mardi 12 janvier 2016

FERRARI EN OR



UNE FERRARI 458 SPIDER EN OR
Le propriétaire de cette voiture plaqué or, est le champion du monde de kickboxing!


La marque Ferrari est à la pointe de la technologie, ici avec ce nouveau bolide futuriste qui devrait voir le jour en 2016!

mardi 5 janvier 2016

JAMES BOND GIRLS


Une James Bond girl est un personnage féminin qui a un lien affectif avec James Bond, que ce soit dans un film, un roman ou un jeu vidéo. Par extension, on qualifie également de « James Bond girl » les comédiennes qui incarnent ces personnages.
Ces jeunes femmes au physique avenant sont souvent des espionnes, des victimes ou des criminelles rencontrées par 007 au cours de ses différentes missions. Elles entretiennent rapidement (à quelques exceptions près) une relation amoureuse et/ou sexuelle avec Bond.

Toutes les femmes croisées par Bond ne font pas partie du « club » : par exemple, « M » au féminin et Miss Moneypenny ne sont usuellement pas considérées comme des James Bond girls.
Connu par son matricule OO7, est un personnage de fiction créé en 1953 par l'écrivain et ancien espion britannique Ian Fleming dans le roman casino royal.

samedi 2 janvier 2016

VINTAGE TERRY AND THE PIRATES

LA VERITABLE HISTOIRE DES PIRATES DES CARAIBES 


HIER J'AURAIS PU ETRE UN PIRATE - VOUS AURIEZ PU ETRE UN PIRATE !

 
Columbia Pictures Corporation présente : Terry and the Pirates

                                             Ah oui qu'en est-il du romantisme ?


BIENVENUE SUR UNIVERS

                          Par :  Pierre-André Doriot C'est ce à quoi l'homme du passé devait faire face !

En parcourant à plusieurs reprises la route des Pirates des Caraibes et passionné par la vie de ces hommes du 17e et 18eme siècles, en particulier Henry Morgan ( 1635-1688) ou Edward Teach dit Barbe Noir 1718, pirate anglais.
 A cette époque, j'aurais pu être un pirate, vous auriez pu être également un pirate si vous faite partie de la masse radicale qui aime avoir un peu de liberté personnelle, un assez bon repas et qui déteste la punition. 


Pirates et FlibustiersLRH


La véritable histoire des Pirates des Caraibes est de loin celle racontée par l'historien, car quand l'historien veut voyager, il le fait à bord d'un paquebot bien aménagé et pour l'expérience de la mer que cela lui procure, il pourrait tout aussi bien passer quelques nuits dans un hotel local.

L'historien condamne énergiquement cette saga maritime qui dura deux siécles et l'estampille de noms comme Teach, Morgan, et l'Olonnais.

En fait, si les bateaux modernes étaient moins bien aménagés et si les équipages mangeaient encore de la viande salée, des pois séchés et buvaient de l'eau recouverte d'une écume verte, nous aurions encore des pirates, des flibustiers.



Quand nous pensons à ces pirates hurlant, agitant leurs sabres, ces pillards avec leur pavillon noir, nous oublions de nous souvenir de l'époque -- ces deux siècles d'extorsion impériale, de souverains aveugles et d'esclavage.
Pour comprendre pourquoi un pirate devenait pirate, on doit comprendre les conditions en mer à cette époque.
La discipline - cette déesse - de l'enfer était en vigueur dans les marines militaires et les marines marchandes des dix-septième et dix-huitième siècles au travers de plusieurs mécanismes, notamment le chat à neuf queues.

En théorie, ce fouet n'est rien de plus que neuf lanières attachées à un manche court. Même sous cette forme, c'était assez dur. Mais ce n'est pas ce que les capitaines militaires et les marchands de l'époque pensaient. Ils cherchèrent donc à améliorer la discipline en prenant du fil de cuivre et en l'enroulant autour des extrémités de chaque lanière. Quelques fois ils ajoutèrent une balle en plomb à l'extrémité.
Pour oublier de saluer un aspirant de marine, un marin pouvait recevoir quinze coups. Vous et moi, avec notre façon de vivre moderne, n'aurions pas survécu après dix coups.
Les Anglais avaient une coutume qui mérite d'être mentionnée. Si un marin frappait un officier - sans considération de provocation - la punition était la << flagellation à travers la flotte >>.
Le marin était amené par bateau de navire en navire et était flagellé sur chaque passerelle. Inutile de dire que personne n'a jamais survécu à l'expérience.
Toute infraction pouvait être punie par la flagellation et très peu de commandants savaient réellement à combien de coups de fouet un homme pouvait survivre - des coups donnés avec chaque parcelle de force musculaire disponible aux moyens de lanières aux extrémités en cuivre qui réduisaient le dos en bouillie.
Se plaindre au sujet de la nourriture ? Soixante coups. Faire le malade ? Une centaine de coups. Manquer d'arriver en temps voulu pour sa fonction de quart ? Soixante dix coups. Et cinquante étaient fatals, par moments.
Je ne parle pas des exceptionnels. C'était la condition dans chaque marine d'Europe - et il n'y a pas si longtemps c'était la condition au sein de notre propre Constitution. Pouvez-vous visualiser ses ponts rougis du sang des hommes flagellés ?
Des hommes mourraient du scorbut à une allure épouvantable. Et même après que ceux au pouvoir avait appris ce qui causait le scorbut - le manque de vitamine C - rien ne fut fait à ce sujet. Les dents des hommes pourrissaient, ils dépérissaient et finalement - si le capitaine avait du temps - on les enroulait dans de la toile avec quelques boulets et on les jetait par-dessus bord. Habituellement, on les jetait tout simplement.

L'eau était toujours rare, toujours putride. Les condensateurs de vapeur n'allaient exister que dans un futur lointain. Il y avait de l'écume verte dans les tonneaux et sous l'écume mille choses rampantes. Aucun effort n'était fait pour découvrir que le fer transportait l'eau dans de meilleures condition que le bois.

Il y a quelque années je suis allé aux Antilles dans un vaisseau. Nous avions environ soixante hommes à bord d'un bateau de mille tonnes et nous étions affreusement entassés et mal logés.

Mais il y a quelque siècles, un bateau de cent tonnes transportait cent personnes.Il n'y avait aucun endroit sec pour dormir. Rien de plus mou qu'une planche de chêne. Aucun effort n'était fait pour fournir des couvertures aux hommes ou pour les vêtir afin de rendre leur vie plus supportable.
Un marin ou un membre d'un navire marchand ne recevait que rarement tout le bénéfice de son salaire. Il était englouti par toutes sortes de comptes mesquins et par des prêteurs sur gage à terre -qui étaient approchés en premier lieu parce qu'un marin n'avait pas pu obtenir un sou d'avance sur la paie de sa libération.

Aucune permission à terre pour la marine ou le bateau de marchandises parce que l'équipage entier aurait pu déserter.

Qu'en est-il de ces dix-septième et dix huitième siècles colorés et romantiques ? Qu'en est-il de ces garçons vaillants qui ont tout donné pour leur roi et leur pays ? Reçurent-ils une compensation pour les blessures ? Non. Reçurent-ils des pensions ? Non. Se faisaient-ils souvent tuer ? Je dirais que oui.

Comme les marines de cette époque étaient trop mesquines pour acheter des pansements, les chirurgiens (ex-barbiers) utilisaient des éponges d'un homme à l'autre, une douzaine d'hommes par éponge et une blessure signifiait soit un membre perdu soit une vie perdue, une grosse infection dans le meilleur des cas.

Ces docteurs utilisaient des fers rouges chauffés à blanc pour cautoriser des plaies. Ils coupaient les bras au lieu de réparer les os cassés. Et si des boulets ou des chaînes tirées par des canons, ou des piques, n'avaient pas ôté la vie du marin, alors le chirurgien le faisait.

Ah, oui, qu'en est-il du romantisme ?

Les marins s'engageaient très rarement à cette époque. Ils étaient enrolés de force par des gangs qui les forçaient, les droguaient, les tabassaient, les menaient dans un enfer pour un pays, un roi et la marine marchande. Ils ne pouvaient même pas dire à leurs familles qu'ils partaient. Et même s'ils gagnaient leurs vingt dollars par mois sur un navire marchand, ils risquaient dêtre saisis à terre et jetés dans la marine militaire.
Autrement dit, ils n'avaient aucun choix. Ils étaient forcés contre leur volonté. Ils étaient traités comme du bétail et mouraient comme des fourmis écrasées par un talon. Ils étaient flagellé s'ils ne travaillaient pas ou ne combattaient pas et mouraient ainsi. Et s'ils travaillaient et combattaient, ils mouraient de toute façon.

Mais à travers cette amertume, il existe tout de même quelque chose au sujet de la mer. Quelque chose que la vapeur a perdu à nos yeux. Quelque chose au sujet des voiles, d'une quille bien dessinée et des pays lointains auquel les hommes ne pouvaient résister.

Il y avait le charme des tropiques, de l'embrun marin et d'un empire à conquérir. Mais tout cela n'était pas pour le marin ordinaire. Pour les officiers, oui. Mais un officier provenait habituellement d'une famille noble et un marin ne pouvait pas en devenir un s'il était né devant un foyer au lieu de naître dans un lit à baldaquins. L'histoire nous dit, de manière véridique, que les hommes les plus forts sont ceux qui sont hissés jusqu'à une position élevée.

Mais que les choses soit bien claires. Cela vous plairait-il d'aller faire un tour jusqu'au drugstore du coin pour prendre l'air ou d'aller acheter un paquet de cigarettes et soudainement de vous retrouver confronté à une bande d'hommes armés qui vous saisissent à bras-le-corps et vous portent jusqu'au port où vous seriez jetés dans une cale puante, infestée de vermines avec d'autres malheureux tout aussi ébranlés que vous ? Cela vous plairait-il d'être partis pendant des années, d'être battu comme un esclave, et de revenir avec l'esprit déformé et le corps meurtri pour découvrir que tout ce que vous aviez connu avait été balayé par l'inévitable progrès ?

C'est ce à quoi l'homme du passé devait faire face.

Mais regardons le bon côté de la chose. Un marin dans la marine militaire ou dans la marine marchande n'avait aucune chance. N'était-ce pas naturel pour lui de déserter à la première occasion ? Il était prêt à braver les requins, la nuit dans un port étranger, pour nager loin de son enfer flottant.

Il était heureux de monter à bord du premier bateau qui se présentait, pourvu qu'il soit meilleur. Il aurait fait n'importe quoi pour échapper à ce calvaire.
Et ainsi, les pirates étaient nés.

Devenir pirate était simple. Un jour, à l'aube, vos officiers appercevaient un bateau. Bientôt le vaisseau avait doublé le vôtre et une courte bagarre s'ensuivait. Vous vous trouviez alors là, en train de regarder ces chahuteurs barbus qui vous avaient abordés, et vous entendiez l'un deux dire que celui qui voulait être pirate n'avait qu'à avancer.
Vous regardiez leurs corps splendides et la manière libre et hautaine avec laquelle ils dressaient leur tête. Et vous avanciez.Oh, oui ! c'est ce que vous faisiez, hors-la-loi ou pas.
Ou peut-être votre vaisseau avait coulé sur un récif et vous n'aviez nulle part où aller sinon sur un autre bateau comme le vôtre.Puis, une nuit, vous entriez dans une auberge et vous aperceviez quelques brutes à la voix de stentor avaler leur cognac à grandes gorgées.Ils vous regardaient, examinaient votre taille et la force de votre bras, puis vous demandaient de vous joindre à eux.
La loi ? Vous ne pensiez pas à la loi, vous pensiez à un estomac plein et à un goût de la vie en mer comme elle devait être vécue. Vous pensiez qu'ici vous auriez une permission à terre, qu'ici vous obtiendriez de bons vêtements, qu'ici vous seriez capable de vous défendre contre des officiers despotiques.

Vous vous joigniez à eux, bien sûr.


A bord de bateau pirate on avait la belle vie, on avait la belle vie. On était en sureffectif et le travail était bien réparti. Lorsque le capitaine devenait trop rude, on le retirait de son poste. On allait à terre toutes les fois qu'on avait besoin d'eau et au diable les horaires ou les trajets prédéfinis. On mangeait bien parce qu'on avait le meilleur de ce qu'il y avait dans les garde-manger des grandes cabines que l'on avait capturés. On pouvait entretenir des relations commerciales avec les autochtones de n'importe quelle île pour avoir de la viande fraîche et des légumes frais.

On ne passait pas toutes les journée en mer. On trouvait un refuge à Saint Thomas ou à la Culebra.
On naviguait comme vous et moi naviguerions si nous avions un bon yacht et beaucoup de temps.

 Et ainsi, les pirates étaient nés.


vendredi 1 janvier 2016

SOUVENIRS D'ICI ET D'AILLEURS




BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2016! 
SWITZERLAND REGION LEMANIQUE EN IMAGES ET PORTRAIT DE FAMILLE. 
FOTOLIA : https://fr.fotolia.com/p/119760

mercredi 30 décembre 2015

STAR WAR THE FORCE AWAKENS






STAR
THE FORCE AWAKENS
WARS
Résultat de recherche d'images pour "star war la force fotos"As part of EW’s Star Wars: The Force Awakens double-issue preview, here’s a collection of new images from the film, beginning behind the scenes with John Boyega’s Finn, Harrison Ford as Han Solo, and director J.J. Abrams. We’re going to tread lightly on spoilers, but what you’ll find ahead are more than a dozen new images from this week’s collector’s edition of the magazine.
BONNE ANNEE 2016

LES LIONS BLANCS DU CIRQUE PINDER

LE LION UNE ESPECE EN VOIE DE DISPARITION Image associéeReportage Le lion, c’est le roi des animaux, symbole de force et de grandeur. Mais c’est aussi un trophée de chasse des plus prisés, qui en fait une espèce en voie de disparition. Son principal prédateur ? Les Américains, qui représentent une menace forte et croissance pour la survie de ces félins en étant devenus les plus grands acheteurs de trophées, tels que des tapis en peau, ou de parties du corps, comme les griffes, le crâne ou les os. Près des deux tiers des 5663 lions chassés pour le sport en Afrique ont ainsi vu leur carcasse envoyée aux Etats-Unis au cours des dix dernières années. Voilà les conclusions d’un rapport, repris par le Guardian, d’une coalition d’ONG américaines de défense de la faune sauvage qui plaide pour l’interdiction de la chasse aux lions en Afrique. Conséquence : en un siècle, la population de lions sauvages sur le continent a dramatiquement chuté, passant de 200 000 à 40 000, voire 23 000 selon certaines estimations, ce qui reviendrait à un taux de disparition de 80%. Les lions ont totalement disparu dans 26 pays africains. Seuls sept pays (Afrique du Sud, Botswana, Ethiopie, Kenya, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe) abriteraient encore plus de mille lions chacun, selon l’association de défense des grands félins Panthera. Image associéeLion Blanc, dans les légendes africaines ils sont des messagers sacrées, mais en Timbavati la region en afrique du sud ou ils sont originaire plus un seul vit à l'ètat sauvage. Trois milles de ces bêtes sont cloîtrés dans des fermes de reproduction d'Afrique du Sud pour finir en << trophées >>. Légale, << la chasse en enclos >> est une industrie qui ravit les chasseurs qui, contre 150 000 euros, peuvent abattre un lion blanc. Pour Linda Tucker, c'est une abomination. Non seulement on les soustrait à leur environnement, mais ils sont élevés pour être ensuite massacrés. Avant notre projet de réintroduction dans leur habitat naturel, cela faisait plus de dix ans qu'on en avait pas vu à l'état sauvage dans la région. Photo LES LIONS BLANCS DU CIRQUE PINDER Ces douze lions ont été sauvé par Frédéric. Comme il nous l'explique dans la vidéo. Il est allé les chercher en Afrique du Sud, car là-bas, cette espèce de lion blanc est élevée pour la chasse.

lundi 28 décembre 2015

LA GRANDE ROUE - MONTREUX




BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2016!


Toute l'équipe de Bienvenue sur Univers, vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d'année et se fait un réel plaisir de vous retrouver en 2016!



2015 - 2016

vendredi 25 décembre 2015

IMAGES LIBRE DE DROITS


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jeudi 24 décembre 2015

PRODUCTION - MORAL

Résultat de recherche d'images pour "QU'EST-CE QUE LA PRODUCTION DANS UNE SOCIéTé FOTOS"QU'EST-CE QUE LA PRODUCTION DANS UNE SOCIETE?
Résultat de recherche d'images pour "MORAL FOTO"
Résultat de recherche d'images pour "QU'EST-CE QUE LA PRODUCTION DANS UNE SOCIéTé FOTOS"Les antidépresseurs sont très en vogue en ces temps, pas le moral! Pourtant il existe un truisme, le  moral d'une personne est proportionnel à sa production. 



Les cimetières de l'histoire sont remplis  << de classes oisives >> qui ne produisaient pas. Les paysans se fatiguent vraiment de voir les aristocrates fainéanter et finissent par leur couper la tête. Les temps modernes regorgent d'admirables expériences de  <<  paradis des travailleurs >> où tout le monde meurt de faim.

On regarde la publicité à la télé, on lit des livres de poche où on nous dit que notre but est d'acheter des loisirs onéreux et que l'idéal est de s'allonger sous les palmiers et ne pas travailler. Des idéologies entières sont bâties sur ce rêve merveilleux d'un monde où jamais personne ne lèverait le petit doigt et où chacun passerait ses journées en soupirant dans une béatitude oisive.

Malheureusement, cela ne s'accorde pas avec les faits. Les petits gosses les plus malheureux du monde sont ceux qui n'ont rien à faire. Ils gémissent, se morfondent, se querelles et sont un vrai fardeau pour leurs mamans. Les personnes vivant d'allocations ou d'aide sociale sont, pour ce qui est du moral, les plus misérables que vous puissiez rencontrer. Ils vous diront qu'ils préféreraient avoir un travail.Le taux de mortalité des retraités est ahurissant. Rejetés et sans but, ne produisant plus rien, ils vont pour la plupart dépérir et mourir ( les compagnies d'assurances vous le diront). Bref, les personnes qui ne produisent pas sont très malheureuses.

Dans le passé, des agitateurs syndicaux ont promis à tous les travailleurs que d'ici quelques décennies ils vivraient comme des coqs en pâte. Moins de travail et plus de salaire, tel était leur slogan. Et où est ce rêve maintenant? Ne produisant pas, les syndiqués sont là par millions, au chômage! Et cette pénurie de production fait tellement monter le coût de la vie que même s'ils travaillaient, ils auraient des problèmes pour trouver suffisamment de billets pour s'acheter un hamburger.

Une certaine dose de farniente sous le soleil est une bonne chose. On ne devrait pas obliger un ouvrier à se tuer au travail.

Mais toutes les choses sont meilleures avec modération. La  << classe oisive >> atteint les extrêmes de l'oisiveté, la personne qui travaille est payée beaucoup plus que la valeur de ce qu'elle produit et dans les deux cas l'organisation où le pays dégringole.

Un cadre axé sur les employés essaye de se faire aimer en ne demandant pas de travail à son organisation. Qu'accomplit-il vraiment? il diminue leur niveau de vie, il les pousse vers la pauvreté. S'il ne réussit pas à les persuader de produire, il les tuera. << Allez Jean, prends ta journée. >> Oh! mon pauvre vieux, tu ne devrais pas travailler si dur! >>  << Qui se soucie de l'organisation? Travaillons seulement de onze heures à midi. >>  << Etes vous à l'aise quand vous somnolez? Oh! c'est bien, bonne sieste! >> Une telle personne n'est sûrement pas un cadre. C'est un imposteur LUI qui les a amenés à une paye aussi basse et c'est LUI qui, à la fin, ayant toléré leur indolence, va les faire mettre à la porte. C'est LUI qui perdra l'organisation. C'est plutôt cher payé pour  << être un chic type >>.

Tenant un poste pour lequel il est chargé d'obtenir que les choses soient FAITES, il trahit son organisation et son personnel.

lundi 21 décembre 2015

PARAPENTE - VOILE


LE MONDE MERVEILLEUX DE LA VOILE 

LE BELEM


belemLe magnifique navire à voiles au mouillage dans la forte houle de la Baie de Marigot devant le Nettle Bay Beach Club m'a fait penser au plus fameux "3-Mâts barque" français, le BELEM. Mais ce n'est pas lui. Après recherche sur Internet, il semblerait en effet être actuellement à quai à St Nazaire près de Nantes, son port d'attache habituel. Position exacte. Quel est donc alors ce magnifique navire?


réaménagement du bateauLe Belem est le dernier exemplaire français d'un trois-mâts barque. Ce type de navire comprend deux mâts équipés de voiles carrées : le mât de misaine, à l'avant, et le grand mât, au milieu. Le mât d'artimon, à l'arrière, porte seulement une brigantine à corne (aussi appelée voile d'artimon) et un flèche. © Gilbert Aubert


En 1914, le voilier est racheté par le Duc de Westminster, qui décide de le transformer en yacht de plaisance et de le doter de moteurs. © Olivier Rouillès


transport du cacaoPour le Belem commence en 1914 une nouvelle vie, celle d'un luxueux navire de croisière. La cale est transformée en cabines confortables, tandis qu'au pont est intégré un salon vitré, décoré en acajou de Cuba. ©
Bernard Enrici


L'armateur du Belem est une société nantaise spécialisée dans le transport du cacao, pour le compte des Chocolateries Meunier. Le trois-mâts se rend donc au Brésil, dans les Antilles, en Uruguay... pour acheminer les fèves entre Amérique du Sud et Europe. © Muriel Farre

Une voile est une pièce de tissu, dont la taille peut varier de quelques mètres carrés à plusieurs centaines de mètres carrés, qui, grâce à l'action du vent, sert à faire avancer un véhicule. Les voiles sont utilisées sur des voiliersplanches à voile, mais aussi sur des véhicules terrestres (chars à voiles,
voile sur glace).

pavillon anglais

ANGLAIS


Une voile est caractérisée principalement par sa forme, son grammage et le(s) matériau(x) dont elle est composée.

Les trois angles de la voile (sur une voile à forme triangulaire) ont une appellation spécifique :

Le point de drisse (1) désigne l'angle situé au sommet de la voile une fois celle-ci hissée : c'est l'endroit où la drisse est frappée.

Le point d'amure (10) désigne l'angle attaché au point fixe du bateau : lorsque la voile est en position, le point d'amure est sur l'avant du bateau.

Le point d'écoute (12) désigne l'angle de la voile auquel est frappée l'écoute (foc) ou non loin duquel est passée l'écoute (grand-voile)

Chacune des extrémités de la voile reçoit un renfort (3) constitué de plusieurs épaisseurs de tissus cousues ensembles parfois renforcées par une structure rigide. La têtière (3) est la partie renforcée de l'extrémité supérieure de la voile. Un œillet situé à chacun des angles permet de fixer la voile au gréement.

les balustrades

LES BALUSTRADES


Les côtés d'une voile triangulaire sont :


La bordure (11), encore appelée l'envergure, car souvent reliée à une vergue (ici la bôme) est le côté de la voile parallèle au pont : c'est le bas de la voile lorsque celle-ci est hissée.

Le guindant (6) est le côté de la voile solidaire de l'étai (foc) ou du mât (grand-voile)

La chute (5) est le côté de la voile situé vers l'arrière, toujours libre : sa tension est réglée par un nerf de chute (8)

voilier de légendes

VOILIER DE LEGENDE

Sur la grand-voile la tension de la bordure et du guindant (passée dans la bôme) est modulée selon la force du vent. Plus la voile est « étarquée », plus elle est plate et inversement. Ceci permet d'adapter le creux à la pression du vent qui s'exerce sur elle.

Sur la grand-voile (sur les voiles d'avant c'est beaucoup plus rare depuis l'avènement des focs et trinquettes à enrouleurs) on trouve également 2 à 3 bandes de ris (9) - zones horizontales en partie renforcées et comportant des œillets aux extrémités qui sont utilisées pour réduire la surface de la grand-voile lorsque le vent forcit (prise de ris)

retour à la france

LE RETOUR A LA FRANCE



Une voile est généralement composée de laizes (7) bandes de tissus cousues, découpées de manière à répartir l'effort en faisant éventuellement varier le grammage et positionner le creux de la voile (une voile n'est pas plate sauf s'il s'agit d'une voile de tempête comme le tourmentin).

La chute des grand-voiles modernes est arrondie : c'est le rond de chute qui est autorisé par 3 à 4 lattes (4). Sur les voiliers très rapides, la voile peut aussi être complètement lattée, la tension des dites lattes permettant d'obtenir très exactement le profil souhaité.

gouvernail du belem

LE GOUVERNAIL DU BELEM

Le guindant de la grand-voile est rendu solidaire du mât soit grâce à des coulisseaux (2) fixés à la voile et passés dans la gorge du mât soit grâce à une ralingue (c’est-à-dire un cordage cousu le long de la voile). La bordure de la grand-voile est également tenue par une ralingue ou un/des coulisseau(x) passée dans la gorge de la bôme.

Sur un spinnaker, symétrique par définition, point d'amure et guindant sont côté tangon (après empannage ces termes ne désignent donc plus la même partie de la voile).

vieille boussole

VIELLE BOUSSOLE


Londres : le voilier nantais, le Belem participe au jubilé de la Reine

Q - We Are The Plan