dimanche 18 septembre 2011

LYBIA : TO KING SARKOSY THE SPOILS

Guerre Impérialiste de Libye : le roi Sarko et la descente aux enfers


Libye: au roi Sarkozy le fruit du pillage




THE ROVING EYE

Pousses-toi, Lawrence d’Arabie. Le grand libérateur gaulois de la Libye (et tout autre arabe naïf en vu), le président néo-napoléonien français Sarkozy, flanqué de son acolyte Cameron d’Arabie, premier ministre britannique, ont foulé le sol libyen à l’aéroport de Tripoli, bouclé par la soldatesque, pour chanter un air de “la vie en rose” sur les bords de la Méditerannée, célébrant ainsi le bombardement intensif de la Libye pour lui donner la “démocratie”.

Dans leur sillage pour la photo souvenir se tenait l’imbuvable égocentrique et auto-proclamé “nouveau philosophe” Benard-Henri Levy, celui du perpétuel poitrail exposé sous une chemise blanche fraichement repassée, celui du fameux “coup de téléphone” depuis Benghazi qui a “vendu” la guerre au libérateur gaulois si occupé (comme si le roi Sarko refuserait un coup de pouce pour agrandir sa grandeur…).

Pas besoin de se priver des métaphores de la Rome antique “du tour d’honneur” aux “lauriers” en passant par l’inévitable “au vainqueur le fruit de la victoire”, parce que c’est exactement ce que ce fut.

Le roi Sarko et le petit David ne ressemblent peut-être pas à la ravissante jeune femme d’Angola qui vient d’être élue Miss Universe, mais ils n’en sont pas moins dans le même mode du “ne vous privez pas de vous baigner dans notre splendeur”. Un tour d’honneur dans la périphérie de l’empire, même si vous n’êtes de fait qu’un petit proconsul, est certainement plus valorisant que d’être pulvérisé sans merci par la débâcle économique européenne.

Au son des hélicoptères Apaches qui patrouillent la Méditerranée, escortés par des douzaines de flics anti-émeutes, le roi Sarko s’est senti le besoin de dire au monde qui n’en sait guère plus: “Ce que nous avons fait, nous l’avons fait pour des raisons humanitaires. Il n’y avait pas d’agenda caché.”

Mais au cas où le besoin s’en ferait sentir, les deux plus grands hôtels de Tripoli sont envahis par une meute de contracteurs / vautours multilingues et le président du conseil national transitoire, Moustapha Abdul Gelil, a dû expliquer l’agenda de fait:  “les alliés et les amis” auraient “la priorité dans le cadre de la transparence” pour se partager les fruits du pillage en règle. Tant de contrats sur le pétrole, le gaz, l’eau, l’uranium et la reconstruction à empocher et si peu de temps pour le faire.

En écho de Sarko, le petit David a proclamé de manière tonitruante que “Le printemps arabe pourrait devenir un été arabe”. Ceci est la phrase code pour l’OTAN de se préparer à bombarder plus de dictateurs vers l’anéantissement, aussi loin qu’il y ait des “rebelles” opportunistes désirant appeler la cavalerie européenne en montrant “patte blanche pro-démocratie”, simulée ou autre.

Le roi Sarko a même donné en primeur le prochain chapitre: le chemin de Damas. Cher Bashar, il est temps de réserver ton aller-simple vers nulle-part.

Les règles de la Somalie

Le tour éclair de Tripoli du roi Sarko et du petit David fut minutieusement préparé pour éclipser la visite du premier ministre turc Recep Erdogan; car aussi loin qu’est concernée l’âme du printemps arabe: l’Egypte, Recep est la référence, pas les bombardiers de l’OTAN.

Quand on pense que juste hier, les services de renseignement français et britannique étaient si content au lit avec l’appareil de sécurité de Kadhafi… Vraiment dommage que le petit David n’ai pas pris de bon temps avec le nouveau commandant militaire de Tripoli Abdelhakim Belhaj, ancien émir du groupe combattant islamique de Libye, membre d’Al Qaïda, ancien détenu torturé par la CIA, mais (bon pour lui) ennemi éternel de Kadhafi.

Belhaj de son côté, a perdu une excellente opportunité de demander au petit David, en l’absence des américains, une excuse officielle de sa détention et torutre de six ans; peut-être va t’il porter plainte maintenant à la cour pénale internationale.

L’OTAN a capturé essentiellement en Libye un long ruban d’autoroute parsemé de quelques villes le long de la mer Méditérannée. Personne ne sait vraiment ce qui se passe dans le désert… Le véritable agenda de l’OTAN est de voir avec le temps, pendant que Kadhafi et ses forces se regroupent et se réarment au Niger et en Algérie du sud et commence une véritbale guérilla. Ceci sera la parfaite excuse pour l’OTAN de rester, comme en Afghanistan.

Il y a aussi le cas qui n’est pas des moindres, des centaines voire des milliers d’africains sub-sahariens qui ont été harassés ou massacrés par les “rebelles de l’OTAN”, une chose qui va donner un plus grand soutien de l’Afrique à Kadhafi.

Avec l’OTAN ayant la volonté de faire durer le plaisir, pas étonnant que les amants infernaux anglo-français se moquent que leur hôte Gelil jette aux ordures l’état séculier, alors que la charia va devenir “la principale source de la loi”. Une raison de plus pour l’occident d’être vigilant. Attendons-nous à des bagarres de chifonniers à venir. L’homme à observer est Ali as-Salabi, un islamiste pur et dur aligné avec le Sheikh Youssouf al-Qaradawi. Il a déjà lancé une guerre contre le premier ministre du conseil transitoire Mahmoud Gebril, qui est pour l’heure le visage médiatique des rebelles de l’OTAN. As-Salabi décrit Gebril et ses sbires comme étant des “sécularistes extrêmes”, qui mènent la Libye vers “une nouvelle ère de tyrannie et de dictature”. L’homme d’Al Qaïda Belhaj, qui commande des milliers de rebelles armés jusqu’aux dents, est allié très proche d’As-Salabi.

Il n’y a absolument aucune évidence pour croire que le conseil transitoire ait la force de désarmer la milice actuelle, fonctionnant déjà dans le style irakien, à Tripoli et ailleurs. Si le conseil transitoire ne le fait pas, l’OTAN s’en fera une joie. Dans ce cas précis, les paris sont sur la Libye qui deviendrait non pas comme un Afghanistan 2.o ou un Irak 2.0, mais bien comme une Somalie 2.0 et fin de partie ?

Envoyez les Marines et faites de Tripoli un nouverau Fallujah. Obama pourrait même gagner de nouveau les élections en 2012 sur ce seul plan.

Vous voulez parier ? Le jeu (tragique) ne fait que commencer. Voyons donc voir combien de temps cela prendra au roi Sarko et au petit David pour refaire leur tour d’honneur, et surtout dans quel Tripoli ils aterriront la prochaine fois: Kaboul, Baghdad ou Mogadiscio ?…

Libya: to King Sarkozy, the spoils
By Pepe Escobar





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samedi 17 septembre 2011

LIBYE LA GUERRE CIVILE

Le Guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei./Khamenei aux révolutionnaires arabes : Ne faites pas confiance aux Occidentaux "criminels"



L'Orient-Le Jour

 

 

Le Guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a conseillé samedi aux révolutionnaires arabes de ne "pas faire confiance" aux Occidentaux, lors d'un discours retransmis par la télévision d'Etat.
"Ne faites jamais confiance aux Etats-Unis, à l'OTAN et aux régimes criminels de la Grande-Bretagne, de la France et de l'Italie qui se sont longtemps partagés vos pays pour les piller", a déclaré l'ayatollah Khamenei, devant plusieurs centaines d'invités des pays arabes venus à Téhéran pour participer une "Conférence internationale sur le réveil islamique" qui doit durer deux jours.


"Soyez toujours méfiants à leur égard et ne faite pas confiance à leurs sourires. Derrière ces sourires, il y a des complots et des trahisons. Cherchez vos solutions dans l'Islam", a-t-il ajouté. "Ne laissez pas vos ennemis dicter les principes de vos régimes futurs, ne laissez pas sacrifier les principes islamiques aux intérêts immédiats", a-t-il encore affirmé.

M. Khamenei a également dénoncé l'intervention de l'OTAN en Libye en affirmant qu'elle avait "détruit les infrastructures de ce pays". "S'il n'y avait pas eu ces interventions, le peuple libyen aurait peut-être mis plus de temps pour réussir mais nous n'aurions pas eu la mort de tous ces innocents et les ennemis du peuple libyen et les anciens alliés de Kadhafi n'auraient pas eu de prétexte pour prétendre à l'ingérence" politique dans ce pays, a-t-il ajouté, en faisant référence aux Occidentaux.

L'Iran soutient les mouvements de révoltes dans le monde arabe, à l'exception notable de la Syrie, son allié historique dans la région, où il appuie le régime de Bachar el-Assad tout en prônant des réformes.
Téhéran a accusé à de nombreuses reprises ces derniers mois les Occidentaux de chercher à récupérer et à détourner les mouvements de révolte  dans  le monde arabe.


Le numéro deux du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, le secrétaire général du Jihad islamique palestinien, Ramadan Abdullah, et le chef de guerre afghan, Burhanedine Rabbani, participent à cette conférence.


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Libye – La guerre civile a commencé

Dès après l’adoption de la résolution 1973, en mars dernier, par le Conseil de Sécurité de l’ONU, qui permettait l’intervention militaire des appareils de l’OTAN dans l’espace aérien de l’État libyen, d’aucuns avaient prophétisé la fin rapide du chef de facto du gouvernement de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire socialiste, le colonel Mouammar Kadhafi.

Tout portait d’ailleurs à le prévoir, puisque, non seulement, l’Alliance atlantique avait anéanti la force aérienne du gouvernement libyen, mais appuyait en outre la progression de la rébellion armée qui s’était déclarée dans l’est du pays, lui assurant la maîtrise de l’air, par le déploiement des avions et bâtiments de guerre des six pays membres de l’OTAN engagés dans cette entreprise. Or, depuis l’avènement de la guerre moderne, sans couverture aérienne, aucune offensive terrestre n’a la moindre chance d’aboutir, à fortiori si l’ennemi seul occupe le ciel.

On rappellera ainsi, à titre d’exemple, comment la puissante armée de Saddam Hussein, en 1991, avait été mise en déroute quasiment sans engagement au sol. Et le principe n’est pas nouveau : c'est ainsi qu'Israël, lors de la Guerre des six jours, en 1967 déjà, après avoir réussi l’exploit d’anéantir l'aviation égyptienne, avait en quelques heures, écrasé les impressionnantes forces arabes massées dans le Sinaï.

Les forces armées libyennes étaient donc condamnées à s’enterrer dans la défensive, sans aucune possibilité de reprendre l’initiative en lançant une offensive contre les rebelles de l’est.Cependant, après plus de six mois de combats, la rébellion n’a toujours pas vaincu, Mouammar Kadhafi reste introuvable et près de la moitié du pays résiste encore. Assiégées depuis des semaines, Beni Oualid et une partie de la Tripolitaine refusent de se rendre, de même que la province de Syrte, ville natale du colonel, et tout le grand sud-ouest, le Fezzan, centré sur la ville de Shebha.

C’est que les prophètes d’alors n’ont pas pris en compte la caractéristique essentielle du terrain sociopolitique libyen, à savoir sa structure tribale clanique segmentaire, dont les multiples implications réservent aujourd’hui bien des surprises.

D’une part, en effet, si les tribus de l’est se sont montrées hostiles au gouvernement de Tripoli, les tribus de l’ouest lui ont en revanche toujours été fidèles. L’image naïve et manichéenne d’une révolte du « peuple libyen » contre le dictateur Kadhafi est ainsi tout à fait erronée.

D’autre part, le problème consiste dans le fait qu'il ne s'agit pas de combattre seulement l'armée régulière, mais aussi les partisans, les hommes et adolescents des clans, qui se fondent dans la population. Les bombardements aériens sont alors impuissants. Sauf si l'on décide de détruire des quartiers entiers des villes (ce que l'OTAN a fait à Tripoli et semble être en train de faire à Syrte, d'où le grand nombre de victimes civiles).

Enfin, jusqu'à présent, les rebelles, essentiellement les clans de l’est, ont libéré des territoires qui appartenaient à leurs tribus. C’était relativement aisé et ils luttaient uniquement contre l’armée régulière. Maintenant, la donne a changé, car ils attaquent, dans l’ouest, les territoires d’autres tribus, pro- Kadhafi, territoires dont les populations se défendent bec et ongles.

A cela, d’autres difficultés s’ajoutent. Les premières divisons apparaissent au sein de la rébellion : les tribus de l’est n’ont pas apprécié le récent transfert à Tripoli du Conseil National de Transition, autoproclamé « gouvernement de la nouvelle Libye » et déjà contesté car dirigé, pour l’essentiel, par d’anciens ministres kadhafistes désormais de plus en plus ouvertement taxés d’opportunisme. Ces tribus réclament son retour à Benghazi, menaçant de faire défection. Les chefs des clans, qui n’ont jamais été complètement sous le contrôle du CNT et ne lui obéissaient que très partiellement, refusent de rendre les armes et entendent bien conserver le contrôle de leurs fiefs. Surtout, des centaines de combattants islamistes ont fait leur apparition, toute une structure jusqu’alors inconnue : j’étais à Benghazi au moment de l’offensive sur Tripoli, lorsque ces milices dormantes se sont révélées, et j’ai pu constater la panique du président al-Jalil et de la plupart des leaders du CNT, confrontés à cette armée parallèle.

Tandis que la rébellion se fissure, Mouammar Kadhafi résiste donc et, s’il semble qu’il ait décidé de mettre sa famille à l’abri dans plusieurs pays d’Afrique qui lui sont reconnaissants de l’aide économique que la Libye leur a apporté des décennies durant (rappelons que l’Union africaine a refusé de coopérer avec la Cour pénale internationale dans le cadre du mandat d’arrêt lancé contre Kadhafi), c’est peut-être pour avoir lui-même les coudées franches et organiser une résistance de guérilla en Libye, où il se trouverait toujours.

En dépit de longues négociations qui devaient livrer Beni Oualid et Syrte au CNT, les chefs tribaux de ces deux régions restent fidèles au gouvernement, et c’est par la force, c'est-à-dire contre la volonté populaire des Libyens de l'ouest, qu’il faudra « conquérir » (et non plus « libérer ») ces territoires.

Quoi qu’il en soit, il apparaît à présent sans ambigüité que Kadhafi a le soutien effectif d'une partie de la population, et pas seulement de l’armée et de mercenaires étrangers.

Deux perspectives dès lors sont envisageables : l’aboutissement de négociations entre le CNT et les tribus de l’ouest pro-Kadhafi (mais il semble que cette tentative ait déjà échoué) ; ou la guerre civile.

Sera-t-il dit qu’un vieux bédouin armé de sa seule kalachnikov, avec son « air folklorique », drapé dans sa gandoura et logeant sous une tente en poil de chameau, aura bousculé, ne fût-ce que l’espace d’un moment, les desseins de la première puissance militaire de la planète ?

Pierre PICCININ
Historien-Politologue (Bruxelle)

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AVATAR


Avatar est un film américain de science-fiction appartenant au genre planet opera, écrit et réalisé par James Cameron tourné en relief 3-D, sorti en Europe le 16 décembre 2009 et en Amérique du Nord le 18 décembre 2009.






L’action se déroule en 2154[1] sur Pandora, une des lunes d’une planète géante gazeuse, dans le système Alpha Centauri. L’exolune, recouverte d’une jungle luxuriante, est le théâtre du choc entre des humains venus y exploiter un minerai rare et susceptible de résoudre la crise énergétique sur Terre, et la population autochtone, les Na’vis qui vivent en parfaite osmose avec leur environnement et tentent de se défendre face à l’invasion militarisée. Un programme est créé par les terriens, le programme Avatar, qui va leur permettre de contrôler des corps Na’vi clonés associés à des gènes humains, afin de s’insérer dans la population et de tenter de négocier avec elle, dans la mesure où le clan Omaticaya est installé dans un gigantesque arbre maison situé sur un des principaux gisements de ce minerai dénommé Unobtainium. Le personnage central de l’histoire est Jake Sully, un marine paraplégique qui, via son avatar, va devoir choisir son camp avec, pour enjeu, le destin de la planète.

La conception d’Avatar débute en 1994, lorsque Cameron écrit un script de 80 pages pour le film[2]. Le début de la réalisation devait commencer en 1997, après la sortie de Titanic[3] mais, d’après Cameron, la technologie nécessaire pour réaliser son film n’était pas encore disponible[4]. Le travail reprend au cours de l’été 2005 et Cameron recommence à développer le script et son univers de fiction début 2006[5],[6].
Ce film est l’un des plus coûteux de toute l’histoire du cinéma, mais son succès public fulgurant lui a permis de dégager des bénéfices après seulement dix jours d’exploitation, puis de récolter plus de 2,73 milliards de dollars américains de recettes (enregistrées au 13 avril 2010[7]) : le film est ainsi le cinquième film à passer la barre symbolique du milliard de dollars de recettes et le premier film à atteindre les 2 milliards. Il devient, après seulement six semaines d’exploitation, le plus gros succès de l’histoire du cinéma, battant Titanic (1,84 milliard de dollars), également réalisé par James Cameron. Devant ce succès phénoménal, Cameron annonce rapidement qu’une trilogie est déjà prévue




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jeudi 15 septembre 2011

STRATEGIE DE MANIPULATION








Les stratégies et les techniques des Maitres du Monde
pour la manipulation de l'opinion publique et de la société...



1  La stratégie de la diversion

Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes.

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

« Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

2  Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


3  La stratégie du dégradé

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.


4  La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
Exemple récent: le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords multilatéraux du
FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

5  S'adresser au public comme à des enfants en bas-age

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?
"Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans."  (cf. "
Armes silencieuses pour guerres tranquilles")


6  Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion

Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

7  Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.
"La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures."
(cf. "
Armes silencieuses pour guerres tranquilles")



8  Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver "cool" le fait d'être bête, vulgaire, et inculte...



9  Remplacer la révolte par la culpabilité


Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution!...
 

10  Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes. 

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LE SABLIER DU SIECLE

Le Sablier du siècle sera projeté en avant-première mondiale à Paris, le 26 novembre 2011.


En ce début de millénaire, rien ne nous est épargné : guerres à répétitions, catastrophes naturelles, famine, crise économique, scandales financiers et politiques… Certes, il n'y a rien de bien nouveau dans tout cela, la preuve cet extrait d’une conversation entre Colbert et Mazarin sous Louis XIV :

« Colbert : Pour trouver de l’argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. J’aimerais que Monsieur le Surintendant m’explique comment on s’y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu’au cou…

Mazarin : Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu’on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l’État… L’État, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l’État en prison. Alors, il continue, il creuse la dette! Tous les États font ça. »

La guerre du Golfe 1990- 1991 a marqué le début d’un enchaînement systématique de conflits de tout ordre, dans lesquels seuls prévalent les intérêts des grandes puissances et des nantis. Les États-Unis, appuyés par les pays de l’OTAN, n’hésitent pas à intervenir militairement pour essayer de « sauver leur peau ». Depuis leur décote par l’agence Standard & Poors (S&P), l’administration américaine me fait penser au renard pris au piège qui se coupe la patte avec les dents pour s’enfuir. Elle s’est coupée de sa base, le peuple américain, et elle ne peut plus compter sur sa seule puissance face à la Chine. Son seul recours est l’intervention militaire pour afficher sa suprématie. Mais elle ne peut plus agir seule. C’est pourquoi elle entraîne dans son sillage les pays de l’OTAN. L’Europe vit aussi un séisme financier, la Grèce et le Portugal ne sont que la pointe de l’iceberg.

Ce qui me frappe le plus, c’est la rapidité avec laquelle les événements se succèdent. Les interventions militaires ne prennent que quelques jours (heures) et les séismes boursiers sont aussi fulgurants et dévastateurs que les séismes naturels. Toutefois, les finances sont l’œuvre de l’humain, tandis que les tsunamis et tremblements de terre demeurent (apparemment) l’œuvre de Dame Nature. Deux décennies qui « concentrent » les grandes catastrophes de l’histoire, nous avons même eu notre grande peste avec la grippe H1N1… tout cela en un temps record.

Dans mon documentaire Le Sablier du siècle, le Général Pierre Marie Gallois, alors âgé de 98 ans, trace un portrait du monde et des 30 prochaines années. Visionnaire, il répond à beaucoup des questions que nous nous posons aujourd’hui, au lendemain du printemps arabe, alors que les bourses mondiales tremblent et que la Chine donne des leçons, bien méritées, à l’Occident. Banni des médias « officiels » depuis plus de dix ans, il s’y exprime en toute liberté. Le Général Pierre Marie Gallois a été une figure marquante du 20e siècle. Résistant et membre des forces aériennes françaises pendant la Deuxième Guerre mondiale, artisan de la dissuasion nucléaire, il est devenu le père de la géopolitique moderne française.

Le Sablier du siècle sera projeté en avant-première mondiale à Paris, le 26 novembre 2011.

Réalisation: Claude Jacqueline Herdhuin
Production: Francis van den Heuvel (Mizo Films)
Producteurs associés: Richard Brouillette (Les Films du Passeur) et Lucie Tremblay (Lowik Média)


Claude Jacqueline Herdhuin

Pour visionner la bande annonce :


LIBYE :
Sarkosy, combien d'enfants as-tu tués cette nuit ?




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mercredi 14 septembre 2011

MISS CHOCOLAT

Dans ce fruit qui est toi j'ai envie de croquer,
Croquer à pleines dents dans tes joues adorées.
Tes lèvres rouge-baiser, couleur framboise de l'été,
Tes yeux aux pigments de vert et de châtaignes grillée.


Chérie, mon amour, ma vie, tu as tout d'une orange,
Moi quand je me penche je sens le citron, allez on mélange.
Juste proportion, zeste et jus au goût d'agrumes étranges.
Pulpes acides mais tendres, je t'aime mon fruit mur, mon ange.


Les cerises rouges que tu cueilles font ton bonheur,
Deux sur chaque oreille tu es belle comme un coeur.
Les pommiers au printemps seront blancs, pleureur,
Mais c'est toi, mon amour, qui seras la plus blanche fleur.


Mademoiselle chocolat attention je te croque, sauve-toi,
Tu laisses partout des traces de nutella, tes mains, donne-moi.
Sucre d'orge, de mille couleurs torsadées me donne l'émoi.
Ange du bonheur, entité positive, je t'adore ce n'est pas un secret pour toi...

Morganne

LA CAPITULATION SUISSE





BNS SUISSE


Le meilleur moyen de clore le chapitre de ces décisions NATIONALES n'est-il pas de ruiner les Etats, via leurs banques ? Cela ressemble étrangement à ce que l'on voit...





La décision de la Banque nationale suisse, d’imposer un plafond de change au franc, n’a pas fini d’alimenter les conversations. Hier, un très gros investisseur (fréquentant quelques huiles de la Commission trilatérale et du Groupe Bilderberg) ayant placé une importante partie de son patrimoine devises en franc suisse, nous confiait : « C’en est fini de la Suisse ! C’est la pire guerre monétaire que nous vivons depuis les années trente. Aujourd’hui, les devises plongent, en 2012, plusieurs valeurs de votre CAC40 n’existeront même plus ». Aura-t-il raison ? Espérons qu’il se trompe. En tout cas, il est de plus en plus évident que la guerre monétaire actuelle prend une tournure dangereuse. Car il n’existe plus de devise papier refuge aujourd’hui.

La décision de la Banque nationale suisse fut ainsi motivée: la « surévaluation du franc suisse constitue une menace aiguë pour l’économie suisse », et « nous visons à un affaiblissement substantiel et durable du franc suisse ». Cette décision survient à un moment où les statistiques macro-économiques sont mauvaises. On sait ce qu’il en est aux Etats-Unis. Dans la zone euro, l’activité manufacturière a chuté à son niveau le plus bas en deux ans et pareillement en Inde pour une période de 27 mois. L’indice de l’activité manufacturière de la zone euro est passé à 49,0 en août, ce qui représente la première contraction en deux ans.

La Suisse, que d’aucuns voyaient (à tort) comme un havre de paix, ne l’est plus. Par cette décision, les banquiers suisses montrent que la tension dans le domaine de la politique des taux de change atteint un point inquiétant. Et ce n’est pas fini, si l’on écoute le ministre des Finances du Brésil Guido Mantega, lequel suspecte une troisième ronde d’assouplissement quantitatif, actuellement débattue à Washington. « Malheureusement, dit-il, la politique monétaire semble être la seule arme que les Etats-Unis ont choisi d’utiliser pour résoudre leurs problèmes, et cela entraîne des problèmes pour l’économie mondiale ».

La faillite des banques précédera-telle de peu celle des Etats ?

Lundi soir, la chaîne M6 diffusait un reportage (Capital) sur la situation des banques, mettant tout particulièrement en évidence les investissements très risqués réalisés ces dernières années avec une partie conséquente de l’argent déposé par leurs clients. Le plus étonnant est le « message » véhiculé par les créateurs de ce reportage. Nous avons interrogé plusieurs personnes de différents âges et qui ne se doutent absolument pas de ce que traite LIESI et ce blog. Toutes ont dit la même chose : on a compris qu’il faut retirer ses économies de la banque et les placer dans un investissement plus sécurisé comme l’or. Ces gens vont-ils maintenant passer à l’acte ? C’est une autre affaire. Cela dit, ce que font les journalistes de grands médias est intéressant. Car n’oublions pas la déclaration que fit John Swinton (rédacteur en chef du New York Times), lors d’un banquet donné en son honneur à New York à l’occasion de sa retraite :

« Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante! Chacun, ici présent ce soir, sait quela presse indépendante n'existe pas. Vous le savez et je le sais. Il n'y en pas un parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et s'il le faisait, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille. D'autres parmi vous, sont payés le même montant pour un travail similaire. La fonction d'un journaliste est de travestir la vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d'avilir, de ramper aux pieds de Mammon, et de se vendre soi-même, de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous savez cela et je le sais ; quelle folie donc que de porter un toast à la presse indépendante. Nous sommes des outils et les vassaux d'hommes riches qui commandent derrière la scène. Nous sommes les marionnettes, ils tirent sur les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels ». (Vers le Nouvel Ordre du Monde, de D. Manifold, Téqui, 1995, pp. 15 et 16.)

Une citation que nous rapprochons de ce que déclarait D. Rockfeller, lors de la réunion du Bilderberg Group à Baden-Baden, en juin 1991 :
« Nous remercions le Washington Post, le New York Times, Times Magazine et les autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant au moins 40 ans... Il aurait été impossible pour nous de développer notre place mondiale s'il avait été l'objet d'une publicité quelconque pendant ces années-là. Mais le monde est vraiment plus sophistiqué et préparé à marcher vers un Gouvernement Mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable aux décisions nationales qui se pratiquent depuis des siècles ».Le meilleur moyen de clore le chapitre de ces décisions NATIONALES n'est-il pas de ruiner les Etats, via leurs banques ? Cela ressemble étrangement à ce que l'on voit...

Pourtant, le fait que les grands médias disent maintenant que les banques sont à fuir, est un message confirmant les analyses de Trader Noé, dont le cursus explique l'extrême qualité des analyses. Il est tout à fait normal que l'accélération de la bonne crise majeure appelée par David Rockefeller en 1994 se réalise dans un contexte d'impuissance de dirigeants, finalement très satisfaits des étapes (sociales) imposées pour intégrer ce fameux Nouvel Ordre Mondial, si cher au président français.

Il n'y a plus de MUNITIONS pour empêcher l'attaque des pièces d'artillerie ducartel bancaire
Dans ce contexte d'accélération, le commentaire de Denis Kessler, PDG du réassureur Scor, arrive comme un cheveu sur la soupe... Denis Kessler estime qu'une explosion de la zone euro ne peut désormais être exclue et que les dirigeants mondiaux ont perdu un temps précieux pour lutter contre la crise, qui peut encore s'aggraver (elle va bien sûr s'aggraver), alors qu'ils sont démunis pour la combattre. « Au rythme actuel, les opinions publiques des pays les plus forts de la zone euro vont devenir hostiles à la monnaie unique« , craint-il. « En France, le sauvetage de la Grèce représente 40 milliards d'engagements supplémentaires pour notre pays », relève-t-il. « Résultat: alors que la crise pourrait à nouveau s'aggraver, nous n'avons plus de munitions et avons perdu un temps précieux ». Ces propos sont très lourds de signification. Depuis des années, ces politiciens dont la reptation ventrale devant Mammon est le sport préféré, n'ont cessé de faire comme si. Si tel n'est pas le cas, alors leur incompétence leur interdit de faire le métier qu'ils font.

Attendons que le cartel bancaire, c'est-à-dire les créanciers des Etats, impose ses volontés... Une source du Groupe Bilderberg nous confiait, il y a quelques mois, qu'il y avait une volonté d'harmonisation sociale entre le salaire de l'occidental et celui du Chinois. Relevons qu'en Chine, on conseille au peuple d'acheter de l'or et de l'argent métal, tandis qu'en France, on passe en boucle des messages : « Vendez votre or, nous le rachetons et on vous donnera du beau papier monnaie ». Cela n'interpelle pas les « responsables »... qui annoncent une bonne nouvelle : grâce aux contrôles routiers, il y a moins d'accidents... et plus d'argent qui rentre...
LIESI

Même le FMI ?…


Une note interne du FMI traduit le souci des responsables de cette institution supranationale d’une aggravation de la crise. Il y est notamment reconnu que la crise de la dette pourrait entraîner le FMI dans de graves difficultés financières très prochainement. Comme les Etats sont de plus en plus nombreux à faire la queue pour obtenir de plus en plus d’argent du FMI, il est temps de préciser que l’institution n’a pas des moyens illimités.  C’est du moins ce qu’ils disent ! Selon les documents diffusés, le FMI ne peut attribuer que 390 milliards de dollars de prêts sans mettre en péril son bilan.
Là aussi, on pousse à une réforme globale… Tout tombe en même temps : les banques, les Etats, maintenant le FMI.


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Leila Lopes Miss Angola Miss Univers 2011



Leila Lopes

 



Leila Lopes Miss Angola Miss Univers 2011 au moment stratégique et plein d'émotion de la pose de la couronne. Etudiante en école de commerce de Benguela, la jeune femme de 25 ans, a été couronnée Miss Univers lundi, par un jury aussi impressionné par sa beauté que par son esprit. Leila Lopes a devancé sa dauphine, Miss Ukraine, Olesia Stefanko. Laury Thilleman a fini entre la 6e et la 10e place, une excellente performance.

 
 
 

mardi 13 septembre 2011

General Dynamics F-16 Fighting Falcon




 






Fichier:F-16 Fighting Falcon.jpg


                            Le General Dynamics F-16 Fighting Falcon est un avion de combat multirôle développé
                                   par les États-Unis pendant les années 1970. Commandé par plus de 20 pays différents,
                                   construit sous licence en Turquie, en Corée du Sud et par un groupe de quatre pays de
                                   l'OTAN, le F-16 est en 2009 l'avion de chasse le plus utilisé dans le monde.  Le 4 300e
                                     exemplaire a été livré en avril 2006[2] et la production devrait encore continuer, au
                                                              minimum, jusqu'en 2013 pour l'exportation[3].

Q - We Are The Plan