dimanche 25 octobre 2015

LEGALISER LES DROGUES

EST-CE QUE L'ONU VA LEGALISER TOUTES LES DROGUES?

Richard Branson recommande à tous les gouvernements de légaliser toutes les drogues sans aucune exception, c'est du moins la campagne et la propagande financées par le milliardaire!

Une petite mention d'un rapport par le milliardaire Richard Branson et on pense déjà que l'ONU pourrait légaliser toutes les drogues. Et de nombreux pays sont favorables à cette idée.
Source: http://actualite.housseniawriting.com/science/2015/10/21/est-ce-que-lonu-va-legaliser-toutes-les-drogues/9787/


Une société droguée est plus facile à manipuler, qu'une société saine d'esprit. C'est peut-être voulu par ceux qui se disent << ami de l'homme,>> pour en faire une société d'esclaves, de malades, de criminels!


UN MONDE EMPOISONNE ET DROGUE


SENSATIONS PERCEPTIONS
Sexe et plaisir - Photo 1


LE SEXE

Le sexe est une sensation qui procure du plaisir assez bonne. Cependant, il existe d'autres sensations bien supérieures au sexe! Par exemple, le bonheur pourrait se définir à un but. Tout ce qui est entrepris en direction d'un but jusqu'à sa réalisation apporte du plaisir. Un artiste qui est en train de réaliser une oeuvre, un entrepreneur qui construit un pont, un parolier qui écrit une chanson, etc. Ce n'est pas comparable au sexe, c'est bien au-dessus

Pour avoir du plaisir, les perceptions d'un individu doivent être en bon état. Il en existe pas moins d'une cinquantaine hormis la vue, le toucher, l'odorat, ou l'ouie.

Les médicaments, psychotropes, l'alcool, les drogues, les insecticides, pesticides et bien d'autre produits altèrent les perceptions.

Une fois que les perceptions sont dénaturés, à quoi bon vivre! L'individu n'est plus capable de ressentir du plaisir, du bonheur et la vie devient un enfer.


Etre effet de certaines sensations en consommant des substances néfastes devient un piège. Ces substances prennent le contrôle sur l'individu. Il n'est plus au commande de sa vie.


Par Pierre-André Doriot

Une addiction est simplement une chose qui procure du plaisir, une habitude qui devient rapidement un  piège dont on a plus le contrôle. La chose contrôle l'individu.

On pourrait dire que chaque chose qui procure une sensation ou du plaisir est un piège, si l'individu ni prend pas garde et cesse de la contrôler d'une manière à rester maître de cette chose.





Avant que la structure, le cerveau dicte la conduite à suivre, la fonction, l'être, qui  est au-dessus de la structure commande. Pour cela la personne doit être saine d'esprit et en bonne forme.

Le cerveau ou la structure est comme un ordinateur, si les données sont correctes, il fonctionnera correctement, mais si les données sont fausses ou incorrectes, il fonctionnera incorrectement et sera aberré.


Toute sorte de pièges se trouvent dans l'environnement, ce qui fait un jeu. En connaissant suffisamment les règles du jeu de cet univers, il est plus aisé pour un individu de gagner et d'apprécier la vie.


Les addictions les plus connues comme l'alcool, les drogues, le sexe, les jeux (casino, loterie, tiercé, etc.) sans compter toutes les autres addictions que l'on ne pense pas être des addictions, (ex. l'excès de  chocolat,
ou de sport, d'aliments, d'argent, d'objets et tant d'autres qui ruinent notre santé physique et psychique.



LE PROGRAMME DE PURIFICATION: LA REHABILITATION D'UN MONDE EMPOISONNE ET DROGUE

Notre planète se heurte à un obstacle qui entrave tout progrès social d’envergure : les drogues et autres substances biochimiques.

Notre culture a profondément souffert de la prolifération fulgurante des drogues, qui a commencé dans les années soixante, et qui se poursuit sans répit encore de nos jours. Des années avant cette décennie tumultueuse, les psychiatres avaient déjà préconisé le recours aux drogues comme solution thérapeutique à une multitude de conditions mentales et émotionnelles. Prenons l’exemple du L.S.D. : Ron Hubbard avait donné l’alerte sur les dangers qu’il représentait pour la société dès 1951. Mais il fut néanmoins l’objet d’une publicité soutenue de la part de la psychiatrie qui l’a abondamment utilisé pendant les années cinquante et soixante pour le traitement de certains états mentaux. Par la suite, il s’est propagé dans toutes les couches de la société et on l’a présenté comme un moyen d’atteindre l’illumination. C’est ainsi que le marché illégal des stupéfiants a connu un essor sans précédent. L’ingestion de narcotiques, de stimulants et d’autres substances est devenue chose de plus en plus acceptable et banale. Autrefois, restreint à une partie minime de la société, l’abus de ces drogues s’est multiplié en une véritable épidémie pendant les années soixante parmi les étudiants dans les universités et s’est propagé à partir de là.

Avec la bénédiction des géants de l’industrie pharmaceutique et un vif intérêt de la part des médias, la psychiatrie a entériné l’usage des drogues qui est devenu une activité en vogue. Outre le L.S.D., les compagnies pharmaceutiques ont déversé en masse une multitude d’autres drogues dans la société, notamment l’héroïne, la méthadone et d’innombrables tranquillisants. Ces drogues sont devenues le cauchemar de l’humanité. D’autant que l’usage toujours plus répandu de la marijuana, de la mescaline et d’autres drogues psychédéliques ont rendu les drogues en général de plus en plus à la mode et accessibles.

La tactique habituelle utilisée pour faire adopter un produit pharmaceutique est de le mettre en circulation et de le lancer à coups d’énormes campagnes de presse et de relations publiques, vantant son efficacité et son innocuité. Mais souvent, les cas discréditant cette prétendue innocuité commencent à s’accumuler, révélant au contraire qu’ils ont des effets secondaires dangereux.

Le milieu du dix-neuvième siècle vit l’apparition de la morphine, encensée par le corps médical comme un excellent traitement de l’opiomanie, sans accoutumance. Mais vers 1870, on finit par reconnaître que la morphine engendrait en fait une plus grande accoutumance que l’opium. Cela entraîna alors la production de l’héroïne, qui à son tour fut portée aux nues comme substitut de la morphine et prétendument elle aussi sans accoutumance. En moins de quinze ans, il fut clairement démontré que cela n’était certes pas le cas. Puis, après la Seconde Guerre mondiale, les psychiatres commencèrent à encourager l’utilisation d’une nouvelle drogue, la méthadone, pour les cures de désintoxication des héroïnomanes, perpétuant ainsi une escroquerie vieille d’un siècle sur un nombre croissant de victimes, tout en étant largement subventionnés par l’État.

D’autres produits prescrits sur ordonnance tels que le Valium, le Librium, le Xanax, l’Opren, l’Halcion et le Prozac-20, ont tous été déclarés inoffensifs, mais chacun d’entre eux s’est avéré produire des effets secondaires dangereux. Les psychiatres ont touché des centaines de millions de dollars en prescrivant ces médicaments et en soignant ensuite les problèmes créés par leurs propres prescriptions.

Pour les compagnies pharmaceutiques, c’est une source d’énormes profits. L’usage de plus en plus répandu des psychotropes traitant la liste croissante des symptômes de nouvelles maladies « découvertes » chaque année par les psychiatres leur rapporte des dizaines de milliards de dollars par an. Les drogues ont été implantées jusque dans le système d’éducation. Aujourd’hui, dans les écoles américaines et sans doute bientôt françaises, il suffit de coller à un enfant l’étiquette « hyperactif » pour justifier de le droguer avec une amphétamine appelée Ritaline. En outre, des centaines de psychotropes sont utilisés par des millions de personnes pour « soigner » une multitude de problèmes coutumiers de notre civilisation moderne tels que l’insomnie, la nervosité, le stress ou même tout simplement, l’ennui.

Nous vivons dans une société chimique. Les rapport de l’EPA (Agence Américaine de Protection de l’Environnement) indiquent que l’américain moyen consomme deux kilos de pesticides par an, et que son corps contient les traces de plus de quatres cents susbtances toxiques. Il existe plus de trois mille produits chimiques qui sont ajoutés à nos aliments.

Ces prétendues maladies, que l’on rend crédibles en leur donnant des noms compliqués, deviennent officielles lors du Congrès annuel de l’Association Américaine de la Psychiatrie (APA, American Psychiatric Association). Les psychiatres présentent une maladie nouvellement découverte, puis l’on passe au vote et, avec l’accord de la majorité, on crée une nouvelle maladie officielle. Pourquoi officielle ? Parce que les compagnies d’assurances et les assurances sociales ne remboursent que le traitement des maladies reconnues officiellement. Cela assure également, à la coalition psychiatrie/laboratoires pharmaceutiques, une source de revenus illimitée. Ceci est sans doute la plus grande escroquerie du vingtième siècle. Le scandale peut continuer d’être étouffé grâce aux milliards de dollars dont les intéressés disposent pour leurs campagnes de relations publiques d’avant-garde et leurs coûteuses stratégies de marketing. Celles-ci créent à leur tour des revenus publicitaires pour les médias, qui se retrouveraient paralysés financièrement s’ils exposaient l’escroquerie au grand jour.

Tout cela s’ajoute à la consommation largement répandue de drogues illégales (dont beaucoup étaient à l’origine prescrites sur ordonnance). Celles-ci représentent à elles seules une entreprise qui, selon les estimations, rapporterait environ cinq cent milliards de dollars par an. La marijuana serait la culture la plus lucrative des États-Unis à l’heure actuelle. La cocaïne et ses dérivés étaient très à la mode dans les années soixante-dix. Leur consommation est à présent généralisée, en partie à cause des informations erronées répandues par les psychiatres. En effet, ces derniers affirmaient encore en 1980, et ce dans leurs propres textes, que la cocaïne ne créait pas d’accoutumance. Ils ne pouvaient pas se trouver plus loin de la vérité. De nombreux psychotropes et autres drogues telles que l’héroïne, le L.S.D., la méthadone, la méthédrine et les tranquillisants, pour n’en citer que quelques-uns, étaient utilisés par les médecins et les psychiatres mais mal contrôlés par ceux-ci. Elles ont pu ainsi librement proliférer sur le marché illégal des drogues, et cela n’a fait qu’aggraver le problème. Actuellement, l’antidépresseur le plus prescrit, le Prozac-20, est également la dernière nouveauté qui fait fureur dans les rues des villes américaines et sur le marché des stupéfiants. Dans notre monde moderne, on en vient à croire que se droguer fait partie de la vie de tous les jours.

D’autre part, les progrès technologiques de ce siècle ont engendré une avalanche de maux qui menacent le bien-être des populations. Le smog, par exemple, était inconnu avant l’apparition des usines en Grande-Bretagne. Aujourd’hui, toutes les grandes villes du monde informent quotidiennement leurs habitants de la qualité de l’air qu’ils respirent. Il y a cent ans, les principaux conservateurs alimentaires étaient le sel et la glace. Aujourd’hui, presque tous les aliments emballés portent sur leurs étiquettes une liste d’ingrédients artificiels plus longue que la liste de leurs ingrédients naturels. Les catastrophes écologiques comme Tchernobyl auraient été impossibles il y a cinquante ans, sans parler des retombées radioactives dues à la prolifération des essais nucléaires.

Continu...  http://french.purification.org/9-purif.htm

L'aspect scientifique n'explique pas tout et ne donne pas vraiment de solutions.



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samedi 24 octobre 2015

VINTAGE AND PRESIDENT KENNEDY




Marilyn Monroe `


JHON FITZGERALD KENNEDY


ET MARILYN MONROE 




Aux Etats-
Unis, dans les années cinquante, la rencontre d'un golden boy richissime et charmeur et d'une jeune Vénus avait toutes les chances de ne jamais passer à la postérité.

Mais le fils de milliardaires est devenu président des Etats-Unis et la starlette une star. Ces rencontres frivoles, dictées par le plaisir de la chair et de la vanité, s'inscrivent dans les coulisses de la grande politique. Le désir devient otage du pouvoir : l'innocence des caresses, les senteurs des parfums échangés laissent des empreintes dans les mémoires de certains témoins, qui se révèlent encombrants.Ces traces sont vite l'enjeu d'une sourde lutte entre pouvoir légal et pouvoirs occultes (la Mafia, les services secrets, etc.).

MARILYN MONROE

Marilyn Monroe
Lorsque leurs chemins se croisent pour la première fois, au milieu des années 50, Marilyn et Jack –? le surnom de John?– traînent déjà une lourde réputation derrière eux. Ils sont tous deux mariés. Lui, avec Jacqueline Bouvier, fille de bonne famille qu’il a épousée sous la pression de son père Joe, patriarche des Kennedy. Tel James Bond, dont il admire le pouvoir de séduction, il multiplie les conquêtes. Il se renseigne sur Marilyn, épouse de la star de baseball Joe DiMaggio, et découvre qu’à Hollywood, l’actrice passe de lit en lit. On murmure même qu’au début de sa carrière, elle faisait le tour des studios avec une lettre de recommandation d’un producteur. Ce dernier y aurait écrit: «Cette fille fait des pipes formidables.» John adore ces ragots. Et encore plus les filles faciles.

Marilyn.C’est Peter Lawford qui leur permettra de devenir amants, peu après cette première rencontre. Beau-frère de Jack Kennedy, cet acteur arrange le rendez-vous de John et Marilyn dans sa maison de Santa Monica, en Californie. Ils s’y retrouveront souvent. Sur la plage, lui et Marilyn se promènent. Sans se cacher. Ils se revoient au fil des déplacements de JFK. Une fois à Los Angeles, une autre à New York, ou encore à Chicago. Quand son amant prend ses quartiers à la Maison-Blanche, en 1961, Marilyn se voit déjà en First Lady. Elle se berce d’illusions, l’esprit embrumé par les médicaments qu’elle avale pour calmer ses angoisses. Et fait des overdoses ratées à répétition pour attirer l’attention sur elle. Sur les plateaux, ses caprices la rendent ingérable. Derrière le masque de petite fille en manque d’amour qu’elle présente au public, Marilyn se révèle être un monstre d’égoïsme, à l’ego démesuré et à l’hygiène douteuse. «L’être le plus vide que j’ai jamais vu de ma vie», selon sa secrétaire Marjorie Stengel.

Internée à l’asile


Marilyn Monroe est gravement paranoïaque. Folle, comme sa mère et sa grand-mère. Son psy décide de la faire interner, en cellule capitonnée. Quand elle sort de l’hôpital psychiatrique, Marilyn reprend sa vie de fête. Elle envoie des poèmes d’amour à la Maison-Blanche, téléphone souvent à celui qu’elle surnomme «The Prez». Trop souvent, car Jack commence à trouver encombrante cette maîtresse borderline qui n’est à ses yeux qu’un trophée de plus. Mais quel trophée: le 19 mai 1962, Marilyn apparaît sur la scène du Madison Square Garden, à New York, ceintrée dans une robe en soie cousue sur elle et sussure «Happy Birthday, Mister President» devant 40 millions de téléspectateurs. Elle est très en retard. Peter Lawford vient d’annoncer l’arrivée du sex-symbol avec ces mots prémonitoires: «Ladies and gentlemen, the late Marilyn Monroe!» Or, en anglais, «late» signifie «en retard» mais aussi «feu, décédé».

Pour Jackie, c’est l’humiliation de trop. Elle pose un ultimatum à Jack: s’il continue à voir Marilyn, c’est le divorce. La campagne pour les prochaines présidentielles, prévues en 1964, approchent, et JFK sait que, sans épouse à ses côtés, il n’a aucune chance d’être réélu. Le pouvoir est plus important qu’une aventure : il demande à son beau-frère Peter de transmettre le message à Marilyn. Peter Lawford téléphone à l’actrice et lui annonce qu’elle doit sortir de la vie du «Prez». Sans pitié, il lui dit la vérité: «Tu n’as été qu’un coup pour Jack».


Google+A 36? ans, Marilyn est répudiée par tous ceux dont elle était autrefois la favorite, mais refuse de se laisser écarter. Pour la calmer, Robert Kennedy, le frère cadet de Jack, accepte de la rencontrer. Ils passent la nuit ensemble. La passade n’ira pas plus loin, bien que Marilyn bombarde d’appels le Ministère de la Justice, o`u travaille Robert. Cerise sur le gâteau, la 20th Century Fox, lasse de l’inconstance de la star, la licencie. Au cinéma, Marilyn est finie. L’actrice se noie dans le champagne et les barbituriques. Elle menace de donner une conférence de presse pour révéler ses amours interdites avec les frères Kennedy. Pour l’écarter des médias, Lawford l’emmène au lac Tahoe. Mais l’excursion tourne mal. Marilyn fait une énième overdose. Sam Giancana, gros bonnet de la Mafia, qui est aussi invité, profite de son état pour la violer et la passe ensuite à l’un de ses hommes. C’est sa manière à lui de se venger de Robert Kennedy, son ennemi juré.

The very last photo taken of Marilyn Monroe. George Barris.Marilyn n’est pas finie


Si les amourettes du président sont un secret de Polichinelle – l’homme n’est vraiment pas discret –? la presse continue à entretenir le mythe Kennedy. Quel journaliste oserait dire publiquement que l’homme beau, jeune, charismatique qui dirige le pays –?cette Amérique encore très prude?– n’est qu’un coureur de jupons invétéré, rongé par les maladies vénériennes et incapable d’aimer? Le 3 août 1962, la chroniqueuse Dorothy Kilgallen brise pourtant la loi du silence: «Marilyn Monroe fait très fort, dans le secteur du sex appeal. Elle semble avoir des attraits pour un homme bien plus célèbre que Joe DiMaggio. Non, Marilyn n’est pas finie.» Le lendemain, l’actrice est retrouvée morte dans son lit. Nue, seule, le téléphone à côté d’elle, ses pilules à proximité.


 Marilyn s’est-elle suicidée? A-t-elle été assassinée parce qu’elle était une bombe à retardement? Ou, accro aux médicaments, a-t-elle avalé la pilule de trop? Un demi-siècle plus tard, le mystère reste entier. Dans les heures qui ont suivi la mort de la star, tous ceux qui l’avaient côtoyée d’un peu trop près –?FBI, Robert Kennedy, policiers locaux, Secret Service, Mafia, Peter Lawford?– se sont succédé dans sa maison. On a enlevé les micros planqués, les magnétos, détruit les papiers gênants. Toutes les preuves ont été lessivées dans cette grande opération de nettoyage, faisant ainsi entrer dans la légende la mort du plus grand sex-symbol du siècle.


On aurait envie de croire que John F. Kennedy, en amant épleuré, a regretté Marilyn. Mais la vérité, c’est qu’au décès de l’actrice, il l’avait déjà oubliée et remplacée par un harem de stagiaires, actrices et femmes de la haute société. Peter Lawford n’avait pas menti, elle ne fut qu’un coup pour «The Prez». En fait, seul Joe DiMaggio, le mari cocu, la pleurera jusqu’à la fin de sa vie. Sur son lit de mort, en 1999, le joueur de baseball dira d’ailleurs: «Maintenant, je vais voir Marilyn».

Les grandes passions n’en finissent jamais d’alimenter la légende. Femina rallume la flamme dans ses numéros estivaux. Pleins feux sur les amours interdites d’une étoile et d’un lion, Marilyn Monroe et John F. Kennedy.

Elle rêvait d’être la plus grande star au monde. Il voulait, disait-il, «baiser toutes les femmes de Hollywood». Leurs destins ne pouvaient que se télescoper. Mais Marilyn Monroe et John F. Kennedy, icônes de l’Amérique du milieu du 20e siècle, étaient-ils faits pour s’aimer? Pas si sûr. De leurs amours interdites, à la fois très secrètes et totalement publiques, l’Histoire n’a retenu que le souvenir d’une bluette entre deux héros aussi beaux, jeunes et célèbres l’un que l’autre. Mais la réalité derrière la légende n’a rien de romantique. C’est une histoire de sexe, de politique, de violence, d’ambition et de folie. Sordide, souvent.

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JFK a été assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas

jeudi 22 octobre 2015

LES COULEURS DU CIRQUE KNIE



CIRQUE KNIE A AIGLE VD



Le cirque National est le plus grand chapiteau de Suisse

La direction a annoncé que dès l'année prochaine, les éléphants seront supprimés du programme!

Jadis, dans les années 60, de nombreux animaux faisaient partie du cirque Knie; lions, tigres,
panthères, guépards, éléphants.



Par respect des animaux, et pressions de la part des défenseurs des animaux, il est bien triste de ne plus voir ces merveilleux animaux qui faisaient le bonheur des petits et des grands.

Can't win. | Brave .gif

Un animal bien traité, s'adapte à son environnement, même si on le déplace. 
Dans un cirque les animaux sont plutôt heureux de servir l'homme!

LE MONDE MERVEILLEUX DU CIRQUE Ci-dessous: Film cirque Barnum

vendredi 16 octobre 2015

LES LIONS BLANCS DU CIRQUE PINDER



LES DOUZE LIONS BLANCS DU CIRQUE PINDER




Dans les coulisses du Cirque Pinder, le directeur et dompteur Frédéric Elstein des douze lions blancs.

Ces douze lions ont été sauvé par Frédéric. Comme il nous l'explique dans la vidéo. Il est allé les chercher en Afrique du Sud, car là-bas, cette espèce de lion blanc est élevée pour la chasse.


mercredi 14 octobre 2015

UN AIR DE FAMILLE



SUR UN AIR DE MUSIQUE LATINA
Magnifique Vidéo Youtube avec Musique, Images HD Montreux et Environs

Une famille en fête!
ANNIE&STELLA

Dans cette vidéo "Un air de famille" on retrouve notre chère Annie avec Stella et les autres!

Ma petite famille se ballade!

samedi 10 octobre 2015

COULEUR D'AUTOMNE

FLORE

MAGNIFIQUE  PAYSAGE D'AUTOMNE!




Ci-dessus , une vidéo avec Images HD extraordinaires!


10/10/2015 - 110/10/2015 - 1
L'automne est une saison particulièrement propice au promenade, randonnée en montagne.
La nature est superbe, les couleurs virent du vert au brun, les couchés de soleil sont d'une beauté éclatante.


Vignoble d' Yvorne, Aigle, Veytaux, Lacs, Châteaux, Couché de Soleil, Fromagerie...
Couché de soleil à Veytaux CH
 Par Pierre-André Doriot

Q - We Are The Plan