dimanche 17 mai 2015
samedi 16 mai 2015
BLUES B.B. KING
B.B. KING CHANTEUR ET JOUEUR DE GUITARE AMERICAIN
Par Pierre-André Doriot
Né le 16 septembre 1925, décédé le 14 mai 2015.
Spécialisé dans le blues, il va rendre populaire ce courant au cours des années 1950-1960.
Considéré comme l'un des meilleurs musicien de tous les temps, il a joué avec les plus grands musiciens de ces cinquante dernières années. le succès le plus retentissant de B.B. King, reste "The trill is gone " en 1969 qui lui vaut une renommée mondiale.
B.B. King a donné 23 concerts au Montreux Jazz
B.B. King - Blues Boys Tune (From B.B. King - Live at Montreux 1993)
MONTREUX JAZZ FESTIVAL
mardi 12 mai 2015
AU COEUR DE L'ALSACE
AU COEUR DE L'ALSACE AU MOYEN-AGE A L'APOGEE DES SEIGNEURS DE RIBEAUPIERRE ENTRE 1459 ET 1525
Un petit coin de paradis ou il fait bon vivre avec un accueil chaleureux, des restaurants gastronomiques au coeur du vignoble. Ses caves et ses vins somptueux qui font la réputation de l'Alsace. Tout un patrimoine à découvrir en famille.
LES CIGOGNES D'ALSACE
VISITER LES CHATEAUX...
Panoramique de Cerney (haut-Rhin) et une partie de la plaine d'Alsace depuis le massif des Vosges
mercredi 6 mai 2015
L' ESCLAVAGE
Aucune nation sur cette planète ne peut se permettre de diminuer le pouvoir d'une autre nation. Aucune guerre n'a jamais apporté autre chose que la guerre
Il existe beaucoup de matériaux de type discursif traitant de la question de savoir si oui ou non l'homme va aller au ciel ou en enfer. Il y a eu également de nombreuses tentatives pour mettre dans ses mains une sorte de carte routière qui puisse le mener dans l'un ou l'autre de ces endroits. Mais la question -clé n'a jamais été posée : Y a-t-il un ciel ? Y a-t-il un enfer ?
Ces cartes routières qu'on a données à lire à l'homme contenaient toutes une entourloupe. Elle comportait une entourloupe - elles étaient destinées à le rendre bon pour le bénéfice de quelqu'un d'autre, pas pour le sien. C'est là mon opinion et elle vaut ce qu'elle vaut. Le faire produire pour le compte de quelqu'un d'autre - pas pour son propre compte.
Toutes ces cartes routières ont été écrites sur la base de l'idée erronée selon laquelle il faut avoir des esclaves ! Et j'ai vu des esclaves ça et là, mais je n'ai jamais trouvé qu'ils faisaient quoi que ce soit si ce n'est causer des ennuis. L'homme ne peut pas se permettre l'esclavage.
Ce n'est même pas la question de savoir si l'esclavage est bon ou mauvais, si c'est quelque chose d'ésotérique ou contraire à la proclamation de l'affranchissement des esclaves aux Etats-Unis, selon le 24eme ou le 29eme amendement ou je ne sais plus lequel au juste. Là n'est pas la question.
La question est, les gens peuvent-ils se permettre d'avoir des esclaves dans leur entourage ? Au niveau national, une nation peut-elle se permettre d'avoir un voisin pauvre et meurtri ? Non. Une nation peut-elle se permettre de ruiner le gouvernement d'une autre nation ? Non.
Juste en passant, pour illustrer ceci, regardez la Révolution française. Le gouvernement stable de la France a été renversé ; ses voisins l'ont gardé en pleine agitation en lui déclarant la guerre, en exerçant sur lui des pressions, etc. Il en a résulté une vaste guerre mondiale à la fin du dix-huitième siècle. Lorsque la France a commencé à devenir incontrôlable, aucun de ses voisins, ni l'Angleterre, ni les autres, n'ont tendu la main et dit : << Remettons-là sur pied. Rétablissons ses structures de contrôle de façon à obtenir un exercice plus équitable du pouvoir au sein du gouvernement de la France. >> Ils ne l'ont pas fait, et en conséquence ils ont dû vivre avec un voisin psychotique pendant quinze ou vingt ans. Il provoquait des guerres de tous les côtés. Deux générations d'hommes adultes en Europe ont été dévorés dans les flammes de l'hystérie incontrôlée de la France.
En outre, la France elle-même fut dévorée parce qu'elle avait fondé son économie sur une sorte d'esclavage. Et les autres nations tout autour observaient sans sourciller cet état d'esclavage féodal se perpétuer indéfiniment, et regardaient l'homme se faire piétiner dans la boue et dans la poussière. Elles en payèrent le prix au bout d'un temps.
Aucune nation sur cette planète ne peut se permettre de diminuer le pouvoir d'une autre nation. Aucune guerre n'a jamais apporté autre chose que la guerre. Et à chaque fois que vous diminuez le contrôle d'un autre être humain par rapport à lui-même et à son environnement, il se passe la même chose. Vous obtenez quelqu'un à côté duquel vous ne pouvez pas vivre.
Et qu'est-ce que l'esclavage si ce n'est le fait de remplacer la zone de contrôle correcte par une autre. On prend un être humain qui devrait être capable de se contrôler ainsi que son environnement, on lui met des chaînes et on lui dit que dorénavant il est totalement contrôlé ! Et il ne doit plus respirer ou cracher sans une sorte d'autorisation gouvernementale. Et on dit : << Ah, c'est comme ça qu'il faut s'y prendre. C'est comme ça qu'on obtient une civilisation. >>
Oh non, ce n'est pas vrai. C'est comme ça qu'on obtient le chaos ! Et l'homme ne peut pas se permettre l'esclavage. Il ne peut pas se permettre la servitude. Il ne peut pas se permettre de mettre son prochain en morceau s'il désire vivre quelque sorte de vie que ce soit.
Oh non, ce n'est pas vrai. C'est comme ça qu'on obtient le chaos ! Et l'homme ne peut pas se permettre l'esclavage. Il ne peut pas se permettre la servitude. Il ne peut pas se permettre de mettre son prochain en morceau s'il désire vivre quelque sorte de vie que ce soit.
Il n'y a rien qui cloche dans le monde aujourd'hui si ce n'est que le monde croit que la servitude et l'esclavage sont des méthodes pour posséder. Non, c'est une chose très simple. C'est une situation très simple. Regardons quelle influence ces idées ont eue sur le sujet tout entier de l'étude du mental ... une étude qui nous vient de Chaldée (région de l'ancienne Babylone, ancien empire d'Asie du sud-ouest dans ce qui est maintenant l'Irak qui a prospéré de 2100 à 538 avant J.-C.) Une étude qui a traversé tous les âges de l'Asie.
En d'autres termes, quelqu'un essayait de regarder la chose, et l'instant d'après vous saviez que tout ce qui avait été découvert serait utilisé pour faire des esclaves.
dimanche 3 mai 2015
CERVIN - MATTERHORN
4 478 M
Le Cervin (Cervino en italien, Matterhorn en allemand) est un sommet alpin de 4 478 mètres d'altitude, situé sur la frontière italo-suisse.
L'ascension de la face nord fut considérée comme le dernier des grands exploits d'alpinisme dans les Alpes, avec celle de l'Eiger et des Grandes Jorasses.
Le Cervin est plus qu’une merveille de la nature. Par sa forme et sa position isolée, il symbolise la force brute de la montagne. Mais il est plus encore : il n’existe aucune montagne au monde dont la forme naturelle est une pyramide aussi parfaite que celle du Cervin. La forme pyramidale symbolise le lien entre nature et culture, paysage et histoire. Il y 100 millions d’années, d’énormes mouvements de compression des plaques tectoniques rapprochent l’Afrique et l’Europe. L’Océan situé entre les deux continents commence à se retirer. 50 millions d’années plus tard, les masses rocheuses commencent à se déformer et à se plier. Les masses rocheuses poussant vers le haut donnent naissance au Cervin. Il est l’emblème de la Suisse, la plus belle montagne du monde et la plus photographiée.
Le 14 juillet 1865, le Cervin est ascensionné pour la première fois. Guidés par l’Anglais Edward Whymper, quatre des sept jeunes hommes de la cordée y perdent la vie. Zermatt et l’accident du Cervin font alors toutes les unes. La corde qui reliait Edward Whymper, Taugwalder père et fils de Zermatt au reste de la malheureuse cordée est exposée au Matterhorn Museum avec d’autres vestiges de cette première ascension.
Le Cervin est cité pour la première fois dans des documents médiévaux comme „Mons Silvus“. Le nom se transforme ensuite en „Mons Servinus“ et „Mons Servin“ puis devient enfin „Cervin“ en français et „Cervino“ en italien. Les étymologistes ne sont pas tous d’accord sur l’origine du nom : certains supposent qu’il vient du latin „silva“ (forêt), d’autres de l’italien „cervo“ (cerf). Le Cervin est cité pour la première fois en 1581 comme „Mont Cervin“ puis plus tard comme „Monte Silvio“ et „Monte Servino“. Le mot allemand „Matterhorn“ apparaît pour la première fois en 1682. L’étymologie du nom vient probablement du mot „Matte“, c’est-à-dire la plaine alluviale herbeuse en-dessous des gorges de la Gorner, aujourd’hui presque intégralement recouverte par le village de Zermatt („zur Matt“). La population locale appelle la montagne „ds'Hore“ (= das Horn (la corne), dialecte de Zermatt) ou „ds'Horu“ (dialecte valaisan).
VOUS
Après tout, qu'est-ce que la masse si ce n'est un rassemblement de << VOUS ? >>
Le cas du sergent Gricha, un roman qui débute avec la prémisse intéressante selon laquelle quand un gouvernement fait du tort à un individu, il est alors voué à l'échec.
Il lui suffit de faire du tort à un individu et il est perdu. J'ignore si le roman contenait beaucoup de philosophie pour soutenir cette prémisse, mais cette pensée m'a paru particulièrement frappante par sa justesse: faire du tort à une personne, c'est faire du tort à une personne de trop.
N'est-ce pas ?
Comment pensez-vous que quelqu'un puisse apporter l'ordre public à une société s'il utilise la menace et la violence ? Il existe de meilleures méthodes. Il existe des méthodes plus efficaces. Je veux dire qu'il y a un très grand nombre de gens bien dans ce monde qui essaient de faire marcher les choses, mais ce qui bloque le chemin de l'homme aujourd'hui, c'est l'aberration individuelle. Il faut prendre une société à raison d'un individu à la fois. La masse n'existe pas. Je me moque des lois qui ont été adoptées récemment au Kremlin, il n'existe toujours pas de masse - une masse de gens, les masses. Il n'existe pas vraiment de groupes; il y a des rassemblements d'individus.
Et ces rassemblements d'individus ont alors l'air de coopérer ou de ne pas coopérer ou d'agir comme une entité. Mais si vous essayez de traiter cette entité, en tant que telle, sans accorder aucune attention à l'individu, vos efforts seront vains. N'est-ce pas ? L'idée de dire : << Eh bien, nous travaillons pour le bien de la masse et, par conséquent, nous nous fichons de vous >>, ça ne fonctionne pas. Après tout, qu'est-ce que la masse si ce n'est un rassemblement de << vous >> ?
Bon, où allez-vous trouver quelqu'un dans le monde aujourd'hui qui puisse prendre cet individu et le libérer de la violence et de la confusion qu'il a subies pendant tous les infiniment nombreux millénaires qu'il a vécus ?
Ce n'est pas que la psychanalyse et les autres pratiques du dix-neuvième siècle soient mauvaises ; elles ne sont pas mauvaises. Les gens qui les pratiques sont tout à fait sincères. Leur effort de comprendre leurs semblables reflète leur dévouement. Mais au bout de sept ans, qu'avez-vous ? Vous avez encore un patient. C'est de l'efficacité dont nous parlons maintenant. Nous ne critiquons pas quelqu'un parce qu'il essaie et ne réussit pas. Ce ne serait pas très beau joueur, n'est-ce pas ? Hein ?
Là où je veux en venir, c'est que quand on essaie de s'adresser à la vaste multitude au moyen de restrictions et de lois arbitraires en vue de soigner ses maux sociaux, on le fait parce que l'homme a oublié comment faire face à un homme. Et, en évitant de faire face à cet homme seul, il manque alors tout le monde. C'est quelque chose de tout à fait intéressant.
Vous verrez des fois une organisation ou un bateau - je parle beaucoup de bateaux parce que j'ai acquis de l'expérience avec. Vous observez ceci : une règle apparaît sur le tableau d'affichage : << Jamais, à aucun moment, en aucune circonstance, nulle ne devra laisser la porte d'entrée ouverte et celui qui laissera béante la porte d'entrée se verra congédier sans ménagement ! >>
Ils destinent cette règle à toute l'organisation ? Eh bien, qui a trouvé la porte ouverte ? Un cadre. Qui a laissé la porte ouverte ? Une ou deux ou trois personnes. Alors maintenant, on va punir tout le personnel ! Et je crains que ce ne soit ainsi qu'ont pris forme le règlement du roi, le règlement de la marine américaine et tout autre ensemble de règles qui punissent, punissent, punissent, tranchent, tranchent, tranchent. Au lieu d'aller trouver celui qui a laissé la porte ouverte et de lui dire : << Mon fils, vous péchâtes >>, on peut faire face à cette chose nébuleuse appelée << équipage >> et le menacer d'une contrainte affreuse si jamais quelqu'un laisse à nouveau la porte ouverte. Et cela ne marche pas !
Je n'entends pas par là que les lois humaines sont impraticables ni que la société devrait être mise en pièces. De même que vous devriez toujours améliorer un individu et ne jamais le mettre en pièces, vous devriez pouvoir améliorer une société et ne pas la mettre en pièces. Vous ne pouvez pas enlever à cette société sa structure législative actuelle et en fourrer une autre à la place, juste comme ça. Et c'est ce qu'un grand nombre de réformateurs aimeraient faire. Ils disent : << Toutes ces lois sont mauvaises ; nous nous en débarrasserons donc et introduirons ces lois idéales comme le code d'Hammourabi. >>
A une époque, c'est ce qu'utilisèrent les réformateurs. Ils dirent : << Nous allons faire de la société une bonne société et nous allons y arriver en arrachant un oeil pour un oeil et une dent pour une dent. Ca leur apprendra. >>
Eh bien, ces vastes choses, ces mandats et ces arbitraires d'une vaste amplitude ne portent pas un but final de paix. Ils ne portent pas une plus grande probité parce qu'ils ont l'inconvénient de nuire à l'individu ( ouvrez les guillemets ) << pour le bien de la masse >> ( fermez les guillemets )
Et ces rassemblements d'individus ont alors l'air de coopérer ou de ne pas coopérer ou d'agir comme une entité. Mais si vous essayez de traiter cette entité, en tant que telle, sans accorder aucune attention à l'individu, vos efforts seront vains. N'est-ce pas ? L'idée de dire : << Eh bien, nous travaillons pour le bien de la masse et, par conséquent, nous nous fichons de vous >>, ça ne fonctionne pas. Après tout, qu'est-ce que la masse si ce n'est un rassemblement de << vous >> ?
Bon, où allez-vous trouver quelqu'un dans le monde aujourd'hui qui puisse prendre cet individu et le libérer de la violence et de la confusion qu'il a subies pendant tous les infiniment nombreux millénaires qu'il a vécus ?
Ce n'est pas que la psychanalyse et les autres pratiques du dix-neuvième siècle soient mauvaises ; elles ne sont pas mauvaises. Les gens qui les pratiques sont tout à fait sincères. Leur effort de comprendre leurs semblables reflète leur dévouement. Mais au bout de sept ans, qu'avez-vous ? Vous avez encore un patient. C'est de l'efficacité dont nous parlons maintenant. Nous ne critiquons pas quelqu'un parce qu'il essaie et ne réussit pas. Ce ne serait pas très beau joueur, n'est-ce pas ? Hein ?
Là où je veux en venir, c'est que quand on essaie de s'adresser à la vaste multitude au moyen de restrictions et de lois arbitraires en vue de soigner ses maux sociaux, on le fait parce que l'homme a oublié comment faire face à un homme. Et, en évitant de faire face à cet homme seul, il manque alors tout le monde. C'est quelque chose de tout à fait intéressant.
Vous verrez des fois une organisation ou un bateau - je parle beaucoup de bateaux parce que j'ai acquis de l'expérience avec. Vous observez ceci : une règle apparaît sur le tableau d'affichage : << Jamais, à aucun moment, en aucune circonstance, nulle ne devra laisser la porte d'entrée ouverte et celui qui laissera béante la porte d'entrée se verra congédier sans ménagement ! >>
Ils destinent cette règle à toute l'organisation ? Eh bien, qui a trouvé la porte ouverte ? Un cadre. Qui a laissé la porte ouverte ? Une ou deux ou trois personnes. Alors maintenant, on va punir tout le personnel ! Et je crains que ce ne soit ainsi qu'ont pris forme le règlement du roi, le règlement de la marine américaine et tout autre ensemble de règles qui punissent, punissent, punissent, tranchent, tranchent, tranchent. Au lieu d'aller trouver celui qui a laissé la porte ouverte et de lui dire : << Mon fils, vous péchâtes >>, on peut faire face à cette chose nébuleuse appelée << équipage >> et le menacer d'une contrainte affreuse si jamais quelqu'un laisse à nouveau la porte ouverte. Et cela ne marche pas !
Je n'entends pas par là que les lois humaines sont impraticables ni que la société devrait être mise en pièces. De même que vous devriez toujours améliorer un individu et ne jamais le mettre en pièces, vous devriez pouvoir améliorer une société et ne pas la mettre en pièces. Vous ne pouvez pas enlever à cette société sa structure législative actuelle et en fourrer une autre à la place, juste comme ça. Et c'est ce qu'un grand nombre de réformateurs aimeraient faire. Ils disent : << Toutes ces lois sont mauvaises ; nous nous en débarrasserons donc et introduirons ces lois idéales comme le code d'Hammourabi. >>
A une époque, c'est ce qu'utilisèrent les réformateurs. Ils dirent : << Nous allons faire de la société une bonne société et nous allons y arriver en arrachant un oeil pour un oeil et une dent pour une dent. Ca leur apprendra. >>
Eh bien, ces vastes choses, ces mandats et ces arbitraires d'une vaste amplitude ne portent pas un but final de paix. Ils ne portent pas une plus grande probité parce qu'ils ont l'inconvénient de nuire à l'individu ( ouvrez les guillemets ) << pour le bien de la masse >> ( fermez les guillemets )
Maintenant, voici notre problème en tant que société. Les individus dans cette société sont soumis à une violence considérable au nom d'une grande humanité et chaque individu que l'on égare un peu plus au moyen de violence dégrade la société tout autant. L'empressement des gens à aider et à vivre est amputé ; il est réduit. Et qu'est-ce que la volonté de la société de survivre si ce n'est la volonté collective ou agrégée des individus de vivre ? C'est tout ce que c'est. C'est aussi simple que ça. 1958/LRH
Roman de Zweig Arnold (Auteur)
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