Bombardier Furtif
Drone furtif X45
Bombardier furtif F-117 Nighthawk
(Top secret)
II remplacerait le SR-71 et serait un complément à la constellation des satellites de reconnaissance américains. Les satellites permettent une observation précise mais pas très souple car il faut obligatoirement attendre que l'un d'eux survole la zone cible, pas question de le faire changer de trajectoire, d'où l'intérêt de posséder un avion capable de se rendre rapidement sur place.
Ainsi Aurora est supposé pouvoir rallier n'importe quel endroit de la planète en 2 heures maximum, prendre ses photos ou larguer ses bombes, et rentrer à sa base, le tout sans pouvoir être détecté et encore moins intercepté, et en volant à 60 Km d'altitude.
De telles performances semblent tout simplement impossibles à la plupart des gens mais la technologie pour y parvenir est déjà connue par certains scientifiques, il n'y a rien d'extra-terrestre là-dedans, simplement cela demanderait pas mal de temps, d'expérimentation, et de fric pour y parvenir.
Une photo d'Aurora est encore plus rare qu'une photo d'ovni, et il existe des soi-disant projets expérimentaux qui reprennent son allure générale sans les vraies solutions technologiques, de quoi semer le trouble et décrédibiliser la présomption d'existence d'un appareil opérationnel, une ruse bien connue des américains.
Rien d'établi ne permet d'affirmer avec force que cet avion existe mais il y a des pièces à convictions et des indices administratifs allant en ce sens, même le dernier Science & Vie spécial aviation (juin 2003) l'évoque en parlant du SR-71, je cite : « Cet avion construit à base de titane aurait été remplacé au sein de l'US Air Force par un avion hypersonique furtif dérivé du projet de recherche Aurora. » (c'est pas une preuve mais il s'agit quand même d'un magazine grand public qui y accorde un certain crédit).
Catégorie: ?
Vitesse maxi : + de 10 000 Km/h (Mach 8.7)
Plafond opérationnel : + de 60 000 m
Envergure : ?
Longueur : ?
Masse à vide: ?
Masse maximum au décollage : ?
Autonomie : 40 000 Km, + possibilité de ravitaillement en vol
Armement : ?
Prix : ?
Ainsi Aurora est supposé pouvoir rallier n'importe quel endroit de la planète en 2 heures maximum, prendre ses photos ou larguer ses bombes, et rentrer à sa base, le tout sans pouvoir être détecté et encore moins intercepté, et en volant à 60 Km d'altitude.
De telles performances semblent tout simplement impossibles à la plupart des gens mais la technologie pour y parvenir est déjà connue par certains scientifiques, il n'y a rien d'extra-terrestre là-dedans, simplement cela demanderait pas mal de temps, d'expérimentation, et de fric pour y parvenir.
Une photo d'Aurora est encore plus rare qu'une photo d'ovni, et il existe des soi-disant projets expérimentaux qui reprennent son allure générale sans les vraies solutions technologiques, de quoi semer le trouble et décrédibiliser la présomption d'existence d'un appareil opérationnel, une ruse bien connue des américains.
Rien d'établi ne permet d'affirmer avec force que cet avion existe mais il y a des pièces à convictions et des indices administratifs allant en ce sens, même le dernier Science & Vie spécial aviation (juin 2003) l'évoque en parlant du SR-71, je cite : « Cet avion construit à base de titane aurait été remplacé au sein de l'US Air Force par un avion hypersonique furtif dérivé du projet de recherche Aurora. » (c'est pas une preuve mais il s'agit quand même d'un magazine grand public qui y accorde un certain crédit).
Catégorie: ?
Vitesse maxi : + de 10 000 Km/h (Mach 8.7)
Plafond opérationnel : + de 60 000 m
Envergure : ?
Longueur : ?
Masse à vide: ?
Masse maximum au décollage : ?
Autonomie : 40 000 Km, + possibilité de ravitaillement en vol
Armement : ?
Prix : ?
Il s’agit en réalité d’un avion prototype combinant une série de moteurs, de systèmes de propulsion différents : 4 super réacteurs entrent en phase de post combustion et de super post combustion au décollage, ce qui dégage des flammes de 90 mètres de long et qui permettent de propulser cet espèce d’aile delta allongée en peu de temps à 450 km/h.
En bout de piste, soit à 5km, l’avion se cabre et finit par décoller en pointant son nez à 72 degrés vers le ciel. Pas un seul être humain n’est supposé se situer dans un rayon d’un kilomètre de ce monstre car «les pulsations infrasoniques de l’avion sont mortelles à moins de 1000 mètres».
Après la phase de décollage de la piste, les 4 turborécateurs s’éteignent et des statoréacteurs prennent le relais pour propulser l’avion à Mach 4 à une altitude de 40 km. Ensuite, des fusées intégrées aux statoréacteurs s’enclenchent à très haute altitude durant une dizaine de second, ce qui amène l’engin à Mach 8 et à 60 km d’altitude.
En bout de piste, soit à 5km, l’avion se cabre et finit par décoller en pointant son nez à 72 degrés vers le ciel. Pas un seul être humain n’est supposé se situer dans un rayon d’un kilomètre de ce monstre car «les pulsations infrasoniques de l’avion sont mortelles à moins de 1000 mètres».
Après la phase de décollage de la piste, les 4 turborécateurs s’éteignent et des statoréacteurs prennent le relais pour propulser l’avion à Mach 4 à une altitude de 40 km. Ensuite, des fusées intégrées aux statoréacteurs s’enclenchent à très haute altitude durant une dizaine de second, ce qui amène l’engin à Mach 8 et à 60 km d’altitude.
A cette altitude, le système de propulsion MHD (magnétohydrodynamique) s’enclenche et «plus de 100 mégawatts d’énergie électrique sont injectés dans les milliers d’électrodes recouvrant l’avion, l’entourant d’un plasma lumineux doré (d’où le nom d’Aurora) qui le fait ressembler à une étoile filante».
Le revêtement de certaines parties de l’avion est donc capital pour recouvrir l’avion d’une sorte de coque virtuelle qui va supprimer ou diminuer les frottements, les échauffements et les ondes de choc qui ralentissent, voire détruisent un avion «classique» lorsqu’il dépasse une certaine vitesse et génère donc une quantité importante de frottements dans l’air.
Les ondes de choc sont guidées dans un ralentisseur MHD supplémentaire placé dans l’entrée d’air du statoréacteur. Mach 8 est la vitesse maxi de l’Aurora et sa vitesse idéale de croisière est de 5000km/h , ce qui est largement supérieur aux avions à réaction les plus rapides.
Un ordinateur s’occupe de gérer les enclenchements successifs aux moments optimums des différents modes de propulsion. Il s’agit avant tout d’un avion furtif de reconnaissance à haute altitude et à haute vitesse qui aurait été employé en Irak.
Le revêtement de certaines parties de l’avion est donc capital pour recouvrir l’avion d’une sorte de coque virtuelle qui va supprimer ou diminuer les frottements, les échauffements et les ondes de choc qui ralentissent, voire détruisent un avion «classique» lorsqu’il dépasse une certaine vitesse et génère donc une quantité importante de frottements dans l’air.
Les ondes de choc sont guidées dans un ralentisseur MHD supplémentaire placé dans l’entrée d’air du statoréacteur. Mach 8 est la vitesse maxi de l’Aurora et sa vitesse idéale de croisière est de 5000km/h , ce qui est largement supérieur aux avions à réaction les plus rapides.
Un ordinateur s’occupe de gérer les enclenchements successifs aux moments optimums des différents modes de propulsion. Il s’agit avant tout d’un avion furtif de reconnaissance à haute altitude et à haute vitesse qui aurait été employé en Irak.
Le premier vol MHD aurait eu lieu en août 1989 et la vitesse de Mach 8 aurait été atteinte en décembre de la même année, nous précise
Le projet était conçu pour être opérationnel comme avion espion (comme l’a été le U2 ou le SR 71) mais des problèmes techniques qui n’ont pas pu être solutionnés ont fait capoter l’affaire. Seuls, deux prototypes ont été construits et jamais, l’Aurora n’aura été le mystérieux et flamboyant avenir des futurs projets de l’Air Force comme l’ont affirmé certains auteurs dans des fanzines aéronautiques et ufologiques ou certains autres qui voyaient en plus dans l’Aurora un projet antigravitationnel.Aurora avec une escorte de chasseurs
Le projet était conçu pour être opérationnel comme avion espion (comme l’a été le U2 ou le SR 71) mais des problèmes techniques qui n’ont pas pu être solutionnés ont fait capoter l’affaire. Seuls, deux prototypes ont été construits et jamais, l’Aurora n’aura été le mystérieux et flamboyant avenir des futurs projets de l’Air Force comme l’ont affirmé certains auteurs dans des fanzines aéronautiques et ufologiques ou certains autres qui voyaient en plus dans l’Aurora un projet antigravitationnel.Aurora avec une escorte de chasseurs