mercredi 17 août 2011

TENTATIVE DE DETOURNEMENT DE FONDS LIBYEN



Mardi 9 août 2011, Sana Khan, secrétaire du Comité des sanctions mis en place par la résolution 1970 du Conseil de sécurité, a transmis aux membres du Comité un avis émanant de l’ambassadrice Susan Rice, représentante permanente des États-Unis à l’ONU.

Dans cette missive, dont le Réseau Voltaire s’est procuré une copie [document téléchargeable au bas de cette page], Washington informe le Comité de son intention de dégeler 1 500 000 000 de dollars appartenant à la Banque centrale de Libye, à l’Autorité libyenne d’investissement, à la Banque étrangère de Libye, au Portefeuille d’investissement libyen en Afrique et à la Compagnie nationale libyenne du pétrole.

Arguant que ce dégel est légal lorsque les fonds sont destinés à des fins humanitaires ou civiles (article 19 de la Résolution 1970 [1]), Washington indique qu’il affectera unilatéralement cette somme comme suit :

- 500 000 000 de dollars à des organisations humanitaires de son choix « pour répondre aux besoins humanitaires actuels et à ceux que l’on peut anticiper, dans la ligne de l’appel des Nations Unies et de ses mises à jour prévisibles » ;

- 500 000 000 de dollars à « des sociétés d’approvisionnement en fuel et en biens humanitaires nécessaires  » ;

- 500 000 000 de dollars au Temporary Financial Mechanism (TFM) pour « payer les salaires et les dépenses de fonctionnement des fonctionnaires libyens, des dépenses alimentaires, de l’électricité et d’autres achats humanitaires  ». Sur cette somme, 100 000 000 de dollars seront provisionnées afin d’être ultérieurement affectés aux besoins humanitaires des Libyens dans les zones non contrôlées par le Conseil de transition nationale (CNT) lorsque celui-ci aura établi « un mécanisme crédible, transparent et effectif » pour les leur transmettre.

En clair, les États-Unis ont informé le Comité des sanctions de leur intention de s’emparer 1,5 milliard de dollars qu’ils attribueraient pour un tiers à leurs propres services humanitaires (USAID…), pour un second tiers à leurs propres multinationales (Exxon, Halliburton etc.), et pour le restant au TFM, un bureau du LIEM, lequel n’est qu’un organe officieux créé par Washington et avalisé par le Groupe de contact pour administrer la Libye [2].

Washington a fait savoir qu’il considérerait avoir l’accord tacite du Comité des sanctions dans les cinq jours suivant la réception de sa notification.

Malheureusement, la Libye ne pouvait pas s’opposer à ce vol, car elle n’est pas représentée à ce Comité. En effet, son ancien ambassadeur a fait défection, et —en violation de l’Accord de siège— le Département d’État n’a toujours pas délivré de visa à son nouvel ambassadeur.

Washington entendait bien profiter de cette absence forcée pour s’emparer du butin. Au demeurant, la France a déjà ouvert une brèche en volant 128 millions de dollars dans les mêmes conditions.

C’est en définitive le représentant permanent de l’Afrique du Sud, l’ambassadeur Baso Sangqu, qui a fait obstacle à la manœuvre.

Outre la rapacité des États-Unis, cet invraisemblable épisode confirme que l’auto-proclamée « Libye libre » de Benghazi et Misrata n’est pas gouvernée par le Conseil national de transition (CNT). Celui-ci n’est qu’une façade, au demeurant fort lézardée. L’Est de la Libye, contrôlé par l’OTAN, est administré par le Libyan Information Exchange Mechanism (LIEM), un organe informel, sans personnalité juridique, mis en place à Naples par les seuls États-Unis, même si certains de ses employés sont des Italiens.

Les fonds que l’on présente comme attribués au CNT sont en réalités remis au LIEM qui les utilise pour salarier les membres du CNT et leurs fonctionnaires. La différence est de taille : le Conseil national de transition n’a pas de politique propre, il se contente d’exécuter la politique des États-Unis. Et c’est bien normal lorsque l’on sait que le CNT n’a pas été formé lors des événements de Benghazi, mais plusieurs années avant à Londres comme un gouvernement provisoire en exil.

Par conséquent, l’action militaire des États-Unis et de leurs alliés de l’OTAN ou du Conseil de coopération du Golfe n’a pas pour objectif de mettre en œuvre la protection des civils prévue par la résolution 1973, et encore moins la « libération des Libyens », mais bien la colonisation du pays.


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mardi 16 août 2011

VENEZUELA : WASHINGTON FINANCE L'OPPOSITION ANTI-CHAVEZ



 $20 millions en 2012 pour les groupes anti-Chavez
Washington finance l’opposition vénézuélienne “made in USA”


par Eva Golinger
Washington finance l’opposition vénézuélienne “made in USA”
Url de l’article original::  English
Washington se prépare à financer la campagne présidentielle d’opposition contre le président Hugo Chavez en 2012.


Depuis qu’Hugo Chavez a gagné ses premières élections présidentielles en 1998, le gouvernement américain a essayé de le retirer du pouvoir. Avec des investissements de multi-millions de dollars, chaque année les agences de Washington conseillent et aident les groupes anti-Chavez dans leurs campagnes et stratégies contre le gouvernement chaviste.


Malgré plusieurs tentatives, incluant un coup d’état en 2002 qui évinça brièvement le président Chavez, leurs efforts ont été vains. La popularité du président vénézuélien continue d’augmenter et les leaders de l’opposition ont échoué à convaincre leurs électeurs de leur plan pour le pays. Les derniers sondages en date montrent un soutien de 57% pour Chavez, alors que l’opposition reste au dessous des 20%.


Quoi qu’il en soit, Washington continue de rechercher de nouveaux moyens pour parvenir à son éternel objectif de regagner le contrôle des ressources stratégiques et pétrolières du Vénézuela, qui sont les plus importantes de la planète. Ceci a pour signification de mettre un terme à Hugo Chavez.


Une des tactiques principale du gouvernement américain a été d’alimenter le conflit interne vénézuélien par la consolidation du mouvement d’opposition, qui malgré son impossibilité à s’unifier, continue à être actif dans la vie politique du pays.


L’argent


Le moteur principal de cette tactique a bien sûr été les investissements de multi-millions de dollars par les agences américaines, de concert avec plusieurs fondations européennes et canadiennes, pour l’opposition vénézuélienne. L’argent arrive avec un soutien stratégique de la part de consultants et de campagnes politiques, qui aident en tout, de l’image du mouvement au discours tenus.


Par le biais de la National Endowment for Democracy ou NED, une entité du congrès financée par le département d’état américain (NdT: lire ici CIA) et son agence US Agency for International Development (USAID), Washington a fourni plus de 100 millions de dollars aux groupes anti-Chavez au Vénézuela depuis 2002. La majorité de ces fonds ayant été utilisés pour financer les campagnes électorales des candidats d’opposition, ainsi que pour le financement de campagnes médiatiques bien orchestrées contre le gouvernement Chavez, qui inondent la presse nationale et internationale. Malgré la crise économique sévissant aux Etats-Unis, les fonds pour l’opposition vénézuélienne continuent de venir.


En Février 2011, le président Obama a demandé 5 millions de dollars de son budget national 2012 pour les groupes d’opposition au Vénézuela. Ceci constitue une première dans l’histoire des Etats-Unis, où un président en exercice demande ouvertement de l’argent du budget national pour financer l’opposition vénézuélienne, et de manière plus spécifique dans une période d’austérité budgétaire.. Apparemment, le président Obama préfère utiliser 5 millions de dollars des contribuables américains pour financer les efforts pour sortir le président vénézuélien, élu et réélu démocratiquement rappelons-le et soutenu par la vaste majorité du peuple; au lieu que d’investir dans la santé et le bien-être de son propre peuple.


Ces 5 millions ne constituent qu’un quart du financement totale que Washington a préparé pour l’opposition vénézuélienne en 2012.


L’ambassade


L’ambassade des Etats-Unis à Caracas a été le centre de distribution et de coordination de la vaste majorité des fonds donnés par l’USAID et la NED depuis 2002. Mais, jusqu’à la fin de 2010, l’USAID ne maintînt que trois contracteurs à Caracas: l’International Republican Institute (IRI), le National Democratic Institute (NDI) et Development Alternatives Inc. (DAI). Au travers de ces entités, surtout DAI, l’USAID a fourni ses millions de dollars chaque année à la centaine de groupes d’opposition, de programmes, de projets et de campagnes au Vénézuela, L’IRI et le NDI quant à eux ont donné plus de soutien politique, de conseils et d’aide physique que de fonds.


Ces trois agences sont parties brusquement du Vénézuela après le passage en Décembre 2010, d’une loi gouvernementale interdisant le financement étranger à des fins politiques dans le pays. Au début 2011, l’USAID publia une annonce sur son site internet déclarant que son programme vénézuélien avait été transféré dans ses bureaux de Washington. Aucune autre information ne fut délivrée.


Quoi qu’il en soit, le budget 2012 de l’USAID inclut 5 millions de dollars supplémentaires pour son travail au Vénézuela. L’agence, qui est une branche financière du département d’état, n’a aucun projet autorisé ou aucun accord avec le gouvernement vénézuélien. Depuis le départ, ses motivations ont été strictement politiques.


Sans la présence des ces trois agences à Caracas, l’ambassade américaine a dû prendre un rôle plus important, rendu évident par son budget 2012. En 2010, l’ambassade de Caracas avait un budget annuel de 18 millions de dollars; en 2011, ce budget chuta à 15,9 millions de dollars; mais pour 2012, son budget s’est vu catapulté à plus de 24 millions de dollars, près de 9 millions de dollars d’augmentation (NdT: environ 35% d’augmentation budgétaire).


Les Etats-Unis n’ont même pas un ambassadeur résident à Caracas, ni aucun projet d’en avoir un. Les relations diplomatiques avec le Vénézuela sont gelées et sont gérées au niveau des “chargés d’affaires”. De plus, le nombre d’employés de l’ambassade est demeuré le même depuis 2010: 81 employés. Alors, à quoi vont servir ces 9 millions de dollars supplémentaires ?


Il n’y a aucun doute que ces fonds sont destinés aux campagnes d’opposition de 2012, qui verra le Vénézuela tenir deux élections: présidentielle et régionale. Maintenant que l’USAID et ses sous-traitants ne sont plus opérationnels dans le pays, l’ambassade va devenir la source principale de financement et de contrôle pour que ces fonds arrivent bien à destination de l’opposition.


Jusqu’ici, le total du financement est de 19 millions de dollars au minimum, de Washington à l’opposition vénézuélienne pour 2012, mais ce n’est pas tout.


Dans le budget 2012 du département d’état, 48,2 millions de dollars furent demandés pour financer l’Organization of American States (OEA). Dans la justification de ce budget, l’État spécifie qu’une partie de cet argent sera utilisé “pour déployer des équipes spéciales de ‘pratique démocratique’ dans des états où a démocratie est menacée par la monté en puissance de concepts alternatifs tel que ‘la démocratie participative’ comme au Vénézuela et en Bolivie.”


De plus, le budget clâme que les fonds seront utilisés pour soutenir “les réponses appropriées aux menaces sur la liberté d’expression et les abus de gouvernements envers leur peuple, particulièrement dans des états comme le Vénézuela et Cuba.”


Au minimum, une portion de ces 48 millions de dollars va être filtrée aux groupes anti-Chavez du Vénézuela qui travaillent contre le gouvernement.


La NED


Et il y a toujours la NED, qui finance à hauteur d’au moins un million de dollars des groupes anti-gouvernementaux au Vénézuéla, incluant Sumate, CEDICE, Futuro Presente, Liderazgo y Visión, Instituto Prensa y Sociedad (IPyS), Consorcio Justicia, Radar de los barrios, Ciudadania Activa et d’autres.


Le budget de la NED pour 2012 est de 104 millions de dollars, déclare ceci: “Dans la région des Andes, l’électon présidentielle vénézuélienne de 2012 va avoir des conséquences importantrs pour le pays et ses voisins, alors que le présiendt Chavez cherche à se faire réélire pour un autre terme de six ans. La NED va soutenir les organisations de société civile dans leurs efforts d’inciter les électeurs à voter et de promouvoir des élections libres, justes et compétitives.”


Bien que la somme d’argent que la NED va fournir aux groupes d’opposition vénézuéliens n’ait pas été spécifiée, la NED prévoit de manière évidente d’intervenir dans le processus électoral du Vénézuéla.


Ces multi-millions de dollars de financement destinés à l’opposition vénézuélienne pour les élections de 2012 ne laissent aucun doute sur le fait que Washington va continuer son ingérence dans les affaires politiques intérieures vénézuéliennes, en essayant par tous les moyens possibles, de mettre les bâtons dans les roues du futur de la révolution bolivarienne. En même temps, ces millions de dollars renforcent d’autant plus la conviction de plus de dix ans, que l’opposition au président Chavez est et demeure “Made in USA”.







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lundi 15 août 2011

LIBYE L' INGERENCE DE L'OCCIDENT: MEDIAS COMPLICES


L'Otan n'a aucune légitimité en libye... ou ailleurs!... Les médias sont complices des crimes commis par cette organisation terroriste.


La Libye et la fin des illusions occidentales
par Thierry Meyssan

Cinq mois après le début des bombardements, il n’est plus possible de croire la version officielle du début des évènements en Libye et des massacres imputés au « régime de Kadhafi ». Simultanément, il faut désormais tenir compte de la riposte judiciaire et diplomatique libyenne qui met en évidence les crimes contre la paix commis par la propagande TV, les crimes de guerre perpétrés par les militaires de l’OTAN, et les crimes contre l’humanité commis par les dirigeants politiques de l’Alliance atlantique.

Une petite moitié d’Européens soutiennent encore la guerre contre la Libye. Leur position se fonde sur des informations erronées. Ils croient en effet encore que le « régime de Kadhafi » a réprimé dans le sang des manifestations à Benghazi en février et a bombardé des quartiers de Tripoli, tandis que le colonel lui-même aurait promis de faire couler des « fleuves de sang » si ses compatriotes continuaient à contester son autorité.

En deux mois d’enquête sur le terrain, j’ai pu vérifier par moi- même que ces accusations sont des intoxications de pure propagande, imaginées par les puissances de l’OTAN pour créer les conditions de la guerre, et relayées dans le monde entier par leurs chaînes de télévision : Al-Jazeera, CNN, BBC et France24.

Le lecteur qui ne sait où se situer dans ce débat et qui, malgré les intox du 11-Septembre et des armes de destruction massives de Saddam Hussein, rechigne à envisager que les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et le Qatar aient pu fabriquer de tels mensonges, peut néanmoins se faire une opinion avec le temps. L’OTAN, la plus vaste coalition militaire de l’Histoire, n’est pas parvenue en cinq mois de bombardements à renverser celui qu’elle décrit comme un « tyran ». Chaque vendredi, une vaste manifestation de soutien au régime est organisée dans une ville différente du pays et tous les experts s’accordent aujourd’hui à dire que le colonel Kadhafi dispose d’au moins 90 % de soutien populaire en Tripolitaine et d’au moins 70 % à l’échelle du pays entier, incluant les zones « rebelles ». Ces gens souffrent tous les jours du blocus, des bombardements aériens et des combats au sol. Jamais ils ne soutiendraient avec leur chair et leur sang un individu qui aurait commis contre eux les crimes dont il est accusé par la « communauté internationale ». La différence entre ceux qui croient en Occident que Kadhafi est un tyran qui a fait tirer sur son propre peuple, et ceux qui croient en Libye que c’est un héros de la lutte anti-impérialiste, c’est que les premiers vivent dans l’illusion créée par la propagande TV, tandis que les autres ont sur place l’expérience de la réalité.

Ceci étant posé. Il existe une seconde illusion dont sont victimes les Occidentaux —et j’inclus désormais dans le camp « occidental », non seulement Israël qui s’en revendique depuis toujours, mais aussi les monarchies du Conseil de Coopération du Golfe et la Turquie qui, bien que de culture orientale, ont choisi ce camp— : ils persistent à penser qu’il est encore possible de dévaster un pays et de tuer sa population sans conséquences juridiques. Il est vrai que, jusqu’à présent, la Justice internationale n’a été qu’une justice des vainqueurs ou des puissants. On se souvient de ce dignitaire nazi qui apostrophait ses juges à Nuremberg leur disant que si le Reich avait gagné la guerre, ce serait les nazis qui seraient juges et les Alliés qui devraient rendre compte de leurs crimes de guerre. Plus récemment, nous avons vu l’usage fait par l’OTAN du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie pour tenter de justifier a posteriori que la guerre du Kosovo était la « première guerre humanitaire de l’Histoire », selon l’expression de Tony Blair. Ou encore, comment le Tribunal spécial pour le Liban, a été utilisé pour tenter de renverser le gouvernement syrien, puis pour décapiter le Hezbollah libanais, et probablement bientôt pour accuser les Gardiens de la Révolution iranienne. Sans oublier, le Tribunal pénal international, bras séculier des puissances coloniales européennes en Afrique.

Cependant, le développement des instruments et des organes de Justice internationaux au cours du XXe siècle a établi

progressivement un ordre international auquel les grandes puissances elles-mêmes vont devoir se conformer, où qu’elles devront saboter pour fuir leurs responsabilités. Dans le cas libyen, on ne compte plus les violations du droit international. En voici les principales, telles qu’elles ont été établies par le Comité Technique Provisoire —organe libyen de coordination interministérielle— et décrites par l’avocat de la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne, le Français Marcel Ceccaldi [1], lors de différentes conférences de presse.

Les chaînes de télévision qui, sous l’impulsion de leurs gouvernements respectifs, ont fabriqué de fausses informations pour conduire à la guerre, sont coupables de « crime contre la paix », tels que définis par les résolutions pertinentes de l’Assemblée générale de l’ONU adoptées au lendemain de la Seconde Guerre mondiale [2]

. Les journalistes-propagandistes doivent être considérés comme plus coupables encore que les militaires qui ont exécuté des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité, dans la mesure où aucun de ces crimes n’aurait été possible sans celui qui les a précédé, le « crime contre la paix ».

Les chefs politiques de l’Alliance atlantique qui ont détourné la Résolution 1973 de son objet pour se livrer à une guerre d’agression contre un État souverain sont personnellement responsables devant la Justice internationale. En effet, selon la jurisprudence établie au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par le Tribunal de Tokyo, les crimes ne sont pas le fait des États ou des organisations, mais bien des individus. Piller les avoirs d’un État, instaurer un blocus maritime et bombarder des infrastructures pour faire souffrir les populations, attaquer une armée dans ses casernes, ordonner d’assassiner des leaders ennemis et, à défaut, de les terroriser en assassinant leur famille, sont autant de crimes de guerre. Les perpétrer de manière systématique, comme c’est le cas aujourd’hui, constitue un crime contre l’humanité. Ce crime est imprescriptible, ce qui signifie que MM. Obama, Sarkozy, Cameron et Al-Thani seront poursuivis par la Justice toute leur vie.

L’OTAN, en tant qu’organisation, est civilement responsable des dommages matériels et humains de cette guerre. Il ne fait aucun doute en droit qu’elle doit payer,même si elle tentera sûrement juridictions nationales des États agresseurs. Elle entreprend des d’invoquer un privilège de juridiction pour fuir ses responsabilités. Il appartiendra ensuite à l’Alliance de voir comment répartir la facture de ce conflit entre ses États membres, alors même que certains d’entre eux sont au bord de la faillite. Il s’en suivra des conséquences économiques désastreuses pour leurs populations, coupables d’avoir avalisé ces crimes. Et, en démocratie, personne ne peut prétendre être innocent des crimes commis en son nom.

La Justice internationale devra se pencher plus particulièrement sur le cas de « l’administration » Sarkozy —j’emploie ici cet anglicisme pour souligner que désormais le président français conduit directement la politique de son gouvernement sans passer par son Premier ministre—. En effet, la France a joué un rôle central dans la préparation de cette guerre en organisant en octobre 2010 une tentative manquée de coup d’Etat militaire, puis en planifiant avec le Royaume-Uni dès le mois de novembre 2010 le bombardement de la Libye et un débarquement au sol que l’on croyait alors possible, enfin en participant activement aux troubles meurtriers de Benghazi qui aboutirent à la guerre. En outre, la France, plus que toute autre puissance, a déployé des Forces spéciales au sol —certes sans leurs uniformes— et a violé l’embargo sur les armes approvisionnant les insurgés — directement ou au moyen d’avions qatariotes—. Sans oublier que la France a violé le gel onusien des avoirs libyens, détournant une partie des fabuleuses liquidités du Fond souverain libyen au profit des fantoches du CNT et au détriment du peuple libyen qui croyait assurer le bien-être de ses enfants une fois le pétrole épuisé.

Ces Messieurs de l’OTAN qui espéraient échapper à la Justice internationale en écrasant en quelques jours leur victime, la Libye, de sorte qu’ellel n’aurait survécu pour les poursuivre, vont devoir déchanter. La Libye est toujours là. Elle dépose des plaintes devant la Cour pénale internationale, les tribunaux belges (juridiction dont dépend l’OTAN), la Cour de Justice européenne, les juridictions nationales des États agresseurs. Elle entreprend des démarches devant le Conseil des Droits de l’homme de Genève, le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale des Nations Unies. Il ne sera pas possible aux grandes puissances d’éteindre tous ces incendies à la fois. Pis, les arguments qu’elles utiliseront pour échapper à une juridiction se retourneront contre elles devant une autre. Dans quelques semaines, dans quelques mois, si elles ne sont pas parvenues à détruire Tripoli, elles n’auront plus d’autres échappatoires pour prévenir d’humiliantes condamnations que de négocier au prix fort le retrait des plaintes.


La farce du journalisme indépendant


John Swinton, journaliste et éditeur du New York Times fit cette déclaration au cours d’une réception de la presse en 1880, après qu’un convive eut proposé de boire à la santé de la “presse indépendante”. Elle est plus que jamais d’une actualité brûlante. A cette époque il n’y avait ni radio, ni télévision. Sa tirade mémorable s’adresse bien évidemment à ce complément de « l’information écrite »… son corollaire audio-visuel aussi corrompu et biaisé que sa comparse de papier.

La « murdochratie » comme l’a justement nommé John Pilger nous a récemment fait étalage de toute sa splendeur pour le respect d’une « presse indépendante ». Les médias français à la botte des Rotschild, Lagardère, Dassault, Hersant et autre Bouyghes nous régalent de leur objectivité si rafraîchissante, nous en avons les larmes aux yeux en rédigeant ces lignes…

Le succès des peuples dans leur lutte contre l’oligarchie du nouvel ordre mondial en marche est dans l’avènement d’une presse citoyenne et alternative dévouée elle, a l’indépendance, la vérité et le combat contre la pensée unique marque de fabrique du consensus du statu quo oligarchique. C’est par une information hors propagande que nous vaincrons, parce que les citoyens sauront faire la part des choses, séparer la lie de l’ivraie pour avoir enfin une vision claire des choses, vision enfumée depuis bien trop longtemps.

“Il n’y a pas à ce jour dans l’Histoire du monde et aux Etats-Unis de presse indépendante. Vous le savez et je le sais.

Il n’y a personne d’entre vous qui ose écrire ses opinions de manière honnête et si vous le faisiez, vous savez d’avance que cela ne serait jamais publié. Je suis payé chaque semaine pour garder mes opinions et mes vues les plus honnêtes hors du journal avec lequel je suis lié. D’autres parmi nous sont payés des salaires similaires pour faire des choses similaires et celui d’entre vous qui oserait et serait assez stupide pour écrire ses vues honnêtes serait à la rue en train de chercher un autre boulot. Si je laissais transparaître mes opinions les plus honnêtes dans un de mes articles, je serai sans boulot dans les ving-quatre heures.

Le travail du journaliste est de détruire la vérité, de mentir éhontement, de pervertir, de vilifier, de ramper aux pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous le savez et je le sais; quelle est donc cette plaisanterie que de porter un toast à une presse indépendante ?

Nous sommes les outils et les valets des gens riches de derrière le rideau. Nous ne sommes que les marionnettes, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos capacités et nos vies sont la propriété d’autres personnes. Nous sommes des intellectuels prostitués.”

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dimanche 14 août 2011

AMERICAN INDIAN MOVEMENT CONTRE LA GUERRE IMPERIALISTE EN LIBYE





Pourquoi les citoyens américians continuent-ils à autoriser que ce pays commence des guerres qui coûtent des milliers de milliards de dollars ...


MINISTRY FOR INFORMATION 
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Guerre en Libye

L’American Indian Movement soutient la déclaration du A-APRP Statement du All African Peoples Revolutionary Party (GC) en ce qui concerne les évènements de Libye et la fondation que les leaders Kwame Ture de l’A-APRP et Vernon Delcourt de l’American Indian Movement ont renforcé eut égard des actions perpétrées contre l’Afrique, incluant la Libye.

Des délégués de l’American Indian Movement et de l’International Indian Treaty Coucil ont visité la Libye en plusieurs occasions, prenant part à quelques symposiums organisés par les comités révolutionnaires libyens. En 1986, nous avons participé avec l’A-APRP (All African People’s Revolutionary Party) en nous rendant en Libye et ce en désobéissant à une injonction de ne pas y voyager par le président Ronald Reagan. Nous sommes opposés à toute agression par les Etats-Unis de pays souverains. Les bombes tuent de manière indiscriminée, et nous devons entendre parler des atrocités que ces bombes ont causé à la population civile en Libye


.Les Etats-Unis, avec ses partenaires de France, d’Italie, d’Allemagne et de Grande-Bretagne ne disposent en aucun cas d’une carte blanche de moralité pour agir comme les défenseurs des droits de l’Homme. Ceci n’est pas à propos de la défense des droits de l’Homme, mais plutôt de la défense d’intérêts économiques et stratégiques. Le président Obama a dit sans son discours du 28 Mars 2011 que le bombardement de la Libye “allait prévenir des massacres potentiels”. Nous parlons en tant que victimes de violences, de l’agression américaine sur nos territoires, de guerre chimique contre nous, du vol de nos ressources naturelles, le tout aux mains du gouvernement colonial des Etats-Unis d’Amérique, nous ne savons vraiment pas si ceux-ci ont réellement fait la prévention de quoi que ce soit en Libye.


Le bombardement de la Libye doit cesser. La Libye et son leader Mouammar Kadhafi ou “le guide” comme il est connu de son peuple, est une nation souveraine dans laquelle les Etats-Unis n’ont aucune ingérence à avoir, ou d’utiliser le prétexte falacieux de sauver des civils, alors que la véritable raison de bombarder la Libye et d’essayer de tuer son leader est de contrôler les droits et revenus du pétrole ainsi que de continuer les affaires des compagnies pétrolières américaines et européennes en Libye. Si nous continuons sur le chemin de ce besoin incessant pour une énergie à haut octane, nous verrons bien plus encore de destruction sur cette terre et à l’encontre de ses habitants.


Le crime de Kadhafi n’est pas du tout d’être un dictateur sans pitié, comme les Etats-Unis en ont convaincu le monde avec succès, mais d’avoir dénoncé ouvertement l’impérialisme européen et états-unien dès lors qu’il a repris son pays des mains d’une monarchie brutale en 1969, et qu’il expulsa toutes les forces armées européennes et américaines du pays et reprît possession pour son peuple, des ressources et des revenus pétroliers de son pays. Il n’a jamais fait marche arrière concernant sa haine de l’impérialisme.


L’excuse de commencer la guerre en Irak fut basée sur des mensonges et sur une manipulation par les médias asservis. Kadhafi n’est pas plus dictateur que George W. Bush. Des millions de civils irakiens ont été tués, assassinés durant l’invasion de l’Irak, où fut le cri de colère ? Qu’en est-il D’Abou Graïb, du supplice de la baignoire, de Guantanamo Bay, du Patriot Act, ces faits ne sont sûrement pas ceux d’une démocratie qui porte une attention particulière à ses faits et gestes et qui désire la paix dans la monde.


Ce que nous avons aux Etats-Unis, ce qui nous dirige, n’est pas une démocratie mais une corporatocratie, les Etats-Unis ne sont pas dirigés par le peuple, mais par de riches entreprises privées dont les pontes manipulent, soudoient, achètent les votes au Congrès afin que leurs entreprises ne paient pas d’impôts et que leurs PDG deviennent de plus en plus riches à mesure que la classe moyenne se réduit à peau de chagrin jusquà extinction.



Pourquoi les citoyens américians continuent-ils à autoriser que ce pays commence des guerres qui coûtent des milliers de milliards de dollars tandis que le travail est délocalisé et que notre capacité à travailler, à demeurer chez nous et payer pour une sécurité sociale décente, devient impossible et a rendu des millions d’ex-travailleurs de la classe ouvrière et de la classe moyenne sans aucun espoir, sans abri et pauvres ?


Autres bâtiments - Ministry of Information

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AMERICAN INDIAN MOVEMENT GRAND GOVERNING COUNCIL

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samedi 13 août 2011

RELIGIONS DU MONDE



LES GRANDS MAITRES DU PASSE


Par exemple, le christ et les grands maîtres en remontant... il y en a eu six ou huit dans le passé. Mon vieux, ils sont arrivés sur Terre tellement chargés de vérité, qu'ils pouvaient à peine marcher. Maintenant je suis sans réserve très certainement en bons termes en ce qui concerne ces gars, très certainement. Et avec les gars qui les ont accompagnés et qui ont fait quelque chose de ces enseignements et les ont gâchés et les ont utilisés comme des mécanismes de domination, et des choses de ce genre, j'ai peur de ne pas être en bons termes avec cette deuxième catégorie. Ainsi c'est ma position sur la religion au cas ou quiconque s'engagerait dans une discussion là-dessus.

DIEU - DIABLE

L'infini devrait inclure nécessairement Dieu et le Diable afin d'être l'infini. Si quelqu'un vient et vous dit : <<  Dieu est tout  >>, mon vieux, il veut dire que Dieu est aussi cette prison là-bas. Il veut dire que Dieu est également cet accident d'automobile qui vient de se produire sur la route. Et que Dieu est le parti républicain, et que Dieu est les conservateurs! C'est intéressant!
<< Dieu est tout >> ainsi donc doit-il être Dieu-Diable. C'est une des maximes les plus anciennes de la magie que tous les anges ont deux visages, un bon visage et un mauvais visage. Afin d'être un ange complet, ils doivent avoir un bon visage et un mauvais visage. Ainsi voilà vos dynamiques. LRH




Les Illuminati en Amérique
Article de CentrExNews.com

Question : Est-ce que l'origine des familles des Illuminati remonte à certaines villes d'Europe particulières ?
Réponse : Oui, mais cela dépend des familles. Il y a la branche allemande, la branche française, la branche anglaise, et la branche russe. Chaque branche a ses racines dans certaines villes et régions de l'Europe. Les villes d'Allemagne centrale et d'Autriche sont les berceaux de la branche allemande. Celle-ci remonte aux Templiers, qui ont unifié les nations européennes au temps des Croisades.
Question : Est-ce que les Illuminati croient en Dieu ? Le considèrent-ils comme un menteur ?
Réponse : Les Illuminati croient en la déification de l'homme par la connaissance. Ils savent qu'il y a des êtres surnaturels qui les aident dans ce processus. Mais ils ne répartissent pas nécessairement ces êtres surnaturels en "bons" et "mauvais". Ils parlent plutôt de ceux qui sont "éclairés" et de ceux qui sont "enténébrés". Ils croient en l'existence du Dieu des Chrétiens. Mais ils pensent que les Chrétiens ne sont pas "éclairés" et qu'ils n'ont pas une "vision d'ensemble" comme eux. Ils croient que les Chrétiens sont des moutons qui ont "gobé" une belle histoire pour les aider à se sentir mieux, parce qu'ils sont "trop faibles" pour connaître "toute la vérité". C'est comme cela que vous parleraient les Illuminati. Ils tendent à se montrer cyniques envers le Dieu des Chrétiens.
Ils pensent qu'Il n'est qu'un "placebo" pour les faibles !
Question : Considèrent-ils que leur dieu est aussi un menteur, même s'il ment "pour le bien" ?
Comment peuvent-ils faire confiance à leur dieu ?
Réponse : Ils croient en plusieurs dieux. Effectivement, ils croient que leurs "dieux" sont des menteurs. Ces dieux sont capables de leur donner la puissance, la richesse, la gloire, et tout ce qu'ils désirent. Mais ils savent qu'il leur faut payer un prix pour tout cela, un prix horrible. Ils disent que l'on n'a rien sans rien, et que plus ils doivent payer cher, et plus ce qu'ils obtiennent a de la valeur. Il est difficile d'expliquer ce type de raisonnement à ceux qui ne sont pas des Illuminati.


La plupart des gens pensent que ce ne sont que d'horribles satanistes, des ennemis du Christianisme. Eux-mêmes ne se considèrent pas comme cela. Certes, ils se moquent des Chrétiens et les méprisent, mais uniquement parce qu'ils veulent faire comprendre à leurs adeptes que ce sont les Chrétiens qui sont "séduits". C'est Satan, le "dieu de ce monde", qui les a aveuglés. Les Illuminati ne font donc pas plus confiance à leurs dieux qu'à aucune autre personne.


Cet article fait partie d'une série d'articles qui sont la transcription d'une série d'interviews
exclusives réalisées par l'Editeur principal de CentrExNews, HJ Springer. Il a posé par e-mail à Svali un certain nombre de questions précises concernant les Illuminati en Amérique et dans le monde. Svali a exercé des responsabilités de formation au sein du groupe des
Illuminati. Après sa conversion à Jésus-Christ, elle a décidé de témoigner, tout en désirant
conserver son anonymat.



Toute reproduction autorisée sous réserve de citer http://doriot-univers.blogspot.com/


jeudi 11 août 2011

CONSPIRATION MONDIALE LE VIRUS SECRET

Discours du Président John F. Kennedy
sur la
Conspiration et les Sociétés Secrètes au
Waldorf-Astoria Hotel à New York City le 27 Avril 1961.

Le Président qui disait la vérité
Extrait du discours de J-F KENNEDY

 

« Mesdames et Messieurs »,

Le mot « secret » est en lui-même répugnant dans une société libre et ouverte.
Et en tant que peuple par nature et historiquement, nous nous opposons aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes.

Parce que nous devons faire face tout autour du monde à une conspiration massive et impitoyable qui s’appuie d’abord sur des moyens déguisés permettant le déploiement de leur sphère d’influence basée sur l’infiltration plutôt que l’invasion, utilisant la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre-arbitre.

C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable. Elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements (CIA, Mossad, etc..), économiques, scientifiques et politiques. Leurs planifications sont occultées et non publiées.

Leurs erreurs sont passées sous silence et non relayées par la presse.

Leurs détracteurs sont réduits au silence, et leur avis n’est pas sollicité.

Aucune dépense n’est remise en question, aucun secret n’est révélé. C’est pourquoi le législateur athénien Solon décréta comme crime tout citoyen de désintéressant du débat.

Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain, avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pourquoi il est né : Libre et indépendant.

J.F. Kennedy

A. Lincoln et J.F. Kennedy, deux opposants au « Système de la Réserve Fédérale » … ils furent tous deux assassinés !




Le Virus "SECRET"
qui détruit dans "l'ombre" notre humanité et notre planète

Ce virus secret, remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.
Il est plus connu sous le nom d
'Illuminati. Il est la forme moderne d'une société secrète très ancienne, la "Fraternité du Serpent" (ou "Confrérie du Serpent").

Ce virus qui a pour projet "secret" de détruire les 2/3 de la population mondiale et d'Instaurer le Nouvel Ordre Mondial, est constitué de diverses souches. Il a par ailleurs la particularité d'être multiforme et de s'infiltrer  comme un serpent partout, notamment au sein de toutes les institutions mondiales, de manière discrète. Le SECRET qu'il revendique, lui permet de grangréner et de cancériser à souhait notre humanité et notre planète, en toute discrétion et impunité. Cette forme discrète d'infiltration, le rend difficilement décelable pour le commun des mortels. D'où la difficulté de le localiser, de l'identifier clairement et de trouver les traitements ou les vaccins adéquats pour l'éliminer définitivement.


En effet, depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s'est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les "écoles de mystère" égyptiennes et grecques, l'église chrétienne de Rome (utilisée comme "véhicule" par la "Fraternité" pour s'implanter en Europe), les Mérovingiens (d'où le personnage "Mérovingien" dans le film "Matrix"), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications - Franc-Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jerusalem, Ordre de Malte...), et enfin les "Illuminati" et les organisations qui y sont rattachées.

Ce virus mortel est constitué de plusieurs souches extrêmement dangereuses pour :l'homme, les animaux, les végétaux et pour l'ensemble de notre planète.Ces différentes souches sont :Les Illuminati (Elite de la Franc-maçonnerie), les clubs privés des élites, les banques mondiales dont la FED,
l'ONU, l'OTAN, Le Bildenberg Group, le CFR, Le Bohemian Club, Le Siècle,
Le complexe militaro-industriel et scientifique US, la CIA, ainsi que de toutes ses
ORGANISATIONS PLANETAIRES

D'autres souches sont actuellement en cours d'identification par nos laboratoires, mais ce virus semble déjà avoir engendré une pandémie mondiale depuis quelques siècles.
Lien : http://www.humanae-libertas.fr/

Etrait du discours d'Eisenhower


Intervention TV du président Dwight D. Eisenhower lors de son discours d'adieu, où il met en garde contre ce qu'il appelle le complexe militaro industriel.

Bonsoir Chers compatriotes,

Ce soir je vous adresse un message d’adieu. Je voudrais partager quelques données avec vous.
Nous avons atteint la 6ème décennie d’un siècle qui a connu 4 conflits mondiaux impliquant de grandes nations. Notre pays a participé à 3 d’entre eux.

Nous avons dû développer une vaste industrie de l’armement permanente.
3,5 millions d’hommes pour le secteur de la défense. Son influence économique, politique et même morale se ressent dans chaque ville, chaque parlement des Etats, chaque bureau du Gouvernement.

Ce développement est certes nécessaire, mais nous devons aussi comprendre la gravité de ses conséquences.

Triste constat aujourd'hui.

« Chaque arme fabriquée, chaque guerre déclarée, chaque roquette mise à feu, signifie en fin de compte un vol envers ceux qui ont faim et qui ne sont pas nourris, ceux qui ont froid et qui ne sont pas habillés. »

Dans les services du Gouvernement, nous devons nous méfier d’une influence non justifiée, qu’elle soit voulue ou non, par le complexe militaro-industriel.

Le risque d’un accroissement funeste des abus de pouvoir existe et persistera.
Ne laissons jamais le poids de ce complexe mettre en danger nos libertés ou notre démocratie.

Seuls les citoyens vigilants et informés peuvent imposer le bon tissage entre la machine industrielle et militaire de la défense avec nos objectifs pacifistes, pour que la sécurité et la liberté prospèrent ensemble.

Président Dwight D. Eisenhower
16 Avril 1953


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Q - We Are The Plan