mercredi 10 août 2011

PSY LES HUIT RAISONS POUR LESQUELLES LES JEUNES AUX ETATS-UNIS NE SE REVOLTENT PAS

LES HUIT RAISONS POUR LESQUELLES LES 
JEUNES AUX ETATS-UNIS  NE SE REVOLTENT PAS

Psychiatrie








« Aujourd’hui, la fonction de la psychiatrie, de la psychologie et de la psychanalyse menace de devenir l’instrument de la manipulation des êtres humains ».


Les huit raisons pour lesquelles les jeunes aux Etats-Unis ne se révoltent pas: comment les Etats-Unis ont annihilé tout esprit de résistance...


Stories by Bruce E. Levine


Ce sont les jeunes qui ont toujours dynamisé les mouvements démocratiques. et donc, c’est un sacré exploit qu’ont réalisé les classes dirigeantes en créant des structures sociétales qui ont assujetti les jeunes en Amérique et brisé leur esprit de résistance à la domination.
Les jeunes aux Etats-Unis –plus encore que les autres générations – semblent avoir intégré l’idée que la « corporatocratie » peut les arnaquer complètement et qu’ils sont impuissants à réagir face à cela. Un sondage Gallup réalisé en 2010 demandait: « pensez-vous que le système de Sécurité Sociale pourra vous verser une pension quand vous partirez à la retraite? Parmi les 18-34 ans, 76 % ont répondu non. Pourtant, bien qu’ils pensent qu’ils n’auront pas accès à la Sécurité Sociale, peu d’entre eux ont manifesté pour que cette institution soit renflouée en imposant les riches plus équitablement; la plupart semblent résignés à se voir prélever davantage de cotisations sociales, même s’ils pensent qu’ils n’en bénéficieront pas.

Comment donc la société a-t-elle réduit la jeunesse américaine au silence?

1. Les remboursements des prêts étudiants.

Un énorme endettement – et l’angoisse qu’il engendre – est un « facteur de paix ». 
Il n’y avait pas de frais de scolarité à payer à l’Université publique de New York quand je faisais mes études dans les années 1970, une époque où les frais de scolarité étaient si abordables dans de nombreuses universités publiques américaines qu’il était facile d’obtenir une licence, et même des grades universitaires plus élevés, sans avoir à accumuler les dettes pour rembourser des prêts-étudiants. 
Alors que cette époque est révolue aux Etats-Unis, les universités publiques sont toujours gratuites dans le monde arabe, et sont soit gratuites, soit demandent une participation minime dans de nombreux pays du monde entier.

Les millions de jeunes Iraniens qui risquaient de se faire tirer dessus en manifestant contre les résultats des élections présidentielles de 2009, les millions de jeunes Égyptiens qui risquaient leur vie pour exiger le départ de Moubarak, et les millions de jeunes Américains qui manifestaient contre la guerre du Vietnam ont tous en commun qu’ils n’avaient pas à rembourser de prêt étudiant. 
Actuellement, aux Etats-Unis, deux tiers des étudiants en dernière année de licence (quatrième année, NDT) ont un crédit à rembourser. Alors que l’endettement des étudiants s’élève à près de 25000 dollars en moyenne, de plus en plus d’étudiants licenciés me disent qui auront à rembourser près de 100.000 dollars. 
A une époque de la vie où il serait plus facile de contester l’autorité parce qu’on n’a pas de charge de famille, beaucoup de jeunes gens ne s’inquiètent que du coût que représenterait le fait de s’en prendre au pouvoir, de perdre son emploi et de se retrouver dans l’incapacité de rembourser une dette en constante augmentation.

2. Traiter la rébellion comme une psychopathologie

En 1955, Erich Fromm, psychanalyste de gauche très respecté à l’époque, et qui militait contre l’autoritarisme, écrivait:

« Aujourd’hui, la fonction de la psychiatrie, de la psychologie et de la psychanalyse menace de devenir l’instrument de la manipulation des êtres humains ».

Fromm est mort en 1980, l’année même où une Amérique de plus en plus autoritaire élisait Ronald Reagan à la tête de l’Etat, et où une « Association Américaine de Psychiatrie » de plus en plus autoritaire ajoutait à sa bible de classifications des diagnostics (appelée alors le DSM-III) les troubles graves du comportement chez l’enfant et l’adolescent, comme le « trouble oppositionnel avec provocation » de plus en plus en vogue. 
Parmi les symptômes officiels du « trouble oppositionnel avec provocation » on trouve: « souvent contestataire ou refuse d’obéir aux ordres ou aux règles donnés par des adultes », « souvent en conflit avec les adultes » et « agit souvent dans l’intention d’exaspérer les autres ». 
De nombreux contestataires connus en Amérique, parmi lesquels Saul Alinsky (1909–1972), l’ »organizer » légendaire , auteur de « Reveille for Radicals » et « Rules for Radicals », seraient sans aucun doute diagnostiqués comme étant atteints de trouble oppositionnel avec provocation et d’autres troubles du comportement. 
Evoquant son enfance, Alinsky raconte:


« Il ne m’était jamais venu à l’idée de marcher sur une pelouse, jusqu’à ce qu’un jour, je tombe sur un panneau: ‘pelouse interdite’. Par la suite, quand j’en voyais un, je piétinais la pelouse de long en large ».
Des puissants neuroleptiques (comme le Zyprexa et le Risperdal) sont actuellement les médicaments qui réalisent le plus de bénéfices aux Etats-Unis (16 milliards de dollars en 2010). Une des raisons principales, selon le « Journal of the American Medical Association » en 2010, c’est que beaucoup d’enfants qui prennent ces neuroleptiques ne souffrent pas de trouble oppositionnel avec provocation ou d’autres troubles du comportement (ce qui est particulièrement vrai pour les patients en pédiatrie assurés par Medicaid).

3. Des écoles qui apprennent l’obéissance, pas la démocratie

Lors de la remise du prix du Professeur de l’Année décerné par la ville de New York le 31 janvier 1990, John Taylor Gatto choquait une grande partie de l’assistance en déclarant:

« La vérité, c’est que les écoles n’enseignent pas grand chose en réalité, si ce n’est à obéir aux ordres. C’est un grand mystère pour moi parce que des milliers de personnes dévouées et attentionnées travaillent dans les écoles en tant qu’enseignants, assistants et administrateurs mais la logique abstraite de l’institution neutralise leurs contributions individuelles ».

Il y a une génération de ça, la question de l’éducation obligatoire en tant qu’instrument servant à créer une société autoritaire faisait l’objet de nombreux débats, mais, alors que la situation est bien pire aujourd’hui, on n’en entend pratiquement plus jamais parler. 
La nature de la plupart des classes, quelle que soit la discipline enseignée, prépare les élèves à être passifs et à être dirigés par d’autres, à obéir aux ordres, à prendre au sérieux les récompenses et les sanctions données par les autorités, à faire semblant de s’intéresser à des sujets qui ne les intéressent pas, et à se convaincre qu’ils sont impuissants à changer cet état de fait. 
Un professeur peut faire un cours sur la démocratie, mais les écoles sont essentiellement des lieux antidémocratiques, et donc, ce n’est pas la démocratie qui est enseignée aux élèves. 
Jonathan Kozol, dans ‘The Night Is Dark and I Am Far from Home », parle de la façon dont l’école nous retient de nous livrer à des actions courageuses. 
Kozol explique comment les écoles nous enseignent une sorte de « sollicitude inerte » où le fait de se sentir concerné – en soi et de soi-même, et sans risquer les conséquences d’une véritable action – est considéré comme « éthique ». L’école nous apprend que nous sommes « moraux et mûrs » si nous affirmons nos préoccupations poliment, mais la nature de l’école – son exigence d’obéissance – nous apprend à ne pas chercher à provoquer des frictions.

4 – Les réformes éducatives « No child left behind » et  » Race to the Top »

La corporatocratie a imaginé un moyen de rendre nos écoles déjà autoritaires encore plus autoritaires. 
Les politiques à la fois des Démocrates et des Républicains ont engendré les guerres en Afghanistan et en Irak, l’ALENA, le PATRIOT Act, la guerre contre la drogue, le sauvetage de Wall Street, et les actions éducatives comme les programmes « No child left behind » (« aucun enfant laissé pour compte » – gouv. Bush, NDT) et « Race to the Top » (la course au sommet – gouv. Obama, NDT).
Ces politiques consistent essentiellement à soumettre les élèves à la tyrannie de tests normalisés, générateurs de crainte, ce qui est, pour une société démocratique, antinomique avec l’éducation. 
L’angoisse pousse les élèves et les professeurs à ne plus travailler que pour répondre aux exigences de ceux qui élaborent les sujets des tests. Elle annihile la curiosité, l’esprit critique, la remise en cause de l’autorité et la contestation et la résistance à l’autorité illégitime. 
Dans une société plus démocratique et moins autoritaire, on mesurerait l’efficacité d’un enseignant non pas à des résultats de tests imposés par la corporatocracy, mais en demandant aux élèves, aux parents et à toute la communauté si le professeur incite les élèves à être plus curieux, à lire davantage, à se cultiver indépendamment de l’école, à chercher à former son esprit critique, à remettre en cause les autorités, et à contester l’autorité illégitime.

5. Montrer du doigt les jeunes qui prennent au sérieux l’éducation – mais pas les études.

Une enquête réalisée en 2006 aux Etats-Unis montre que 40% des enfants entre le CP et le CE2 lisent tous les jours, mais quand ils arrivent en CM1, ce pourcentage tombe à 29 %. Malgré l’effet anti-éducatif de l’école, les parents et les enfants sont de plus incités par la propagande à croire que ne pas aimer l’école, c’est ne pas aimer apprendre. 
Cela n’a pas toujours été le cas aux Etats-Unis. On se souvient de la réflexion de Mark Twain: « je ne permets pas à mes études de nuire à mon éducation ». Vers la fin de la vie de Twain, en 1900, seulement 6 % des Américains avaient un diplôme de fin d’études secondaires. 
Actuellement, environ 85 % des Américains ont un diplôme de fin d’études secondaires, mais ce n’est encore pas assez pour Barack Obama qui a déclaré en 2009:

« Et abandonner le lycée avant la fin des études n’est plus possible. Ce n’est pas seulement faillir à soi-même, c’est faillir à son pays ».

Mais, plus les Américains font d’études, moins ils sont conscients de la lutte des classes qui a lieu actuellement, et plus ils sont incapables de contester la classe dirigeante. 
Dans les années 1880 et 1890, les agriculteurs américains qui avaient fait peu ou pas du tout d’études avaient créé un mouvement populiste qui avait mis en place la plus importante coopérative de travailleurs en Amérique, avaient formé le Parti Populaire qui avait recueilli 8 % des voix aux élections présidentielles de 1892, conçu un projet de « sous-trésorerie » (qui, s’il avait été appliqué aurait permis aux agriculteurs de bénéficier de meilleurs crédits et aurait cassé le pouvoir des grandes banques), envoyé 40.000 conférenciers dans toute l’Amérique pour l’expliquer, et avaient développé toutes sortes d’idées politiques, de stratégies élaborées, que la population instruite d’aujourd’hui est incapable de concevoir. 
Aujourd’hui, les Américains sans diplômes universitaires sont constamment montrés du doigt et qualifiés de ‘losers ». 
Pourtant, Gore Vidal et George Carlin, deux des détracteurs les plus intelligents et cohérents de la corporatocratie en Amérique, ne sont jamais allés à l’université, et Carlin a abandonné les études en classe de 3eme.

6. La banalisation de la Surveillance.

La crainte d’être surveillée rend la population plus facile à maîtriser. On a beaucoup entendu parler de la National Security Agency (NSA) qui a intercepté les mails et écouté les conversations téléphoniques de citoyens américains, et alors que les dispositifs de contrôle sont de plus en plus fréquents en entreprise, les jeunes acceptent de plus en plus d’être surveillés par la corporatocratie parce que, y ayant été habitués dès l’enfance, la surveillance est, pour eux, une pratique normale. 
Leurs parents consultent systématiquement Internet pour connaître les notes des tests de leurs enfants et savoir quelles tâches ont été accomplies, et, tout comme les patrons, ils surveillent les ordinateurs de leurs enfants et leurs pages Facebook. Certains parents utilisent le GPS des téléphones portables de leurs enfants pour les localiser et d’autres parents ont installé des caméras de surveillance chez eux. Je rencontre de plus en plus de jeunes gens qui n’osent pas organiser une fête quand leurs parents sont partis et, donc, comment pourraient-ils oser se lancer dans l’organisation d’un mouvement démocratique sous l’œil des autorités?

7. La télévision

En 2009, la Nielsen Company disait qu’il n’y a jamais eu autant d’Américains devant un écran qu’actuellement, si on compte les trois écrans »: le poste de télé, l’écran de l’ordinateur et celui du téléphone. Les enfants sont en moyenne huit heures par jour devant un écran, que ce soit pour la télévision, les jeux vidéo, les films, Internet, les téléphones portables, les iPods, et d’autres appareils (en dehors de l’usage qu’il en est fait pour l’école).
De nombreux progressistes s’inquiètent de l’énorme contrôle sur le contenu exercé par les medias de masse, mais le simple fait de regarder la TV— quel que soit le programme – est le facteur de paix fondamental (les prisons privées ont reconnu que fournir des postes de télévisions aux prisonniers peut être une méthode plus économique pour les faire tenir tranquilles que d’embaucher davantage de gardiens).
Pour une société autoritaire, la télévision est le rêve devenu réalité: les gros capitalistes possèdent pratiquement tout ce que les gens regardent.
Les programmes-télé qui suscitent l’angoisse rendent les gens plus craintifs et plus méfiants vis-à-vis des autres, ce qui est parfait pour une classe dirigeante dont la méthode se résume à « diviser pour régner ». La télévision isole les gens de façon à ce qu’ils ne se rassemblent pas pour organiser la résistance contre les autorités; et quels que soient les programmes, les ondes cérébrales des téléspectateurs sont au ralenti, ce qui les met dans un état proche de l’hypnose, et qui n’est pas propice au développement d’un esprit critique. 
Même si les jeux vidéo ne réduisent pas autant leurs adeptes à l’état de zombies que la télévision, ces jeux sont devenus pour beaucoup de garçons et de jeunes hommes leur seule expérience de la puissance, or cette « puissance virtuelle » ne constitue pas une menace pour la classe dirigeante.

8. La religion fondamentaliste et le consumérisme fondamentaliste.

La société américaine offre à la jeunesse le « choix » entre la religion fondamentaliste et le consumérisme fondamentaliste. Toutes les formes de fondamentalisme réduisent notre vision et inhibent notre esprit critique. Alors que certains progressistes se plaisent à appeler la religion fondamentaliste l’ »opium du peuple », ils oublient trop souvent la nature lénifiante de l’autre fondamentalisme majeur aux Etats-Unis. 
Le consumérisme fondamentaliste annihile l’autonomie en formant des individus qui se sentent complètement dépendants des autres et qui sont ainsi plus enclins à remettre le pouvoir de décision aux autorités, exactement ce qui ravit les classes dirigeantes. 
Un système de consumérisme fondamentaliste légitime la publicité, la propagande et toutes sortes de manipulations, y compris les mensonges; et quand une société légitime les mensonges et le pouvoir de manipuler, elle détruit la capacité de la population à se faire confiance mutuellement et à organiser des mouvements démocratiques. Le consumérisme fondamentaliste favorise l’égocentrisme, qui empêche la solidarité nécessaire pour organiser des mouvements démocratiques. 
Ces aspects ne sont pas les seuls de notre société à désarmer la jeunesse américaine et anéantir leur résistance à la domination. 
Le complexe industriel agroalimentaire a contribué à créer une épidémie d’obésité infantile, de dépressions, et de passivité. 
Le complexe industriel carcéral se charge de discipliner ceux qui sont réfractaires à l’autorité (et, en plus, maintenant à cause de la crainte de se retrouver devant des juges comme les deux de Pennsylvanie qui avaient touché 2,6 millions de dollars de la part des prisons privées pour qu’ils veillent à ce que les mineurs soient condamnés à des peines de prison). 
Comme l’a dit Ralph Waldo Emerson: « tout ce qui est en place est à la fois bon et mauvais. Le mal s’attaque à toutes nos institutions de la même façon ».


Psychiatric Drugs and Poor Kids (Les neuroleptiques et les enfants des milieux pauvres. Les enfants qui sont assurés par Medicaid – assurance publique pour les familles pauvres – risquent quatre fois plus de se voir prescrire des neuroleptiques que les enfants assurés par le secteur privé, même s’ils n’ont pas de symptômes psychotiques …).
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Pour ce qui est des dettes étudiantes, l’évolution s’est faite progressivement. Jusqu’à ce que le système soit complètement corrompu, les étudiants qui faisaient des études supérieures avaient la possibilité de trouver un emploi rémunérateur et, donc, de rembourser leur crédit relativement rapidement. Ce qui explique d’une certaine façon leur manque de réaction à l’époque. 
Mais, aujourd’hui, les diplômés n’ont plus l’assurance de trouver un emploi à la sortie de l’université (délocalisations, licenciements, crise économique, etc.), et s’ils en trouvent un, ils ne sont pas assurés de le conserver, sans compter que la Sécurité Sociale est de moins en moins à la charge de l’employeur, ce qui signifie qu’il leur faut déduire de leurs salaires les cotisations pour l’assurance maladie ou la retraite.

    

J’ajouterai aussi que les jeunes des pays occidentaux, et en particulier aux US, sont très cloisonnés, ils ne se rencontrent pas, et leurs aspirations et leurs chances de trouver un emploi sont très dissemblables.



EMEUTES DE LONDRE UNE CULTURE MALADE


Comment suivre les émeutes de Londres sur Internet

Les émeutes anglaises ne servent que l'oligarchie et l'agenda liberticide...

La sous-classe émeutière est le produit d’une culture malade
« La rebellion sans la conscience critique est pour ainsi dire une explosion d’impuissance ».

Pression venant du dessus, pression venant du dessous; le but est d’étriper la classe mnoyenne en les manipulant pour qu’elle demande d’elle-mème sa propre mise en esclavage.


Par Paul Joseph Watson
(Londres)
Le 09 Août 2011


Les émeutes qui ont paralysées Londres et ont déferlées sur d’autres villes majeures du Royaume-Uni sont le produit d’une culture sociétaire qui mène à la violence et au chaos, ce qui en fait ne sert que les intérêts de l’élite dominante dans sa volonté d’anihiler la classe moyenne en la manipulant à demander elle-même sa propre mise en esclavage.


Premièrement, quiconque pense vraiment que les émeutiers brûlent et pillent pour protester contre des contraintes légitimes, du moins dont ils soient conscient, a besoin de se faire examiner.


Un clip de la BBC montre un groupe d’adolescentes saoûlent décrivant à quel point il est amusant de s’engager dans la violence gratuite et le vol. Dans une tentative imbécile de justifier leurs actions, les filles commencent à balbutier à propos “du gouvernement… des conservateurs, ou.. peu importe, on sait pas”, avant de répondre à la question de savoir pourquoi elles attaquent des résidents locaux dans leur propre communauté en éructant: “Ce sont les riches, les gens qui ont des businesses, voilà pourquoi tout cela se passe… à cause des riches”.


Ces “gens riches” incluent un magasin de meubles familial local à Croydon, qui a survécu deux guerres mondiales et qui vient d’ètre brûlé complètement, un centre de charité qui collecte des fonds pour les personnes âgées et un centre de sauvetage pour les chats errants à Enfield, parmi beaucoup d’autres maisons, d’œuvres de charité et de petits businesses locaux qui appartiennent à des gens simples et loin “d’être riches”.


Dire que cette jeunesse désœuvrée est l’avant-garde d’un quelconque mouvement révolutionnaire est complètement insensé. Si ceci était une véritable révolte contre l’establishment, pourquoi la foule ne se concentre t’elle pas autour de Downing Street (NdT: lieu de la résidence de travail du premier ministre britannique, l’équivalent de Matignon en France), du parlement ou de Buckingham Palace, les vrais coupables de la dégradation totale de la situation économique britannique ? Pourquoi au contraire remplissent-ils des chariots complets de chaussures de sport, de téléphones portables, ainsi bien sûr de gnôle et de cigarettes volées aux petits commerçants locaux ?


Les émeutiers sont composés de manière dominante par des jeunes nihilistes, des agressifs intellectuellement castrés, qui sont devenus avec le temps les représentants du terme de la “Grande-Bretagne cassée” (NdT: en anglais “broken Britain” expression qui a plus d’impact dans la langue d’origine..)


C’est comme dans un mauvais film de zombies, l’avènement des idiots. La peste a commencé à Tottenham. Cela s’est rapidement propagé à d’autres zones de Londres, et bientôt les hordes déferlaient dans les cités principales de la nation. Mais ces zombies là ne recherchaient pas la cervelle, ils recherchaient les tenues de sport, les télés 40 inches et les iPads. La police resta de marbre et laissa faire. Le public pétrifié de peur fit bon accueil aux troupes dans les rues, aux couvres-feu, à plus de surveillance et de contrôle. Merci beaucoup les abrutis.


La cause de ce chaos ne peut en aucun cas être remontée à une quelconque revendication politique légitime, elle est presque essentiellement le produit d’une culture sociale malade, renforcée par les multinationales et l’industrie du spectacle obsédée par ses célébrités, et qui lavent les cerveaux des jeunes gens en leur faisant aspirer à un style de vie qu’ils ne pourront jamais atteindre.


Le déclin social de la jeunesse devient une prophécie qui s’auto-réalise comme résultat d’une fascination médiatique constante de la diabolisation des jeunes en leur offrant un régime putride fait à base de “héros”, de footballers débiles et de musiciens camés, dont les attitudes donnent à penser aux enfants impressionables que la vie tourne autour de la bringue, de s’engager dans des conquêtes sexuelles immorales et de prouver leur valeur en ne démontrant que des attitudes agressives animales.


Les icônes du rap fabriquées par MTV, les films et les jeux vidéos ont entraîné une génération entière de jeunes défavorisés à grandir en aspirant devenir gangsters, traîner en ville avec leurs jeans au milieu de leurs cuisses en gangs qui terrorisent le public. Un autre coupable est aussi le consumérisme galopant. Les enfants défavorisés dépendants des subsides de l’état ne peuvent pas s’acheter les iPods et autres ordinateurs portables dont on matraque à longueur de journée, qu’ils sont des objets obligatoires pour obtenir la reconnaissance de ses pairs; ainsi une opportunité comme celle-ci ne peut pas être gâchée. Comme le rapporte le Guardian aujourd’hui: “Alors que nous étions définis par ce que nous faisions, maintenant nous sommes définis parce que nous achetons. Ces grandes chaînes de magasins sont dans le business de tenter les gens, les consommateurs, et d’un seul coup d’un seul, ces gens se trouvent dans la situation où ils n’ont quà juste entrer dans ces magasins et se servir, tout obtenir.”


Cette armée de paumés à la Orange Mécanique sont ensuite montés en épingle contre le public qui, parfaitement terrifié par l’incessante hyper-médiatisation du problème, ouvre les bras aux soldats dans les rues, à plus de surveillance, aux couvres-feu et tout ce qui peut être nécessaire pour simplement “nous maintenir en sécurité.”


Si les quelques nuits passées n’ont rien prouvé d’autre, c’est que les autorités, la police ne peuvent pas nous garder en sécurité. Presque tous les témoins oculaires qui ont décrits la violence et le pillage ont fait état de la police ne faisant rien, restant en retrait.


Seul l’establishment bénéficie de l’étendue du chaos, parce que l’appel du public pour une répression plus forte retentit de plus en plus haut. Maintenant le parlement a été rappelé pour une journée afin de s’assurer de l’opportunité de passer des législations encore plus draconiennes et liberticides, qui auront un impact sur les citoyens de base.


Voilà comment la classe moyenne est habituellement manipulée pour soutenir l’état policier qui est ultimement utilisé pour opprimer la classe moyenne elle-même. Ceci est également un excellent exemple du comment faire monter la pression par le bas; par la culture encouragée d’une sous-classe de demeurés, qui sont ensuite lâchés dans la nature par le système afin de créer la crise dont il a besoin pour resserrer l’étau sur la société.


Nous avons tous besoin de nous réveiller pour enfin réaliser que nous sommes en fait joués les uns contre les autres par une oligarchie qui est ravie de ce genre d’émeutes sans aucun fondement, comme celles que nous avons vues depuis plusieurs nuits; parce que cela créé le prétexte parfait pour l’establishment de se retrancher sur lui-même et d’étendre son pouvoir au nom bien sûr de la sécurité et du bien-être de tous.

 Toute reproduction autorisée sous réserve de citer http://doriot-univers.blogspot.com/

mardi 9 août 2011

MOSCOU : L'OTAN PLANIFIE UNE NOUVELLE CAMPAGNE MILITAIRE CONTRE LA SYRIE



Syria


L’OTAN planifie une campagne en Syrie et resserre le noeud coulant autour de l’Iran d'après la diplomatie russe !

<< Ingérence et impérialisme contre la Syrie: l' Organisation Terroriste de l'Atlantique Nord prépare une opération militaire contre la Syrie puis L' Iran... >>

                                     




Ne pas… ne jamais être dupe, et informer les autres de façon à ce que toute guerre ne trouve aucun soutien dans les opinions publiques.
Les opinions publiques font arrêter les guerres (ex: Vietnam). Le mieux est d’avoir une opinion publique si alerte qu’il est même impossible pour les rats du pouvoir de commencer une guerre sans avoir les peuples en insurrection directement sur le paletot…
Pour c ela il faut des citoyens informés, alertes, décidés et solidaires… Cela commence avec nous tous et puis les autres, pas à pas…

tout changement réel, toute révolution commence avec un petit groupe de gens décidés et irréductibles quelle que soit la tendance politique, quand on parle de résistance au fascisme (brun ou rouge), tout le monde est concerné bien au-delà de toute « couleur » politique.

Informez les gens autour de vous, que les éveillés en éveillent d’autres. Si chaque citoyen éveillé (informé hors propagande et n’avalant plus les couleuvres) en éveille deux autres autours de lui… Combien en éveilleront 100 000 ?… Un million ?… 2 millions ?…

R71                                        _______________________________

Par l’agence RIA Novosti
 « RIA Novosti » –

MOSCOU –   L’OTAN planifie en ce moment une campagne militaire contre la Syrie afin d’aider à renverser le régime du président Bashar Al-Assad avec comme objectif a longue échéance de préparer une tête de pont dans la région pour l’attaque contre l’Iran, a dit l’envoyé de la Russie à l’OTAN Dimitri Rogozin.

Le conseil de sécurité de l’ONU a condamné Mercredi la violence récurrente en Syrie et a demandé vigoureusement aux autorités du pays d’arrêter d’utiliser la force contre des manifestants pacifiques, tout en disant que la situation dans le pays ne demande pas encore une interférence de l’OTAN.

“Cette déclaration veut dire que la planifiication de la campagne militaire est déjà bien avancée. Ceci pourrait être une conclusion logique des opérations de propagande et militaires, qui ont été perpétrées par certains pays occidentaux contre l’Afrique du Nord”, a dit Rogozin dans une interview avec le journal Izvestia publié Vendredi.

Le diplomate russe a signalé le fait que l’alliance vise à interférer seulement avec les régimes “dont les vues ne coïncides pas avec celles de l’occident”.

Rogozin renforça l’opinion exprimée par certain experts que la Syrie puis le Yémen pourraient bien être les deux dernières étapes de l’OTAN dans l’optique de lancer une attaque sur l’Iran.

“Le nœud coulant autour de l’Iran se resserre. Des préparations militaires contre l’Iran sont déjà en train de se faire. Nous sommes certainement concernés et préoccupés par l’escalade vers une guerre de grande importance dans cette grande région”, a dit Rogozin.

Après avoir appris de la leçon libyenne, la Russie “continuera à s’opposer à l’utilisation de la force en ce qui concerne la situation en Syrie”, a t’il déclaré, ajoutant que les conséquences d’un vaste conflit en Afrique du Nord seraient dévastatrices pour l’ensemble de monde.
       

CRISE MONDIALE « Le Cartel des Banques a organisé toutes les crises économiques du monde ! »



Oligarchie financière : les huit familles derrière le cartel banquier privé international ... l'ennemi des peuples a un nom et des visages !


Nous avons traduit ici un article de Dean Henderson qui décortique le panier de crabes de la haute finance internationale pour nous. Il confirme ici que les banques centrales n’ont de « centrale » que le nom, et qu’elles sont des entités privées, dirigées pour le profit et mettre le contrôle total de l’économie mondiale dans le moins de mains possible.

Les banques sont un outil d’oppression sans précédent et des armes de destruction massive qui doivent être éradiquées si nous désirons vivre libre. Le néo-esclavagisme orchestré par le cartel des banques privées et bel et bien en marche. Il suffit de lui dire NON pour que tout s’arrête et que nous reprenions notre destinée en main.

Oui, c’est aussi con que cela: être capable de dire NON ! en masse et s’y tenir…

Le cartel de la réserve fédérale 

 

FED USA



Les huit familles


Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.

D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières, le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune 500 [1]


Alors qui sont donc les actionaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT: loi sur la liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

Un des monument de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux Etats-Unis. Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuh Loebs de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.


CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale. Il nomme N.M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de Paris, la banque Kuhn Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf également cite William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale. [3] Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.


Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre “Les secrets de la réserve fédérale”, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits demeurent.


La maison Morgan


La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.


Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds “…préféraient opérer de manière anonyme aux etats-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les activités des Morgan en 1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild.” [6]


La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent Drexel et compagnie à Philadelphie.


La maison des Morgans étaient impliquées avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.


Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Egypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les Etats-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschilds. [7]


Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des Etats-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.


La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame “Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont Morgan qui déclara un jour “la compétition est un pêché” se réjouissait maintenant, “pensez un peu que tout le traffic ferrovière en compétition à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers à contrôler la base industrielle états-unienne. [9]


En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT: traduction la plus proche pour “US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gage.


La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des Etats-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des Morgans. [10]


La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de  Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.


Plusieurs états de l’ouest des Etats-Unis banirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les Etats-Unis étaient en train de tomber dans le piège de “l’esclavage financier au capital britannique”. Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.


En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.


Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les Etats-Unis devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnégie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans “L’Amérique s’en va en guerre”: “Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux Etats-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains.”


La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés. [11]


Dans les années 1930, le populisme refît surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929. [12] Le président du comité bancaire du parlement américain Luois McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression: “ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus.”


Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les etats-unis dans la première guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essort de l’industrie de l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était “La prochaine guerre”, qui réferrait cyniquement au “truc de le vielle déesse démocratie”, par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’intérieur Harold Ickes, mit en garde de “l’influence des 60 familles américaines”. L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria “l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui.”


Jack Morgan répondit en rapprochant les Etats-Unis de la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse. [13]







D. Rockefeller, << conspirateur >>  pour construire  << un seul monde >> et fier !


La maison Rockefeller


La BIS est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans “Les enfants de la matrix”, que les Rockefellers et les Morgans n’étaient que des “prête-noms” pour les Rothschilds. [14]


La BIS est une propriété de la réserve fédérale, de la banque d’angleterre, de la banque d’italie, banque du canada, banque de suisse, banque de hollande, banque fédérale allemande et la banque de france..


L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre “Tragédie et Espoir” que la BIS faisait partie d’un plan, celui de “créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entiereté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets.” Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la banque mondiale. La banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre 1994. [15]


La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la BIS est en fait le centre du blanchiement d’argent du traffic de drogue global. [16]


Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit familles inclues le Forum Economique Mondial (Davos NdT), la Conférence Monétaire Internationale et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).


Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce “Nouvel Ordre Mondial”. En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.


En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear “la bête”. Bruxelles sert de QG pour la nouvelle banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.


John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, mergea avec la banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la banque Chase Manhattan, ainsi cimentant une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des trois banques des Rothschilds aux Etats-Unis dans les années 1870; quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de l’Ohio. [17]


Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust, Les deux banques ont mergé sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles contrôlent une grosse part de Citigroup également. [18]


Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux Etats-Unis. [19] Les compagnies d’assurance, la première aux Etats-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.


Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.


La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des fréres rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.


La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico. [20]


Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés. [21]


Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré. [22]


Les Rockefellers furent instrumentaux pour former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.


John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort. [23] Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon: “Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée…”


Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.


Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le dossier Rockefeller” en 1973: “David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS.”


Famille FED



En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller. [24]

Baron Rothschild, banking



La maison  Rothschild


Contrôlent les banques centrales du modèle occidental (via l’impérialisme US) savent bien tout le bénéfice qu’ils en retirent puisque c’est leur ancêtre qui a inventé le principe. En mettant la corde au cou des gouvernements ils sont assurés de garder le contrôle dessus. Et quand cela dure depuis des siècles alors le pouvoir est solide. Ne croyez pas qu’il existe des banques centrales d’état, en vérité elles sont toutes privées et contrôlées par un cartel bancaire dominé par Rothschild l’initiateur du projet. Car c’est lui le premier à avoir privatisé la banque centrale anglaise et avoir importé le concept avec l’aide de Rockefeller aux USA. Cela s’est concrétisé par l’indépendance de la Fed Reserv US en 1913 qui n’est ni fédérale, ni de réserve, ni même américaine! En France notre banque centrale est privée depuis 1973 « grâce » à la loi Giscard-Pompidou ( ex-directeur général de la banque Rothschild). Or vous constaterez que la dette de la France commence exactement à cette époque pour augmenter exponentiellement car c’est là tout le système. Il est basé sur l’octroi de crédits à intérêts qui finissent par s’accumuler et devenir inremboursables. Un système impossible à gérer à moins de le détruire et c’est ce que demande les illuminés, comme moi, qui combattent cet ordre mondial financier sous la coupe des Rothschild! Vous imaginez le déséquilibre des forces…
La BCE européenne étant elle aussi européenne et sous contrôle des Rothschild exactement comme les banques centrales des pays arabes et musulmans dont on a financé le modèle économique et social par l’intermédiaire de dictateurs pendant trente ans. Nous avons donc « occidentalisé » les pratiques financières en confiant le prêt à l’autorité de la banque centrale contrôlée par un cartel bancaire privé contrôlé lui-même par Rothschild et ses alliés. Or ce système bancaire a une menace clairement identifié: la finance islamique. Pourquoi? Parce qu’elle ne pratique pas l’usure (pas de taux d’intérêt) et exige un investissement conforme à la charria c’est-à-dire respectant une éthique sociale et religieuse. Pas d’investissement dans le porno par exemple. C’est comme ça. Mais vous avez bien compris l’arme absolue de ne pas pratiquer l’usure qui permet de séduire nombre d’investisseurs et de nouveaux pratiquants.


Or la finance islamique est en plein développement dans le monde arabe et était très avancée …en Tunisie! Par l’intermédiaire de la famille Ben Ali qui avait lancé un vaste complexe financier islamique qui devait servir de tête de pont entre le Maghreb et l’Europe. Le projet était en place et allait monter en puissance quand… La banque s’appelle banque Zitouna et a été placé sous le contrôle de la banque centrale tunisienne (contrôlée par Rothschild) après le départ des Ben Ali. CQFD.Exit Zitouna…




G. Soros, financier milliardaire américain


On a la preuve du financement par l’intermédiaire de la NED et de Soros, de militants formatés à la révolution, d’avocats sensibilisés aux droits démocratiques, des enseignants etc et tout cela en soutenant ces dictateurs arabes qui avaient passé un deal de non-agression à Israël et de libre accès de leurs ressources naturelles aux grosses multinationales occidentales. Et cela s’intensifiait depuis quelques années en Tunisie. On apprenait aux militants révolutionnaires à se servir des réseaux sociaux pour propager la révolution. A l’instar des révolutions colorées d’Europe de l’Est dont on sait que Soros, homme de paille des Rothschild, était un acteur majeur.


L’enjeu est énorme et est mondial. La finance islamique est la seule finance capable actuellement de venir concurrencer le marché des banques occidentales contrôlées par Rothschild, d’où la réaction radicale de renverser ces régimes pour les remplacer par des dirigeants tout à fait disposés à continuer d’utiliser le même système financier qu’en occident. El Baradei en Egypte est l’homme de Rothschild et il assurera que le pays conserve sa banque centrale et donc le pouvoir occidental consolidé, et donc Rothschild rassuré.
La finance islamique souffre d’une faiblesse comme elle ne crée pas de l’argent à partir de rien (les intérêts) comme en occident, elle doit avoir des réserves correspondant réellement à l’argent qu’elle a prêtée. Son développement s’il est vertueux puisque que garanti par l’investissement réellement productif pour la société (exit la spéculation), peut se transformer en graves problèmes en cas de crise majeure et face à un retrait massif d’argent. C’est là où l’importance d’un réseau serré de banques islamiques peut aider à résoudre le problème. Un réseau qu’il vaut mieux contraindre avant de le voir mis en avant par sa réussite sociale et éthique. Il est amusant de noter que 7 des 10 plus grandes banques islamiques sont iraniennes. On comprend mieux pourquoi ce pays concentre sur lui un faisceau de haine de la part de l’occident et des médias financés par…Rothschild et ses amis bien sûr!


Nous sommes donc là au cœur de la bataille mondiale pour le contrôle global. L’islam reste encore le dernier rempart religieux vu l’affaiblissement de la religion chrétienne, et le dernier rempart financier face à la gabegie spéculative occidentale qui va nous précipiter dans la famine, la misère et le chaos. On y arrivera en Europe bientôt c’est prévu. Voilà ce qui se cache derrière le rideau de fumée de révoltes populaires pourtant bien compréhensibles mais qui sont manipulées encore et toujours par des forces supérieures et toutes ont trait à Rothschild.












L'OEIL 3- L'Origine du Mal part 2 par streettv




<< La BIS en Suisse est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale qui contrôle les banques centrales de presque toute les nations occidentales et des pays en voie de développement. >>


Q - We Are The Plan