lundi 30 décembre 2019
samedi 28 décembre 2019
samedi 21 décembre 2019
OISEAUX DE PARADIS
LE VASTE MONDE DES OISEAUX
Oiseaux de Paradis et Colibris. Dans la nature tropicale, la vie abonde au point d'en être obsédante: quelle multitude d'espèces végétales et animales, quelle diversité de formes et quelle prodigalité de couleurs et d'ornements! Les oiseaux en sont un exemple frappant.
Le vaste monde des oiseaux comprend plusieurs espèces différentes. L'oiseau le plus impressionnant, celui qui est capable d'attaquer un loup et de l'emporter dans les airs, est sans nul
doute l'aigle royal.
L'aigle pêcheur est majestueux!
Quelques spécimens d'oiseaux parmi les plus beaux du monde.
mardi 10 décembre 2019
SUBSTANCES TOXIQUES
Inévitablement, phtalates, parabens, aluminium, acides gras trans, bisphénol A et autres perturbateurs endocriniens se retrouvent en partie dans notre alimentation. Sans être une source exclusive d’intoxication à petit feu, notre alimentation est souvent polluée et pourrait finir par nous empoisonner. Mieux vaut s’informer pour prévenir, en limitant autant que possible les ingrédients et les expositions nuisibles.
L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie.
Nous vivons dans une société orientée vers la chimie.
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L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie.
Nous vivons dans une société orientée vers la chimie.
Il serait difficile, dans la civilisation actuelle, de trouver une personne qui ne soit pas affectée par ce fait. La grande majorité des gens sont soumis chaque jour à une absorption de conservateurs alimentaires et à d’autres poisons chimiques, parmi lesquels des poisons atmosphériques et des pesticides. Ajoutez à cela les pilules contre la douleur, les tranquillisants, les drogues psychiatriques, et autres médicaments prescrits par les docteurs. En outre, l’utilisation répandue de la marijuana, du L. S. D., de la cocaïne et d’autres drogues noircit davantage le tableau.
Ces facteurs sont tous inhérents au problème biochimique.
Par BIOCHIMIQUE on veut dire l’interaction des formes vivantes et des substances chimiques.
Le terme BIO- signifie la vie ou relatif à ce qui vit et vient du grec bios, vie ou façon de vivre.
CHIMIQUE signifie d’origine chimique ou se rapportant à des produits chimiques. Les produits chimiques sont des substances, simples ou complexes, qui sont les éléments de base de la matière.
Le corps humain est composé de produits chimiques particuliers ainsi que de composés chimiques et il est le siège de réactions chimiques complexes qui se déroulent continuellement. Certaines substances, comme les nutriments, l’air et l’eau, sont essentielles à la continuité de ces réactions et au maintien de la santé du corps. D’autres substances sont relativement neutres et ne causent ni bienfaits ni dommages lorsqu’elles sont introduites dans le corps. Mais d’autres substances peuvent causer des dommages en bloquant ou en altérant des fonctions du corps et en rendant le corps malade ou même en le tuant.
LES SUBSTANCES TOXIQUES, qui viennent se ranger dans cette dernière catégorie, sont celles qui en perturbent l’équilibre chimique normal ou qui interfèrent avec ses processus. Ce terme est utilisé pour décrire des drogues, des produits chimiques ou n’importe quelle substance qui est un poison ou qui est néfaste pour l’organisme. Le terme toxique vient du mot grec toxicon qui signifiait à l’origine un poison dans lequel on trempait ses flèches.
La DÉSINTOXICATION consisterait à enlever un poison de quelque chose, comme du corps de quelqu’un, ou à en retirer les effets.
L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie. Les drogues, les déchets radioactifs, les polluants et les agents chimiques de toutes sortes ne sont pas seulement partout, mais sont de plus en plus présents à mesure que le temps passe. En fait, ils sont tellement communs qu’il est impossible de les éviter.
Par exemple, certains des produits qu’on met dans les légumes ou les soupes en conserves pourraient être considérés comme toxiques. Ce sont des conservateurs et l’action d’un conservateur est d’empêcher la décomposition. Pourtant, la digestion et l’activité cellulaire reposent sur la décomposition.
Autrement dit, ces conservateurs peuvent être formidables pour le fabricant, car ils préservent le produit, mais ils pourraient être très néfastes pour le consommateur. Ce n’est pas que la nourriture soit une mode qui m’emballe ou que je m’emballe contre les conservateurs. Ce qui est important, c’est que l’Homme est entouré de toxines.
Ce seul exemple des conservateurs dans la nourriture illustre à quel point les substances toxiques sont présentes dans la vie de tous les jours.
Mais il faut ajouter à cela que les ennemis de divers pays utilisent la dépendance générale aux drogues comme mécanisme de défaite et que les nations rivalisent entre elles pour fabriquer et tester des armes nucléaires, augmentant ainsi la quantité de substances radioactives libérées dans l’environnement. Puis ajoutez-y les calmants et les sédatifs, l’utilisation accrue de produits chimiques dans l’industrie et l’agriculture, et les substances toxiques mises au point pour la guerre chimique.
Bref, disons-le carrément, cette société, en ce moment, est infestée par les substances toxiques.
Certaines informations concernant les substances qui présentent une menace pour les individus et pour la société en général permettront de percevoir plus clairement le problème biochimique. C’est de ce problème que s’occupe le Programme de Purification.
C’est vrai de toute drogue et chacune produit ces résultats à des quantités différentes. Le café en est un exemple, car la caféine est une drogue. Une centaine de tasses de café tueraient probablement une personne. Dix tasses l’endormiraient probablement. Deux ou trois tasses vont la stimuler. Il s’agit là d’une drogue très courante. Elle n’est pas très nocive, car il faut l’absorber en grande quantité pour qu’elle produise un effet. Elle est par conséquent connue comme stimulant.
L’arsenic est un poison connu. Bien qu’une très faible quantité d’arsenic agisse comme un stimulant, une dose plus importante fait dormir et quelques décigrammes peuvent tuer.
Des recherches ont démontré que l’élément le plus destructif présent dans notre culture actuelle est la drogue.
D’après les rapports, certaines de ces drogues pourraient causer des lésions du cerveau ou des nerfs. Par exemple, la marijuana, si prisée par les étudiants dans les universités, étudiants qui sont censés devenir intelligents aujourd’hui pour être les cadres de demain, peut causer une atrophie du cerveau.
Des recherches ont même établi qu’il existe une « personnalité biochimique ». Elle est artificielle et créée par les drogues.
Les drogues peuvent apparemment modifier l’attitude d’une personne, transformant sa personnalité d’origine en une personnalité nourrissant secrètement des hostilités et des haines qu’elle ne laisse pas paraître. Bien que cela ne soit pas vérifié dans tous les cas, cela établit une relation entre les drogues et nos difficultés croissantes avec la criminalité, l’affaiblissement de la productivité et l’effondrement moderne de la culture sociale et industrielle.
Les effets physiologiques dévastateurs des drogues font couramment les gros titres des journaux. Qu’ils résultent aussi en une détérioration de la vivacité mentale et du sens de l’éthique n’est que trop évident.
Mais aussi brutales et nuisibles qu’elles soient, les drogues de la rue ne forment qu’une partie du problème biochimique.
Les sédatifs sont souvent administrés comme un remède universel à tous les maux. En 1951 déjà, les gens étaient tellement habitués à leurs doses journalières de pilules pour dormir ou de calmants qu’ils ne considéraient plus leurs « petites pilules » comme des drogues.
L’attitude courante est trop souvent celle-ci : « Si je ne peux pas trouver la cause de la douleur, au moins je peux la calmer. » Dans le cas de quelqu’un qui est malade mentalement, cela pourrait se formuler ainsi : « Si on ne peut pas le rendre sain d’esprit, on peut au moins le faire se tenir tranquille. »
Il n’est malheureusement pas du tout reconnu qu’une personne dont la douleur a été calmée par un sédatif a elle-même été calmée par cette même drogue, et cela la rapproche beaucoup de la sanction ultime qu’est la mort. Il devrait être évident que les gens les plus calmes au monde sont les morts.
La personne ne peut donc plus coordonner son corps. L’alcool en faibles quantités est un stimulant, en grandes quantités, un calmant.
La définition d’un alcoolique est quelqu’un qui ne peut pas boire qu’un seul verre. S’il boit un verre, il doit en boire un autre. Il est dépendant. L’un des facteurs est qu’il doit avoir un verre plein en face de lui. S’il est vide, il doit le remplir à nouveau.
Les alcooliques ressentent continuellement de l’hostilité envers tout ce qui les entoure. Ils peuvent détruire quelqu’un sans même y prêter attention.
L’alcool est une drogue. Le degré de consommation d’alcool (quantité et fréquence) détermine si oui ou non on devrait considérer un individu comme un gros consommateur.
Bien entendu, le consommateur peut lui aussi être exposé à des résidus chimiques quand il utilise ces produits.
Dans le domaine des herbicides, il existe toute une gamme de produits contenant une substance appelée « dioxine » qu’on sait être fortement toxique, même en quantités presque trop faibles pour être décelées dans le corps.
En agriculture, on peut être en contact avec des produits chimiques de nombreuses façons. Les produits chimiques peuvent être amenés dans la plante ou sur la plante et donc être ainsi ingérés. Ils peuvent être portés par le vent et respirés directement par ceux qui vivent et travaillent dans une zone agricole. Ils peuvent même être transportés par le réseau d’alimentation en eau potable.
L’introduction d’édulcorants artificiels dans les boissons « light » non alcoolisées et dans d’autres produits industriels est de plus en plus courante. Il ressort des recherches sur ces « exhausteurs de goût », ces « édulcorants » et ces « conservateurs » que beaucoup d’entre eux sont toxiques. Tout le sujet des additifs et des conservateurs dans les produits alimentaires est devenu une préoccupation pour beaucoup de monde.
Il existe un autre aspect de ce sujet de l’alimentation. Des recherches ont indiqué que l’huile rance était un risque pour la santé d’une amplitude qu’on ne soupçonnait pas jusque-là. Des chercheurs ont établi une relation entre les huiles de cuisson ou de préparation industrielle des aliments, quand elles ne sont pas fraîches et pures, mais au contraire rances, et des problèmes digestifs, musculaires et même le cancer.
Des découvertes semblent confirmer que ces produits chimiques qui flottent dans les supermarchés de quartier en tant que « parfums », sont en fait toxiques et peuvent se retrouver dans les produits alimentaires qui y sont vendus. Ingérer ces produits chimiques n’aide certainement pas la digestion.
En d’autres mots, il existe de nombreuses façons d’être exposé aux radiations. Il y en a partout et cela a toujours été ainsi. Mais il y en a simplement davantage aujourd’hui.
Les admirateurs du Soleil, les gens qui se font bronzer, ceux dont l’ambition est de rôtir au soleil année après année, s’exposent aux radiations. Qu’est-ce que le Soleil sinon une boule de radiations ? On ne peut pas trouver de meilleur exemple de radiation que notre soleil. Donc, un coup de soleil est une brûlure, mais pas une brûlure due simplement à un excès de chaleur : c’est une brûlure par radiations. Une certaine quantité de lumière solaire est probablement essentielle à la santé du corps humain. Nous parlons ici d’exposition excessive. Même si on ne parle pas de brûlure, une exposition journalière importante sur de longues périodes soumet une personne à l’effet cumulatif des radiations.
Les rayons X exposent aussi une personne aux radiations. Ils sont tout aussi mortels que la fission atomique. Ils ne sont pas accompagnés d’une grande déflagration. Vous n’obtenez pas une énorme explosion et une ville rasée.
Mais de radiographie en radiographie, une personne accumule de plus en plus de radiations, de telle sorte que si elle reçoit un peu plus de rayons X ou de retombées radioactives, elle risque de tomber malade. Une utilisation continue et répétée de rayons X sur une personne peut provoquer tout ce que fait la fission atomique quand elle pollue l’atmosphère.
Là où il existe une atmosphère radioactive, il y a aussi une baisse du niveau de la santé. Plus une personne est exposée aux radiations, moins elle peut y résister et plus les radiations ont d’effet sur elle. Autrement dit, au cours du temps, un dépôt se fait dans le corps provenant des diverses sources décrites ci-dessus. Les radiations étant cumulatives, cela complique le problème biochimique et constitue une barrière importante.
La question logique à poser concernant une procédure susceptible de remédier à de telles accumulations serait : « Est-elle efficace ? » « Donne-t-elle des résultats ? »
On trouve la réponse à ces questions dans l’expérience pratique et dans une compréhension des découvertes qui ont conduit à une procédure pour libérer l’individu des effets néfastes des substances toxiques.
Ces facteurs sont tous inhérents au problème biochimique.
Par BIOCHIMIQUE on veut dire l’interaction des formes vivantes et des substances chimiques.
Le terme BIO- signifie la vie ou relatif à ce qui vit et vient du grec bios, vie ou façon de vivre.
CHIMIQUE signifie d’origine chimique ou se rapportant à des produits chimiques. Les produits chimiques sont des substances, simples ou complexes, qui sont les éléments de base de la matière.
Le corps humain est composé de produits chimiques particuliers ainsi que de composés chimiques et il est le siège de réactions chimiques complexes qui se déroulent continuellement. Certaines substances, comme les nutriments, l’air et l’eau, sont essentielles à la continuité de ces réactions et au maintien de la santé du corps. D’autres substances sont relativement neutres et ne causent ni bienfaits ni dommages lorsqu’elles sont introduites dans le corps. Mais d’autres substances peuvent causer des dommages en bloquant ou en altérant des fonctions du corps et en rendant le corps malade ou même en le tuant.
LES SUBSTANCES TOXIQUES, qui viennent se ranger dans cette dernière catégorie, sont celles qui en perturbent l’équilibre chimique normal ou qui interfèrent avec ses processus. Ce terme est utilisé pour décrire des drogues, des produits chimiques ou n’importe quelle substance qui est un poison ou qui est néfaste pour l’organisme. Le terme toxique vient du mot grec toxicon qui signifiait à l’origine un poison dans lequel on trempait ses flèches.
La DÉSINTOXICATION consisterait à enlever un poison de quelque chose, comme du corps de quelqu’un, ou à en retirer les effets.
DES TOXINES EN ABONDANCE
Une énorme quantité de textes ont été écrits au sujet des substances toxiques, de leurs effets signalés et de leurs perspectives de traitement. Des exemples en abondent dans des publications et dans la presse.L’environnement actuel est saturé d’éléments hostiles à la vie. Les drogues, les déchets radioactifs, les polluants et les agents chimiques de toutes sortes ne sont pas seulement partout, mais sont de plus en plus présents à mesure que le temps passe. En fait, ils sont tellement communs qu’il est impossible de les éviter.
Par exemple, certains des produits qu’on met dans les légumes ou les soupes en conserves pourraient être considérés comme toxiques. Ce sont des conservateurs et l’action d’un conservateur est d’empêcher la décomposition. Pourtant, la digestion et l’activité cellulaire reposent sur la décomposition.
Autrement dit, ces conservateurs peuvent être formidables pour le fabricant, car ils préservent le produit, mais ils pourraient être très néfastes pour le consommateur. Ce n’est pas que la nourriture soit une mode qui m’emballe ou que je m’emballe contre les conservateurs. Ce qui est important, c’est que l’Homme est entouré de toxines.
Ce seul exemple des conservateurs dans la nourriture illustre à quel point les substances toxiques sont présentes dans la vie de tous les jours.
Mais il faut ajouter à cela que les ennemis de divers pays utilisent la dépendance générale aux drogues comme mécanisme de défaite et que les nations rivalisent entre elles pour fabriquer et tester des armes nucléaires, augmentant ainsi la quantité de substances radioactives libérées dans l’environnement. Puis ajoutez-y les calmants et les sédatifs, l’utilisation accrue de produits chimiques dans l’industrie et l’agriculture, et les substances toxiques mises au point pour la guerre chimique.
Bref, disons-le carrément, cette société, en ce moment, est infestée par les substances toxiques.
Certaines informations concernant les substances qui présentent une menace pour les individus et pour la société en général permettront de percevoir plus clairement le problème biochimique. C’est de ce problème que s’occupe le Programme de Purification.
LA DROGUE
Les drogues sont essentiellement des poisons. L’effet qu’elles provoquent est déterminé par la quantité absorbée. Une petite quantité crée un effet stimulant (elle augmente l’activité). Une quantité plus importante agit comme un sédatif (elle diminue l’activité). Une dose massive agit comme un poison et peut être mortelle.C’est vrai de toute drogue et chacune produit ces résultats à des quantités différentes. Le café en est un exemple, car la caféine est une drogue. Une centaine de tasses de café tueraient probablement une personne. Dix tasses l’endormiraient probablement. Deux ou trois tasses vont la stimuler. Il s’agit là d’une drogue très courante. Elle n’est pas très nocive, car il faut l’absorber en grande quantité pour qu’elle produise un effet. Elle est par conséquent connue comme stimulant.
L’arsenic est un poison connu. Bien qu’une très faible quantité d’arsenic agisse comme un stimulant, une dose plus importante fait dormir et quelques décigrammes peuvent tuer.
DROGUES DE LA RUE
Les problèmes de drogues s’étendent à l’échelle de la planète. Ils baignent dans le sang et la misère humaine.Des recherches ont démontré que l’élément le plus destructif présent dans notre culture actuelle est la drogue.
Des recherches ont même établi qu’il existe une « personnalité biochimique ». Elle est artificielle et créée par les drogues.
L’usage de plus en plus répandu de drogues comme le L. S. D., l’héroïne, la cocaïne, le cannabis et la longue liste des nouvelles drogues de la rue contribue à miner notre société. Même les écoliers sont poussés à prendre des drogues. Et les enfants de mères qui consomment de la drogue naissent drogués.D’après les rapports, certaines de ces drogues pourraient causer des lésions du cerveau ou des nerfs. Par exemple, la marijuana, si prisée par les étudiants dans les universités, étudiants qui sont censés devenir intelligents aujourd’hui pour être les cadres de demain, peut causer une atrophie du cerveau.
Des recherches ont même établi qu’il existe une « personnalité biochimique ». Elle est artificielle et créée par les drogues.
Les drogues peuvent apparemment modifier l’attitude d’une personne, transformant sa personnalité d’origine en une personnalité nourrissant secrètement des hostilités et des haines qu’elle ne laisse pas paraître. Bien que cela ne soit pas vérifié dans tous les cas, cela établit une relation entre les drogues et nos difficultés croissantes avec la criminalité, l’affaiblissement de la productivité et l’effondrement moderne de la culture sociale et industrielle.
Les effets physiologiques dévastateurs des drogues font couramment les gros titres des journaux. Qu’ils résultent aussi en une détérioration de la vivacité mentale et du sens de l’éthique n’est que trop évident.
Mais aussi brutales et nuisibles qu’elles soient, les drogues de la rue ne forment qu’une partie du problème biochimique.
MÉDICAMENTS ET PSYCHOTROPES
Les médicaments et, en particulier, la longue liste des psychotropes (Ritaline, Valium, Largactil et lithium, pour n’en nommer que quelques-uns) peuvent causer autant de mal que les drogues de la rue. Ceux en usage actuellement sont tellement répandus que cela peut sembler surprenant à une personne non familiarisée avec le problème.Les sédatifs sont souvent administrés comme un remède universel à tous les maux. En 1951 déjà, les gens étaient tellement habitués à leurs doses journalières de pilules pour dormir ou de calmants qu’ils ne considéraient plus leurs « petites pilules » comme des drogues.
L’attitude courante est trop souvent celle-ci : « Si je ne peux pas trouver la cause de la douleur, au moins je peux la calmer. » Dans le cas de quelqu’un qui est malade mentalement, cela pourrait se formuler ainsi : « Si on ne peut pas le rendre sain d’esprit, on peut au moins le faire se tenir tranquille. »
Il n’est malheureusement pas du tout reconnu qu’une personne dont la douleur a été calmée par un sédatif a elle-même été calmée par cette même drogue, et cela la rapproche beaucoup de la sanction ultime qu’est la mort. Il devrait être évident que les gens les plus calmes au monde sont les morts.
L’alcool est une drogue. Le degré de consommation d’alcool (quantité et fréquence) détermine si oui ou non on devrait considérer un individu comme un gros consommateur.
L’ALCOOL
L’alcool n’est pas un psychotrope, mais c’est une drogue qui affecte la biochimie du corps. L’alcool n’affecte pas l’esprit, il affecte les nerfs. En brûlant rapidement toute la vitamine B1 du corps, il empêche les nerfs de fonctionner correctement.La personne ne peut donc plus coordonner son corps. L’alcool en faibles quantités est un stimulant, en grandes quantités, un calmant.
La définition d’un alcoolique est quelqu’un qui ne peut pas boire qu’un seul verre. S’il boit un verre, il doit en boire un autre. Il est dépendant. L’un des facteurs est qu’il doit avoir un verre plein en face de lui. S’il est vide, il doit le remplir à nouveau.
Les alcooliques ressentent continuellement de l’hostilité envers tout ce qui les entoure. Ils peuvent détruire quelqu’un sans même y prêter attention.
L’alcool est une drogue. Le degré de consommation d’alcool (quantité et fréquence) détermine si oui ou non on devrait considérer un individu comme un gros consommateur.
PROCESSUS ET PRODUITS COMMERCIAUX
Récemment, de nombreuses recherches ont été consacrées aux effets potentiellement toxiques de substances qu’on utilise communément au cours de divers processus industriels et pour déterminer dans quelle mesure ces substances se retrouvent dans les corps des habitants de cette planète. Ce qui suit donne quelques exemples de ce que ces recherches ont révélé.PRODUITS CHIMIQUES INDUSTRIELS
On compte parmi eux des dizaines de milliers de produits chimiques utilisés dans les industries de transformation. Bien évidemment, tous ces produits ne sont pas toxiques. Mais les ouvriers qui travaillent dans des usines qui produisent ou utilisent des pesticides, des dérivés du pétrole, des matières plastiques, des détergents, des produits chimiques de nettoyage, des solvants, des métaux plaqués, des conservateurs, des drogues, des produits dérivés de l’amiante, des engrais, certains cosmétiques, des parfums, des peintures, des colorants, de l’équipement électrique ou n’importe quelle substance radioactive, peuvent être exposés, souvent pendant des périodes prolongées, à des substances toxiques.Bien entendu, le consommateur peut lui aussi être exposé à des résidus chimiques quand il utilise ces produits.
PRODUITS CHIMIQUES AGRICOLES
Les pesticides sont les substances toxiques les plus évidentes auxquelles les ouvriers agricoles peuvent être exposés. Cela comprend les insecticides (produits chimiques qui tuent les insectes), les herbicides (produits chimiques qui tuent les plantes qu’on ne souhaite pas avoir, comme les mauvaises herbes) et les engrais synthétiques.Dans le domaine des herbicides, il existe toute une gamme de produits contenant une substance appelée « dioxine » qu’on sait être fortement toxique, même en quantités presque trop faibles pour être décelées dans le corps.
En agriculture, on peut être en contact avec des produits chimiques de nombreuses façons. Les produits chimiques peuvent être amenés dans la plante ou sur la plante et donc être ainsi ingérés. Ils peuvent être portés par le vent et respirés directement par ceux qui vivent et travaillent dans une zone agricole. Ils peuvent même être transportés par le réseau d’alimentation en eau potable.
PRODUITS ALIMENTAIRES, ADDITIFS ET CONSERVATEURS
Certaines substances ajoutées aux produits alimentaires industriels sont censées en « améliorer » la couleur ou la saveur ou, comme mentionné auparavant, empêcher la nourriture de se gâter.L’introduction d’édulcorants artificiels dans les boissons « light » non alcoolisées et dans d’autres produits industriels est de plus en plus courante. Il ressort des recherches sur ces « exhausteurs de goût », ces « édulcorants » et ces « conservateurs » que beaucoup d’entre eux sont toxiques. Tout le sujet des additifs et des conservateurs dans les produits alimentaires est devenu une préoccupation pour beaucoup de monde.
Il existe un autre aspect de ce sujet de l’alimentation. Des recherches ont indiqué que l’huile rance était un risque pour la santé d’une amplitude qu’on ne soupçonnait pas jusque-là. Des chercheurs ont établi une relation entre les huiles de cuisson ou de préparation industrielle des aliments, quand elles ne sont pas fraîches et pures, mais au contraire rances, et des problèmes digestifs, musculaires et même le cancer.
LES PARFUMS ET LES SENTEURS
L’utilisation de parfums et de senteurs dans toutes sortes de produits est devenue de plus en plus commune ces dernières années. Depuis les vêtements et les détergents pour la lessive, jusqu’aux mouchoirs en papier et aux publicités dans les magazines, partout on trouve des parfums incorporés. Cette senteur est habituellement un dérivé chimique, un extrait de goudron de houille qui coûte environ 5 centimes les cent litres.Des découvertes semblent confirmer que ces produits chimiques qui flottent dans les supermarchés de quartier en tant que « parfums », sont en fait toxiques et peuvent se retrouver dans les produits alimentaires qui y sont vendus. Ingérer ces produits chimiques n’aide certainement pas la digestion.
LES RADIATIONS
Vous avez sans doute vu aux informations qu’on peut être en contact avec des radiations en s’exposant à des essais d’armes nucléaires (ou à des particules radioactives relâchées dans l’atmosphère), à des déchets radioactifs ou à des procédés de fabrication utilisant des matériaux radioactifs. De plus, l’utilisation accrue de l’énergie nucléaire pour fournir de l’électricité, sans développer de technologie adéquate et sécurisée, présente une menace non militaire. Et la haute atmosphère de la planète, détériorée année après année par les polluants, laisse passer davantage de radiations solaires vers la surface terrestre.En d’autres mots, il existe de nombreuses façons d’être exposé aux radiations. Il y en a partout et cela a toujours été ainsi. Mais il y en a simplement davantage aujourd’hui.
Les admirateurs du Soleil, les gens qui se font bronzer, ceux dont l’ambition est de rôtir au soleil année après année, s’exposent aux radiations. Qu’est-ce que le Soleil sinon une boule de radiations ? On ne peut pas trouver de meilleur exemple de radiation que notre soleil. Donc, un coup de soleil est une brûlure, mais pas une brûlure due simplement à un excès de chaleur : c’est une brûlure par radiations. Une certaine quantité de lumière solaire est probablement essentielle à la santé du corps humain. Nous parlons ici d’exposition excessive. Même si on ne parle pas de brûlure, une exposition journalière importante sur de longues périodes soumet une personne à l’effet cumulatif des radiations.
Les rayons X exposent aussi une personne aux radiations. Ils sont tout aussi mortels que la fission atomique. Ils ne sont pas accompagnés d’une grande déflagration. Vous n’obtenez pas une énorme explosion et une ville rasée.
Mais de radiographie en radiographie, une personne accumule de plus en plus de radiations, de telle sorte que si elle reçoit un peu plus de rayons X ou de retombées radioactives, elle risque de tomber malade. Une utilisation continue et répétée de rayons X sur une personne peut provoquer tout ce que fait la fission atomique quand elle pollue l’atmosphère.
Là où il existe une atmosphère radioactive, il y a aussi une baisse du niveau de la santé. Plus une personne est exposée aux radiations, moins elle peut y résister et plus les radiations ont d’effet sur elle. Autrement dit, au cours du temps, un dépôt se fait dans le corps provenant des diverses sources décrites ci-dessus. Les radiations étant cumulatives, cela complique le problème biochimique et constitue une barrière importante.
LA SOLUTION AU MONDE BIOCHIMIQUE
À la lumière de tout ce qui est mentionné ci-dessus, le Programme de Purification est une solution proposée à ce problème biochimique. Dans une société aussi envahie par les drogues et les produits toxiques que celle-ci l’est devenue, traiter les accumulations de tels produits est d’un grand intérêt.La question logique à poser concernant une procédure susceptible de remédier à de telles accumulations serait : « Est-elle efficace ? » « Donne-t-elle des résultats ? »
On trouve la réponse à ces questions dans l’expérience pratique et dans une compréhension des découvertes qui ont conduit à une procédure pour libérer l’individu des effets néfastes des substances toxiques.
L. Ron Hubbard
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Héron Cendré
Le lac Léman est un lac en forme de croissant situé entre la France et la Suisse, et dominé par les Alpes. Genève, la ville suisse à son extrémité sud, est un centre diplomatique qui abrite des magasins de luxe et une vieille ville pavée. Au sud, du côté français, se trouve la ville thermale et station balnéaire d'Évian-les-Bains. La Riviera suisse chic et parsemée de palmiers s'étend le long de la rive nord, de Lausanne à Montreux.
Images Vidéo Pierre-André Doriot
lundi 9 décembre 2019
SADE A MONTREUX
MONTREUX JAZZ FESTIVAL
Sade à Montreux en 1984 au Casino - Unique concert!
Avec plus de deux heures de retard Sade en cette année 1984, a failli ne pas venir à Montreux. En effet elle avait raté son avion et est arrivée à l'aéroport de Genéve via Montreux en fin de soirée.
Au bar du Jazz Festival après son magnifique concert, Sade est venu finir la soirée en bonne compagnie. Avec mon ami Max de Thoune nous lui avons offert le champagne et nous avons passé un moment privilégié avec Sade.
P.A. Doriot
Mon Art
NATZWILLER - STRUTHOF
SOUVENONS-NOUS!
Camp de concentration de Natzwiller-Struthof
Par Pierre-André Doriot
L'un des camps de concentration les plus meurtriers avec Mauthausen et Auswitch
Le Struthof est un lieu-dit sur la commune de Natzwiller, dans le département du Bas-Rhin, en France.
Il désignait une station de villégiature au début du XXe siècle.
Il est désigne communément le camp de concentration de Natzwiller-Struthof, actif de 1941 à 1944. Le camp de
concentration de Natzwiller-Struthof[1] est le seul camp de concentration sur le territoire aujourd'hui français. Lors de sa création, l'Alsace et la Moselle avaient été annexées par le Troisième Reich. Il a été installé au Struthof, un lieu-dit dans les hauteurs de la commune de Natzwiller (Bas-Rhin), durant la Seconde Guerre mondiale. Son nom allemand était KL Natzweiler-Struthof, KL pour Konzentrationslager, soit en français « camp de concentration ».
Le Struthof est avec Mauthausen l’un des camps les plus meurtriers du système concentrationnaire nazi, avec un taux de mortalité de plus de 40 %.
ROTHAU, les déportés arrivaient de toute l'Europe épuisés par le voyage à la gare de Rothau. Ils étaient dirigés par les SS et leurs bergers Allemand en direction du camp de concentration Struthof. La marche était interdite dans le camp. Ceux qui n'avaient pas l'habitude de travailler physiquement étaient les premières victimes. Le Struthof était le seul camp à avoir une pente d'environ 20%, ce qui le rendait plus dur et plus meurtrier, que tous les autres.
ENTREE DU CAMP NAZI
52 000 détenus
31 nationalités
22 000 détenus
FACE A LA NECROPOLE
A l'emplacementde la nécropole, en surplomb du camp, se trouvaient différentes baraques. Celle située juste au-dessus de l'entrée du camp abritait l'administration où étaient enregistrés les déportés et conservés leurs dossiers administratifs. D'autres abritaient cordonnerie, divers ateliers et réserves de charbon. En 1943, une deuxième baraque fut construite pour l'habillement.
Le Mémorial et la nécropole nationale de la déportation de Natzweiler-Struthof
Au-dessus se trouvaient les baraques réservées aux SS: dortoirs, infirmerie, cantine et même une salle de cinéma. La garnison du KL-Natzweiler était composée de 80 SS Totenkopf (tête de mort): officiers, sous-officiers et homme de troupe. Les commandants, à l'exeption de Josef Kramer, et les officiers habitaient des villas dans la vallée.
LE BLOCK CUISINE
La faim
C'est dans ce block que des déportés préparaient les rations de leurs camarades. Il comprenait une grande cuisine, un gigantesque évier de pierre, une chambre froide ainsi que le bureau et les sanitaires du SS chargé du block.
Le régime alimentaire des déportés est des plus rudes. Leur ordinaire se compose le mation d'un demi-litre de jus d'orge, à midi d'un litre de soupe liquide de rutabaga ou de chou, le soir d'un demi-litre de tisane, d'un morceau de pain, d'une petite portion de margarine ou de saucisson. Le dimanche à midi, les déportés ont droit à une soupe un peu plus épaisse, où trainent parfois quelques morceaux de viande.Toute la nourriture est de qualité exécrable.
Les déportés doivent manger dans leur baraque, très rapidement. Ceux qui n'ont pas de gamelle doivent compter sur la solidarité de leurs camarades pour s'en faire prêter une.
Plus les déportés, sous -alimentés, la fin devient vite une obsession. Ils finissent par envier le contenu des gamelles des chiens SS. Ils se récitent aussi des recettes de cuisine dans l'espoir de tromper leur faim
Un camp de concentration nazi en Alsace
Peu après l'annexion de l'Alsace par le Reich nazi, Himmler, alors chef de la Gestapo, et Oswald Pohl, chef principal d’économie de la SS eurent l'idée d'installer des camps a proximité des carrières afin d'y faire travailler les déportés dans le cadre de la "Deutsche Erd- und Steinwerke (de) " (DEST), entreprise minière SS créée par Himmler.C'est au court d'un voyage d'observation qu'Albert Speer, architecte du Reich, nota la présence d'un Granit rose extrêmement rare dans la région.La décision fût alors prise d'y installer un camps visant a l'extraction du Granit par les déportés.C'est le géologue colonel SS Karl Blumberg qui trouva le meilleur site pour l'extraction du dit Granit et qui détermina donc l'emplacement du futur camp[2].
Sous le nom de « KL Natzweiler-Struthof », le camp est officiellement ouvert le 21 avril 1941. Environ 80 SS en assurent l'encadrement et l'administration[3]. Prévu initialement pour recevoir un total de 2 000 prisonniers, le camp-souche du KL en compte près de 7 000 à la fin du mois d'août 1944. Il comprend aussi environ 70 kommandos, camps annexes répartis en Alsace, en Moselle, et surtout en Allemagne.
Le Struthof fonctionne jusqu'à son évacuation par les SS au début du mois de septembre 1944, face à l'avance des troupes alliées. Le 23 novembre 1944, la 6e armée américaine pénètre dans un KL totalement vidé de ses occupants, répartis dans d'autres camps de concentration (notamment celui de Dachau) ou kommandos. Le KL Natzweiler-Struthof est le premier camp de concentration nazi découvert par les forces alliées à l'Ouest de l'Europe.
Après l'évacuation du camp-souche, l'administration SS s'installe dans le camp annexe de Guttenbach. Les kommandos du Struthof situés à l'est du Rhin continuent de fonctionner, toujours sous la dénomination de KL Natzweiler-Struthof, et à recevoir de nombreux déportés jusqu'à la capitulation allemande[4].
À l'instar des camps de Mauthausen et de Gusen, le KL Natzweiler-Struthof était classé « Camp de niveau III » (Lagerstufe III) [5], ce qui signifiait qu'il était destiné à être l'un des camps les plus durs du système concentrationnaire. Son objectif était l'anéantissement des « ennemis politiques incorrigibles du Reich »[6].
Le nombre total de déportés qui ont été internés dans le camp même ou l'un de ses kommandos est estimé à environ 52 000[7]. Ils sont en majorité originaires de Pologne, d'Union soviétique, puis de France, des Pays-Bas, d'Allemagne et de Norvège. Des milliers de Juifs, pour la plupart originaires de Hongrie et des ghettos de Pologne, sont internés à partir de 1944 dans des kommandos extérieurs au camp-souche.
Les conditions inhumaines de travail et de détention, la malnutrition, les sévices des kapos et des SS ainsi que les nombreuses exécutions par balle ou pendaison[8] ont provoqué la mort d'au moins 22 000 détenus. Entre la fin mars et la fin avril 1945, l'évacuation des derniers kommandos du KL-Natzweiler, lors des « marches de la mort », a coûté la vie à environ 5 000 déportés.
Dirigé d'octobre 1942 jusqu'en mai 1944 par le sinistre Joseph Kramer, le Struthof est avec Mauthausen l'un des camps les plus meurtriers du système concentrationnaire nazi, avec un taux de mortalité de plus de 40 %[9].
Les exécutions de ce type ne sont en effet la majeure partie du temps pas répertoriées dans les registres du camp, ce qui rend difficile, voire impossible, le comptage rigoureux et l'identification des victimes.
Peuvent néanmoins être mentionnés les faits suivants :
Dans la nuit du 28 au 29 juillet 1944, un avion anglais Lancaster s'écrase au pied du Mont Sainte-Odile. Le sergent F. H. Habgood (21 ans) a sauté en parachute de l'avion avant qu'il ne s'écrase et atterri au Langen Weg, à Ottrott. Il est alors pris en charge par la population pour être remis à la Résistance. Dénoncé à la Gestapo, il est ensuite interné au camp de Schirmeck, d'où il parvient à s'échapper. Le SS Peter Straub le capture à Niederhaslach et le fait exécuter par pendaison le 31 juillet 1944 au KL Natzweiler-Struthof. Son corps n'a jamais été retrouvé ;
Face à l'avancée des troupes alliées, les SS commencent à massacrer systématiquement certains détenus, particulièrement les résistants français, qui arrivent en grand nombre au camp.
Ainsi, dans la nuit du 31 août au 1er septembre 1944, 107 résistants du mouvement Alliance et 33 membres du Groupe mobile Alsace-Vosges sont expédiés au Struthof pour y être exécutés d'une balle dans la nuque, puis immédiatement incinérés dans le four crématoire. En trois jours, ce seraient 392 prisonniers (92 femmes et 300 hommes)[11] qui auraient été assassinés au Struthof, parmi lesquels le maire de la ville de la Rochelle le colonel Léonce Vieljeux[12].
3.5. Les expériences médicales== Les « expériences médicales » == Le camp est aussi connu pour des « expériences » pseudo-scientifiques qui y furent pratiquées sur des détenus[13]. À cet effet avait été aménagée une salle de dissection.
Une chambre à gaz était située en contrebas du Struthof ; elle a été construite par la Waffen-SS les 3 et 12 août 1943 dans une dépendance de l'ancien hôtel[14]. Elle est utilisée du 11 au 19 août 1943 pour l'exécution de détenus : 57 hommes et 30 femmes, internés à Auschwitz, sont envoyés au camp du Struthof pour y être assassinés avec des sels cyanhydriques (Zyklon B ?)[15]. Une personne ayant été préalablement exécutée par balle pour rébellion, ce sont finalement 86 personnes de « race juive » qui sont gazées personnellement par le commandant SS du camp, Joseph Kramer.
Lors de son procès Kramer ne parle pas des classiques petits cailloux gris bleuâtres qui servent à décrire le Zyklon B, mais d'une poudre blanche dans un flacon que lui a donné August Hirt, et il a fallu un écoulement d'eau pour obtenir un dégagement gazeux ; selon Kogon (op. cité p. 260), il s'agit probablement d'un autre composé cyanhydrique concocté par Hirt, cyanure de potassium ou de sodium avec un acide organique, cette composition dégageant de l'acide cyanhydrique en présence d'eau. Le professeur August Hirt, SS-Hauptsturmführer et proche de Heinrich Himmler, avait pour objectif à travers ces gazages de constituer une collection de « crânes de commissaires bolcheviks juifs[16] » pour l'Institut Anatomique de Strasbourg[17],[18], avant que « la race juive » ne soit anéantie[19] ; en effet, Himmler « faisait des études sur les crânes de « commissaires judéo-bolchéviques » destinés à permettre une définition typologique du « sous-homme » »[20]. Hirt mena aussi de nombreuses expérimentations sur l'utilisation du Gaz moutarde[21].
La chambre à gaz a été par la suite utilisée pour 15 expériences de toxicité du gaz phosgène par un virologiste, Otto Bickenbach, sur des détenus de droit commun et des Tziganes[22].
Un autre médecin SS, le professeur Eugen Haagen, a pratiqué au Struthof des injections de lèpre, peste et autres maladies sur des détenus de manière à observer les effets de ces contaminations ; plusieurs traitements étaient essayés pour une même maladie. L’expérience terminée, si les sujets n’étaient pas morts, ils étaient assassinés et incinérés.
Afin de mener à bien ses expériences sur le typhus, Von Haagen se fait aussi remettre environ 200 Tziganes arrivés directement d'Auschwitz au Struthof durant les mois de novembre et décembre 1943. Début 1944, les Tziganes sont mis à sa disposition. 150 d'entre eux sont immunisés contre le typhus exanthématique, les 50 restants étant réservés comme témoins. À l’ensemble des 200 cobayes est ensuite inoculé par scarification au bras le germe du typhus[23].
Les diverses séries d'expériences font des centaines de victimes parmi les déportés du camp. Elles entraînent en outre une épidémie de typhus durant l'année 1944.[réf. souhaitée]
La pricipale place d'appel,située en haut du camp, est également le lieu des pendaison. Tous les déportés sont contraints d'y assister. Celle de Noèl 1943 à particulièrement marqué les déportés qui étaient présent. Le condamné, un déporté allemand, arrive au camp au début du mois de décembre, avait reçu 100 coups de bâton assénés par quatre SS sur la place d'appel devant tous les déportés réunis un soir sous les projecteurs. Emmené à demi mort au block cellulaire, il n'en est sorti que pour être pendu le jour de Noèl 1943. Le commandant Kramer et ses adjoints, fumèrent le cigare, debout, à côté de la potence
LE RAVIN DE LA MORT
Les << tentatives d'évasion >>
Un barbelé, accroché à des petits piquets de 30 cm de haut, courait le long du chemin descendant vers la baraque crématoire. Sur l'un des piquets était fixée une pancarte avec l'insigne des SS Totenkopf: une tête de mort. Si un déporté franchissait ce barbelé, accidentellement ou poussé volontairement par un SS, il était aussitôt abattu par la sentinelle postée sur un mirodor. Le geste du déporté était considéré comme << une tentative d'évasion >>.
Des déportés ont également été abattus au motif de pseudo tentatives d'évasion au-delà de la double enceinte électrifiée. A l'été 1943, un kommando de NN français a été affecté à des travaux de terrassement hors du camp, à l'emplacement de l'actuelle nécropole. Ils devaient déverser des brouettes pleines de pierres au bas du talus situé au pied du mirador d'angle. S'ils franchissaient ce talus, entrainés par le poids des pierres, ils étaient aussitôt abattus. Les déportés ont donné à ce ravin, qu'ils ont comblé et qui n'existe donc plus aujourd'hui, le nom << ravin de la mort >>.
Le four
Les premiers déportés morts au camp sont incinérés à Strasbourg. En 1943, un premier four est construit à proximité de l'auberge du Struthof. La création du block crématoire du camp démarre à la fin du mois d'avril 1943 et le four y est installé fin octobre. La cheminée est haute de neuf mètre. Sous le sol du four se trouve la morgue, qui sert aussi de lieu d'exécution. Les cadavres sont ensuite montés par la civière placée à droite du four. La chaleur dégagée par leur incinération sert à chauffer l'eau des douches. Le transport des corps à la morgue, leur incinération et le déversement des cendres dans la fosse sont assurés par un kommando qui ne comprendra jamais plus de cinq déportés.
La civière
Les cadavres sont acheminés depuis la morgue du sous-sol, qui servait également de lieu d'exécution, jusqu'au four, pour l'incinération.
Dans le block cellulaire, aussi appelé Bunker, il existe deux types de cellules: les plus grandes avec une couchette en bois, où les déportés étaient parfois entassés à plus de 20; et les plus petites, véritables cages, où les déportés devaient rester accroupis, dans l'obscurité totale. C'est là qu'étaient généralement enfermés les déportés condamnés à la pendaison dans l'attente de leur exécution.
La durée des peines de cachot pouvait varier de 3 à 42 jours. Les déportés condamnés au Bunker ne recevait de la nourriture que tous les trois jours. Un simple retard à l'appel pouvait entraîner une bastonnade suivie d'une peine de prison.
Le chevalet de bastonnade
Lorsqu'un déporté était condamné à une peine de bastonnade, ce chevalet était installé sur la principale place d'appel (la plus haute). Le déporté devait compter les coups de matraque à haute voix et en allemand, sous peine d'une reprise à zéro. Le nombre de coups variait en fonction de la punition : 5 coups pour vol de pommes de terre, 10 pour vol de colis, 15 pour expédition clandestine de lettre ou 20 pour vol à la cantine SS . En théorie, la peine était exécutée après l'accord de l'inspection générale des camps à Oranienburg.
Salle d'expérimentation
Ici, les déportés étaient disséqués, afin de faire des expériences pseudo-scientifique
La salle des urnes
Une pièce du block sert à entreposer des urnes funéraires. En effet, au début de l'histoire du camp, les familles des déportés allemands pouvaient, sous certaines conditions et moyennant finance, récupérer les cendres de leurs proches.
La chambre à gaz
Historique du bâtiment
En 1942, le professeur de médecine August Hirt décide, avec l'accord de Himmler, le Reichsfuhrer SS, de constituer une collection de squelettes << judéo-bolcheviques >>.
Le gazage permet de conserver les corps intacts. Une chambre à gaz est alors aménagée dans cette dépendance de l'auberge du Struthorf, ancienne salle des fêtes, réquisitionnée par les nazis. Le gazage des juifs à lieu en trois fois en août 1943. Les travaux d'aménagement, puis les gazages sont supervisés par josef Kramer, le commandant du camp.
La chambre à gaz est aussi utilisée par le professeur Bickenbach pour ses expériences sur le gaz phosgène qui provoque des oedèmes pulmonaires aigus. La plupart des victimes sont des Tziganes. Des déportés enfermés dans la chambre à gaz durant 20 minutes. Morts et vivants sont ramenés au camp où Bickenbach étudie leurs lésions pulmonaires.
Cette chambre à gaz de 9 m2 utilisée pour des expériences n'a jamais servi pour l'extermination systématique de déportés.
Chemin des déportés
Les déportés passaient par ce chemin devant la villa de leur bourreau, Josef Kramer.
Depuis la gare de Rothau, ils parcourraient environ 6 km., pour arriver au camp de concentration du Struthof.
La villa, siège de la Kommandantur
La Kommandantur était installée dans une villa privée, réquisitionnée par les nazis en 1940. Construite peu avant la Première Guerre mondiale, elle appartenait à une famille de banquiers strasbourgeois.
Josef Kramer, photographié aux arrêts à Belsen avant d'être transféré comme prisonnier de guerre à Celle, le 17 avril 1945.
Mise en page, concept et photos couleur Pierre-André Doriot
En remerciement au ONACVG, Centre européen du résistant déporté
Avril 2011
www.struthof.fr
http://www.filmsdocumentaires.com/films/141-le-struthof
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