dimanche 1 mars 2015
samedi 28 février 2015
LA JUSTICE DE ROME
SACRE ROMAINS
LE DESTIN DE L'OCCIDENT EST SCELLE.
On peut comparer l'occident à l'époque romaine, les mêmes erreurs sont commises. Cette civilisation finira par disparaître tout comme la civilisation romaine a disparue!
On peut comparer l'occident à l'époque romaine, les mêmes erreurs sont commises. Cette civilisation finira par disparaître tout comme la civilisation romaine a disparue!
Rome est morte le jour où elle s'est reniée elle-même. Le principe de se renier soi-même est un principe très intéressant. Le type commence à changer en mal le jour où il dit qu'il n'a pas dit une chose, alors qu'il l'a dite. Vous savez, il ne cesse de dire...il continue de désavouer ses actes, désavouer ses actes, pas de responsabilité, de moins en moins de responsabilité et il est parti.
Et Rome était fondée sur la garantie de la liberté religieuse.Toutes les races pouvaient vénérer ce qu'elles voulaient vénérer. Et sur cette base, elle se développait. Et elle absorbait n'importe quel pays parce que la loi de Rome était supérieure à toute autre loi qui existait. Il y avait plus d'équité, de meilleurs tribunaux et une meilleure protection sous le manteau de Rome que sous aucun autre système de gouvernement sur Terre à cette époque là. Et les gens étaient même heureux d'être gouvernés par Rome plutôt que par des tyrans, des fascistes, quelque chose de ce genre.
Les Romains étaient durs. Ils faisaient les choses carrément, mais ils avaient une loi; et les habitants d'une province ou d'un pays nouvellement acquis pouvait, en temps voulu, être officiellement reconnu de manière à se voir attribuer la citoyenneté romaine qui leur accordait les droits définis par la loi.
Et en fait, les gens se livraient à Rome appâtés par la justice. C'est comme cela qu'elle devint puissante. Elle devint puissante parce qu'elle respectait l'homme, elle respectait les droits que l'homme devait avoir, y compris le droit à la liberté religieuse.
A propos, c'est un terme très, très relatif. Vous par exemple, vous vous trouvez avec une Constitution qui garantit la liberté religieuse, mais, non d'un chien, qu'arriverait-il si vous vous mettiez à adorer Lucifer, si vous vous mettiez à pratiquer le culte de l'un de ces différents dieux...
Un type, Aleister Crowley, a adopté un culte religieux qui est très intéressant. Mon vieux! La presse l'a pris comme tête de turc durant toute sa vie. La Bête de l'Apocalypse 666. Il avait simplement un autre niveau de culte religieux.
Oui, Monsieur, selon la Constitution, vous êtes libres de pratiquer tout culte, du moment qu'il est chrétien.
Ne devenez pas musulman. Personne viendra vous descendre parce que vous êtes musulman, mais n'essayez pas d'ouvrir des églises musulmanes. On vous en découragerait, sans aucun doute.
Donc, la liberté qui est garantie à l'homme dans le monde anglophone, aujourd'hui, n'est pas aussi grande que la liberté dont jouissait un Romain.
Bien sûr, une partie de cette liberté était que si il tournait mal et s'endettait trop et devenait incapable de se protéger lui-même, et si tous ses amis le désertaient, il pouvait être vendu comme esclave. Ou alors les soldats faits prisonniers au combat pouvaient être vendus comme esclaves. Ils ne prenaient pas ses soldats sur le champ de bataille pour les mettre dans des camps et les faire travailler dans des fermes. Il n'y a pas d'esclavage dans le monde moderne. Il n'y a pas de camps d'esclaves en Russie. L'esclavage est mort. Ce qu'ils font, c'est qu'ils mettent ces types dans un cycle de vouloir et d'empêcher et dans un cycle d'imposer et d'empêcher et disent: << Vous aurez votre paye du samedi si vous vénérez la bonne pointeuse.>> C'est le Dieu de la société moderne : la pointeuse. Son visage à la forme d'un dollar.
Ils ont
désavoué ces gens, mais ces gens-là sont quand même partis prêcher cette religion. Et il y avait là-dedans un ingrédient intéressant que ne comportait aucune autre religion jusqu'alors, et Rome était incapable de le comprendre. Et cet ingrédient était la haine. C'est parfaitement correct. C'est une autre chose à avoir dans une religion. Ce n'est ni mauvais ni bon. Ces gens-là n'essayaient pas d'accomplir un travail messianique sur le reste du monde. Mais les gentils avaient l'habitude d'entrer là et ils rejoignaient habituellement l'Eglise et puis ils retournaient à Con... en fait, Constantinople n'existait pas encore, mais ils retournaient vers d'autres endroits et se mettaient à battre le tambour pour cette nouvelle religion. C'était avant le Christ.
Constantinople dans le bassin Méditérranéen
Murailles de Constantinople
Et puis cette légende du Christ est arrivée et les gens ont vraiment commencé à battre le tambour. Et je le répète, les Hébreux n'ont pas continué et perpétré cela. C'était les gens qui se pointaient et qui choisissaient cette légende parmi les riches légendes des Hébreux et elle s'est propagés, vlan! Et les gens sont devenus dingues à ce sujet. Ils ont déraillé, ils sont montés et descendus le long du poteau comme les pompiers lors d'une alerte au feu. Ils étaient dans une condition magnifique. Ils se précipitaient devant les tribunaux romains pour dire: << O.K., me voici! Exécutez-moi! >> Le juge romain disait : << Eh bien, soyons raisonnables, après tout, ne pouvons-nous pas simplement délibérer de cela? >> Et ils continuaient d'obtenir justice et ils ne voulaient pas de justice. Ils voulaient du sang, de la mort et des meurtres. Ils voulaient être des martyrs!
LRH/BSU
vendredi 6 février 2015
HIER, VOUS AURIEZ PU ETRE UN PIRATE!
Pierre-André Doriot
HIER J'AURAI PU ETRE UN PIRATE
Pirates et Flibustiers
En parcourant à plusieurs reprises la route des Pirates des Caraibes, passionné par la vie de ces hommes du 17 et 18eme siècles, en particulier Henry Morgan ( 1635-1688) ou Edward Teach dit Barbe Noir 1718, pirate anglais. A cette époque, j'aurais pu être un pirate, vous auriez pu être également un pirate si vous faite partie de la masse radicale qui aime avoir un peu de liberté personnelle, un assez bon repas et qui déteste la punition.
VOUS AURIEZ PU ETRE UN PIRATE LRH
La véritable histoire des Pirates des Caraibes est de loin celle racontée par l'historien, car quand l'historien veut voyager, il le fait à bord d'un paquebot bien aménagé et pour l'expérience de la mer que cela lui procure, il pourrait tout aussi bien passer quelques nuits dans un hotel local.
L'historien condamne énergiquement cette saga maritime qui dura deux siécles et l'estampille de noms comme Teach, Morgan, et l'Olonnais.
En fait, si les bateaux modernes étaient moins bien aménagés et si les équipages mangeaient encore de la viande salée, des pois séchés et buvaient de l'eau recouverte d'une écume verte, nous aurions encore des pirates, des flibustiers.
Quand nous pensons à ces pirates hurlant, agitant leurs sabres, ces pillards avec leur pavillon noir, nous oublions de nous souvenir de l'époque -- ces deux siècles d'extorsion impériale, de souverains aveugles et d'esclavage.
Pour comprendre pourquoi un pirate devenait pirate, on doit comprendre les conditions en mer à cette époque.
La discipline - cette déesse - de l'enfer était en vigueur dans les marines militaires et les marines marchandes des dix-septième et dix-huitième siècles au travers de plusieurs mécanismes, notamment le chat à neuf queues.
En théorie, ce fouet n'est rien de plus que neuf lanières attachées à un manche court. Même sous cette forme, c'était assez dur. Mais ce n'est pas ce que les capitaines militaires et les marchands de l'époque pensaient. Ils cherchèrent donc à améliorer la discipline en prenant du fil de cuivre et en l'enroulant autour des extrémités de chaque lanière. Quelques fois ils ajoutèrent une balle en plomb à l'extrémité.
Pour oublier de saluer un aspirant de marine, un marin pouvait recevoir quinze coups. Vous et moi, avec notre façon de vivre moderne, n'aurions pas survécu après dix coups.
Les Anglais avaient une coutume qui mérite d'être mentionnée. Si un marin frappait un officier - sans considération de provocation - la punition était la << flagellation à travers la flotte >>.
Le marin était amené par bateau de navire en navire et était flagellé sur chaque passerelle. Inutile de dire que personne n'a jamais survécu à l'expérience.
Toute infraction pouvait être punie par la flagellation et très peu de commandants savaient réellement à combien de coups de fouet un homme pouvait survivre - des coups donnés avec chaque parcelle de force musculaire disponible aux moyens de lanières aux extrémités en cuivre qui réduisaient le dos en bouillie.
Se plaindre au sujet de la nourriture ? Soixante coups. Faire le malade ? Une centaine de coups. Manquer d'arriver en temps voulu pour sa fonction de quart ? Soixante dix coups. Et cinquante étaient fatals, par moments.
Je ne parle pas des exceptionnels. C'était la condition dans chaque marine d'Europe - et il n'y a pas si longtemps c'était la condition au sein de notre propre Constitution. Pouvez-vous visualiser ses ponts rougis du sang des hommes flagellés ?
Des hommes mourraient du scorbut à une allure épouvantable. Et même après que ceux au pouvoir avait appris ce qui causait le scorbut - le manque de vitamine C - rien ne fut fait à ce sujet. Les dents des hommes pourrissaient, ils dépérissaient et finalement - si le capitaine avait du temps - on les enroulait dans de la toile avec quelques boulets et on les jetait par-dessus bord. Habituellement, on les jetait tout simplement.
L'eau était toujours rare, toujours putride. Les condensateurs de vapeur n'allaient exister que dans un futur lointain. Il y avait de l'écume verte dans les tonneaux et sous l'écume mille choses rampantes. Aucun effort n'était fait pour découvrir que le fer transportait l'eau dans de meilleures condition que le bois.
Il y a quelque années je suis allé aux Antilles dans un vaisseau. Nous avions environ soixante hommes à bord d'un bateau de mille tonnes et nous étions affreusement entassés et mal logés.
Mais il y a quelque siècles, un bateau de cent tonnes transportait cent personnes.Il n'y avait aucun endroit sec pour dormir. Rien de plus mou qu'une planche de chêne. Aucun effort n'était fait pour fournir des couvertures aux hommes ou pour les vêtir afin de rendre leur vie plus supportable.
Un marin ou un membre d'un navire marchand ne recevait que rarement tout le bénéfice de son salaire. Il était englouti par toutes sortes de comptes mesquins et par des prêteurs sur gage à terre -qui étaient approchés en premier lieu parce qu'un marin n'avait pas pu obtenir un sou d'avance sur la paie de sa libération.
Aucune permission à terre pour la marine ou le bateau de marchandises parce que l'équipage entier aurait pu déserter.
Qu'en est-il de ces dix-septième et dix huitième siècles colorés et romantiques ? Qu'en est-il de ces garçons vaillants qui ont tout donné pour leur roi et leur pays ? Reçurent-ils une compensation pour les blessures ? Non. Reçurent-ils des pensions ? Non. Se faisaient-ils souvent tuer ? Je dirais que oui.
Comme les marines de cette époque étaient trop mesquines pour acheter des pansements, les chirurgiens (ex-barbiers) utilisaient des éponges d'un homme à l'autre, une douzaine d'hommes par éponge et une blessure signifiait soit un membre perdu soit une vie perdue, une grosse infection dans le meilleur des cas.
Ces docteurs utilisaient des fers rouges chauffés à blanc pour cautoriser des plaies. Ils coupaient les bras au lieu de réparer les os cassés. Et si des boulets ou des chaînes tirées par des canons, ou des piques, n'avaient pas ôté la vie du marin, alors le chirurgien le faisait.
Ah, oui, qu'en est-il du romantisme ?
Les marins s'engageaient très rarement à cette époque. Ils étaient enrolés de force par des gangs qui les forçaient, les droguaient, les tabassaient, les menaient dans un enfer pour un pays, un roi et la marine marchande. Ils ne pouvaient même pas dire à leurs familles qu'ils partaient. Et même s'ils gagnaient leurs vingt dollars par mois sur un navire marchand, ils risquaient dêtre saisis à terre et jetés dans la marine militaire.
Autrement dit, ils n'avaient aucun choix. Ils étaient forcés contre leur volonté. Ils étaient traités comme du bétail et mouraient comme des fourmis écrasées par un talon. Ils étaient flagellé s'ils ne travaillaient pas ou ne combattaient pas et mouraient ainsi. Et s'ils travaillaient et combattaient, ils mouraient de toute façon.
Mais à travers cette amertume, il existe tout de même quelque chose au sujet de la mer. Quelque chose que la vapeur a perdu à nos yeux. Quelque chose au sujet des voiles, d'une quille bien dessinée et des pays lointains auquel les hommes ne pouvaient résister.
Il y avait le charme des tropiques, de l'embrun marin et d'un empire à conquérir. Mais tout cela n'était pas pour le marin ordinaire. Pour les officiers, oui. Mais un officier provenait habituellement d'une famille noble et un marin ne pouvait pas en devenir un s'il était né devant un foyer au lieu de naître dans un lit à baldaquins. L'histoire nous dit, de manière véridique, que les hommes les plus forts sont ceux qui sont hissés jusqu'à une position élevée.
Mais que les choses soit bien claires. Cela vous plairait-il d'aller faire un tour jusqu'au drugstore du coin pour prendre l'air ou d'aller acheter un paquet de cigarettes et soudainement de vous retrouver confronté à une bande d'hommes armés qui vous saisissent à bras-le-corps et vous portent jusqu'au port où vous seriez jetés dans une cale puante, infestée de vermines avec d'autres malheureux tout aussi ébranlés que vous ? Cela vous plairait-il d'être partis pendant des années, d'être battu comme un esclave, et de revenir avec l'esprit déformé et le corps meurtri pour découvrir que tout ce que vous aviez connu avait été balayé par l'inévitable progrès ?
C'est ce à quoi l'homme du passé devait faire face.
Mais regardons le bon côté de la chose. Un marin dans la marine militaire ou dans la marine marchande n'avait aucune chance. N'était-ce pas naturel pour lui de déserter à la première occasion ? Il était prêt à braver les requins, la nuit dans un port étranger, pour nager loin de son enfer flottant.
Il était heureux de monter à bord du premier bateau qui se présentait, pourvu qu'il soit meilleur. Il aurait fait n'importe quoi pour échapper à ce calvaire.
Et ainsi, les pirates étaient nés.
Devenir pirate était simple. Un jour, à l'aube, vos officiers appercevaient un bateau. Bientôt le vaisseau avait doublé le vôtre et une courte bagarre s'ensuivait. Vous vous trouviez alors là, en train de regarder ces chahuteurs barbus qui vous avaient abordés, et vous entendiez l'un deux dire que celui qui voulait être pirate n'avait qu'à avancer.
Vous regardiez leurs corps splendides et la manière libre et hautaine avec laquelle ils dressaient leur tête. Et vous avanciez.Oh, oui ! c'est ce que vous faisiez, hors-la-loi ou pas.
Ou peut-être votre vaisseau avait coulé sur un récif et vous n'aviez nulle part où aller sinon sur un autre bateau comme le vôtre.Puis, une nuit, vous entriez dans une auberge et vous aperceviez quelques brutes à la voix de stentor avaler leur cognac à grandes gorgées.Ils vous regardaient, examinaient votre taille et la force de votre bras, puis vous demandaient de vous joindre à eux.
La loi ? Vous ne pensiez pas à la loi, vous pensiez à un estomac plein et à un goût de la vie en mer comme elle devait être vécue. Vous pensiez qu'ici vous auriez une permission à terre, qu'ici vous obtiendriez de bons vêtements, qu'ici vous seriez capable de vous défendre contre des officiers despotiques.
Vous vous joigniez à eux, bien sûr.
A bord de bateau pirate on avait la belle vie, on avait la belle vie. On était en sureffectif et le travail était bien réparti. Lorsque le capitaine devenait trop rude, on le retirait de son poste. On allait à terre toutes les fois qu'on avait besoin d'eau et au diable les horaires ou les trajets prédéfinis. On mangeait bien parce qu'on avait le meilleur de ce qu'il y avait dans les garde-manger des grandes cabines que l'on avait capturés. On pouvait entretenir des relations commerciales avec les autochtones de n'importe quelle île pour avoir de la viande fraîche et des légumes frais.
On naviguait comme vous et moi naviguerions si nous avions un bon yacht et beaucoup de temps.
Chat à neuf queues
St Thomas
dimanche 25 janvier 2015
jeudi 8 janvier 2015
mercredi 7 janvier 2015
mardi 6 janvier 2015
MONTREUX INFO-VILLE
INFO-VILLE
Notre campagne électorale arrive à son terme. Dimanche 11 janvier 2015, la réponse sortira des urnes.
Le bilan est satisfaisant. Malgré une minorité (environ 2% de la population) qui a eu des intentions malveillantes envers notre candidat, c'est-à-dire << de mauvaises manières >> soit par des messages insultants, des affiches déchirées, ou
même lors du débat du 5 janvier au théâtre MTC à la fin du direct un individu malhonnête.
Le bon comportement de la majorité de la population, nous fait oublier cette minorité de personnes malveillantes.
On remarque en particulier que ceux qui votent Jean-Claude Doriot, le font avec le coeur, avec le sentiment qu'il doit retrouver son siège.
De plus en plus de publics se rangent du côté de Jesan-Claude Doriot.
Ne pas avoir un parti derrière qui soutien son poulain est un handicap. Il faut avoir du courage, de la poigne pour traverser ces moments parfois difficile.
C'est du reste pour cette raison que notre candidat est accueilli à bras ouvert par la majorité de la population.
Nous avons confiance en cette majorité, même si notre candidat ne devrait pas passer. Merci.
LES LECTRICES ET LECTEURS DE MONTREUX INFO-VILLE VOTENT POUR :
JEAN-CLAUDE DORIOT
CREATEUR ET EDITEUR DE LA REVUE AU SERVICE DE LA POPULATION DEPUIS 20 ANS SANS AUCUNE SUBVENTION
Notre campagne électorale arrive à son terme. Dimanche 11 janvier 2015, la réponse sortira des urnes.
Le bilan est satisfaisant. Malgré une minorité (environ 2% de la population) qui a eu des intentions malveillantes envers notre candidat, c'est-à-dire << de mauvaises manières >> soit par des messages insultants, des affiches déchirées, ou
même lors du débat du 5 janvier au théâtre MTC à la fin du direct un individu malhonnête.
Le bon comportement de la majorité de la population, nous fait oublier cette minorité de personnes malveillantes.
On remarque en particulier que ceux qui votent Jean-Claude Doriot, le font avec le coeur, avec le sentiment qu'il doit retrouver son siège.
De plus en plus de publics se rangent du côté de Jesan-Claude Doriot.
Ne pas avoir un parti derrière qui soutien son poulain est un handicap. Il faut avoir du courage, de la poigne pour traverser ces moments parfois difficile.
C'est du reste pour cette raison que notre candidat est accueilli à bras ouvert par la majorité de la population.
Nous avons confiance en cette majorité, même si notre candidat ne devrait pas passer. Merci.
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