Selon un sondage
Harris Interactive, ils sont 61% à penser que Marine Le Pen réussit un
meilleur début de campagne, tandis que 52% considèrent que celui de
l'ancien ministre n'est pas à la hauteur.
EMMANUEL MACRON PRESIDENT?
Patrick Bruel voit déjà Emmanuel Macron président!
Macron répond à Hanouna en direct dans Touche pas à mon poste après son passage sur TF1
« La banque du Président »
Propre sur soi, à l’image de Macron, la banque Rothschild est aussi –
bien qu’elle s’en défende – très liée au milieu politique, tout comme
sa concurrente Lazard. Tissées par des études communes et des amitiés
forgées dans les cercles du pouvoir, ces liaisons fructueuses en font
parfois « des ministères bis de l’Industrie et de l’Economie. » Le nom
de Rothschild a d’ailleurs longtemps charrié des images d’empire
financier, ce qui poussera les socialistes à nationaliser la banque en 1982. La nomination de Macron au gouvernement n’en est que plus ironique.
Lorsqu’il arrive chez Rothschild, Emmanuel Macron est déjà bien
introduit. Il fréquente Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de
l’Elysée qui ce mardi a annoncé avec un sourire sa nomination au
ministère, ou encore Jacques Attali (grâce à la commission du même nom).
Mais François Henrot tient à préciser qu’il n’a pas recruté un « carnet
d’adresses ». Si Emmanuel Macron connaît aujourd’hui les principaux
patrons français, il a dû s’appuyer à l’époque sur la réputation de la
banque pour s’ouvrir des portes.
Avant Emmanuel Macron, c’est François Pérol qui incarnera ces accointances politiques en devenant secrétaire général adjoint de l’Elysée, après avoir travaillé chez Rothschild.
L’entregent de Rothschild est démultiplié au point que le Nouvel observateur titrera « La banque du Président ».
On pourrait aussi citer Sébastien Proto (de la même promo de l’Ena que Macron), qui a été directeur de cabinet d’Eric Woerth, Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur, ou Grégoire Chertok, proche de Jean-François Copé. Nicolas Sarkozy gravitera aussi un temps dans le giron de la banque.
A chaque changement de gouvernement, Rothschild réussit donc à placer
quelques collaborateurs dans les petits papiers du pouvoir. On appelle
cela « se mettre au service ». Macron est un ancien, mais il perpétue la
tradition. Et il a laissé de tellement bons souvenirs que les banquiers
ne sont pas près de l’oublier.
INCROYABLE ASSELINEAU Dévoile l'arnaque macron
L'arnaque macron par ASSELINEAU explique comment les médias soutienne manuelle macron sont programme
Édito – "Emmanuel Macron veut tuer le PS avant les élections législatives"
Emmanuel
Macron l'a rappelé ce mardi: un élu qui souhaite être investi par le
mouvement En Marche! pour les élections législatives devra
obligatoirement quitter son parti. Pour Christophe Barbier,
éditorialiste politique de BFMTV, cela montre la volonté d'Emmanuel
Macron de "tuer le PS" avant les élections législatives: "Il leur
explique qu'ils vont disparaître, qu'ils seront éliminés de tous les
seconds tours s'ils ne rejoignent pas En Marche!".
Emmanuel Macron donné vainqueur au second tour face à Marine Le Pen, selon les premiers sondages
Une fois de plus, la France se retrouve dans ce qu’on
pourrait appeler un deuxième tour de l’absurde. À peine les résultats
sont-ils exprimés que les leaders d’opinion appellent à faire barrage
contre Marine Le Pen dans un consensualisme « pro-Macron » assumé ou par
défaut. Mais cette effervescence rend inaudible une crise de la
démocratie qui se déroule sous nos yeux. Des milliers de citoyens crient
leur colère. Leur désespoir n’émane pas du résultat, mais de la manière
même dont ces élections se sont déroulées. Des élections entachées
d’irrégularités, de bugs, de radiations de masse et de zones d’ombres si
nombreuses que certains estiment légitimes de questionner la validité
des résultats. Alors que les témoignages s’accumulent par milliers,
venons-nous de passer dans autre dimension ?
SAUVONS LA FRANCE! MARINE LE PEN
Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune
structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24
février.
Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout
de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion. En témoigne ce
texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un
listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne :
« Chers amis, un cocktail
dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27
septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des
Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision
et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui
de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous,
pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous
serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous
demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »
Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés
auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient
supérieurs à 5 000 euros.
Nos Banqiers! Maître du monde? The Federal Reserve Cartel: The Rothschild, Rockefeller and Morgan Families
<< Que veux-dire cette main levée avec des cornes? >>
Par Manuel De Diéguez, Le 31 mars 2017
De tous temps, en tous lieux
et sous tous les régimes, l’appareil judiciaire s’est mis au service de
l’État du moment. Monarchique sous la monarchie, louis-philippard sous
la Restauration, anti-dreyfusard du temps de l’affaire Dreyfus, ennemi
de la Commune à l’heure des « Communards », unanime dans son sermon
d’obéissance à Vichy.
La spécificité du
tartuffisme judiciaire d’aujourd’hui tient au fait qu’il intervient
directement dans la volonté de porter à l’Elysée un jeune homme de
trente-huit ans, introduit par Jacques Attali dans le groupe Rothschild,
où il a exercé la fonction centrale de banquier d’investissement,
autrement dit, de banquier d’affaires.
La fortune totale du groupe Rothschild est estimée à quelque cent cinquante millions de milliards de dollars.
J’ai bien dit cent cinquante millions de milliards de dollars,
c’est-à-dire quinze suivi de seize zéros. C’est rappeler que ce groupe
est le vrai maître du marché français, européen et même mondial. A ce
titre, il est devenu l’actionnaire majoritaire de quatre-vingt dix pour
cent des banques centrales de toutes les nations du globe terrestre.
Si l’on se souvient que
Georges Pompidou, ex-banquier d’affaires lui aussi du même groupe
Rothschild, avait imposé à la France l’interdiction d’emprunter à sa
banque centrale et l’avait contrainte à se donner le « marché » pour
créancier exclusif, on comprend que le paiement des seuls intérêts de la
dette de la France auprès des banques privées soit rapidement devenu le
tribut ou le bât du déficit budgétaire annuel de la nation.
Depuis le 3 janvier 1973,date de la loi «Pompidou- Rothschild»
la France a payé plus de mille cinq cents milliards d’euros d’intérêts
aux banques privées. Le service de la dette est devenu le budget le plus
considérable du pays: il dépasse celui de l’éducation nationale et de
tous les autres ministères réunis. Il représente plus de quarante cinq
milliards d’euros par an pour le seul paiement des intérêts.
Michel Rocard déclarait en décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette se situerait à un niveau « bénin« , de « 16 ou 17 % du PIB« . Actuellement, la dette de la France frôle les cent pour cent de la production totale de l’année.
Quelle était, en 1973, l’argumentation, sinon conjointe, du moins parallèle, du groupe Rothschild et de l’Élysée?
Il serait absurde de
soupçonner Georges Pompidou d’avoir fait passer les seuls intérêts des
banques avant ceux de la France. Georges Pompidou était un vrai
gaulliste et un érudit. Passionné de grec, quel aurait été son destin
s’il était entré à l’école normale supérieure dont les portes lui
étaient grandes ouvertes? Mais il n’a pas renoncé à sa vocation
littéraire: au cours de son mandat il a publié une anthologie de la
poésie française d’une sûreté de goût exceptionnelle.
Mais, à l’instar des
banquiers du groupe Rothschild, il savait que tous les États sont tentés
de dépenser davantage qu’ils ne gagnent.
Depuis que l’art de frapper
monnaie s’est confondu avec celui de fabriquer de la monnaie fiduciaire,
la prodigalité des États n’a plus connu de bornes. Du coup, leur
tentation est devenue irrésistible de vaporiser leurs dettes par
l’inflation afin de rembourser leurs créanciers en monnaie de singe.
Sous l’occupation, le franc français était demeuré relativement stable.
Mais, sitôt la guerre terminée, on a vu notre monnaie se dévaluer sur le
modèle des assignats de la Révolution et ruiner les épargnants.
En 1958, à l’heure du retour
au pouvoir du Général de Gaulle, la monnaie française avait perdu
quatre-vingt dix-neuf pour cent de sa valeur face au franc suisse. En
rétablissant la parité entre le franc français et le franc suisse et en
créant ce qu’on appelait le franc fort, le Général de Gaulle était si
peu parvenu à rétablir durablement la parité entre les deux monnaies sur
le marché des changes, qu’il avait suffi de quelques années pour
retrouver la tradition de la chute du franc gaulois dans l’abîme. Du
temps où le Premier Ministre de M. Giscard d’Estaing s’appelait Raymond
Barre, l’inflation française s’élevait à quatorze pour cent par an.
Aussi Georges Pompidou
croyait-il sincèrement qu’à contraindre l’État à emprunter sur le
marché, il porterait un coup décisif aux États dépensiers. Il se
souvenait surtout de ce qu’entre 1945 et 1958, plusieurs centaines de
milliers de petits épargnants français avaient été ruinés par la fonte
de la monnaie nationale et pour avoir souscrit des emprunts d’État qu’on
leur disait gagés par l’or de la banque de France. Et c’était cette
blessure profonde qu’il fallait tenter, disait-il, de cicatriser.
Or aujourd’hui, la banque
centrale européenne se trouve dirigée par M. Draghi, ancien banquier
d’investissement de la banque américaine Goldman Sachs.
Que signifie l’envoi récent
et en avant-garde d’un José Barroso, ancien Président de la Commission
européenne de Bruxelles, à titre de caution du caractère soi-disant
européen de la banque, alors que Barroso n’a jamais été qu’un agent
déguisé du Pentagone et un fidèle exécutant des volontés de l’empire
militaire mondial qu’on appelle les Etats-Unis?
M. Draghi jette sur le marché dix-sept
milliards d’euros papier par semaine, sous le prétexte d’une politique
d’investissement, dont personne n’a vu la couleur. En réalité, grâce au fruit de la
planche à billets électronique, le but de l’opération était, à l’image
de ce que font la Banque d’Angleterre et la Réserve fédérale américaine,
de racheter des titres obligataires, c’est-à-dire des bons du Trésor et
divers titres d’entreprises irrécupérables appelés « titres pourris« .
M. Draghi espérait par cette opération à destination des banques privées, « débloquer les circuits du crédit« , c’est-à-dire les inciter à se montrer plus dynamiques dans la distribution de crédits aux entreprises. Mais l’objectif des banques privées est
autre. Trop heureuses de se débarrasser de leurs titres toxiques, elles
se montrent encore plus frileuses dans l’attribution de crédits, si
bien que le marasme économique perdure. Les banques, une fois de plus,
sont les seules bénéficiaires de la politique dite de quantitave easing (QE), ce que la langue de Molière traduit par « laxisme monétaire« . Les banques ne sont intéressées que par leurs propres bénéfices.
La Suisse, à laquelle on ne fera pas
prendre des vessies pour des lanternes, a aussitôt compris que
l’histoire de la République de Weimar allait reprendre son cours, a
décidé sur l’heure de renoncer au taux de change fixe qu’elle avait
accepté d’établir avec l’euro. Sa monnaie s’est immédiatement trouvé
revalorisée de plus de vingt pour cent. On voit quel péril la banque centrale
européenne actuelle fait courir à l’euro en renforçant momentanément par
contre coup le pouvoir du dollar sur le plan international: aussi
l’Allemagne est-elle allée jusqu’à menacer M. Draghi de lui intenter un
procès.
Naturellement, cette menace
s’est tout de suite ensablée, parce que Mme Merkel ne saurait à la fois
se présenter en apôtre de l’américanisation de l’Europe et en
défenderesse de la solidité de l’euro comme monnaie de réserve.
L’euro dévalué rejoint la
catastrophe financière prévisible contre laquelle la loi Pompidou-
Rothschild de 1973 était censée lutter. Car à l’heure où l’euro sera
devenu une monnaie aussi fictive que le deutschemark sous la République
de Weimar, à l’heure où l’euro papier rivalisera, si je puis dire, avec
un dollar papier, tout le monde comprendra que l’euro se trouvera réduit
au rang des assignats. L’euro aura seulement permis à tous les grands
et petits commerçants de France et de Navarre de confondre dans les
esprits un euro avec un franc, ce qui a conduit, par exemple à augmenter
le prix des pommes de terre de mille trois cents pour cent.
Le mythe d’un euro fort était censé
créer une identité européenne. Grâce à l’euro surgirait par miracle une
identité commune, donc un patriotisme européen. Or, déjà l’extrême
gauche allemande descend dans la rue afin de défendre l’alliance future
du parti avec les identités nationales renaissantes partout en Europe.
A l’origine, la double
nationalité franco-suisse se trouvait pratiquement seule en lice,
tellement elle demeurait inoffensive pour tout le monde. Mais même les
petits pays d’Amérique centrale refusaient farouchement toute
bi-nationalité de leurs ressortissants. On comprend qu’à l’heure où des
millions d’Algériens et de Marocains en France et des millions de Turcs
en Allemagne considèrent seulement la France ou l’Allemagne comme un
ajout secondaire à leur nationalité originelle, comme l’a rappelé
récemment l’actuelle Ministre de l’éducation nationale, Mme Vallaud
Belkacem, l’unité psychologique des nations se trouve pratiquement
anéantie.
Ainsi, Mme Vallaud Belkacem a déclaré qu’elle se sentait marocaine, mais qu’elle était en France pour faire carrière.
Du reste, M. Erdogan a déjà
appelé les Turcs d’Europe à porter à cinq enfants au minimum la
fécondité des femmes turques sur le continent européen afin de modifier
la définition même des identités nationales.
Le Président Donald Trump avait rappelé
avant son élection, que l’Europe ne sera jamais une nation, mais
seulement une société anonyme présidée par un conseil d’administration,
donc livrée à l’anonymat et à l’irresponsabilité d’une bureaucratie
dépourvue de toute autonomie politique réelle.
C’est dans ce contexte que la
gigantesque hallucination collective et la bénédiction judiciaire de la
candidature à l’élection présidentielle d’un Emmanuel Macron, ancien élève des Jésuites, armé d’un slogan digne d’un gentil scoutisme –
« En marche »
– prennent tout leur sens. Car aussi longtemps que le principe de la
présence militaire éternelle des États-Unis en Europe ira de soi, tout
ce théâtre de pseudo « marcheurs » nous rappellera l’opéra Aida de Verdi, dans lequel une troupe piétinante chante en chœur et à tue-tête: « Marchons, marchons« .
CONCLU-SION Les crabes marchent toujours en arrière.
WHO REALLY CONTROLS THE WORLD? HERE IS AN EXPOSE' OF THE ROTHSCHILD/ROCKEFELLER AGENDA: http://theconspiracyzone.podcastpeople.com/posts/39430
HOMMAGE A L'HOMME ET AUX PEUPLES QUI SUBISSENT LA FORCE L'OPPRESSION
Inutile de parler de la Syrie et de ce qui se passe dans ce Pays! La
presse internationale nous abreuve déjà suffisamment de situation ou la
force, l'oppression est utilisée au lieu de la raison.
Pour
l'homo
sapiens, il y a essentiellement deux droits. L'un est le droit à sa
propre santé d'esprit et l'autre le droit à sa propre vie. C'est une
extension des droits de l'homme et ceux-ci ne sont qu'une dérision
complète sans ces deux droits supplémentaires.
Il
suffit de déclarer quelqu'un fou, vous voyez ? ou quelque chose de ce
genre ou de le rendre fou ou quelque chose comme ça, et il perd
immédiatement tous ces droits. Il devient l'objet de propriété. Aussi,
méfiez-vous dans une constitution de toute lacune qui conduirait à
l'esclavage.
Et,
comme il peut se présenter une dichotomie sous forme de combat si nous
osons rendre quelqu'un sain d'esprit, il se peut que nous soyons
confrontés à toutes sortes de menaces de la part des forces dont
l'importance et la puissance sont sans conteste redoutables et
effrayantes. Oui, on pourrait toujours rencontrer de telles forces, mais
elles n'arriveraient jamais à maintenir leur position. C'est très
intéressant; elles n'arriveraient pas à maintenir leur position parce
quelle se trouvent sur une piste qui, dans cet univers, mène à sa propre
fin et non à sa perrénité.
Les gens reconnaissent cela et, bien que l'on observe une effrayante
tendance de la part de l'esclave à mettre des chaines et à les porter,
et à porter plus de chaines si possible, ily a toujours un plus grand
nombre de gens qui, en définitive, se retournent contre leur maitres.
Les
maîtres d'esclaves meurent. Ils ont toujours connu la mort dans cet
univers et ils mourront toujours. Il est possible qu'un univers meure.
Mais
ce que nous voulons démontrer, c'est simplement que la force n'a jamais
été une arme opposable à la raison. Chaque fois que la force s'est
opposée à la raison dans cet univers, c'est la force qui a perdu, pas la
raison.
Tôt
ou tard, la raison s'infiltre parce que... La force, vous voyez, ne
peut pas traverser des bastions et des barricades de cinq mètres
d'épaisseur... Prenez, par exemple, une citadelle colossale située tout
au sommet d'un mont imprenable.
Elle
dispose d'une garnison et d'assez de provisions et d'eau pour soutenir
un siège pendant des siècles. La garnison est bien entraînée et bien
armée. Aucune flèche, aucun carreau, pas même la foudre ne pourraient
transpercer cette citadelle. Cependant, par l'intermédiaire du porteur
d'eau ou par d'autres moyens, une idée peut traverser les murs de
n'importe quelle citadelle. Quand on demande: << Quelle est la
force de cette garnison? >>, il faut toujours demander aussi:
<< Quelle en est la loyauté ? >> C'est l'autre facteur et
la force n'a jamais été capable de gagner contre celui-ci. Elle peut
gagner temporairement, bien sûr, mais jamais totalement.
La
raison qui craint la force ou dont l'objectif est d'empêcher la force
de blesser quelqu'un ne constitue pas de la raison. C'est aussi une
forme d'esclavage. Mais la raison qui permet de s'élever au-dessus du
niveau de la force doit en premier lieu être capable de confronter la
force; alors seulement une telle raison est capable de prendre la
responsabilité de ces choses qu'elle seule peut produire.
Aussi
découvrez-vous que, juste avant de disparaître, une société adopte une
attitude raisonnable dans un effort ultime pour échapper à la
force, mais cette attitude consiste généralement à accepter l'esclavage
sous une forme ou une autre et non pas à assumer la liberté. Les membres
de cette société se soumettent à diverses restrictions par peur.
Cela
étant, l'homme capable d'assumer la responsabilité de la force, sans
pour autant l'employer, est beaucoup plus à craindre que l'homme qui ne
peut qu'utiliser la force.
Ainsi
très haut sur l'échelle, l'individu est cause, et à mesure qu'il
dégringole depuis être, en passant par action jusqu'à avoir, il devient
de plus en plus effet de ce qu'il a.
La
période de temps pendant laquelle cette personne se trouvait le plus
libre est celle pendant laquelle elle possédait le moins et ou elle
espérait le plus, et celle où elle était le plus abrutie et le plus mal
en point est celle du moment où elle a finalement pu se procurer les
choses. Et le moment où elle se les procure finalement est celui à
partir duquel elle cesse d'avoir du temps.
Vous
sous estimez votre propre puissance. Vous êtes en train de la sous-
estimez complètement. Rien ne peut vous dénaturez à moins que vous
n'ayez donné votre accord. Et il n'y a vraiment aucune loi plus forte
que celle-là dans cet univers... en ce qui concerne la protection.
Si
vous commencez à dire: << C'est destructif >>, cela peut
seulement le devenir. Les gens peuvent être frappés par la force parce
qu'ils ont convenu du pouvoir de destruction de la force; et seulement
alors, la force peut les frapper. La force ne pourrait théoriquement pas
toucher la personne qui n'a pas convenu de son pouvoir de destruction. (LRH-OBSUIS)
Elle attire de nombreux visiteurs et voyageurs, en particulier à Montreux et à Vevey. La région est également appréciée pour son panorama avec une vue sur l'entrée de la vallée du Rhône, sur les Préalpes et Alpes vaudoises, sur les rives et les montagnes du Chablais, sur Lavaux ainsi que sur le lac Léman, La Côte et le Jura.
Le Léman2,3, appelé aussi par tautologie « lac Léman »4,5,6,7 ou « lac de Genève8 » (appellation aussi utilisée dans d'autres langues : Lake Geneva, Genfersee, Meer van Genève etc.) est un lac d'origine glaciaire situé en Suisse et en France ; par sa superficie, c'est le plus grand lac alpin et subalpin d'Europe. Son nom, probablement d'origine celtique, nous est parvenu via le latin « Lacus Lemanus ».
Le lac, d'une longueur d'environ 72,8 km, est en forme de croissant (ou d'une virgule) orienté de l'est vers l'ouest ; le rivage nord et les deux extrémités sont suisses (partagé entre les cantons de Genève, de Vaud et le canton du Valais), le rivage sud est français dépendant du département de la Haute-Savoie et de la région Auvergne-Rhône-Alpes. La frontière passe au milieu du lac9.
Le Léman est traversé d'est en ouest par le Rhône qui, avec 75 % des apports, constitue le principal affluent du lac10. Sa formation a des origines multiples : plissement tectonique pour la partie du Grand-Lac et action du glacier du Rhône pour le Petit-Lac (entre Yvoire et Genève).
Il s'est constitué lors du retrait du glacier du Rhône après la
dernière période glaciaire, il y a près de 15 000 ans. Ses berges ont
été fortement artificialisées11.
En 2006, selon une étude de la CIPEL
(commission franco-suisse chargée de surveiller l’évolution de la
qualité des eaux du Léman, du Rhône et de leurs affluents), seulement
3 % de côtes sont encore sauvages.
Hors 23 % de prés semi-naturels et de cultures, environ 60 % des berges
et abords sont aménagés, enrochés, pavés, privatisés, ce qui limite
probablement l'expression de l'écopotentialité du site.