Vous savez, elles tuent un corps très, très efficacement. Mais elles passent au travers d'un mur de cinq mètres. Un rayon gamma passera au travers d'un mur très facilement. Eh bien, qu'est-ce que c'est... comment blesse-t-il un corps ? Personne ne peut vous le dire. Un mur ne peut pas arrêter un rayon gamma mais un corps le peut. Ce qui nous amène à cette question médicale de toute première importance. Les rayons gamma traverse les murs mais ils ne traversent pas les corps. Nous obtenons la densité d'un corps et celle d'un mur, et nous découvrons qu'un corps est moins dense qu'un mur. Par conséquent, il nous faut entrer dans le domaine du mental, puisque nous ne pouvons pas nous tourner vers le domaine de l'anatomie, et dire :
<< Q'est-ce qui se passe ? >>
Et je peux heureusement vous dire ce qui ce passe ici : une résistance. Le mur n'oppose aucune résistance et le corps en oppose une. Et un rayon gamma ne demeure pas dans le corps, il passe au travers. Mais son passage cause une sensation d'une sorte ou d'une autre, et quand cette dernière se reproduit trop souvent, les cellules et le corps y opposent une résistance. Et cette résistance entraîne cet arrêt, ce chaos, qui est représenté par ce << pas d'avenir >>. La réaction envers la bombe est de dire qu'il n'y a pas d'avenir. Eh bien, le corps dit : << Arrêtez. Arrêtez les rayons gamma, arrêtez les rayons gamma, arrêtez les rayons gamma. >> Il fait ça en permanence, vous voyez ? Et il finit par dire : << Je suis arrêté. >> C'est une déclaration très brute, mais ça se déroule de cette façon en quelque sorte. Il ressent cela. Il le détecte en quelque sorte. Et en le détectant, il dit alors : << Il y a aux alentours une influence que je dois arrêter, qui me met en danger, que je ne peux ni sentir ni goûter mais qui me fait quelque chose. Je sais que cela crée un effet sur moi et cela me pertube, et cela m'influence d'une certaine façon, et par conséquent je dois y résister d'une certaine manière. >> Et le corps s'effondre. Une résistance, c'est certain, a lieu ici.
Est-ce une affaire politique ? Certainement, d'une manière réactive ceci a été fait pour contrôler les gens, en faire des esclaves. Les radiations disent ceci : << ne peut pas avoir, pas d'avenir. >>
Un esclave est une personne qu'on empêche d'avoir, de posséder. Tout appartient au maître et le maître le possède entièrement. Ceci afin de le faire travailler. Et ce que l'on ne peu pas avoir, eh bien on le détruit.
Au moment où vous pensez que le contrôle est mauvais, l'aberration se met en place. Et c'est la chose la plus étonnante que vous avez jamais observée. LRH/BSU
Nous pouvons les amener à confronter, contrôler, communiquer et avoir. Ainsi le << ne peut pas avoir >> disparaîtrait et ils arrêteraient de détruire ce qu'ils ne peuvent pas avoir.
CONFRONTER - CONTRÔLER - COMMUNIQUER - AVOIR
Il n'y a rien sous le soleil qui puisse vous aberrer, si vous pouvez nettement, ne jamais résister au contrôle.
En d'autres termes, là où nous pouvions, avec sécurité, établir une zone de contrôle pour un individu, son aptitude à communiquer s'améliore. Et partout où il y avait une zone de contrôle pour cet individu, nous découvrons que sa communication est bonne.
Les gens ont des difficultés avec les choses dans la vie. Ils disent qu'ils doivent échapper au contrôle.
Maintenant, simplement parce que le contrôle a été mal utilisé, simplement parce qu'on en a abusé, simplement parce qu'il y a eu Torquemada et ses autodafés, simplement parce que les policiers ici pensent qu'ils doivent vous mettre dans une petite cage grillagée de manière à ce que vous ne traversiez pas la ligne blanche en reculant, ou quelque chose, vous savez ? Simplement parce qu'il y a tellement de contraintes et de punitions utilisées dans l'ensemble du monde et associées au contrôle, simplement parce que la plupart des parents qui ont une famille difficile ne peuvent pas contrôler leurs enfants et par conséquent essayent de manière obsessionnelle de les contrôler, ce mot << contrôle >> a certaines connotations qui lui sont associées, ce qui nous dit que c'est en soi de l'aberration. Mais la seule partie aberrante du contrôle est le mauvais contrôle.
Et qu'est-ce que le mauvais contrôle ? La punition, la contrainte, l'abus, la communication basse de ton ; donner un ordre à une personne et ensuite, avant qu'elle ait pu le terminer, lui donner quelque chose d'autre à faire, et avant qu'elle puisse faire ça lui donner autre chose à faire, et ensuite lui dire qu'elle a tout faux sur toute la ligne. Ce sont des exemples de (entre guillemets) << contrôle >>.
Eh bien, c'est même une chose difficile de rendre sa dignité au mot << contrôle >> avec toutes ces mauvaises pratiques, mais le monde entier a fait en sorte de le faire ainsi, et il s'est tellement éloigné du contrôle et ils ne pensent plus que le contrôle est important. Et la seule chose qui cloche aux Etats-Unis d'Amérique aujourd'hui, est qu'on y pense que le contrôle est si peu important, qu'il devient intérieurement, un pays incontrôlé. Par conséquent, on y recherche le contrôle, et à un moment ou à un autre on pourrait bien tomber dans le domaine du fascisme.
Vous comprenez ça ?
Vous prenez une famille où un bon contrôle est utilisé avec les enfants ( pas un ensemble de punitions, etc.) un contrôle qui est bon et positif, et vous constaterez que la famille se porte bien.
Bon, il y a autre chose d'intéressant ici, c'est cette chose appelé autodétermination et pandétermination ( disposition à déterminer ou à contrôler soi-même ainsi que toute chose de la vie autres que soi-même. La pandétermination, tout comme l'autodétermination ou choisie par soi-même, ce qui veut dire qu'on le fait consciemment et directement, non par obsession, compulsion ou inhibition. La pandétermination serait la disposition à commencer, changer et arrêter sur toute les parties de la vie.)
Nous avons découvert qu'il y a quelque chose qui se dresse comme une barrière entre l'aptitude d'une personne à être autodéterminée et la condition dans laquelle elle est, et c'est la bonne volonté d'être contrôlé. Aussi longtemps qu'une personne résiste au contrôle, alors tout ce qui se présente et qui la menace de la contrôler, peut le faire ; et ainsi nous avons l'aberration. Et jusqu'à ce qu'elle puisse totalement tolérer le contrôle, elle ne peut pas être autodéterminée. Elle ne peut pas déterminer ou avoir un pouvoir de choix parce que chaque fois qu'elle se décide à propos d'une chose, quelque chose arrive... elle décide autrement, elle résiste au contrôle, ainsi elle doit se décider autrement. Où est cette autodétermination ? Où est cette décision ? Où est ce pouvoir de choix ?
Alors quand nous regardons cet étalage de facteurs de contrôle, et quand nous regardons les techniques de contrôle, nous devons alors conclure qu'une société est aussi en mauvais état qu'elle utilise du mauvais contrôle. Je dirais que si une société avait une police, qui de manière à contrôler les gens, les obligeait à parquer aux bonnes places et à faire diverses choses, avait à offrir n'importe quelle punition de n'importe quelle genre ou amende ou réprimande, cette société ne serait déjà plus sous contrôle.
Une armée... si nous pouvons avoir l'idée d'une armée existant sans le but de mettre hors de contrôle quelque autre pays, une armée cesserait réellement d'être efficace au moment où quelqu'un prendrait dix jours dans le poste de garde pour avoir fait quelque chose. Vous êtes là disant : << Eh bien les généraux, etc., ont juste perdu leur emprise sur les troupes. >> Vous savez, à droite droite, à gauche gauche, l'armée fait beaucoup de cela, vous savez, à droite droite, à gauche gauche.
Eh bien, ils font à droite droite, à gauche gauche, et si vous sortez et voyez une armée faisant à droite droite, à gauche gauche et ils font cela avec manque de rigueur et les carabines sont en dans ce sens ou dans celui- là... vous savez, tout doit arriver du dernier camp d'entraînement. Et vous vous baladez et vous dites : << Q'est-ce que c'est que ça... qui est le sergent qui leur apprend à faire ça ? >>
<< Maintenant, nous avons un homme bien pour ça ; nous avons Jacques. Ils l'appellent Jacques Enfer et damnation . Si un de ces hommes ne respecte pas la discipline... au poste de garde. Boum ! Pa de laisser-passer. Un homme bien, ce Jacques. Il nous en faut des comme lui. >> Oui, il se bat pour l'ennemi. Ouais, il nous en faut beaucoup comme lui là-bas- Mais nous ne voulons pas de lui.
Parce que ce n'est pas du contrôle. Toute punition est une confession que le contrôle de quelqu'un n'est pas bon. Quand vous dites : << Si vous ne faites pas telle chose, je vais vous tabasser >>, vous dites en même temps : << Vous savez, j'ai quelques doutes sur mon aptitude à vous faire faire telle chose ? >>
Le policier vous dit : << Vous continuez comme ça et nous vous jetterons en taule. >> Il vous dit la même chose : << Savez-vous que la police est arrivée à une telle impasse qu'elle ne peut plus maintenir la loi et l'ordre dans la ville ? >> Et c'est vrai, elle ne le peut pas, vous savez ? Vous savez qu'il y a des gens volés et agressés, etc. Quoi ? Et vous avez une force de police ? Eh bien, oui, mais vous comprenez, les forces de police attrapent les criminels et les mettent en prison et ensuite les gens les laissent sortir de prison.
Nous connaissons toutes sortes de facteurs interdépendants au sujet du contrôle. Nous savons que si nous essayons de cogner et frapper et marteler les gens pour les discipliner, et les mettre en prison, etc., nous savons que si nous les sortons de prison, ils iront voler et frapper les gens à la tête. Et nous les arrêtons, et nous les remettons en prison et nous les gardons là ; et ensuite après un moment, nous les laissons sortir, et ils partent et ils volent les gens et les frappent à la tête, et nous les remettons encore en prison. Ne me dites pas que ces gens contrôlent quelque chose.
Vous savez tous ces panneaux de circulation que vous voyez le long des rues à propos de la vitesse limitée et ce genre de chose ? Savez-vous pour qui ils ont été mis là ? Ils sont mis là pour le 10% des gens qui causent des accidents. Vous savez ce qu'il y a à propos de ces 10% des gens qui causent des accidents ? Ce sont des gens qui ne peuvent pas être contrôlés. Ce sont des gens qui ne lisent pas les panneaux. N'est-ce pas un point de vue intéressant ? En d'autres termes, tous les panneaux de signalisation sont là pour les gens qui ne lisent pas les panneaux. Où est-ce que cela laisse le reste d'entre nous ? Ca nous laisse opérer dans une atmosphère de mauvais contrôle, parce qu'il y en a un peu parmi nous qui ne peuvent pas être contrôlés.
Alors après un moment nous disons : << Le contrôle est mauvais. >> Alors que faisons-nous ? Nous allons trop loin. Sans qu'on s'y attende, un circuit se met en marche dans nos têtes et dit : << Nyah, nyah >> Et nous disons : << Qu'est-ce que c'est ? >> Vous saisissez ? Très étrange affaire.