$ 6000.- ce que peut vous coûter une boisson << offerte >> au casino de Montreux!
C'est dans tous les cas une moyenne constante.
La roulette est une invention du Diable pour asservir et détruire les esprits les plus faibles!
PROCÉDÉS FRAUDULEUX
Une ex croupière brise l'omerta
et dénonce les astuces des casinos pour déplumer les clients...
Durant ces intenses séances de «brainwashing», on nous enseigne à
détecter le rythme adéquat d’une partie. Il faut s’adapter aux clients.
Chaque joueur a sa façon de jouer, sa personnalité et sa façon de…
dépenser. Il faut les faire «cracher», on a presque la main dans leur
poche. Ne doutez pas de l’immense influence que peut avoir le croupier
sur les joueurs! Par exemple, si le client gagne, on accélérera le
rythme pour qu’il s’emballe et mise plus haut. Les probabilités nous
assurent que ça ne durera pas et qu’il perdra ce qu’il a gagné
rapidement. Quand il commence à perdre, on diminue la cadence pour qu’il
ait l’impression de perdre moins vite et d’avoir le contrôle sur ses
mises. On lui laisse le temps d’analyser le jeu en cours.
Casino en italien signifie littéralement (petite maison). Jadis à travers L'Europe les établissements de jeux étaient appelés << redoute >> corruption de ridotto.
Il Ridotto (en italien : La Salle privée) est une aile de l'ancien Palazzo San Moisè, actuellement l'hôtel Danieli à Venise. Il fut fermé le 27 novembre1774 par décret du Conseil des Dix interdisant les jeux de hasard.
SPECULATION MALEFIQUE
La spéculation des banquiers et des casinos ( établissements de jeux) sont maléfiques, pervers. La loi dans certains pays interdit ces activés destructives. Il s'agit réellement ici de s'enrichir au dépens du peuple; du salarié, du chômeur ou du retraité afin de ruiner et de rendre esclave.
Les banques, les casinos ou seul le profit intéresse, sont le cancer de notre société occidentale. Elles détruisent des populations entières. Les pays qui autorisent ces activités criminelles sont complices, tout comme le peuple qui alimente les poches de ces misérables. La sanction est contre la survie de tous ceux qui ont affaire à ce genre d'activité mafieuse.
Les << Maîtres du monde >> pas plus de douze individus oppriment plus de 7 milliards d'humains sur cette planète terre. Par exemple l'un des douze membre de cette oligarchie possède plus de 150 millions de milliards de dollars. Il est actionnaire à plus de 90% des banques mondiales.
L'empire mis en place par l'oligarchie n'est autre qu'une vaste banque centrale et qui, à l'échelle mondiale, gère tous les échanges de la planète. Comment s’y prendre pour atteindre le but de domination
planétaire ? Une phrase pourrait résumer un modus operandi . Elle est
de Mayer Amshel Rothschild (1743-1812): « Donnez moi le contrôle sur la
monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font
ses lois. » Tout est dit dans cette simple phrase.
Mr. Asselineau: L 'oligarchie économique, financière et industrielle qui a fait main basse sur la démocratie en asservissant à son profil la quasi totalité des médias de masse. En France en dépit d'une opposition massive des Français, Mr. Macron augmentera la TVA et baissera l'impôt sur les grandes sociétés, ce qui revient à faire payer les pauvres et à enrichir les plus riches.
ENVOYE EN MISSION PAR LA BANQUE ROTHSCHILD
Un représentant « commercial » envoyé en mission par la Banque
Rothschild dirige la France aujourd’hui. On ne peut pas rêver un
scénario plus idéal pour exprimer la façon dont le Grand Capital
Financier organise son pouvoir absolu sur le monde entier. Ce pouvoir
exorbitant montre son visage rayonnant de plaisir : il a gagné, il est
le Maître, c’est lui qui décide et qui met en place ses pions
disciplinés pour une ère de profits démesurés assurés par des peuples
enfin dressés et soumis au dictat de la Loi de l’argent…
De nouveau, une large majorité de Français n’a pas voté
Emmanuel Macron. La majorité des Français n’a pas voulu qu’il soit placé
à la présidence de la République Française !
C’est une minorité de Français qui a imposé ce président à la
majorité des citoyens de ce pays ! On retrouve encore logiquement la
perversion du système électoral de la 5ème République et
l’injustice qu’elle fait régner dans cette parodie de « démocratie »…
Une minorité, comme on le voit dans cette élection, peut, en réalité,
s’imposer très facilement à une majorité : en résumé, 20 millions de
voix l’emportent sur 27 millions de voix !
Au pays où la spéculation est interdite, l'économie se porte bien. Le peuple est heureux et en bonne santé!
Le discours de Macron devant la pyramide du Louvre réveille les complotistes sur Twitter
POLITIQUECertains internautes ont clairement vu un lien entre la pyramide du Louvre et les Illuminati…
Certaines images sont riches de symboles… Dimanche soir, des internautes ont été nombreux à voir dans la prise de parole d’Emmanuel Macron, sur l'esplanade du Louvre, devant la pyramide, un signe très clair du lien entre le président élu et les
Illuminati.
Cette appellation est employée pour désigner toutes sortes de groupes
- sociétés secrètes, francs-maçons, services secrets - dont le but
serait de gouverner secrètement le monde afin de créer un nouvel ordre
mondial… Parmi eux figureraient des chefs d’Etat
mais également des
patrons de multinationales.
Leur symbole est… une pyramide surmontée d’un œil. Il n’en fallait
pas plus pour que le choix de lieu d’Emmanuel Macron réveille les
instincts conspirationnistes sur Twitter.
MACRON DIT-IL LA VÉRITÉ SUR CE QU’IL A GAGNÉ À LA BANQUE ROTHSCHILD ?
À côté de Macron, Cahuzac c’est un dealer de shit. Mais il faut se dire qu’il y a pire. Imaginons qu’un journaliste ait la
preuve que Macron possède un compte offshore. Est-ce-que ce journaliste
pourrait diffuser cette information dans la presse?
Non. Pourquoi? Parce que les médias sont tenus à 99,99% par des
pro-macron et que divulguer cette information capitale reviendrait à
faire élire Marine le Pen…
Ça donne à réfléchir sur l’état de notre démocratie.
Les propos de Marine le Pen dérange L'Establishment tout entier, puisque même Obama apporte son soutien à Macron.
Ce que dissimule Emmanuel Macron aux Français
En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire
Emmanuel Macron que ses soutiens omniprésents dans les médias présentent comme « un homme libre et indépendant »
est en réalité un pur produit standardisé du système : le clone de
François Hollande. Rappelons à ces montreurs de marionnette que leur « homme libre et indépendant »
refuse toujours de publier la liste des contributeurs financiers à sa
campagne électorale. Est-ce à dire qu’il aurait bénéficié de millions
d’euros de plusieurs représentants du système pour monter son spectacle
et entrer en scène médiatique en jouant le candidat anti-système ? Car
Macron ne devint pas dès le mois de mai 2012 conseiller économique de
François Hollande puis ministre de l’Economie par un travail personnel
important et innovant en matière économique. Il entra à l’Elysée sur les
recommandations appuyées des vieux briscards des réseaux du clan
élitiste et arrogant des anciens des grandes écoles et de la grande
finance capitaliste. De Jacques Attali à Alain Minc en passant par les
inévitables salonards parisiens comme Bernard-Henri Lévy et quelques
milliardaires à l’image de Pierre Bergé, les entremetteurs ne manquent
pas, tous liés aux cercles atlantistes. De 2011 aux élections
présidentielles de 2017, ceux-ci n’ont cessé de border son parcours avec
le concours, plus ou moins déclaré, des représentants au pouvoir de la
caste des grands propriétaires privés de l’économie. Peu importe qu’ils
soient membres de Les Républicains ou « socialistes», le principal étant
d’assurer la continuité du système. Son parcours a donc un bilan que
les médias officiels n’évoquent pas et qu’il est donc nécessaire de
rappeler.
Un bilan économique désastreux
Rappelons que du 15 mai 2012 au 15 juillet 2014 Macron fut Secrétaire
général de l’Elysée, chef du pôle Economie et finance, puis, du 26 août
2014 au 30 août 2016 ministre de l’Economie et de l’industrie. A ce
titre il est donc celui qui a joué le rôle le plus important avec le
président de la République et les deux Premiers ministres Ayrault et
Valls dans la politique économique et financière de la France de 2012 à
2016. Quels sont les résultats de la politique Macron-Hollande ? Le
chômage a explosé : à son arrivée en mai 2012, la France comptait moins
de 5 millions de chômeurs toutes catégories confondues. A son départ en
août 2016, 11 millions de personnes sont sans emploi ! Car, parmi
celles-ci, aux 6,5 millions de sans emplois officiels s’en ajoutent plus
de 5 millions exclues des statistiques. La dette publique : elle se
situait à un peu lus de 1800 milliards d’euros à son arrivée et dépasse
les 2200 milliards d’euros à son départ en août 2016, soit quasiment
100% du Produit Intérieur Brut. Quant aux impôts dont le montant total
se situait à un peu lus de 900 milliards d’euros par an ils sont de 1000
milliards d’euros par an en août 2016. Les entreprises ? Selon une
étude publiée par le Cabinet Deloitte et Altares, spécialiste des
données sur les entreprises, plus de 63 000 d’entre elles (63 081) ont
défailli en 2015, soit 0,8% de plus qu’en 2014 (62 586). Et au premier
trimestre 2015, plus de 18.000 sociétés feront faillite entre janvier et
mars alors que, depuis 2009, chaque premier trimestre se conclut aux
environs de 16.500 défaillances. Le nombre d’emplois menacés par ces
défaillances dépasse les 66.000, chiffre record depuis 2009. Si en 2016,
la tendance est à une légère baisse sur la majorité des secteurs
d’activité (58057 défaillances contre 63081), par contre dans
l’agriculture, la sylviculture et la pêche le nombre de défaillances
augmente de 4,5 %, passant de 1365 redressements ou mises en liquidation
fin 2015 à 1427 fin 2016 ! L’évolution de ces principaux indicateurs
montre clairement la responsabilité d’Emmanuel Macron dans l’aggravation
de la crise économique et sociale. A peine entré à Matignon comme
ministre de l’Economie et de l’industrie, le jouvenceau de la Rothschild
poursuivit la même politique que ses prédécesseurs.
Le programme Macron est déjà en application
Comme eux, il liquida une nouvelle partie du patrimoine français,
jeta au chômage des milliers de salariés et décida de nouvelles
privatisations importantes : aéroport de Toulouse-Blagnac, de Nice-Côte
d’Azur, de Lyon… Se trouvant un destin médiatiquement obligé pour la
France afin d’assurer la continuité de la politique atlantiste de
François Hollande au service des grandes puissances financières, il
peaufina la casse industrielle : libéralisation des lignes d’autobus ;
accroissement du travail du dimanche et de nuit ; limitation du rôle des
prud’hommes ; affaiblissement du code du travail ; déréglementation de
la profession des notaires ; privatisation de l’industrie de l’armement
et des aéroports ; filialisation de centres hospitaliers
universitaires ; assouplissement des normes environnementales… « Si
le projet apparaît comme un fourre-tout, il n’en possède pas moins une
grande cohérence idéologique, que l’on peut résumer d’une formule :
« Toujours moins ». Moins d’Etat, moins de protection sociale, moins de
droits syndicaux, moins de règles pour les entreprises, moins de
contrôle public » soulignait déjà, en avril 2015, la journaliste Martine Bulard.1 Déjà mis en chantier à cette époque sous l’ancien Premier ministre Valls sous l’appellation grandiloquente de projet « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques »2, imposé par la force à coup d’article 49-3, ce début de programme Macron a déjà des allures de grand bond En marche…
arrière puisqu’il s’est déjà traduit par une aggravation de la
situation économique et sociale. Emmanuel Macron se garde bien, tout
comme les médias officiels, de revenir sur cette loi dont il est
l’initiateur comme sur ses conséquences catastrophiques pour les
entreprises et les français. En réalité, au-travers de sa loi c’est déjà
le programme Macron qui est En marche. De même, la « loi
travail » Valls-El Khomri-Macron n’est qu’un échantillon de son
programme dissimulé sous le vocable trompeur de « libérer le travail ».
Chacun peut imaginer facilement ce qui arrivera si celui-ci avait les
mains libres pour le poursuivre à marche forcée – et funèbre – une fois
installé à l’Elysée.
Ces GOPE que Macron dissimule…
Force est de constater qu’Emmanuel Macron est de tous les projets
conçus pour soumettre la France à des puissances étrangères : soutien au
traité de libre échange transatlantique (TTIP ou TAFTA) qui placerait
les entreprises française sous le droit étasunien, soutien à l’Union
dite « européenne » de Bruxelles qui compte aujourd’hui 123 millions de
citoyens pauvres ou en exclusion sociale, soutien à l’OTAN et à la
guerre en cours contre la Syrie, etc. Mais qui en parle dans les médias
officiels ? Aussi, cet homme là qui n’a de cesse d’agir contre l’intérêt
général des français ainsi que son bilan en atteste n’a pas qualité à
se présenter comme un défenseur du pays dont cet ignare considère même
qu’ « il n’y a pas de culture française » !…3 Toute
son action politique, ses décisions en matière économique et financière
témoignent de son imposture. Les citoyens qui, au-delà des annonces
médiatiques, s’intéressent aux programmes politiques des candidats et à
la réalité de leur activité politique savent que les Grandes
Orientations de Politique Economique (GOPE) décidées par la Commission
européenne des hauts fonctionnaires de Bruxelles seront appliquées à la
lettre par Emmanuel Macron qui les a déjà faites siennes pour en
reprendre les principes et objectifs. Celles-ci se résument en dix
points :
1°- « Réduction des dépenses publiques ». Le
gouvernement a annoncé son plan de 50 milliards d’économie. C’est la
fameuse contrepartie du « pacte de responsabilité » pour ne pas faire
exploser le déficit. Or, tous les économistes savent que pratiquer des
coupes sombres dans les dépenses publiques lorsqu’un pays est déjà en
période de stagnation économique est une politique qui ne peut que
conduire à la récession ;
2°- Redéfinir « la portée de l’action des pouvoirs publics ».
Cela signifie accentuer les privatisations et la destruction de notre
système de santé et de nos services publics auxquels les Français sont
majoritairement attachés. La fermeture de plusieurs dizaines de services
d’urgence médicale est déjà programmée;
3°- Réaliser « d’importantes économies à court terme (qui) ne peuvent être réalisées sans une réduction significative de l’augmentation des dépenses de sécurité sociale ».
Cela se fera par une baisse massive des remboursements de santé puisque
la branche maladie représente quasiment 50 % des dépenses de la
Sécurité sociale et la privatisation rampante de la Sécurité sociale via
le recours croissant aux mutuelles privées. Pour la branche vieillesse,
après la hausse de l’âge de départ à la retraite le gel du montant des
pensions est à l’ordre du jour. Pour le chômage, le texte parle de « dégressivité des allocations » : cela augure d’une baisse plus importante et plus rapide des allocations dans le temps.
4°- « Simplifier les différents échelons administratifs » :
il ne s’agit pas de lutter contre la bureaucratie mais d’éloigner les
citoyens des centres de décision. L’objectif est d’en finir avec la
République française comme Etat souverain et indépendant pour en faire
une province de Washington. Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le
Foll, le déclara lui-même aux agriculteurs en colère : « On ne peut rien faire. La politique agricole se décide à Bruxelles »…
5°- Dans le chapitre coût du travail, « il convient que le salaire minimum continue d’évoluer d’une manière propice à la compétitivité et à la création d’emploi ». Traduction : arrêter les revalorisations du SMIC et commencer à mettre en œuvre sa suppression.
6°- «Une attention particulière devrait être accordée aux
dispositions réglementaires du Code du travail ou aux règles comptables
liées aux seuils spécifiques en matière d’effectifs, qui entravent la
croissance des entreprises françaises ». Le candidat Macron appelle cela « libérer le travail ».
Il s’agit en fait de renforcer la « liberté d’exploitation » par le
grand patronat que la « loi travail » a commencé à mettre en œuvre. Les
français étant fiers de leur pays, des valeurs de leur République et de
leurs conquêtes sociales, les grands propriétaires privés de l’économie
ont souhaité bénéficier d’une main d’œuvre sous-éduquée, bon marché, non
syndiquée et corvéable à merci.[i]
Avec les guerres contre la Libye, puis contre la Syrie, Nicolas Sarkozy
et François Hollande ont ouvert les filières dites « Méditerranée » et
« des Balkan »s. Résultat : non seulement la France est aujourd’hui en
pleine illégalité internationale mais, selon la Commission européenne, « trois millions de personnes supplémentaires devraient arriver dans l’Union européenne »
par ces deux corridors pour la seule période 2015-2017. La Commission
n’a pas fixé de quotas par pays pour les groupes criminels venus par les
mêmes filières…
7°- « Accroître la souplesse des conditions de travail en cas de difficultés économiques provisoires ».
Il s’agit, comme à commencer à l’instituer la « loi travail »
Valls-Macron- El Mokhri, de poursuivre la remise en cause de l’existence
même des contrats de travail à durée indéterminée (CDI) et d’accroître
leur précarisation.
8°- « Une majorité reste confrontée à d’importantes barrières à
l’entrée ou à l’exercice (par exemple les taxis, le secteur des soins de
santé, les notaires et, plus généralement, les professions juridiques)
». L’objectif est de pousser plus loin la déréglementation de ces
professions déjà en difficultés suite à différents traités de l’Union
« européenne ».
9°- « Les tarifs réglementés restent d’application pour les
ménages et, en ce qui concerne l’électricité, ils sont fixés en dessous
des niveaux de coûts et l’accès pour les autres fournisseurs est
limité.» La hausse des tarifs et la privatisation d’EDF sont également programmées.
10°- « Dans le secteur ferroviaire, des barrières à l’entrée continuent d’entraver le bon fonctionnement du marché ».
La privatisation de la SNCF et sa mise en concurrence forcée sont
également envisagés. La privatisation partielle de la SNCF a déjà eu des
effets très « significatifs » en matière de compétitivité : depuis le
lancement du TGV en 1982, aucune ligne à grande vitesse ne relie
toujours pas Paris à une capitale régionale comme Bordeaux, les
actionnaires des sociétés privées trouvant cette réalisation trop
coûteuse…4
Pour faire passer tous ces mauvais coups tout un dispositif de
communication a été élaboré avec des objectifs différents pour le
premier et le second tour des élections présidentielles.
Le contrat social français et la paix en danger
L’importante campagne de communication et de désinformation
orchestrée par l’équipe d’Emmanuel Macron dissimule les conséquences du
programme politique de candidat de la grande finance : la dislocation du
contrat social français et la continuité de la politique belliciste de
Bruxelles contre la Fédération de Russie et la paix. Lors du premier
tour des élections présidentielles, l’objectif recherché par l’équipe et
les soutiens d’Emmanuel Macron fut de mettre François Fillon hors
course sans mener de campagne particulière contre Marine Le Pen. Le but
recherché était alors de réorienter le vote des électeurs LR et du
centre vers le candidat mis en scène par François Hollande et les
milieux atlantistes. D’autre part, ces derniers laissèrent Benoit Hamon
mener sa campagne sous les couleurs du parti « socialiste » avec le seul
objectif de faire échec à Jean-Luc Mélenchon. François Fillon, seul
candidat qui aurait pu mettre en échec Macron, mis hors de course, la
communication change d’orientation pour le second tour. Après « la
rupture » de Nicolas Sarkozy et « le changement maintenant » de François
Hollande, il ne reste plus aux dirigeants « socialistes » qu’à laisser
continuer de diaboliser le Front national par ses habituels détracteurs
tout en présentant Emmanuel Macron comme « l’homme du renouveau ».
Nouveaux visages et recette éprouvée pour la même vieille politique.
« Il nous vend un personnage de théâtre… »
Au théâtre médiatique Macron joue aux français la pièce du « candidat
anti-système». Cette compétition à qui distribuera le plus de promesses
non tenues a fonctionné à fond. Dans cette démocratie rabaissée à un
simple concours de maquillage, les messes médiatiques à grand spectacle
ont donné à certains le sentiment de participer au « pouvoir du peuple
». Las ! Ils ne sont que les brailleurs d’un show de divertissement
politique jetable, les chauffeurs de salle et petits porteurs de
drapeaux applaudissant aux déclarations d’épate, les paumés gavés d’un
produit toxique rendu consommable et envedetté à coups d’annonces
médiatiques répétées. Ainsi que l’a souligné, non sans humour,
l’économiste Jacques Sapir, « tout ceci met au grand jour
ce qu’est la candidature d’Emmanuel Macron. Une pièce montée, avec ce
goût un peu douceâtre et écoeurant des pâtisseries de supermarché qui
ont le sucre et les lipides en excès. C’est une candidature qui précède
le programme, alors que la logique imposerait l’inverse. Car, se
présenter à l’élection présidentielle, ce n’est pas rien, même si ce
n’est que pour briguer le poste de gouverneur d’une France soumise à
l’Allemagne. On attend d’un candidat un programme et une vision, qui ne
se limite pas à des effets de manche dans des salles de réunions et
devant des auditoires conquis d’avance. On attend du fond ; et le fond
ici, contrairement à la fable du laboureur et de ses enfants, c’est bien
ce qui manque le plus. »5
Sous une présentation trompeuse sur le thème de « la
révolution » et du « renouveau », le programme de Macron ne propose rien
d’autre que la continuité de la politique du président et des
gouvernements de François Hollande à laquelle il a lui-même collaboré au
plus haut niveau de l’Etat.
Propose-t-il de dégager la Banque de France du carcan de la Banque
centrale européenne et des intégristes des marchés financiers ? Non.
Propose-t-il de nationaliser le secteur bancaire et financier afin de
permettre aux français de contrôler les mouvements de capitaux pour
assurer la stabilité financière et monétaire du pays ? Non. Propose-t-il
de nationaliser les sociétés du CAC40 afin de mettre l’économie au
service de l’intérêt général, stopper l’évitement fiscal de ces
entreprises, développer la gestion démocratique et créer de nouveaux
rapports entre ces grands groupes et le tissu des PME et TPE ? Non.
Propose-t-il d’interdire les licenciements dans les entreprises qui
réalisent des profits ? Non. Propose-t-il de mettre en place un cadre
législatif favorisant des avancées dans la gestion démocratique des
entreprises, ces lieux où hommes et femmes passent l’essentiel de leur
vie ? Non. Propose-t-il de nouvelles dispositions comme le recours aux
référenda pour développer le débat et le choix démocratique du pays sur
les grandes questions nationales ? Non. Propose-t-il de sortir du bloc
militaire OTAN afin de redonner à la France son indépendance militaire,
la maîtrise de sa défense et de s’engager pour la paix de la planète
contre tout impérialisme ? Non. Propose-t-il de sortir de l’Union
« européenne » de Washington pour participer à la construction de la
grande Europe, bien réelle celle-là, qui s’étend de Vladivostok à
Lisbonne ? Non.2
Rien de tout cela. Et pour cause : produit croisé de l’ENA, de
l’Inspection des finances, de la banque Rothschild, socialo palot –
pléonasme – petit-bourgeois, il est l’esbroufeur type enfanté par la
génération Mitterrand. Se présenter comme « anti-système » quand on a eu
le cerveau formaté à l’ENA – école où l’on apprend à gérer et
reproduire le système à coups de règlements –, quand on a travaillé à la
Banque Rothschild – institution qui figure au nombre des principaux
acteurs de la financiarisation de l’économie –, quand on a été
conseiller économique de François Hollande et ministre de l’Economie et
de l’industrie du gouvernement Valls – avec les résultats désastreux que
l’on connaît –, relève de l’imposture.
Comme l’a si bien dit l’économiste Jacques Sapir, « il nous vend un personnage de théâtre, l’arriviste qui crache dans la soupe qui l’a longtemps nourrie. »6
Et l’on cherche en vain dans le parcours d’Emmanuel Macron le moindre
élément qui permette de juger de son éloignement avec le dit système
bien avant qu’il ne quitte la banque Rothschild en 2012 pour être
injecté dans les allées du pouvoir politique. Aussi, Macron doit-il
rassurer et bercer d’illusions sa « clientèle électorale ».
Il eut du reste, bien maladroitement, à l’occasion du 71ème
congrès de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants
agricoles qui se tenait à Brest en mars 2017, de dire tout haut ce qu’il
pensait tout bas de la France du travail : « Un éleveur n’aime pas faire souffrir ses animaux, c’est comme penser qu’un entrepreneur aime licencier. » Du bétail, des boeufs quoi !…
Ce n’est pas pour rien que les journaleux parigots se pâment devant
ses discours creux à l’odeur des caves vides. Il est à l’image des
rienologues de Balzac dans sa Monographie de la presse parisienne : « La
page à l’air d’être pleine, elle a l’air de contenir des idées ; mais,
quand l’homme instruit y met le nez, il sent l’odeur des caves vides.
C’est profond, et il n’y a rien : l’intelligence s’y éteint comme une
chandelle dans un caveau sans air. Le rienologue est le dieu de la
bourgeoisie actuelle ; il est à sa hauteur, il est propre, ilest net, il est sans accidents. Ce robinet d’eau chaude glougloute et glouglouterait in saecula saeculorum sans s’arrêter. »
L’essentiel : sauver le contrat social français
Comme je l’ai déjà dit, dans les faits, le programme
d’Emmanuel Macron est déjà en application. Ceux qui s’apprêtent à voter
et à faire voter pour cet imposteur contribueront à l’assassinat
prémédité, planifié, cyniquement calculé de ce qu’il reste du contrat
social français qui repose sur l’emploi salarié. Sans doute
faut-il rappeler aux français la nécessité de s’opposer farouchement à
sa destruction en cours ainsi que le fait Hervé Sérieyx, qui fut
dirigeant d’entreprise, haut fonctionnaire et professeur d’université,
dans son ouvrage pertinent Alerte sur notre contrat social : « Rappelons
qu’en France, l’essentiel du contrat social repose sur l’emploi
salarié : c’est lui qui finance pour la plus large part la sécurité
sociale, et donc le système de santé, les retraites et le système de
solidarité générationnelle, le train de vie de l’Etat via l’impôt et
donc l’ensemble des systèmes de redistribution. Cet emploi salarié, au
coeur de notre contrat social, dépend lui-même du destin de nos
entreprises. »7
Les français qui ont voté et s’apprêtent à voter pour le
candidat de la coalition « socialiste-Les Républicains » ou à s’abstenir
n’ont visiblement pas encore pris conscience de la gravité des
conséquences de la conception anglo-saxonne de l’entreprise (le
« tout-actionnaire ») que défend En Marche. Une conception qui
remet en cause l’emploi salarié sur lequel repose l’essentiel du
financement de nos systèmes de solidarité ; une conception dont le
programme de Macron, déjà en cours d’application, peut mettre à terre
tous les fondements de notre protection sociale et dissoudre les liens
qui nous permettent de faire société.
Plus les entreprises seront privatisées au profit d’intérêts
particuliers, plus l’intérêt général continuera de régresser, plus
l’emploi salarié s’affaiblira, plus les solidarités s’effilocheront,
plus le chômage et la misère gagneront de nouvelles couches de la
société, plus l’avenir sera incertain et sombre.
Pour cette raison essentielle, même sans être en accord avec
le programme du Front national qui n’a, de mon avis, rien d’extrémiste,
le vote pour sa candidate appert en la circonstance comme le seul moyen
de faire barrage à la destruction continue de notre société par la
grande finance en redonnant la parole au peuple de France.
A l’opposé, une victoire d’En Marche entraînerait la France
dans l’instabilité politique par les querelles internes et la recherche
de majorité de circonstances des vieux partis – de LR aux groupuscules
gauchistes en passant par les restes du couple Ps-Pcf -, dans
l’aggravation de la situation économique et financière du pays par la
poursuite de la politique de déréglementation et de privatisation avec
pour conséquence une précarisation sociale sans précédent.
On peut y voir des « avantages » à un moment où Macron, ancien collaborateur du criminel François Hollande8 en
regard du droit international, s’est déclaré favorable à la guerre
contre la Syrie et a pris des positions hostiles à l’encontre de la
première puissance du continent européen, la Fédération de Russie.
Mais que peut faire d’autre un candidat de la grande finance apatride
alors que les milieux atlantistes de Washington et de Bruxelles
cherchent à provoquer un nouveau conflit majeur pour effacer leur
endettement et sauver leur système en crise ?9 Mais cela est
une autre histoire dont les résultats du premier tour des élections
présidentielles ont montré qu’elle échappe visiblement à l’entendement
d’une majorité de français. En ce sens également, le vote pour Marine Le Pen est un vote en faveur d’une nouvelle construction européenne et de la paix.
1.Loi Macron, le choix du toujours moins, par Martine Bulard, Le Monde Diplomatique, avril 2015.
2.Sénat Projet de loi considéré comme adopté par l’Assemblée
nationale en application de l’article 49, alinéa 3, de la Constitution
après engagement de la procédure accélérée « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques », 19 février 2015.
3.Discours d’Emmanuel Macron, Lyon, 5 février 2017.
4.Lire sur ces sujet Les GOPE (Grandes Orientations de la Politique Economique) ou la feuille de route économique de Matignon, par Charles-Henri Gallois, responsable national de l’UPR e n charge des questions économiques, 13 mars 2017, www.upr.fr, privatisations en France.
5.L’inquiétant M.Macron, par Jacques Sapir,12 février 2017.
6.Ibid
7.Alerte sur notre contrat social, per Hervé Sérieyx, Ed. Eyrolles, p.16.
8.Lire 56, tome 1 L’Etat français complice de groupes criminels et 56, tome 2 Mensonges et crimes d’Etat, par Jean-Loup Izambert, IS Edition.
9.Lire Trump face à l’Europe, par Jean-Loup Izambert, IS Edition (En vente sur http://www.amazon.fr)
Jacques Attali figure parmi les promoteurs de l’euthanasie.
Le
mondialiste Jacques Attali a annoncé ce matin sur BFM TV qu’il
présenterait à la fin de l’année un programme présidentiel afin
de lancer le débat en vue du scrutin de 2017.
Jacques
Attali dit vouloir « essayer de faire en sorte que l’année 2016 soit
occupée par un débat sur les idées et sur les projets », « de façon à ce
qu’en 2017, les candidats s’affrontent non pas sur la couleur de leur
cravate mais sur le projet qu’ils proposent au pays ».
« Ce
n’est pas un programme ‘UMPS’, ce n’est pas du tout un programme de
consensus entre les partis », a tenté de nier Jacques Attali. Le vilain
menteur ! Le personnage est pourtant l’archétype même de l’émissaire des
plus puissants cercles mondialistes, chargé de rappeler à la fausse
gauche comme à la fausse droite ce que les maîtres du monde attendent de
la politique française.
Qui est Jacques Attali ?
Né en
1943 dans une famille juive d’Algérie, il arrive en France en
1956. Jacques Attali et son frère jumeau Bernard sont inscrits au lycée
Janson-de-Sailly, dans le très chic 16ème arrondissement de Paris. Parmi
leurs condisciples, il y a un certain Laurent Fabius.
Jacques Attali est notamment diplômé de l’Ecole polytechnique et de l’ENA. A 27 ans, il devient auditeur du Conseil d’Etat.
Dès 1974,
il devient conseiller de François Mitterrand (PS). Lorsque Mitterrand
devient président de la république, il lui octroie même le rôle de
représentant personnel du chef de l’Etat aux sommets du G7.
Jacques Attali sera également conseiller de Nicolas Sarkozy (UMP) et de François Hollande (PS).
Jacques
Attali est l’initiateur (en 1989) et le premier président de la Banque
européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).
En 1998, Jacques Attali fonde PlaNet Finance,
organisme international de conseil d’institutions de macrofinance
présent dans 88 pays, développant des activités d’ONG selon les projets
du nouvel ordre mondial, et dont le conseil d’administration est composé
de représentant de la Haute Finance.
Jacques Attali est cofondateur (avec notamment Robert Badinter) de l’association Socialisme et Judaïsme, membre du CRIF.
Régulièrement,
Jacques Attali déclare qu’il est nécessaire d’instaurer un gouvernement
mondial dont Jérusalem serait la capitale.
Jacques Attali est aussi un intervenant du Congrès juif mondial qui se proclame « bras diplomatique du peuple juif« .
Il faut
se souvenir que les principaux dirigeants du Congrès Juif Mondial (parmi
lesquels le banquier David de Rothschild et Roger Cukierman, président
du CRIF) étaient réunis en France lorsque Manuel Valls a été désigné
premier ministre. Le Congrès Juif Mondial avait immédiatement publié un
communiqué de presse faisant « l’éloge du nouveau Premier ministre Manuel Valls pour avoir agi avec détermination contre le comédien antisémite Dieudonné« . Le même communiqué du Congrès Juif Mondial félicitait Manuel Valls d’avoir soutenu la « pleine légitimité des mesures qui restreignent la liberté de parole« .
Jacques Attali a écrit de nombreux livres, parmi lesquels un Dictionnaire amoureux du judaïsme ainsi que l’ouvrage Les Juifs, le monde et l’argent.
Ce régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par peux de personne (oligarchie) est contre Marine le Pen la nouvelle Jeane d'Arc du 21e siècle.
Présidentielle 2017! Un vote pour Marine Le Pen est un vote contre l’Ordre Mondial
Brigitte Bardot, Alain Delon soutiennenent Marine
Vous vous rendez compte qu’à l’heure actuelle les médias ne font que
critiquer Marine Le Pen et son projet sans même élaborer sur celui de
Macron ? C’est la bonne affaire.
Vous devez voter Marine Le Pen car elle va montrer aux élites du
Groupe Bilderberg – dont je rappelle que M. Fillon, M. Juppé et M.
Macron ont participé à au moins une réunion au cours des 5 dernières
années – que la France ne se laissera pas happer par ce nouvel ordre
mondial.
Le Nouvel Ordre Mondial est comme son nom l’indique : nouveau. C’est
un terme qui est né et qui a été rendu populaire par George Bush suite à
la chute du mur de Berlin, la fin de la guerre froide et donc la
disparition de ce monde bipolaire pour dire qu’un monde nouveau arrive.
Jusque là tout va bien… Mais quel est ce monde nouveau ? Le monde
nouveau se moque de qui vous êtes, d’où vous venez et ce que vous
croyez, le monde nouveau mis en avant par une poignée d’individus
élitistes sera constitué d’apatrides qui voyageront de pays en pays
comme si c’était des hôtels. Vous êtes un humain avant d’être un
Français.
Ils utilisent les plus beaux concepts de la race humaine tels que
l’égalité et la fraternité pour vous inciter à accepter des étrangers
car « nous sommes tous égaux » et car il ne faut pas être traité de
raciste. Vous êtes programmés pour avoir peur de sortir de ce carcan
idéologique qu’il faut obligatoirement avoir de la compassion pour son
prochain, que ce prochain soit français ou pas vous devez avoir de la
compassion. Quiconque sort du carcan est automatiquement un facho ou un
raciste. Les riches industriels se moquent de savoir si vous êtes blanc
noir ou jaune, vous êtes de la main d’oeuvre, ils exploitent donc les
plus beaux aspects de la philosophie humaniste à des fins très égoïstes.
Ils détruisent nos pays au nom des droits de l’homme.
Ils font cela depuis des décennies et vous n’y voyez que du feu car
ils nous font culpabiliser en permanence. Même Macron a osé dire que la
colonisation était un crime contre l’humanité, en faisant cela il sert
ses maîtres qui cherchent perpétuellement à nous faire culpabiliser en
vue de nous faire accepter l’inacceptable. L’Allemagne étant l’exemple
suprême de nation cherchant la rédemption, elle a accueilli des millions
de migrants car les Allemands veulent se repentir. Les mondialistes
n’ont cessé de faire culpabiliser les Allemands pour Hitler et la
Seconde Guerre Mondiale, et nous on nous fait culpabiliser sur la
colonisation et le traitement des algériens lors des premiers
regroupements familiaux dans les années 1970.
Cette élite ne vous donnera aucune chance. Si vous un(e) blanc(he)
hétérosexuel(le) vous n’avez pas le droit de voter pour Macron car il va
faire passer la Nation après les besoins de ses amis politiques,
industriels et médiatiques. Vous devez comprendre que les médias n’ont
fait qu’utiliser le Front National jusqu’à présent pour faire élire un
paquet de gens dont Chirac qui a eu un score de 82% face à JM Le Pen en
2002.
Je sais pertinemment que Marine ne gagnera pas la présidentielle donc
vous vous dite que ça ne servira à rien de voter pour elle mais bien au
contraire ! Il faut que l’élite politique en place ait peur du Front
National pour qu’il y ait une forme d’opposition. Si ça avait été
Jean-Luc Mélenchon au deuxième tour j’aurais dit de voter pour Mélenchon
! Il faut que le candidat des élites politico-industriels du Bilderberg
et j’en passe… il faut que ce candidat gagne les élections avec un
score qui ne ressemble pas à ceux des élections en République
Démocratique du Congo. Il faut que les résultats soient le plus serrés possibles.
Vous ne ferez pas élire Le Pen car de nombreuses personnes sont
encore traumatisées et en quête de rédemption et de pardon vis à vis
d’un passé dont ils ne sont absolument pas responsables, mais vous
contribuerez à faire trembler les élites car votre populisme doit
survivre. Vos idéaux ne meurent pas avec cette élection. Vous devrez
continuer à vous battre contre l’oligarchie en place.
Et vous devrez faire des choix contraires à « vos » convictions mais
ce ne sont pas les vôtres, c’est celles que les élites vont ont
injectées avec la télé et les médias…
Vous vous rendez compte qu’à l’heure actuelle les médias ne font que
critiquer Marine Le Pen et son projet sans même élaborer sur celui de
Macron ? C’est la bonne affaire.
Votez Le Pen et faites les trembler.
Il faut qu’à la prochaine conférence du Groupe Bilderberg qui se
tiendra en juin, qu’ils en parlent et qu’ils aient peur du populisme
Français. Vous êtes tous très doués pour voter contre et pour les fameux
« votes utiles » alors SVP soyez utiles.
Voila j’ai terminé, maintenant le vilain raciste conspi que je suis va publier cet article. http://www.nouvelordremondial.cc/
Où l'on apprend qu'Emmanuel Macron est, en fait, "maoïste"
Je suis un maoïste.
Une précision doit ici être apportée : non, l’auteur de ces quelques
lignes n’est pas en état d’ébriété. C’est bien comme un « maoïste »
qu’Emmanuel Macron se décrit dans le quotidien national, précisant que,
s’il se revendique de Mao c’est parce que pour l’ancien leader chinois,
« un bon programme est un programme qui marche ».
On espère simplement qu’Emmanuel Macron n’a pas pour ambition
d’instaurer un Grand bond en avant puis une Révolution culturelle en
France. Ce que le nom de son mouvement En Marche ! et le titre de son
ouvrage, Révolution, semblent indiquer…
Ou pire : lui Président, il mettra en place un régime totalitaire.
Non parce que si certains trouvent le maoïsme plutôt sympa, n’oublions
pas que cette idéologie est, pour résumer, responsable de la mort de 60 à
80 millions de personnes. http://lelab.europe1.fr/ou-lon-apprend-quemmanuel-macron-est-en-fait-maoiste-2991992
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Selon un sondage
Harris Interactive, ils sont 61% à penser que Marine Le Pen réussit un
meilleur début de campagne, tandis que 52% considèrent que celui de
l'ancien ministre n'est pas à la hauteur.
EMMANUEL MACRON PRESIDENT?
Patrick Bruel voit déjà Emmanuel Macron président!
Macron répond à Hanouna en direct dans Touche pas à mon poste après son passage sur TF1
« La banque du Président »
Propre sur soi, à l’image de Macron, la banque Rothschild est aussi –
bien qu’elle s’en défende – très liée au milieu politique, tout comme
sa concurrente Lazard. Tissées par des études communes et des amitiés
forgées dans les cercles du pouvoir, ces liaisons fructueuses en font
parfois « des ministères bis de l’Industrie et de l’Economie. » Le nom
de Rothschild a d’ailleurs longtemps charrié des images d’empire
financier, ce qui poussera les socialistes à nationaliser la banque en 1982. La nomination de Macron au gouvernement n’en est que plus ironique.
Lorsqu’il arrive chez Rothschild, Emmanuel Macron est déjà bien
introduit. Il fréquente Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de
l’Elysée qui ce mardi a annoncé avec un sourire sa nomination au
ministère, ou encore Jacques Attali (grâce à la commission du même nom).
Mais François Henrot tient à préciser qu’il n’a pas recruté un « carnet
d’adresses ». Si Emmanuel Macron connaît aujourd’hui les principaux
patrons français, il a dû s’appuyer à l’époque sur la réputation de la
banque pour s’ouvrir des portes.
Avant Emmanuel Macron, c’est François Pérol qui incarnera ces accointances politiques en devenant secrétaire général adjoint de l’Elysée, après avoir travaillé chez Rothschild.
L’entregent de Rothschild est démultiplié au point que le Nouvel observateur titrera « La banque du Président ».
On pourrait aussi citer Sébastien Proto (de la même promo de l’Ena que Macron), qui a été directeur de cabinet d’Eric Woerth, Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur, ou Grégoire Chertok, proche de Jean-François Copé. Nicolas Sarkozy gravitera aussi un temps dans le giron de la banque.
A chaque changement de gouvernement, Rothschild réussit donc à placer
quelques collaborateurs dans les petits papiers du pouvoir. On appelle
cela « se mettre au service ». Macron est un ancien, mais il perpétue la
tradition. Et il a laissé de tellement bons souvenirs que les banquiers
ne sont pas près de l’oublier.
INCROYABLE ASSELINEAU Dévoile l'arnaque macron
L'arnaque macron par ASSELINEAU explique comment les médias soutienne manuelle macron sont programme
Édito – "Emmanuel Macron veut tuer le PS avant les élections législatives"
Emmanuel
Macron l'a rappelé ce mardi: un élu qui souhaite être investi par le
mouvement En Marche! pour les élections législatives devra
obligatoirement quitter son parti. Pour Christophe Barbier,
éditorialiste politique de BFMTV, cela montre la volonté d'Emmanuel
Macron de "tuer le PS" avant les élections législatives: "Il leur
explique qu'ils vont disparaître, qu'ils seront éliminés de tous les
seconds tours s'ils ne rejoignent pas En Marche!".
Emmanuel Macron donné vainqueur au second tour face à Marine Le Pen, selon les premiers sondages
Une fois de plus, la France se retrouve dans ce qu’on
pourrait appeler un deuxième tour de l’absurde. À peine les résultats
sont-ils exprimés que les leaders d’opinion appellent à faire barrage
contre Marine Le Pen dans un consensualisme « pro-Macron » assumé ou par
défaut. Mais cette effervescence rend inaudible une crise de la
démocratie qui se déroule sous nos yeux. Des milliers de citoyens crient
leur colère. Leur désespoir n’émane pas du résultat, mais de la manière
même dont ces élections se sont déroulées. Des élections entachées
d’irrégularités, de bugs, de radiations de masse et de zones d’ombres si
nombreuses que certains estiment légitimes de questionner la validité
des résultats. Alors que les témoignages s’accumulent par milliers,
venons-nous de passer dans autre dimension ?
SAUVONS LA FRANCE! MARINE LE PEN
Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune
structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24
février.
Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout
de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion. En témoigne ce
texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un
listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne :
« Chers amis, un cocktail
dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27
septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des
Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision
et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui
de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous,
pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous
serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous
demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »
Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés
auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient
supérieurs à 5 000 euros.
Nos Banqiers! Maître du monde? The Federal Reserve Cartel: The Rothschild, Rockefeller and Morgan Families
<< Que veux-dire cette main levée avec des cornes? >>
Par Manuel De Diéguez, Le 31 mars 2017
De tous temps, en tous lieux
et sous tous les régimes, l’appareil judiciaire s’est mis au service de
l’État du moment. Monarchique sous la monarchie, louis-philippard sous
la Restauration, anti-dreyfusard du temps de l’affaire Dreyfus, ennemi
de la Commune à l’heure des « Communards », unanime dans son sermon
d’obéissance à Vichy.
La spécificité du
tartuffisme judiciaire d’aujourd’hui tient au fait qu’il intervient
directement dans la volonté de porter à l’Elysée un jeune homme de
trente-huit ans, introduit par Jacques Attali dans le groupe Rothschild,
où il a exercé la fonction centrale de banquier d’investissement,
autrement dit, de banquier d’affaires.
La fortune totale du groupe Rothschild est estimée à quelque cent cinquante millions de milliards de dollars.
J’ai bien dit cent cinquante millions de milliards de dollars,
c’est-à-dire quinze suivi de seize zéros. C’est rappeler que ce groupe
est le vrai maître du marché français, européen et même mondial. A ce
titre, il est devenu l’actionnaire majoritaire de quatre-vingt dix pour
cent des banques centrales de toutes les nations du globe terrestre.
Si l’on se souvient que
Georges Pompidou, ex-banquier d’affaires lui aussi du même groupe
Rothschild, avait imposé à la France l’interdiction d’emprunter à sa
banque centrale et l’avait contrainte à se donner le « marché » pour
créancier exclusif, on comprend que le paiement des seuls intérêts de la
dette de la France auprès des banques privées soit rapidement devenu le
tribut ou le bât du déficit budgétaire annuel de la nation.
Depuis le 3 janvier 1973,date de la loi «Pompidou- Rothschild»
la France a payé plus de mille cinq cents milliards d’euros d’intérêts
aux banques privées. Le service de la dette est devenu le budget le plus
considérable du pays: il dépasse celui de l’éducation nationale et de
tous les autres ministères réunis. Il représente plus de quarante cinq
milliards d’euros par an pour le seul paiement des intérêts.
Michel Rocard déclarait en décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette se situerait à un niveau « bénin« , de « 16 ou 17 % du PIB« . Actuellement, la dette de la France frôle les cent pour cent de la production totale de l’année.
Quelle était, en 1973, l’argumentation, sinon conjointe, du moins parallèle, du groupe Rothschild et de l’Élysée?
Il serait absurde de
soupçonner Georges Pompidou d’avoir fait passer les seuls intérêts des
banques avant ceux de la France. Georges Pompidou était un vrai
gaulliste et un érudit. Passionné de grec, quel aurait été son destin
s’il était entré à l’école normale supérieure dont les portes lui
étaient grandes ouvertes? Mais il n’a pas renoncé à sa vocation
littéraire: au cours de son mandat il a publié une anthologie de la
poésie française d’une sûreté de goût exceptionnelle.
Mais, à l’instar des
banquiers du groupe Rothschild, il savait que tous les États sont tentés
de dépenser davantage qu’ils ne gagnent.
Depuis que l’art de frapper
monnaie s’est confondu avec celui de fabriquer de la monnaie fiduciaire,
la prodigalité des États n’a plus connu de bornes. Du coup, leur
tentation est devenue irrésistible de vaporiser leurs dettes par
l’inflation afin de rembourser leurs créanciers en monnaie de singe.
Sous l’occupation, le franc français était demeuré relativement stable.
Mais, sitôt la guerre terminée, on a vu notre monnaie se dévaluer sur le
modèle des assignats de la Révolution et ruiner les épargnants.
En 1958, à l’heure du retour
au pouvoir du Général de Gaulle, la monnaie française avait perdu
quatre-vingt dix-neuf pour cent de sa valeur face au franc suisse. En
rétablissant la parité entre le franc français et le franc suisse et en
créant ce qu’on appelait le franc fort, le Général de Gaulle était si
peu parvenu à rétablir durablement la parité entre les deux monnaies sur
le marché des changes, qu’il avait suffi de quelques années pour
retrouver la tradition de la chute du franc gaulois dans l’abîme. Du
temps où le Premier Ministre de M. Giscard d’Estaing s’appelait Raymond
Barre, l’inflation française s’élevait à quatorze pour cent par an.
Aussi Georges Pompidou
croyait-il sincèrement qu’à contraindre l’État à emprunter sur le
marché, il porterait un coup décisif aux États dépensiers. Il se
souvenait surtout de ce qu’entre 1945 et 1958, plusieurs centaines de
milliers de petits épargnants français avaient été ruinés par la fonte
de la monnaie nationale et pour avoir souscrit des emprunts d’État qu’on
leur disait gagés par l’or de la banque de France. Et c’était cette
blessure profonde qu’il fallait tenter, disait-il, de cicatriser.
Or aujourd’hui, la banque
centrale européenne se trouve dirigée par M. Draghi, ancien banquier
d’investissement de la banque américaine Goldman Sachs.
Que signifie l’envoi récent
et en avant-garde d’un José Barroso, ancien Président de la Commission
européenne de Bruxelles, à titre de caution du caractère soi-disant
européen de la banque, alors que Barroso n’a jamais été qu’un agent
déguisé du Pentagone et un fidèle exécutant des volontés de l’empire
militaire mondial qu’on appelle les Etats-Unis?
M. Draghi jette sur le marché dix-sept
milliards d’euros papier par semaine, sous le prétexte d’une politique
d’investissement, dont personne n’a vu la couleur. En réalité, grâce au fruit de la
planche à billets électronique, le but de l’opération était, à l’image
de ce que font la Banque d’Angleterre et la Réserve fédérale américaine,
de racheter des titres obligataires, c’est-à-dire des bons du Trésor et
divers titres d’entreprises irrécupérables appelés « titres pourris« .
M. Draghi espérait par cette opération à destination des banques privées, « débloquer les circuits du crédit« , c’est-à-dire les inciter à se montrer plus dynamiques dans la distribution de crédits aux entreprises. Mais l’objectif des banques privées est
autre. Trop heureuses de se débarrasser de leurs titres toxiques, elles
se montrent encore plus frileuses dans l’attribution de crédits, si
bien que le marasme économique perdure. Les banques, une fois de plus,
sont les seules bénéficiaires de la politique dite de quantitave easing (QE), ce que la langue de Molière traduit par « laxisme monétaire« . Les banques ne sont intéressées que par leurs propres bénéfices.
La Suisse, à laquelle on ne fera pas
prendre des vessies pour des lanternes, a aussitôt compris que
l’histoire de la République de Weimar allait reprendre son cours, a
décidé sur l’heure de renoncer au taux de change fixe qu’elle avait
accepté d’établir avec l’euro. Sa monnaie s’est immédiatement trouvé
revalorisée de plus de vingt pour cent. On voit quel péril la banque centrale
européenne actuelle fait courir à l’euro en renforçant momentanément par
contre coup le pouvoir du dollar sur le plan international: aussi
l’Allemagne est-elle allée jusqu’à menacer M. Draghi de lui intenter un
procès.
Naturellement, cette menace
s’est tout de suite ensablée, parce que Mme Merkel ne saurait à la fois
se présenter en apôtre de l’américanisation de l’Europe et en
défenderesse de la solidité de l’euro comme monnaie de réserve.
L’euro dévalué rejoint la
catastrophe financière prévisible contre laquelle la loi Pompidou-
Rothschild de 1973 était censée lutter. Car à l’heure où l’euro sera
devenu une monnaie aussi fictive que le deutschemark sous la République
de Weimar, à l’heure où l’euro papier rivalisera, si je puis dire, avec
un dollar papier, tout le monde comprendra que l’euro se trouvera réduit
au rang des assignats. L’euro aura seulement permis à tous les grands
et petits commerçants de France et de Navarre de confondre dans les
esprits un euro avec un franc, ce qui a conduit, par exemple à augmenter
le prix des pommes de terre de mille trois cents pour cent.
Le mythe d’un euro fort était censé
créer une identité européenne. Grâce à l’euro surgirait par miracle une
identité commune, donc un patriotisme européen. Or, déjà l’extrême
gauche allemande descend dans la rue afin de défendre l’alliance future
du parti avec les identités nationales renaissantes partout en Europe.
A l’origine, la double
nationalité franco-suisse se trouvait pratiquement seule en lice,
tellement elle demeurait inoffensive pour tout le monde. Mais même les
petits pays d’Amérique centrale refusaient farouchement toute
bi-nationalité de leurs ressortissants. On comprend qu’à l’heure où des
millions d’Algériens et de Marocains en France et des millions de Turcs
en Allemagne considèrent seulement la France ou l’Allemagne comme un
ajout secondaire à leur nationalité originelle, comme l’a rappelé
récemment l’actuelle Ministre de l’éducation nationale, Mme Vallaud
Belkacem, l’unité psychologique des nations se trouve pratiquement
anéantie.
Ainsi, Mme Vallaud Belkacem a déclaré qu’elle se sentait marocaine, mais qu’elle était en France pour faire carrière.
Du reste, M. Erdogan a déjà
appelé les Turcs d’Europe à porter à cinq enfants au minimum la
fécondité des femmes turques sur le continent européen afin de modifier
la définition même des identités nationales.
Le Président Donald Trump avait rappelé
avant son élection, que l’Europe ne sera jamais une nation, mais
seulement une société anonyme présidée par un conseil d’administration,
donc livrée à l’anonymat et à l’irresponsabilité d’une bureaucratie
dépourvue de toute autonomie politique réelle.
C’est dans ce contexte que la
gigantesque hallucination collective et la bénédiction judiciaire de la
candidature à l’élection présidentielle d’un Emmanuel Macron, ancien élève des Jésuites, armé d’un slogan digne d’un gentil scoutisme –
« En marche »
– prennent tout leur sens. Car aussi longtemps que le principe de la
présence militaire éternelle des États-Unis en Europe ira de soi, tout
ce théâtre de pseudo « marcheurs » nous rappellera l’opéra Aida de Verdi, dans lequel une troupe piétinante chante en chœur et à tue-tête: « Marchons, marchons« .
CONCLU-SION Les crabes marchent toujours en arrière.
WHO REALLY CONTROLS THE WORLD? HERE IS AN EXPOSE' OF THE ROTHSCHILD/ROCKEFELLER AGENDA: http://theconspiracyzone.podcastpeople.com/posts/39430
HOMMAGE A L'HOMME ET AUX PEUPLES QUI SUBISSENT LA FORCE L'OPPRESSION
Inutile de parler de la Syrie et de ce qui se passe dans ce Pays! La
presse internationale nous abreuve déjà suffisamment de situation ou la
force, l'oppression est utilisée au lieu de la raison.
Pour
l'homo
sapiens, il y a essentiellement deux droits. L'un est le droit à sa
propre santé d'esprit et l'autre le droit à sa propre vie. C'est une
extension des droits de l'homme et ceux-ci ne sont qu'une dérision
complète sans ces deux droits supplémentaires.
Il
suffit de déclarer quelqu'un fou, vous voyez ? ou quelque chose de ce
genre ou de le rendre fou ou quelque chose comme ça, et il perd
immédiatement tous ces droits. Il devient l'objet de propriété. Aussi,
méfiez-vous dans une constitution de toute lacune qui conduirait à
l'esclavage.
Et,
comme il peut se présenter une dichotomie sous forme de combat si nous
osons rendre quelqu'un sain d'esprit, il se peut que nous soyons
confrontés à toutes sortes de menaces de la part des forces dont
l'importance et la puissance sont sans conteste redoutables et
effrayantes. Oui, on pourrait toujours rencontrer de telles forces, mais
elles n'arriveraient jamais à maintenir leur position. C'est très
intéressant; elles n'arriveraient pas à maintenir leur position parce
quelle se trouvent sur une piste qui, dans cet univers, mène à sa propre
fin et non à sa perrénité.
Les gens reconnaissent cela et, bien que l'on observe une effrayante
tendance de la part de l'esclave à mettre des chaines et à les porter,
et à porter plus de chaines si possible, ily a toujours un plus grand
nombre de gens qui, en définitive, se retournent contre leur maitres.
Les
maîtres d'esclaves meurent. Ils ont toujours connu la mort dans cet
univers et ils mourront toujours. Il est possible qu'un univers meure.
Mais
ce que nous voulons démontrer, c'est simplement que la force n'a jamais
été une arme opposable à la raison. Chaque fois que la force s'est
opposée à la raison dans cet univers, c'est la force qui a perdu, pas la
raison.
Tôt
ou tard, la raison s'infiltre parce que... La force, vous voyez, ne
peut pas traverser des bastions et des barricades de cinq mètres
d'épaisseur... Prenez, par exemple, une citadelle colossale située tout
au sommet d'un mont imprenable.
Elle
dispose d'une garnison et d'assez de provisions et d'eau pour soutenir
un siège pendant des siècles. La garnison est bien entraînée et bien
armée. Aucune flèche, aucun carreau, pas même la foudre ne pourraient
transpercer cette citadelle. Cependant, par l'intermédiaire du porteur
d'eau ou par d'autres moyens, une idée peut traverser les murs de
n'importe quelle citadelle. Quand on demande: << Quelle est la
force de cette garnison? >>, il faut toujours demander aussi:
<< Quelle en est la loyauté ? >> C'est l'autre facteur et
la force n'a jamais été capable de gagner contre celui-ci. Elle peut
gagner temporairement, bien sûr, mais jamais totalement.
La
raison qui craint la force ou dont l'objectif est d'empêcher la force
de blesser quelqu'un ne constitue pas de la raison. C'est aussi une
forme d'esclavage. Mais la raison qui permet de s'élever au-dessus du
niveau de la force doit en premier lieu être capable de confronter la
force; alors seulement une telle raison est capable de prendre la
responsabilité de ces choses qu'elle seule peut produire.
Aussi
découvrez-vous que, juste avant de disparaître, une société adopte une
attitude raisonnable dans un effort ultime pour échapper à la
force, mais cette attitude consiste généralement à accepter l'esclavage
sous une forme ou une autre et non pas à assumer la liberté. Les membres
de cette société se soumettent à diverses restrictions par peur.
Cela
étant, l'homme capable d'assumer la responsabilité de la force, sans
pour autant l'employer, est beaucoup plus à craindre que l'homme qui ne
peut qu'utiliser la force.
Ainsi
très haut sur l'échelle, l'individu est cause, et à mesure qu'il
dégringole depuis être, en passant par action jusqu'à avoir, il devient
de plus en plus effet de ce qu'il a.
La
période de temps pendant laquelle cette personne se trouvait le plus
libre est celle pendant laquelle elle possédait le moins et ou elle
espérait le plus, et celle où elle était le plus abrutie et le plus mal
en point est celle du moment où elle a finalement pu se procurer les
choses. Et le moment où elle se les procure finalement est celui à
partir duquel elle cesse d'avoir du temps.
Vous
sous estimez votre propre puissance. Vous êtes en train de la sous-
estimez complètement. Rien ne peut vous dénaturez à moins que vous
n'ayez donné votre accord. Et il n'y a vraiment aucune loi plus forte
que celle-là dans cet univers... en ce qui concerne la protection.
Si
vous commencez à dire: << C'est destructif >>, cela peut
seulement le devenir. Les gens peuvent être frappés par la force parce
qu'ils ont convenu du pouvoir de destruction de la force; et seulement
alors, la force peut les frapper. La force ne pourrait théoriquement pas
toucher la personne qui n'a pas convenu de son pouvoir de destruction. (LRH-OBSUIS)