ici, contrairement à la fable du laboureur et de ses enfants, c’est bien ce qui manque le plus. »5

Sous une présentation trompeuse sur le thème de « la révolution » et du « renouveau », le programme de Macron ne propose rien d’autre que la continuité de la politique du président et des gouvernements de François Hollande à laquelle il a lui-même collaboré au plus haut niveau de l’Etat.

Propose-t-il de dégager la Banque de France du carcan de la Banque centrale européenne et des intégristes des marchés financiers ? Non. Propose-t-il de nationaliser le secteur bancaire et financier afin de permettre aux français de contrôler les mouvements de capitaux pour assurer la stabilité financière et monétaire du pays ? Non. Propose-t-il de nationaliser les sociétés du CAC40 afin de mettre l’économie au service de l’intérêt général, stopper l’évitement fiscal de ces entreprises, développer la gestion démocratique et créer de nouveaux rapports entre ces grands groupes et le tissu des PME et TPE ? Non. Propose-t-il d’interdire les licenciements dans les entreprises qui réalisent des profits ? Non. Propose-t-il de mettre en place un cadre législatif favorisant des avancées dans la gestion démocratique des entreprises, ces lieux où hommes et femmes passent l’essentiel de leur vie ? Non. Propose-t-il de nouvelles dispositions comme le recours aux référenda pour développer le débat et le choix démocratique du pays sur les grandes questions nationales ? Non. Propose-t-il de sortir du bloc militaire OTAN afin de redonner à la France son indépendance militaire, la maîtrise de sa défense et de s’engager pour la paix de la planète contre tout impérialisme ? Non. Propose-t-il de sortir de l’Union « européenne » de Washington pour participer à la construction de la grande Europe, bien réelle celle-là, qui s’étend de Vladivostok à Lisbonne ? Non.2

Rien de tout cela. Et pour cause : produit croisé de l’ENA, de l’Inspection des finances, de la banque Rothschild, socialo palot – pléonasme – petit-bourgeois, il est l’esbroufeur type enfanté par la génération Mitterrand. Se présenter comme « anti-système » quand on a eu le cerveau formaté à l’ENA – école où l’on apprend à gérer et reproduire le système à coups de règlements –, quand on a travaillé à la Banque Rothschild – institution qui figure au nombre des principaux acteurs de la financiarisation de l’économie –, quand on a été conseiller économique de François Hollande et ministre de l’Economie et de l’industrie du gouvernement Valls – avec les résultats désastreux que l’on connaît –, relève de l’imposture.

Comme l’a si bien dit l’économiste Jacques Sapir, « il nous vend un personnage de théâtre, l’arriviste qui crache dans la soupe qui l’a longtemps nourrie. »6 Et l’on cherche en vain dans le parcours d’Emmanuel Macron le moindre élément qui permette de juger de son éloignement avec le dit système bien avant qu’il ne quitte la banque Rothschild en 2012 pour être injecté dans les allées du pouvoir politique. Aussi, Macron doit-il rassurer et bercer d’illusions sa « clientèle électorale ».

Il eut du reste, bien maladroitement, à l’occasion du 71ème congrès de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles qui se tenait à Brest en mars 2017, de dire tout haut ce qu’il pensait tout bas de la France du travail : « Un éleveur n’aime pas faire souffrir ses animaux, c’est comme penser qu’un entrepreneur aime licencier. » Du bétail, des boeufs quoi !…

Ce n’est pas pour rien que les journaleux parigots se pâment devant ses discours creux à l’odeur des caves vides. Il est à l’image des rienologues de Balzac dans sa Monographie de la presse parisienne : « La page à l’air d’être pleine, elle a l’air de contenir des idées ; mais, quand l’homme instruit y met le nez, il sent l’odeur des caves vides. C’est profond, et il n’y a rien : l’intelligence s’y éteint comme une chandelle dans un caveau sans air. Le rienologue est le dieu de la bourgeoisie actuelle ; il est à sa hauteur, il est propre, il est net, il est sans accidents. Ce robinet d’eau chaude glougloute et glouglouterait in saecula saeculorum sans s’arrêter. »

L’essentiel : sauver le contrat social français

Comme je l’ai déjà dit, dans les faits, le programme d’Emmanuel Macron est déjà en application. Ceux qui s’apprêtent à voter et à faire voter pour cet imposteur contribueront à l’assassinat prémédité, planifié, cyniquement calculé de ce qu’il reste du contrat social français qui repose sur l’emploi salarié. Sans doute faut-il rappeler aux français la nécessité de s’opposer farouchement à sa destruction en cours ainsi que le fait Hervé Sérieyx, qui fut dirigeant d’entreprise, haut fonctionnaire et professeur d’université, dans son ouvrage pertinent Alerte sur notre contrat social : « Rappelons qu’en France, l’essentiel du contrat social repose sur l’emploi salarié : c’est lui qui finance pour la plus large part la sécurité sociale, et donc le système de santé, les retraites et le système de solidarité générationnelle, le train de vie de l’Etat via l’impôt et donc l’ensemble des systèmes de redistribution. Cet emploi salarié, au coeur de notre contrat social, dépend lui-même du destin de nos entreprises. »7

Les français qui ont voté et s’apprêtent à voter pour le candidat de la coalition « socialiste-Les Républicains » ou à s’abstenir n’ont visiblement pas encore pris conscience de la gravité des conséquences de la conception anglo-saxonne de l’entreprise (le « tout-actionnaire ») que défend En Marche. Une conception qui remet en cause l’emploi salarié sur lequel repose l’essentiel du financement de nos systèmes de solidarité ; une conception dont le programme de Macron, déjà en cours d’application, peut mettre à terre tous les fondements de notre protection sociale et dissoudre les liens qui nous permettent de faire société.

Plus les entreprises seront privatisées au profit d’intérêts particuliers, plus l’intérêt général continuera de régresser, plus l’emploi salarié s’affaiblira, plus les solidarités s’effilocheront, plus le chômage et la misère gagneront de nouvelles couches de la société, plus l’avenir sera incertain et sombre.

Pour cette raison essentielle, même sans être en accord avec le programme du Front national qui n’a, de mon avis, rien d’extrémiste, le vote pour sa candidate appert en la circonstance comme le seul moyen de faire barrage à la destruction continue de notre société par la grande finance en redonnant la parole au peuple de France.

A l’opposé, une victoire d’En Marche entraînerait la France dans l’instabilité politique par les querelles internes et la recherche de majorité de circonstances des vieux partis – de LR aux groupuscules gauchistes en passant par les restes du couple Ps-Pcf -, dans l’aggravation de la situation économique et financière du pays par la poursuite de la politique de déréglementation et de privatisation avec pour conséquence une précarisation sociale sans précédent.

On peut y voir des « avantages » à un moment où Macron, ancien collaborateur du criminel François Hollande8 en regard du droit international, s’est déclaré favorable à la guerre contre la Syrie et a pris des positions hostiles à l’encontre de la première puissance du continent européen, la Fédération de Russie.

Mais que peut faire d’autre un candidat de la grande finance apatride alors que les milieux atlantistes de Washington et de Bruxelles cherchent à provoquer un nouveau conflit majeur pour effacer leur endettement et sauver leur système en crise ?9 Mais cela est une autre histoire dont les résultats du premier tour des élections présidentielles ont montré qu’elle échappe visiblement à l’entendement d’une majorité de français. En ce sens également, le vote pour Marine Le Pen est un vote en faveur d’une nouvelle construction européenne et de la paix.

Jean-Loup Izambert, 

Source : http://www.mondialisation.ca/macron-la-grande-imposture/5586924

1.Loi Macron, le choix du toujours moins, par Martine Bulard, Le Monde Diplomatique, avril 2015.

2.Sénat Projet de loi considéré comme adopté par l’Assemblée nationale en application de l’article 49, alinéa 3, de la Constitution après engagement de la procédure accélérée « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques », 19 février 2015.

3.Discours d’Emmanuel Macron, Lyon, 5 février 2017.

4.Lire sur ces sujet Les GOPE (Grandes Orientations de la Politique Economique) ou la feuille de route économique de Matignon, par Charles-Henri Gallois, responsable national de l’UPR e n charge des questions économiques, 13 mars 2017, www.upr.fr, privatisations en France.

5.L’inquiétant M.Macron, par Jacques Sapir,12 février 2017.

6.Ibid

7.Alerte sur notre contrat social, per Hervé Sérieyx, Ed. Eyrolles, p.16.

8.Lire 56, tome 1 L’Etat français complice de groupes criminels et 56, tome 2 Mensonges et crimes d’Etat, par Jean-Loup Izambert, IS Edition.

9.Lire Trump face à l’Europe, par Jean-Loup Izambert, IS Edition (En vente sur http://www.amazon.fr)

mercredi 3 mai 2017

LE PEUPLE A LE PRESIDENT QU'IL MERITE

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JAQUES ATTALI MENTOR D'EMMANUEL MACRON

Image associée 

Conseiller de François Mitterand (PS) 1974, Jaques Attali sera également conseiller de Nicolas Sarkosy (UMP). 

Le peuple à toujours le Président qu'il mérite!


Conseiller d'Emmanuel Macron? 
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C'est lui qui a présenté Emmanuel Macron à Rodtschil et à François Hollande






Lien : http://lesobservateurs.ch/2017/04/30/quand-le-directeur-de-rothschild-avoue-que-macron-est-un-excellent-manipulateur-qui-raconte-des-histoires-video/ 


MEDIAS - PRESSE. INFO 20 février 2015

http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2014/09/attali-euthanasie-2.jpg

Jacques Attali figure parmi les promoteurs de l’euthanasie.

Le mondialiste Jacques Attali a annoncé ce matin sur BFM TV qu’il présenterait à la fin de l’année un programme présidentiel afin de lancer le débat en vue du scrutin de 2017.

Jacques Attali dit vouloir « essayer de faire en sorte que l’année 2016 soit occupée par un débat sur les idées et sur les projets », « de façon à ce qu’en 2017, les candidats s’affrontent non pas sur la couleur de leur cravate mais sur le projet qu’ils proposent au pays ». 

« Ce n’est pas un programme ‘UMPS’, ce n’est pas du tout un programme de consensus entre les partis », a tenté de nier Jacques Attali. Le vilain menteur ! Le personnage est pourtant l’archétype même de l’émissaire des plus puissants cercles mondialistes, chargé de rappeler à la fausse gauche comme à la fausse droite ce que les maîtres du monde attendent de la politique française.

Qui est Jacques Attali ?

Né en 1943 dans une famille juive d’Algérie, il arrive en France en 1956. Jacques Attali et son frère jumeau Bernard sont inscrits au lycée Janson-de-Sailly, dans le très chic 16ème arrondissement de Paris. Parmi leurs condisciples, il y a un certain Laurent Fabius.

Jacques Attali est notamment diplômé de l’Ecole polytechnique et de l’ENA. A 27 ans, il devient auditeur du Conseil d’Etat.

Dès 1974, il devient conseiller de François Mitterrand (PS). Lorsque Mitterrand devient président de la république, il lui octroie même le rôle de représentant personnel du chef de l’Etat aux sommets du G7.

Jacques Attali sera également conseiller de Nicolas Sarkozy (UMP) et de François Hollande (PS).

Jacques Attali est l’initiateur (en 1989) et le premier président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

En 1998, Jacques Attali fonde PlaNet Finance, organisme international de conseil d’institutions de macrofinance présent dans 88 pays, développant des activités d’ONG selon les projets du nouvel ordre mondial, et dont le conseil d’administration est composé de représentant de la Haute Finance.

 Jacques Attali est cofondateur (avec notamment Robert Badinter) de l’association Socialisme et Judaïsme, membre du CRIF.

Régulièrement, Jacques Attali déclare qu’il est nécessaire d’instaurer un gouvernement mondial dont Jérusalem serait la capitale. 

Jacques Attali est aussi un intervenant du Congrès juif mondial qui se proclame « bras diplomatique du peuple juif« .

http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2014/06/livre-les-juifs-le-monde-et-l-argent-de-jacques-attali-mpi.jpgIl faut se souvenir que les principaux dirigeants du Congrès Juif Mondial (parmi lesquels le banquier David de Rothschild et Roger Cukierman, président du CRIF) étaient réunis en France lorsque Manuel Valls a été désigné premier ministre. Le Congrès Juif Mondial avait immédiatement publié un communiqué de presse faisant « l’éloge du nouveau Premier ministre Manuel Valls pour avoir agi avec détermination contre le comédien antisémite Dieudonné« . Le même communiqué du Congrès Juif Mondial félicitait Manuel Valls d’avoir soutenu la « pleine légitimité des mesures qui restreignent la liberté de parole« .

Jacques Attali a écrit de nombreux livres, parmi lesquels un Dictionnaire amoureux du judaïsme ainsi que l’ouvrage Les Juifs, le monde et l’argent.

LE MACRON QUE TOUTE LA PRESSE NOUS CACHE

mardi 2 mai 2017

MARINE NE GAGNERA PAS LA PRESIDENTIELLE

Résultat de recherche d'images pour "marine le pen photo"  OUI LA FRANCE


Ce régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par peux de personne (oligarchie) est contre Marine le Pen la nouvelle  Jeane d'Arc du 21e siècle. 



Présidentielle 2017! Un vote pour Marine Le Pen est un vote contre l’Ordre Mondial

Brigitte Bardot, Alain Delon soutiennenent Marine

Vous vous rendez compte qu’à l’heure actuelle les médias ne font que critiquer Marine Le Pen et son projet sans même élaborer sur celui de Macron ? C’est la bonne affaire.
Image associée 
Vous devez voter Marine Le Pen car elle va montrer aux élites du Groupe Bilderberg – dont je rappelle que M. Fillon, M. Juppé et M. Macron ont participé à au moins une réunion au cours des 5 dernières années – que la France ne se laissera pas happer par ce nouvel ordre mondial.

Le Nouvel Ordre Mondial est comme son nom l’indique : nouveau. C’est un terme qui est né et qui a été rendu populaire par George Bush suite à la chute du mur de Berlin, la fin de la guerre froide et donc la disparition de ce monde bipolaire pour dire qu’un monde nouveau arrive. Jusque là tout va bien… Mais quel est ce monde nouveau ? Le monde nouveau se moque de qui vous êtes, d’où vous venez et ce que vous croyez, le monde nouveau mis en avant par une poignée d’individus élitistes sera constitué d’apatrides qui voyageront de pays en pays comme si c’était des hôtels. Vous êtes un humain avant d’être un Français.

Résultat de recherche d'images pour "BILDERBERG FOTOS"
Ils utilisent les plus beaux concepts de la race humaine tels que l’égalité et la fraternité pour vous inciter à accepter des étrangers car « nous sommes tous égaux » et car il ne faut pas être traité de raciste. Vous êtes programmés pour avoir peur de sortir de ce carcan idéologique qu’il faut obligatoirement avoir de la compassion pour son prochain, que ce prochain soit français ou pas vous devez avoir de la compassion. Quiconque sort du carcan est automatiquement un facho ou un raciste. Les riches industriels se moquent de savoir si vous êtes blanc noir ou jaune, vous êtes de la main d’oeuvre, ils exploitent donc les plus beaux aspects de la philosophie humaniste à des fins très égoïstes. Ils détruisent nos pays au nom des droits de l’homme.

Résultat de recherche d'images pour "BILDERBERG FOTOS"Ils font cela depuis des décennies et vous n’y voyez que du feu car ils nous font culpabiliser en permanence. Même Macron a osé dire que la colonisation était un crime contre l’humanité, en faisant cela il sert ses maîtres qui cherchent perpétuellement à nous faire culpabiliser en vue de nous faire accepter l’inacceptable. L’Allemagne étant l’exemple suprême de nation cherchant la rédemption, elle a accueilli des millions de migrants car les Allemands veulent se repentir. Les mondialistes n’ont cessé de faire culpabiliser les Allemands pour Hitler et la Seconde Guerre Mondiale, et nous on nous fait culpabiliser sur la colonisation et le traitement des algériens lors des premiers regroupements familiaux dans les années 1970.

Cette élite ne vous donnera aucune chance. Si vous un(e) blanc(he) hétérosexuel(le) vous n’avez pas le droit de voter pour Macron car il va faire passer la Nation après les besoins de ses amis politiques, industriels et médiatiques. Vous devez comprendre que les médias n’ont fait qu’utiliser le Front National jusqu’à présent pour faire élire un paquet de gens dont Chirac qui a eu un score de 82% face à JM Le Pen en 2002.

Je sais pertinemment que Marine ne gagnera pas la présidentielle donc vous vous dite que ça ne servira à rien de voter pour elle mais bien au contraire ! Il faut que l’élite politique en place ait peur du Front National pour qu’il y ait une forme d’opposition. Si ça avait été Jean-Luc Mélenchon au deuxième tour j’aurais dit de voter pour Mélenchon ! Il faut que le candidat des élites politico-industriels du Bilderberg et j’en passe… il faut que ce candidat gagne les élections avec un score qui ne ressemble pas à ceux des élections en République Démocratique du Congo. Il faut que les résultats soient le plus serrés possibles.

Vous ne ferez pas élire Le Pen car de nombreuses personnes sont encore traumatisées et en quête de rédemption et de pardon vis à vis d’un passé dont ils ne sont absolument pas responsables, mais vous contribuerez à faire trembler les élites car votre populisme doit survivre. Vos idéaux ne meurent pas avec cette élection. Vous devrez continuer à vous battre contre l’oligarchie en place.

Résultat de recherche d'images pour "BILDERBERG FOTOS"Et vous devrez faire des choix contraires à « vos » convictions mais ce ne sont pas les vôtres, c’est celles que les élites vont ont injectées avec la télé et les médias…

Vous vous rendez compte qu’à l’heure actuelle les médias ne font que critiquer Marine Le Pen et son projet sans même élaborer sur celui de Macron ? C’est la bonne affaire.

Votez Le Pen et faites les trembler.

Il faut qu’à la prochaine conférence du Groupe Bilderberg qui se tiendra en juin, qu’ils en parlent et qu’ils aient peur du populisme Français. Vous êtes tous très doués pour voter contre et pour les fameux « votes utiles » alors SVP soyez utiles.

Voila j’ai terminé, maintenant le vilain raciste conspi que je suis va publier cet article.
http://www.nouvelordremondial.cc/


lundi 1 mai 2017

Ce que cache vraiment la candidature Macron




Où l'on apprend qu'Emmanuel Macron est, en fait, "maoïste"


Je suis un maoïste.
Une précision doit ici être apportée : non, l’auteur de ces quelques lignes n’est pas en état d’ébriété. C’est bien comme un « maoïste » qu’Emmanuel Macron se décrit dans le quotidien national, précisant que, s’il se revendique de Mao c’est parce que pour l’ancien leader chinois, « un bon programme est un programme qui marche ».

On espère simplement qu’Emmanuel Macron n’a pas pour ambition d’instaurer un Grand bond en avant puis une Révolution culturelle en France. Ce que le nom de son mouvement En Marche ! et le titre de son ouvrage, Révolution, semblent indiquer…

Ou pire : lui Président, il mettra en place un régime totalitaire. Non parce que si certains trouvent le maoïsme plutôt sympa, n’oublions pas que cette idéologie est, pour résumer, responsable de la mort de 60 à 80 millions de personnes.
http://lelab.europe1.fr/ou-lon-apprend-quemmanuel-macron-est-en-fait-maoiste-2991992





dimanche 30 avril 2017

SALSA NOCHE DE FIESTA

 
Salsa Noche Fiesta
Sur un air de Musique Noche de Fiesta sur la Riviera, quelque part en Suisse! Magnifique Nuit de fête...

 Montreux Info-Ville

Votre magazine Montreux Info-Ville :Tirage: 15 000 exemplaires, tous ménages gratuits. Croisière de rêve sur ce bateau, c’est possible sur le Lac Léman – Montreux! Réservation http://www.babord-tribord.ch/
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jeudi 27 avril 2017

FRANCE LA BANQUE DU PRESIDENT

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Marion Maréchal-Le Pen: «Macron est un véritable homme de gauche»


 


 

 Selon un sondage Harris Interactive, ils sont 61% à penser que Marine Le Pen réussit un meilleur début de campagne, tandis que 52% considèrent que celui de l'ancien ministre n'est pas à la hauteur.


EMMANUEL MACRON PRESIDENT?

 Patrick Bruel voit déjà Emmanuel Macron président!

Cyril Hanouna a interpellé Emmanuel Macron en direct dans Touche pas à mon poste jeudi soir. 

 Macron répond à Hanouna en direct dans Touche pas à mon poste après son passage sur TF1



« La banque du Président »

 

Résultat de recherche d'images pour "BANQUE ROTHSCHILD PHOTO"Propre sur soi, à l’image de Macron, la banque Rothschild est aussi – bien qu’elle s’en défende – très liée au milieu politique, tout comme sa concurrente Lazard. Tissées par des études communes et des amitiés forgées dans les cercles du pouvoir, ces liaisons fructueuses en font parfois « des ministères bis de l’Industrie et de l’Economie. » Le nom de Rothschild a d’ailleurs longtemps charrié des images d’empire financier, ce qui poussera les socialistes à nationaliser la banque en 1982. La nomination de Macron au gouvernement n’en est que plus ironique.

Lorsqu’il arrive chez Rothschild, Emmanuel Macron est déjà bien introduit. Il fréquente Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Elysée qui ce mardi a annoncé avec un sourire sa nomination au ministère, ou encore Jacques Attali (grâce à la commission du même nom). Mais François Henrot tient à préciser qu’il n’a pas recruté un « carnet d’adresses ». Si Emmanuel Macron connaît aujourd’hui les principaux patrons français, il a dû s’appuyer à l’époque sur la réputation de la banque pour s’ouvrir des portes.

Avant Emmanuel Macron, c’est François Pérol qui incarnera ces accointances politiques en devenant secrétaire général adjoint de l’Elysée, après avoir travaillé chez Rothschild.

L’entregent de Rothschild est démultiplié au point que le Nouvel observateur titrera « La banque du Président ».

On pourrait aussi citer Sébastien Proto (de la même promo de l’Ena que Macron), qui a été directeur de cabinet d’Eric Woerth, Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur, ou Grégoire Chertok, proche de Jean-François Copé. Nicolas Sarkozy gravitera aussi un temps dans le giron de la banque.

A chaque changement de gouvernement, Rothschild réussit donc à placer quelques collaborateurs dans les petits papiers du pouvoir. On appelle cela « se mettre au service ». Macron est un ancien, mais il perpétue la tradition. Et il a laissé de tellement bons souvenirs que les banquiers ne sont pas près de l’oublier.


INCROYABLE ASSELINEAU Dévoile l'arnaque macron 

 L'arnaque macron par ASSELINEAU explique comment les médias soutienne manuelle macron sont programme




Édito – "Emmanuel Macron veut tuer le PS avant les élections législatives" 

Emmanuel Macron l'a rappelé ce mardi: un élu qui souhaite être investi par le mouvement En Marche! pour les élections législatives devra obligatoirement quitter son parti. Pour Christophe Barbier, éditorialiste politique de BFMTV, cela montre la volonté d'Emmanuel Macron de "tuer le PS" avant les élections législatives: "Il leur explique qu'ils vont disparaître, qu'ils seront éliminés de tous les seconds tours s'ils ne rejoignent pas En Marche!".

DEMOCRATIE D'OPERETTE
Par Dupont Aignan

ELECTIONS FRANCAISES MACRON OU LE PEN?

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Rothschild a organisé des levées de fonds pour Macron dans la plus “grande discrétion”

  Moutonsrebelles: http://lesmoutonsrebelles.com/rothschild-a-organise-des-levees-de-fonds-pour-macron-dans-la-plus-grande-discretion/ 

  Emmanuel Macron donné vainqueur au second tour face à Marine Le Pen, selon les premiers sondages

 

Une fois de plus, la France se retrouve dans ce qu’on pourrait appeler un deuxième tour de l’absurde. À peine les résultats sont-ils exprimés que les leaders d’opinion appellent à faire barrage contre Marine Le Pen dans un consensualisme « pro-Macron » assumé ou par défaut. Mais cette effervescence rend inaudible une crise de la démocratie qui se déroule sous nos yeux. Des milliers de citoyens crient leur colère. Leur désespoir n’émane pas du résultat, mais de la manière même dont ces élections se sont déroulées. Des élections entachées d’irrégularités, de bugs, de radiations de masse et de zones d’ombres si nombreuses que certains estiment légitimes de questionner la validité des résultats. Alors que les témoignages s’accumulent par milliers, venons-nous de passer dans autre dimension ?


SAUVONS LA FRANCE! MARINE LE PEN


 
Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24 février.

Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion. En témoigne ce texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne :
https://henrymakow.files.wordpress.com/2013/07/rothschild-hitler.jpg« Chers amis, un cocktail dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27 septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous, pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »
Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient supérieurs à 5 000 euros.

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Nos Banqiers! Maître du monde? The Federal Reserve Cartel: The Rothschild, Rockefeller and Morgan Families


<< Que veux-dire cette main levée avec des cornes? >>
Par Manuel De Diéguez, Le 31 mars 2017
De tous temps, en tous lieux et sous tous les régimes, l’appareil judiciaire s’est mis au service de l’État du moment. Monarchique sous la monarchie, louis-philippard sous la Restauration, anti-dreyfusard du temps de l’affaire Dreyfus, ennemi de la Commune à l’heure des « Communards », unanime dans son sermon d’obéissance à Vichy.
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La spécificité du tartuffisme judiciaire d’aujourd’hui tient au fait qu’il intervient directement dans la volonté de porter à l’Elysée un jeune homme de trente-huit ans, introduit par Jacques Attali dans le groupe Rothschild, où il a exercé la fonction centrale de banquier d’investissement, autrement dit, de banquier d’affaires.
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Résultat de recherche d'images pour "MACRON ILLUMINATI"La fortune totale du groupe Rothschild est estimée à quelque cent cinquante millions de milliards de dollars. J’ai bien dit cent cinquante millions de milliards de dollars, c’est-à-dire quinze suivi de seize zéros. C’est rappeler que ce groupe est le vrai maître du marché français, européen et même mondial. A ce titre, il est devenu l’actionnaire majoritaire de quatre-vingt dix pour cent des banques centrales de toutes les nations du globe terrestre.
Résultat de recherche d'images pour "MARINE LE PEN ILLUMINATI"
Si l’on se souvient que Georges Pompidou, ex-banquier d’affaires lui aussi du même groupe Rothschild, avait imposé à la France l’interdiction d’emprunter à sa banque centrale et l’avait contrainte à se donner le « marché » pour créancier exclusif, on comprend que le paiement des seuls intérêts de la dette de la France auprès des banques privées soit rapidement devenu le tribut ou le bât du déficit budgétaire annuel de la nation.
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Depuis le 3 janvier 1973, date de la loi « Pompidou- Rothschild » la France a payé plus de mille cinq cents milliards d’euros d’intérêts aux banques privées. Le service de la dette est devenu le budget le plus considérable du pays: il dépasse celui de l’éducation nationale et de tous les autres ministères réunis. Il représente plus de quarante cinq milliards d’euros par an pour le seul paiement des intérêts.
Michel Rocard déclarait en décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette se situerait à un niveau « bénin« , de « 16 ou 17 % du PIB« . Actuellement, la dette de la France frôle les cent pour cent de la production totale de l’année.
Quelle était, en 1973, l’argumentation, sinon conjointe, du moins parallèle, du groupe Rothschild et de l’Élysée?
Il serait absurde de soupçonner Georges Pompidou d’avoir fait passer les seuls intérêts des banques avant ceux de la France. Georges Pompidou était un vrai gaulliste et un érudit. Passionné de grec, quel aurait été son destin s’il était entré à l’école normale supérieure dont les portes lui étaient grandes ouvertes? Mais il n’a pas renoncé à sa vocation littéraire: au cours de son mandat il a publié une anthologie de la poésie française d’une sûreté de goût exceptionnelle.
Mais, à l’instar des banquiers du groupe Rothschild, il savait que tous les États sont tentés de dépenser davantage qu’ils ne gagnent.
Depuis que l’art de frapper monnaie s’est confondu avec celui de fabriquer de la monnaie fiduciaire, la prodigalité des États n’a plus connu de bornes. Du coup, leur tentation est devenue irrésistible de vaporiser leurs dettes par l’inflation afin de rembourser leurs créanciers en monnaie de singe. Sous l’occupation, le franc français était demeuré relativement stable. Mais, sitôt la guerre terminée, on a vu notre monnaie se dévaluer sur le modèle des assignats de la Révolution et ruiner les épargnants.
En 1958, à l’heure du retour au pouvoir du Général de Gaulle, la monnaie française avait perdu quatre-vingt dix-neuf pour cent de sa valeur face au franc suisse. En rétablissant la parité entre le franc français et le franc suisse et en créant ce qu’on appelait le franc fort, le Général de Gaulle était si peu parvenu à rétablir durablement la parité entre les deux monnaies sur le marché des changes, qu’il avait suffi de quelques années pour retrouver la tradition de la chute du franc gaulois dans l’abîme. Du temps où le Premier Ministre de M. Giscard d’Estaing s’appelait Raymond Barre, l’inflation française s’élevait à quatorze pour cent par an.
Aussi Georges Pompidou croyait-il sincèrement qu’à contraindre l’État à emprunter sur le marché, il porterait un coup décisif aux États dépensiers. Il se souvenait surtout de ce qu’entre 1945 et 1958, plusieurs centaines de milliers de petits épargnants français avaient été ruinés par la fonte de la monnaie nationale et pour avoir souscrit des emprunts d’État qu’on leur disait gagés par l’or de la banque de France. Et c’était cette blessure profonde qu’il fallait tenter, disait-il, de cicatriser.
Or aujourd’hui, la banque centrale européenne se trouve dirigée par M. Draghi, ancien banquier d’investissement de la banque américaine Goldman Sachs.
Que signifie l’envoi récent et en avant-garde d’un José Barroso, ancien Président de la Commission européenne de Bruxelles, à titre de caution du caractère soi-disant européen de la banque, alors que Barroso n’a jamais été qu’un agent déguisé du Pentagone et un fidèle exécutant des volontés de l’empire militaire mondial qu’on appelle les Etats-Unis?
M. Draghi jette sur le marché dix-sept milliards d’euros papier par semaine, sous le prétexte d’une politique d’investissement, dont personne n’a vu la couleur.  En réalité, grâce au fruit de la planche à billets électronique, le but de l’opération était, à l’image de ce que font la Banque d’Angleterre et la Réserve fédérale américaine, de racheter des titres obligataires, c’est-à-dire des bons du Trésor et divers titres d’entreprises irrécupérables appelés « titres pourris« . 

M. Draghi espérait par cette opération à destination des banques privées, « débloquer les circuits du crédit« , c’est-à-dire les inciter à se montrer plus dynamiques dans la distribution de crédits aux entreprises. Mais l’objectif des banques privées est autre. Trop heureuses de se débarrasser de leurs titres toxiques, elles se montrent encore plus frileuses dans l’attribution de crédits, si bien que le marasme économique perdure. Les banques, une fois de plus, sont les seules bénéficiaires de la politique dite de quantitave easing (QE), ce que la langue de Molière traduit par « laxisme monétaire« . Les banques ne sont intéressées que par leurs propres bénéfices. 

La Suisse, à laquelle on ne fera pas prendre des vessies pour des lanternes, a aussitôt compris que l’histoire de la République de Weimar allait reprendre son cours, a décidé sur l’heure de renoncer au taux de change fixe qu’elle avait accepté d’établir avec l’euro. Sa monnaie s’est immédiatement trouvé revalorisée de plus de vingt pour cent.  On voit quel péril la banque centrale européenne actuelle fait courir à l’euro en renforçant momentanément par contre coup le pouvoir du dollar sur le plan international: aussi l’Allemagne est-elle allée jusqu’à menacer M. Draghi de lui intenter un procès. 

Naturellement, cette menace s’est tout de suite ensablée, parce que Mme Merkel ne saurait à la fois se présenter en apôtre de l’américanisation de l’Europe et en défenderesse de la solidité de l’euro comme monnaie de réserve.
L’euro dévalué rejoint la catastrophe financière prévisible contre laquelle la loi Pompidou- Rothschild de 1973 était censée lutter. Car à l’heure où l’euro sera devenu une monnaie aussi fictive que le deutschemark sous la République de Weimar, à l’heure où l’euro papier rivalisera, si je puis dire, avec un dollar papier, tout le monde comprendra que l’euro se trouvera réduit au rang des assignats. L’euro aura seulement permis à tous les grands et petits commerçants de France et de Navarre de confondre dans les esprits un euro avec un franc, ce qui a conduit, par exemple à augmenter le prix des pommes de terre de mille trois cents pour cent.
Le mythe d’un euro fort était censé créer une identité européenne. Grâce à l’euro surgirait par miracle une identité commune, donc un patriotisme européen. Or, déjà l’extrême gauche allemande descend dans la rue afin de défendre l’alliance future du parti avec les identités nationales renaissantes partout en Europe. 
A l’origine, la double nationalité franco-suisse se trouvait pratiquement seule en lice, tellement elle demeurait inoffensive pour tout le monde. Mais même les petits pays d’Amérique centrale refusaient farouchement toute bi-nationalité de leurs ressortissants. On comprend qu’à l’heure où des millions d’Algériens et de Marocains en France et des millions de Turcs en Allemagne considèrent seulement la France ou l’Allemagne comme un ajout secondaire à leur nationalité originelle, comme l’a rappelé récemment l’actuelle Ministre de l’éducation nationale, Mme Vallaud Belkacem, l’unité psychologique des nations se trouve pratiquement anéantie.
Ainsi, Mme Vallaud Belkacem a déclaré qu’elle se sentait marocaine, mais qu’elle était en France pour faire carrière.
Du reste, M. Erdogan a déjà appelé les Turcs d’Europe à porter à cinq enfants au minimum la fécondité des femmes turques sur le continent européen afin de modifier la définition même des identités nationales.
Le Président Donald Trump avait rappelé avant son élection, que l’Europe ne sera jamais une nation, mais seulement une société anonyme présidée par un conseil d’administration, donc livrée à l’anonymat et à l’irresponsabilité d’une bureaucratie dépourvue de toute autonomie politique réelle.

C’est dans ce contexte que la gigantesque hallucination collective et la bénédiction judiciaire de la candidature à l’élection présidentielle d’un Emmanuel Macron, ancien élève des Jésuites, armé d’un slogan digne d’un gentil scoutisme –
« En marche » – prennent tout leur sens. Car aussi longtemps que le principe de la présence militaire éternelle des États-Unis en Europe ira de soi, tout ce théâtre de pseudo « marcheurs » nous rappellera l’opéra Aida de Verdi, dans lequel une troupe piétinante chante en chœur et à tue-tête: « Marchons, marchons« .
Entendez:
Cliquez sur, merci:  https://youtu.be/81I1U8HC9QY 
ou




CONCLU-SION
Les crabes marchent toujours en arrière. 

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgodnxILrHOVgbLZI3kyMCoxVbF57qsR9_4UbcFPv_NbyMoy4RozIdgdTnIlupoJSF4DTlY9njh6mRi9pyheQ1Nzk0P_CEm5GiWffhCJOEnKWIVX3v5JBiBEZrk7Jf7LknVhTC6Yk9BJ2Dt/s1600/globalist-jews.jpg WHO REALLY CONTROLS THE WORLD? HERE IS AN EXPOSE' OF THE ROTHSCHILD/ROCKEFELLER AGENDA:  http://theconspiracyzone.podcastpeople.com/posts/39430

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3AJD6nfM8FvTrLMkQqPu28WPGjc0cJIdPw-4lywgcOi84Gs0BrODSg0G2iTaRNOTQUP3kWrDPZfG07vfMpBswjbah46BnpGo6MHGWUI_s1whR8Obt0vGuDsnpU8rnxMfqj7Uxq8Wv3s8t/s1600/558662_10151057557731446_1591546606_n.jpg 
                
HOMMAGE A L'HOMME ET AUX PEUPLES QUI SUBISSENT LA FORCE L'OPPRESSION 

Inutile de parler de la Syrie et de ce qui se passe dans ce Pays! La presse internationale nous abreuve déjà suffisamment de situation ou la force, l'oppression est utilisée au lieu de la raison.
                                       
Pour
l'homo sapiens, il y a essentiellement deux droits. L'un est le droit à sa propre santé d'esprit et l'autre le droit à sa propre vie. C'est une extension des droits de l'homme et ceux-ci ne sont qu'une dérision complète sans ces deux droits supplémentaires.

Il suffit de déclarer quelqu'un fou, vous voyez ? ou quelque chose de ce genre ou de le rendre fou ou quelque chose comme ça, et il perd immédiatement tous ces droits. Il devient l'objet de propriété. Aussi, méfiez-vous dans une constitution de toute lacune qui conduirait à l'esclavage.

Et, comme il peut se présenter une dichotomie sous forme de combat si nous osons rendre quelqu'un sain d'esprit, il se peut que nous soyons confrontés à toutes sortes de menaces de la part des forces dont l'importance et la puissance sont sans conteste redoutables et effrayantes. Oui, on pourrait toujours rencontrer de telles forces, mais elles n'arriveraient jamais à maintenir leur position. C'est très intéressant; elles n'arriveraient pas à maintenir leur position parce quelle se trouvent sur une piste qui, dans cet univers, mène à sa propre fin et non à sa perrénité. Les gens reconnaissent cela et, bien que l'on observe une effrayante tendance de la part de l'esclave à mettre des chaines et à les porter, et à porter plus de chaines si possible, ily a toujours un plus grand nombre de gens qui, en définitive, se retournent contre leur maitres.

Les maîtres d'esclaves meurent. Ils ont toujours connu la mort dans cet univers et ils mourront toujours. Il est possible qu'un univers meure.

Mais ce que nous voulons démontrer, c'est simplement que la force n'a jamais été une arme opposable à la raison. Chaque fois que la force s'est opposée à la raison dans cet univers, c'est la force qui a perdu, pas la raison.

Tôt ou tard, la raison s'infiltre parce que... La force, vous voyez, ne peut pas traverser des bastions et des barricades de cinq mètres d'épaisseur... Prenez, par exemple, une citadelle colossale située tout au sommet d'un mont imprenable.
Elle dispose d'une garnison et d'assez de provisions et d'eau pour soutenir un siège pendant des siècles. La garnison est bien entraînée et bien armée. Aucune flèche, aucun carreau, pas même la foudre ne pourraient transpercer cette citadelle. Cependant, par l'intermédiaire du porteur d'eau ou par d'autres moyens, une idée peut traverser les murs de n'importe quelle citadelle. Quand on demande: << Quelle est la force de cette garnison? >>, il faut toujours demander aussi:  << Quelle en est la loyauté ? >>  C'est l'autre facteur et la force n'a jamais été capable de gagner contre celui-ci. Elle peut gagner temporairement, bien sûr, mais jamais totalement.

La raison qui craint la force ou dont l'objectif est d'empêcher la force de blesser quelqu'un ne constitue pas de la raison. C'est aussi une forme d'esclavage. Mais la raison qui permet de s'élever au-dessus du niveau de la force doit en premier lieu être capable de confronter la force; alors seulement une telle raison est capable de prendre la responsabilité de ces choses qu'elle seule peut produire.

Aussi découvrez-vous que, juste avant de disparaître, une société adopte une attitude raisonnable dans un effort ultime pour échapper à la force, mais cette attitude consiste généralement à accepter l'esclavage sous une forme ou une autre et non pas à assumer la liberté. Les membres de cette société se soumettent à diverses restrictions par peur.

Cela étant, l'homme capable d'assumer la responsabilité de la force, sans pour autant l'employer, est beaucoup plus à craindre que l'homme qui ne peut qu'utiliser la force.

Ainsi très haut sur l'échelle, l'individu est cause, et à mesure qu'il dégringole depuis être, en passant par action jusqu'à avoir, il devient de plus en plus effet de ce qu'il a.

La période de temps pendant laquelle cette personne se trouvait le plus libre est celle pendant laquelle elle possédait le moins et ou elle espérait le plus, et celle où elle était le plus abrutie et le plus mal en point est celle du moment où elle a finalement pu se procurer les choses. Et le moment où elle se les procure finalement est celui à partir duquel elle cesse d'avoir du temps.

Vous sous estimez votre propre puissance. Vous êtes en train de la sous- estimez complètement. Rien ne peut vous dénaturez à moins que vous n'ayez donné votre accord. Et il n'y a vraiment aucune loi plus forte que celle-là dans cet univers... en ce qui concerne la protection.

Si vous commencez à dire:  << C'est destructif  >>, cela peut seulement le devenir. Les gens peuvent être frappés par la force parce qu'ils ont convenu du pouvoir de destruction de la force; et seulement alors, la force peut les frapper. La force ne pourrait théoriquement pas toucher la personne qui n'a pas convenu de son pouvoir de destruction. (LRH-OBSUIS)

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Q - We Are The Plan