vendredi 18 mai 2012

DONNA SOMMER


Summer,_Donna

VENEZUELA 1977

Lors d'une émission de télévision tournée à Caracas, je me souviens de Donna Sommer. J'étais invité avec mon amie Vénézuélienne par la chaîne. Nous étions assis à côté de Donna Sommer, qui d'ailleurs m'avait esquissé un joli sourrire.

Je garde un bon souvenir de cet instant et n'oublierai jamais cette grande dame de la musique disco. PAD




Donna Summer, nom de scène de LaDonna Andrea Gaines (née le 31 décembre 1948 à Dorchester, un quartier de Boston et décédée des suites d'un cancer le 17 mai 2012[1] à Key West en Floride), est une chanteuse disco américaine. Elle est un mythe de la musique disco des années 1970 et 1980. Ses plus grands tubes sont Love to Love You Baby, I Feel Love (reprise par Beyoncé, Jimmy Somerville, John Frusciante des Red Hot Chili Peppers, Kylie Minogue, Madonna durant son Confessions Tour et David Vendetta en 2007), Last Dance (Grammy Award en 1978 dans la catégorie Best R&B vocal performance female, Hot Stuff (Grammy Award en 1979 dans la catégorie Best rock vocal performance female et célébré en 1997 dans le film The Full Monty), Could It Be Magic (reprise en français avec Le temps qui court par Alain Chamfort puis par les Enfoirés en 2006 ; inspiré du prélude no 20 de Chopin), On The Radio et She Works Hard For The Money. Elle a vendu plus de 130 millions de disques.

jeudi 10 mai 2012

VENISE





Venise (italien : Venezia /ve'nɛtʦja/, vénitien : Venesia /ve'nɛˑsja/), surnommée la « Cité des Doges » ou la « Sérénissime », est une ville de la plaine du Pô au nord-est de l'Italie et la capitale de la Vénétie.

Fondée peu après 528, elle fut la capitale pendant huit siècles (1001-1797) de la République de Venise. La ville est célèbre pour ses canaux, sa place Saint-Marc, son palais des Doges ainsi que son carnaval. Venise comptait 268 993 habitants début 2008[2] dont 60 052 intra-muros[3]. Venise et sa lagune sont inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO.

FRANCOIS HOLLANDE


Élections présidentielles. Et maintenant, préparer le 3e tour social.


Nicolas Sarkozy a été battu et va maintenant pouvoir aller se reconvertir chez Bouygues ou chez un autre de ses amis du Fouquet’s. Vu les cinq années de casse sociale que nous venons de subir et vu la campagne d’extrême-droite qu’a menée l’UMP durant ces dernières semaines, nous ne pouvons que nous réjouir d’avoir échappé à un nouveau mandat du président sortant.

Mais si la défaite du fossoyeur des droits sociaux apparaît comme un soulagement pour le camp du travail, nous sommes encore loin du vrai changement et le temps des cerises n’est certainement pas pour demain. Il y a d’abord eu les appels du pied au FN durant l’entre-deux tours. Pierre Moscovici, directeur de campagne de F. Hollande et, par ailleurs, vice-président du lobby patronal Le Cercle de l’industrie, a ainsi annoncé qu’il comptait « combattre fermement l’immigration illégale ». Les propos de F. Hollande sur l’immigration lors du débat télévisé du 2 mai étaient également plus qu’ambigus. Ensuite, la posture « anti-austérité » des socialistes ces dernières semaines ne doit pas faire oublier qu’en novembre dernier Hollande voulait « donner du sens à la rigueur » et qu’il n’a pris quasiment aucun engagement sérieusement en faveur des travailleurs et des travailleuses : rien sur la retraite pleine et entière à 60 ans, rien sur les privatisations, rien sur les licenciements etc. il s’est d’ailleurs bien gardé de promettre quoi que ce soit après l’annonce des résultats, préférant évoquer des thèmes fédérateurs qui ne mangent pas de pain : la justice et la jeunesse. La période qui s’ouvre avec l’élection de F. Hollande appelle donc à la plus grande lucidité sur la politique qu’il va mener, afin d’éviter toute désillusion. Il y a bien longtemps que le Parti Socialiste est entièrement converti au libéralisme et ne propose plus que de le modérer. A l’heure des premiers choix, il y a donc fort à parier que le nouveau pouvoir préservera sans état d’âme les intérêts des capitalistes plutôt que de défendre les droits des travailleuses et des travailleurs. Si nous ne voulons pas de l’austérité qui s’annonce et si nous ne voulons plus de ce monde qui tourne à l’envers, il va donc falloir dès maintenant organiser la résistance et nous tenir prêt-es à riposter quand les promesses électorales feront place aux mesures de rigueur. Le 2e tour est passé et c’est à présent le 3e tour social qu’il faut imposer.

Publié le 7 mai 2012 par Commission Web

mercredi 9 mai 2012

LAUSANNE CH APPARTEMENT ATTIQUE A VENDRE







Cette somptueuse résidence de haut standing, profitera d'un cadre de vie et de confort privilégiés. En retrait du trafic, dans une ruelle à sens unique, le quartier est résidentiel, verdoyant et surtout très calme.


mardi 8 mai 2012

LEADERSHIP





QUEST-CE QU'UN LEADERSHIP ?

Savez-vous c'est très bien de dire leadership. Mais quest-ce que c'est ? Quest-ce que c'est ? C'est une chose curieuse. Mais savez-vous qu'il y a des tomes qui ont été écrits sur ce sujet. Vous allez dans l'armée américaine, la marine américaine, l'armée de l'air américaine, l'armée de l'air africaine, l'armée africaine, l'armée de l'air britanique, l'armée de de Gaule, n'importe laquelle de celle-ci, et vous allez trouver des livres traitant du leadership.

Ca alors ! comme ces livres vous courbent le dos ! ils sont, pour la plupart, publiés pour les sous-officiers. Les officiers s'écartent tellement de ce qu'ils contiennent qu'ils ne le voient même pas. En général, ils les écrivent.

Nous avons ici tous ces tomes sur le sujet du leadership et il y a des petits trucs et des petits gadgets et des  << vous ne faites pas ceci mais vous faites cela >>. Il y a d'innombrables règles mais personne n'a jamais dit ce que c'était un leadership.

Si nous allons vers une sociètè virtuellement sans leader nous ferions mieux de savoir ce qu'est un leader.

Un leader est quelqu'un qui peut assumer la responsabilité de sa sphère d'influence. C'est très simple, n'est-ce pas ? Il peut assumer la responsabilité de sa sphère d'influence.

C'est très difficile d'amener une organisation à prendre une responsabilité quelconque parce qu'une organisation en elle-même n'est pas responsable. Seulement les terminaux qui en font partie peuvent être responsables.

Nous obtenons alors la prochaine caractéristique de ce qu'est le leadership. En présence de leadership, la communication est possible. Ha ha ! Dis donc, cela paraît bizarre, n'est-ce pas, lorsque vous entendez que le général marche dans les rangs et qu'aucun soldat ne doit lui parler et que nous disons : <<  Le général est le leader de ces soldats ?  >>  Ha ha ha ha ha ! Peut-être que les sergents le sont, mais pas le général.

Pourquoi ? Parce que ces soldats ne peuvent pas lui parler. La communication. Un leader doit être capable de donner et de recevoir une communication. C'est très simple, n'est-ce pas ? Donner et recevoir une communication. C'est bien sûr dans la limite de ses possibilités à avoir suffisamment de temps pour écouter chaque chose qu'on lui dit, néanmoins il peut en écouter pas mal. Et il doit certainement avoir cette capacité à communiquer.

De plus, il doit avoir la capacité à avoir de l'affinité pour les gens qu'il dirige. Il doit aussi inspirer de l'affinité chez ces gens pour lui.

Les buts et les choses dont il épouse la cause doivent être réels. Ils doivent être réels. Ils doivent jusqu'à un certain point, être réalisables. L'entente doit être suffisamment bonne en ce qui concerne ces buts.

En plus de cela, il doit être capable d'avoir une réalité sur la condition dans laquelle sont les gens qu'il essaie de diriger. Quelle est leur réalité ? En reconnaissant leur réalité clairement, il n'a pas nécessairement besoin de s'y laisser prendre le moins du monde.

Un des plus grands empires de tous les temps avait à sa tête un dénommé Soliman le Magnifique, L'Empire turc, début du XVIe siècle. En fait, il a fait s'écrouler l'empire turc. Il avait un grand défaut. Il n'a jamais assigné de tâche humainement possible à faire. Il a fait en sorte que beaucoup soit fait, mais il a tout fait s'écrouler.

En d'autres termes, il n'a jamais considéré ou obtenu une réalité sur ce que les gens pouvaient réellement faire et il a donc échoué à être le leader de cette nation en particulier.

Mais les leaders ne font pas que diriger les nations. Chaque famille doit avoir un leader. LRH


dimanche 6 mai 2012

Q - We Are The Plan