jeudi 23 avril 2015

SCARLETT JOHANSON




Scarlett Johansson, née le  à New York, est une actrice et chanteuse américaine.Elle a été révélée, jeune adolescente de quatorze ans, grâce à son rôle dans L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (1998) puis a enchaîné les succès critiques avec Ghost World, Lost in Translation et La Jeune Fille à la perle, ces deux derniers lui ayant valu deux nominations aux Golden Globes en 20031. À partir de Match Point, elle devient la nouvelle « muse » du réalisateur Woody Allen, avec qui elle tourne deux autres films dans un rôle principal : Scoop et Vicky Cristina Barcelona. Éclectique, elle joue aussi dans les films à grand spectacle et gros budgets, tenant notamment à partir de 2010 le rôle de la Veuve noire / Natasha Romanoff dans plusieurs productions des Marvel Studios. En 2014, elle interprète Lucy dans le film homonyme de Luc Besson qui devient le plus gros succès du cinéma français dans le monde.
Description de cette image, également commentée ci-après
Avengers : L'Ère d'Ultron (Avengers: Age of Ultron) est un film de super-héros américain écrit et réalisé par Joss Whedon, produit par Marvel Studios et distribué par Walt Disney Studios Distribution, basé sur l'équipe de super-héros tirée des comics Marvel, les Avengers, sorti en 2015.
Ce film est la suite d’Avengers qui avait aussi été écrit et réalisé par Joss Whedon, sorti en 2012. Il compte comme la onzième étape de l'univers cinématographique Marvel débuté en 2008. Tout comme son prédécesseur, le film rassemble les acteurs des différentes franchises super-héroïques habituellement séparées, parmi lesquels Robert Downey Jr./Iron Man, Chris Hemsworth/Thor, Mark Ruffalo/Hulk, Chris Evans/Captain America, Scarlett Johansson/Natasha Romanoff la veuve noire, Jeremy Renner/Œil-de-faucon et Samuel L. Jackson/Nick Fury.





dimanche 19 avril 2015

LE MAUVAIS CONTROLE



En ce qui concerne les radiations

Vous savez, elles tuent un corps très, très efficacement. Mais elles passent au travers d'un mur de cinq mètres. Un rayon gamma passera au travers d'un mur très facilement. Eh bien, qu'est-ce que c'est... comment blesse-t-il un corps ? Personne ne peut vous le dire. Un mur ne peut pas arrêter un rayon gamma mais un corps le peut. Ce qui nous amène à cette question médicale de toute première importance. Les rayons gamma traverse les murs mais ils ne traversent pas les corps. Nous obtenons la densité d'un corps et celle d'un mur, et nous découvrons qu'un corps est moins dense qu'un mur. Par conséquent, il nous faut entrer dans le domaine du mental, puisque nous ne pouvons pas nous tourner vers le domaine de l'anatomie, et dire : 

                         <<  Q'est-ce qui se passe ?  >>



Et je peux heureusement vous dire ce qui ce passe ici : une résistance. Le mur n'oppose aucune résistance et le corps en oppose une. Et un rayon gamma ne demeure pas dans le corps, il passe au travers. Mais son passage cause une sensation d'une sorte ou d'une autre, et quand cette dernière se reproduit trop souvent, les cellules et le corps y opposent une résistance. Et cette résistance entraîne cet arrêt, ce chaos, qui est représenté par ce <<  pas d'avenir  >>. La réaction envers la bombe est de dire qu'il n'y a pas d'avenir. Eh bien, le corps dit : << Arrêtez. Arrêtez les rayons gamma, arrêtez les rayons gamma, arrêtez les rayons gamma. >> Il fait ça en permanence, vous voyez ? Et il finit par dire : << Je suis arrêté. >> C'est une déclaration très brute, mais ça se déroule de cette façon en quelque sorte. Il ressent cela. Il le détecte en quelque sorte. Et en le détectant, il dit alors : << Il y a aux alentours une influence que je dois arrêter, qui me met en danger, que je ne peux ni sentir ni goûter mais qui me fait quelque chose. Je sais que cela crée un effet sur moi et cela me pertube, et cela m'influence d'une certaine façon, et par conséquent je dois y résister d'une certaine manière. >> Et le corps s'effondre. Une résistance, c'est certain, a lieu ici.


Est-ce une affaire politique ? Certainement, d'une manière réactive ceci a été fait pour contrôler les gens, en faire des esclaves. Les radiations disent ceci : << ne peut pas avoir, pas d'avenir. >>

Un esclave est une personne qu'on empêche d'avoir, de posséder. Tout appartient au maître et le maître le possède entièrement. Ceci afin de le faire travailler. Et ce que l'on ne peu pas avoir, eh bien on le détruit.



Nous pouvons les amener à confronter, contrôler, communiquer et avoir. Ainsi le   << ne peut pas avoir >> disparaîtrait et ils arrêteraient de détruire ce qu'ils ne peuvent pas avoir.


CONFRONTER - CONTRÔLER - COMMUNIQUER - AVOIR




Il n'y a rien sous le soleil qui puisse vous aberrer, si vous pouvez nettement, ne jamais résister au contrôle.

En d'autres termes, là où nous pouvions, avec sécurité, établir une zone de contrôle pour un individu, son aptitude à communiquer s'améliore. Et partout où il y avait une zone de contrôle pour cet individu, nous découvrons que sa communication est bonne.

Les gens ont des difficultés avec les choses dans la vie. Ils disent qu'ils doivent échapper au contrôle.

Maintenant, simplement parce que le contrôle a été mal utilisé, simplement parce qu'on en a abusé, simplement parce qu'il y a eu Torquemada et ses autodafés, simplement parce que les policiers ici pensent qu'ils doivent vous mettre dans une petite cage grillagée de manière à ce que vous ne traversiez pas la ligne blanche en reculant, ou quelque chose, vous savez ? Simplement parce qu'il y a tellement de contraintes et de punitions utilisées dans l'ensemble du monde et associées au contrôle, simplement parce que la plupart des parents qui ont une famille difficile ne peuvent pas contrôler leurs enfants et par conséquent essayent de manière obsessionnelle de les contrôler, ce mot   << contrôle >>  a certaines connotations qui lui sont associées, ce qui nous dit que c'est en soi de l'aberration. Mais la seule partie aberrante du contrôle est le mauvais contrôle.


Et qu'est-ce que le mauvais contrôle ? La punition, la contrainte, l'abus, la communication basse de ton ; donner un ordre à une personne et ensuite, avant qu'elle ait pu le terminer, lui donner quelque chose d'autre à faire, et avant qu'elle puisse faire ça lui donner autre chose à faire, et ensuite lui dire qu'elle a tout faux sur toute la ligne. Ce sont des exemples de (entre guillemets) << contrôle >>.


Eh bien, c'est même une chose difficile de rendre sa dignité au mot << contrôle >> avec toutes ces mauvaises pratiques, mais le monde entier a fait en sorte de le faire ainsi, et il s'est tellement éloigné du contrôle et ils ne pensent plus que le contrôle est important. Et la seule chose qui cloche aux Etats-Unis d'Amérique aujourd'hui, est qu'on y pense que le contrôle est si peu important, qu'il devient intérieurement, un pays incontrôlé. Par conséquent, on y recherche le contrôle, et à un moment ou à un autre on pourrait bien tomber dans le domaine du fascisme.


Vous comprenez ça ?



Vous prenez une famille où un bon contrôle est utilisé avec les enfants ( pas un ensemble de punitions, etc.) un contrôle qui est bon et positif, et vous constaterez que la famille se porte bien.


Bon, il y a autre chose d'intéressant ici, c'est cette chose appelé autodétermination et pandétermination ( disposition à déterminer ou à contrôler soi-même ainsi que toute chose de la vie autres que soi-même. La pandétermination, tout comme l'autodétermination ou choisie par soi-même, ce qui veut dire qu'on le fait consciemment et directement, non par obsession, compulsion ou inhibition. La pandétermination serait la disposition à commencer, changer et arrêter sur toute les parties de la vie.) 

Nous avons découvert qu'il y a quelque chose qui se dresse comme une barrière entre l'aptitude d'une personne à être autodéterminée et la condition dans laquelle elle est, et c'est la bonne volonté d'être contrôlé. Aussi longtemps qu'une personne résiste au contrôle, alors tout ce qui se présente et qui la menace de la contrôler, peut le faire ; et ainsi nous avons l'aberration. Et jusqu'à ce qu'elle puisse totalement tolérer le contrôle, elle ne peut pas être autodéterminée. Elle ne peut pas déterminer ou avoir un pouvoir de choix parce que chaque fois qu'elle se décide à propos d'une chose, quelque chose arrive... elle décide autrement, elle résiste au contrôle, ainsi elle doit se décider autrement. Où est cette autodétermination ? Où est cette décision ? Où est ce pouvoir de choix ?


Alors quand nous regardons cet étalage de facteurs de contrôle, et quand nous regardons les techniques de contrôle, nous devons alors conclure qu'une société est aussi en mauvais état qu'elle utilise du mauvais contrôle. Je dirais que si une société avait une police, qui de manière à contrôler les gens, les obligeait à parquer aux bonnes places et à faire diverses choses, avait à offrir n'importe quelle punition de n'importe quelle genre ou amende ou réprimande, cette société ne serait déjà plus sous contrôle.


Une armée... si nous pouvons avoir l'idée d'une armée existant sans le but de mettre hors de contrôle quelque autre pays, une armée cesserait réellement d'être efficace au moment où quelqu'un prendrait dix jours dans le poste de garde pour avoir fait quelque chose. Vous êtes là disant : <<  Eh bien les généraux, etc., ont juste perdu leur emprise sur les troupes.  >> Vous savez, à droite droite, à gauche gauche, l'armée fait beaucoup de cela, vous savez, à droite droite, à gauche gauche.


Eh bien, ils font à droite droite, à gauche gauche, et si vous sortez et voyez une armée faisant à droite droite, à gauche gauche et ils font cela avec manque de rigueur et les carabines sont en dans ce sens ou dans celui- là... vous savez, tout doit arriver du dernier camp d'entraînement. Et vous vous baladez et vous dites : <<  Q'est-ce que c'est que ça... qui est le sergent qui leur apprend à faire ça ?  >>


<<  Maintenant, nous avons un homme bien pour ça ; nous avons Jacques. Ils l'appellent Jacques Enfer et damnation  . Si un de ces hommes ne respecte pas la discipline... au poste de garde. Boum ! Pa de laisser-passer. Un homme bien, ce Jacques. Il nous en faut des comme lui.  >> Oui, il se bat pour l'ennemi. Ouais, il nous en faut beaucoup comme lui là-bas- Mais nous ne voulons pas de lui.


Parce que ce n'est pas du contrôle. Toute punition est une confession que le contrôle de quelqu'un n'est pas bon. Quand vous dites : <<  Si vous ne faites pas telle chose, je vais vous tabasser  >>, vous dites en même temps : <<  Vous savez, j'ai quelques doutes sur mon aptitude à vous faire faire telle chose ?  >>



Le policier vous dit : << Vous continuez comme ça et nous vous jetterons en taule. >> Il vous dit la même chose : <<  Savez-vous que la police est arrivée à une telle impasse qu'elle ne peut plus maintenir la loi et l'ordre dans la ville ? >>  Et c'est vrai, elle ne le peut pas, vous savez ? Vous savez qu'il y a des gens volés et agressés, etc. Quoi ? Et vous avez une force de police ? Eh bien, oui, mais vous comprenez, les forces de police attrapent les criminels et les mettent en prison et ensuite les gens les laissent sortir de prison.


Nous connaissons toutes sortes de facteurs interdépendants au sujet du contrôle. Nous savons que si nous essayons de cogner et frapper et marteler les gens pour les discipliner, et les mettre en prison, etc., nous savons que si nous les sortons de prison, ils iront voler et frapper les gens à la tête. Et nous les arrêtons, et nous les remettons en prison et nous les gardons là ; et ensuite après un moment, nous les laissons sortir, et ils partent et ils volent les gens et les frappent à la tête, et nous les remettons encore en prison. Ne me dites pas que ces gens contrôlent quelque chose.


Vous savez tous ces panneaux de circulation que vous voyez le long des rues à propos de la vitesse limitée et ce genre de chose ? Savez-vous pour qui ils ont été mis là ? Ils sont mis là pour le 10% des gens qui causent des accidents. Vous savez ce qu'il y a à propos de ces 10% des gens qui causent des accidents ? Ce sont des gens qui ne peuvent pas être contrôlés. Ce sont des gens qui ne lisent pas les panneaux. N'est-ce pas un point de vue intéressant ? En d'autres termes, tous les panneaux de signalisation sont là pour les gens qui ne lisent pas les panneaux. Où est-ce que cela laisse le reste d'entre nous ? Ca nous laisse opérer dans une atmosphère de mauvais contrôle, parce qu'il y en a un peu parmi nous qui ne peuvent pas être contrôlés.


Alors après un moment nous disons : << Le contrôle est mauvais. >> Alors que faisons-nous ? Nous allons trop loin. Sans qu'on s'y attende, un circuit se met en marche dans nos têtes et dit : << Nyah, nyah >> Et nous disons : << Qu'est-ce que c'est ? >> Vous saisissez ? Très étrange affaire.

Au moment où vous pensez que le contrôle est mauvais, l'aberration se met en place. Et c'est la chose la plus étonnante que vous avez jamais observée. LRH/BSU


LA PRISON

Les choses sont bonnes lorsqu'elles sont complémentaires à la survie de l'individu, de sa famille, de ses enfants, de son groupe, de l'humanité, de la vie et de l'univers physique.


Par Pierre-André Doriot

La punition est l'outil de la société. 

La maxime: Plus vous punissez une personne pour ce qu'elle à fait, plus elle le refera!


Le système carcéral


 Le système carcéral devrait être plus gradué qu'il ne l'est actuellement. Il a 2 rôles: punition et réinsertion dans la société. Ces rôles sont contradictoires et peuvent difficilement être réalisés au même endroit. Les mentalités civilisées supportent de plus en plus mal les prisons inhumaines, et les moyens manquent pour faire autre chose qu'enfermer une multitude de gens sans vraiment les préparer à leur réinsertion. Aucun des rôles n'est correctement assuré. Commence le cercle vicieux infernal: incarcération, libération, récidive, augmentation de la population carcérale qui dilue encore plus les moyens existants.



L'ADOLESCENCE

Il y a de nombreuses solutions autres que la solution facile, bancale et stupide qui consiste à envoyer un adolescent en prison. Il y a suffisamment de solutions pour remplir une encyclopédie. Mais la race humaine a été éduquée, ou non éduquée, de telle manière que le voeu  <<  renvoyez-le-dans-le-ventre-maternel  >>  prédomine, et ce à un point tel que la plupart des gens ne sont conscients d'aucune autre solution.

Il suffit de dire que la discipline - et non l'éducation criminelle par le biais de la prison - a changé la destinée de plus d'hommes qu'il n'y a d'hommes prêts à l'admettre.

Un jeune homme, servant en ce moment pour quatre ans dans le corps des marines des Etats-Unis commença sa carrière criminelle en volant des voitures et en agaçant de manière générale la police et la population. Un juge lui dit qu'il aurait soit deux ans dans un pénitencier soit quatre ans dans les marines, et que c'était à lui de faire son choix. En tant que marine, son état de service est sans tache, il s'est élevé au rang de caporal par son intelligence, et aux dernières nouvelles il faisait diverses études ayant trait à des projets utilitaires dans le civil.

Les choses sont bonnes lorsqu'elles sont complémentaires à la survie de l'individu, de sa famille, de ses enfants, de son groupe, de l'humanité, de la vie et de l'univers physique.

Parce que lorsqu'on mène l'équation de l'éthique jusqu'au bout, notre survie optimale en tant qu'individu dépend absolument de tout le reste, et ce n'est qu'en considérant sans cesse la survie du plus grand nombre que nous pouvons assurer notre propre survie.

Comme LRH le rappelle, étant donné que l'homme est fondamentalement bon :  <<  Lorsqu'il voit qu'il commet trop de mal, alors intentionnellement, inconsciemment ou sans le faire exprès, l'homme met son éthique en place en se détruisant lui-même.  >>  Il offre comme exemple le cas du criminel qui laisse habituellement des indices de façon à causer sa propre perte ou le cas du dictateur qui devient fou. Mais dans les faits, ajoute-t-il, le phénomène est universel et les cas sont innombrables. Ayant causé du mal à de trop nombreuses personnes et manquant de moyen pour réparer leurs torts, les hommes vont directement et délibérément se détruire eux-mêmes.

                                                                                                                                                                                                        La prison


Léthique par laquelle il est possible d'améliorer la survie. En référence l'ancien texte boudhique, la Vinaya Pitaka, et en particulier la Cullavagga

Vinaya Pitaka
Le panier de la discipline

Le Vinaya Pitaka, première division du Tipitaka, est la structure textuelle sur laquelle est construite la communauté monastique (Sangha). Il ne comprend pas seulement les règles qui gouvernent la vie de tout bhikkhu (moine) et bhikkhuni (nonne) theravadins, mais aussi une foule de procédures et de conventions d’étiquette qui permettent des relations harmonieuses, que ce soit entre les moines et entre les moniales, qu’entre eux et leurs soutiens laïcs dont ils dépendent pour leurs besoins matériels.

Il est utile de garder à l’esprit que le nom que le Bouddha donnait à la voie spirituelle qu’il enseignait était "Dhamma-vinaya" — la Doctrine (Dhamma) et la Discipline (Vinaya) — ce qui suggère un corps de sagesse et un entraînement éthique intégrés. C’est ainsi que le Vinaya est une facette indispensable ainsi que le fondement de tous les enseignements du Bouddha, inséparable du Dhamma, et digne d’étude par tous les adeptes — laïcs et ordonnés. Les pratiquants laïcs y trouveront des leçons de vie sur la nature humaine, des indications sur la façon d’établir et maintenir une communauté ou organisation harmonieuse, et de nombreux enseignements profonds du Dhamma lui-même. Mais sa plus grande valeur reste peut-être sa capacité d’inspirer au laïc de considérer les extraordinaires possibilités que présente une vie de véritable renoncement, vécue en plein accord avec le Dhamma.

Le cullavagga

Le Cullavagga comprend une élaboration de l'étiquette de la bhikkhus et devoirs, ainsi que les règles et procédures pour traiter les infractions qui peuvent être commises au sein de la Sangha. On y trouve aussi l'histoire de la création de la Sangha bhikkhuni, additionné des comptes détaillés des Premières et Conseils deuxième . Les passages ci-dessous suivent la convention de numérotation utilisé par IB Horner dans ses PTS traductions en anglais.

  • Cv 5.6: Un souhait de la bonté aimante [Olendzki]. Ces versets les moins connus de metta (bonté, bienveillance) illustrent l'habileté du Bouddha à adapter une tradition existante (ici, les charmes de protection contre les morsures de serpent) pour servir de véhicule pour un enseignement plus universel.
  • Cv 8: Vatta Khandaka - Perception des droits [Thanissaro]. Ce chapitre concerne les devoirs qui régissent la vie au jour le jour des bhikkhus. La plupart des fonctions décrites ici sont plus subtils que les règles strictes énoncées dans la Suttavibhanga , et nous appelons les bhikkhus de cultiver une sensibilité respectueux et polis à d'autres dans la communauté. Bien que ce texte est principalement destinée aux moines, laïcs y trouverez de nombreux conseils utiles pour la culture conscient de bonnes habitudes et les mœurs, même au milieu d'une vie laïque occupée.

  • samedi 18 avril 2015

    SING-SING ET LA CHAISE ELECTRIQUE

    Réquisitoire vigoureux contre la chaise électrique et l'inhumanité de l'incarcération!



    SING-SING 



    Courtesy of Sing Sing Prison Museum


    Interesting Doorway





    Par : Pierre-André Doriot

    Après le succès de l'article  Camp Nazi en Alsace sur ce blog
    http://doriot-univers.blogspot.ch/2013/04/les-deportes-d-alsace.html 


    SING-SING ET LA CHAISE ELECTRIQUE




    L' expérience qui marqua le plus LRH, fut la visite du pénitencier de Sing Sing dans l'Etat de New York, en compagnie de son confrère Arthur J. Burks

    Sing Sing est une prison américaine de l’État de New York, située à une cinquantaine de kilomètres au nord de la ville de New York, sur les rives de l'Hudson.

    electric chair
    La prison est toujours en fonctionnement au début du XXIe siècle et sa capacité est de 1 700 prisonniers. Elle est classée comme établissement de sécurité maximum et a été le lieu, avant 2004, d'exécutions capitales.





    Ci-contre, la prison de Sing Sing, à 56 km au nord de Manhattan sur la rivière Hudson.

    A BlockAprès avoir visité cette prison en 1935, RH rédigea un réquisitoire vigoureux contre la chaise électrique et l'inhumanité de l'incarcération. Il présente un réquisitoire contre la façon dont la vie et la mort sont traitées à Sing Sing


    Premièrement, écrit-il, la prison ne réforme rien, et tout ce qu'une personne apprend dans une cage, c'est qu'elle est effectivement devenue un animal. Deuxièmement, la prison ne constitue en aucune façon la justice. En fait :  <<  Il n'existe aucun homme sur Terre qui ait assez de jugement pour rendre la justice.  >>  Enfin, à la suite d'un examen complet de la chaise électrique :  <<  La vie de chaque être humain lui appartient et n'appartient qu'à lui. Ses jours sur Terre sont comptés, son bonheur est limité. Tout le poids de la maladie, de la famine, de la faillite, de la destruction, de la mort d'amis et d'un demi-million d'autres facteurs pèse sur lui.


    <<  L'Etat n'a ni le droit 

    ni le pouvoir d'ajouter à cela la vengeance et de l'appeler JUSTICE.>>




    Pour illustrer son propos, il donne un compte rendu éloquent d'une exécution, depuis la pose de la calotte de cuivre sur le crâne rasé jusqu'à la déclaration finale et routinière du médecin de service :  <<  C'est bon, il est mort.  >>  Les détails de ce compte rendu incluent le fait que le condamné entrevoit invariablement les tables d'autopsies, leur forme concave prévue pour recevoir le sang, ainsi que le cercueil où son corps reposera. L'exécuteur perçoit trois cent dollars pour la mise à mort, mais doit veiller à la maintenance de la machine. Sous la puissance du choc, la courroie qui immobilise la poitrine cède assez souvent. Le courant continue de circuler pendant un temps qui peut aller jusqu'à une vingtaine de minutes. LRH mentionna au cour d'une conversation ultérieure que l'expérience l'avait complétement répugné.  <<  Nous n'avions plus envie de faire quoi que ce soit pendant environ une semaine.  >>  Il conclut ailleurs que l'emprisonnement était l'antithèse même de la réadaptation. En fait,  <<  Cela détruit les hommes ; cela les achève !  >>



    Exécution by électric chair Sing-Sing Prison


    Au cours de la période qui suivit, il ne traita de ces sujets que sporadiquement, comme ce fut le cas dans une note révisée pour le manuscriteExcalibur dans laquelle il mentionne qu'un homme n'est pas nécessairement une menace pour la société simplement parce qu'il commet un crime.  <<  Il ne devient une menace que lorsqu'il lui faut compenser la perte de son prestige personnel en étant dangereux.  >>  Vers la fin de 1942, ses idées sur le crime et la punition avaient déjà commencé à prendre la forme d'une méthodologie applicable.

    Q - We Are The Plan