mercredi 7 septembre 2011

GOUVERNANCE MONDIALE ECONOMIQUE

Le torpillage de l'Europe suit son cours ! Le banquier central Trichet renouvelle son appel pour une gouvernance globale européenne

Par Kurt Nimmo
url de l’article original: http://www.infowars.com/central-banker-trichet-renews-call-for-european-global-governance/

Jean-Claude Trichet, le président de la banque centrale européenne et membre du groupe Bilderberg, appelle à un gouvernement central en Europe pour régner sur une zone de gouvernance économique unifiée. L’appel de Trichet suit celui similaire d’Antonio Borgès, directeur de la branche européenne du FMI, l’entité mondiale des prêts prédateurs usuriers.

Comme le note l’
agence UPI, cette idée n’a pas beaucoup de chances d’être populaire avec les citoyens des pays européens, y compris ceux des 17 membres de la zone Euro.

“Politiquement, un tel changement radical serait une entreprise risquée. Les électeurs des pays prospères n’approuveront pas que leurs impôts aident d’autres pays, qui ont des gouvernements qui prennent leurs propres décisions”, écrit l’agence de presse. “De manière générale, l’imposition implique au minimum une représentation, mais les contribuables allemands n’ont aucun membre de leur gouvernement qui les représentent à Athènes.”

Trichet, les banksters et l’élite mondialiste, veulent imposer un système moins “contraignant”, en clair moins démocratique, que celui en cours actuellement, où les citoyens ont leur mot à dire sur la manière dont leurs impôts sont dépensés.

“Avec le processus actuel en Europe, le parlement de chaque membre de la zone Euro, de tous les 17, doit ratifier le prêt à la Grèce. Ce processus peut prendre des mois, voire des années, “ rapporte UPI. “Si le temps presse, un tel système échouera, dit le rapport. Dans le même temps, le flottemement qui en résulte érode le reste de confiance dans les marchés boursiers, qui ont enregistrés de lourdes pertes ces dernières semaines.”

Le plan est de torpiller l’économie européenne et ensuite de proposer un remède via le schéma du gouvernement mondial. Trichet fut instrumental pour formuler la méthode de sauvetage européen qui est fait pour donner des dividendes sur
la banqueroute de l’Europe.

En 2010, Trichet est allé au Council on Foreign Relations (CFR) à New York pour être l’avocat de la gouvernance mondiale qui serait appliquée d’une manière féodale par le G20 et la criminelle (liée aux nazis) Bank for International Settlements (BIS – NdT: le QG du cartel privé des banques centrales siégeant à Bâle en Suisse).

Le
comité directeur de la BIS inclut d’autres minions des banksters, tels le patron de la réserve fédérale américaine Ben Bernanke et le gouverneur de la banque d’Angleterre Mervyn King.

La BIS est la reine des requins usuriers mondialistes. Elle est gouvernée par
le top du cercle de l’élite banquière et contrôle la plupart de la monnaie de singe transférable dans le monde. Elle utilise cet argent pour matraquer les gouvernements nationaux dans la dette avec le FMI. Elle fut utilisée par les nazis pour blanchir de l’argent durant la seconde guerre mondiale.


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mardi 6 septembre 2011

MICHAEL JACKSON



Michael Joseph Jackson
[1], né le 29 août 1958 à Gary (Indiana) et mort le 25 juin 2009 à Los Angeles (Californie), est un chanteur, danseur-chorégraphe, auteur-compositeur-interprète, acteur et réalisateur américain[2],[3]. Il est reconnu par le Livre Guinness des records comme étant l’artiste le plus couronné de succès de tous les temps[4],[5],[6],[7]. Selon le Rock and Roll Hall of Fame, il a été identifié comme étant l'artiste le plus populaire dans l'histoire de l'industrie du spectacle et l'homme le plus célèbre au monde[8].

Septième d'une famille de neuf enfants, il chante avec ses frères dès l'âge de six ans et débute une carrière professionnelle à l'âge de onze ans au sein des Jackson Five, groupe formé avec ses frères aînés. Tout en restant membre du groupe, il entame en 1971 une carrière solo. De ses dix albums solo parus de son vivant, six figurent parmi les plus vendus au monde : Off the Wall (1979), Thriller (1982), Bad (1987), Dangerous (1991), HIStory (1995) et Invincible (2001).

Dans les années 1980, Michael Jackson devient une figure majeure de la musique pop et l'une des personnalités les plus célèbres du XXe siècle. Il révolutionne l'industrie du disque, notamment en concevant des clips musicaux comparables à des courts-métrages de cinéma, comme Beat It, Billie Jean, Thriller ou Bad[9]. Au cours de ses concerts, vidéos et apparitions publiques, il popularise largement de nombreux pas de danse, dont le Moonwalk, qui devient sa signature. Ayant fusionné les genres de musique soul, funk et rock, son style vocal et musical continue d'influencer nombre d'artistes de hip-hop, pop et R'n'B contemporain.

Surnommé « The King of Pop » (« Le Roi de la pop »)[10],[11], Michael Jackson a battu nombre de records de l'industrie du disque. Au total, ses ventes s'élèvent à environ 800 millions d'exemplaires[12], ce qui le classe parmi les trois plus gros vendeurs de disques de tous les temps, avec les Beatles[13] et Elvis Presley[14]. Thriller, dont les estimations des ventes varient entre 65 et 118 millions, est quant à lui l'album le plus vendu de toute l'histoire de la musique[15],[16]. Michael Jackson a remporté plus de prix que n'importe quel autre artiste[17] et a été élu Artiste du Millénaire aux World Music Awards en 2000[18].


Michael Jackson a donné plus de 400 millions de dollars à des œuvres caritatives, notamment grâce à sa tournée Dangerous World Tour. Toutefois, son image publique a été considérablement ternie à cause de certains aspects de sa vie privée, notamment son goût pour la chirurgie esthétique, son mode de vie jugé excentrique par les tabloïdes, ainsi que deux accusations d'abus sexuel sur mineur. L'une n'a pas connu de suite judiciaire et l'autre a abouti à un procès, au terme duquel Michael Jackson a été acquitté. Ses deux mariages et ses trois enfants sont également à l'origine de polémiques, notamment concernant sa paternité. En 2010, le FBI rend public le dossier de Michael Jackson, dans lequel les autorités soulignent n'avoir trouvé aucune preuve ou comportement chez Jackson qui soutiendrait les accusations passées.
Michael Jackson meurt le 25 juin 2009, par « homicide accidentel » lié aux médicaments administrés par son médecin personnel. La cérémonie de ses funérailles au Staples Center de Los Angeles (Californie, États-Unis) a été retransmise en mondovision, le 7 juillet 2009.




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lundi 5 septembre 2011

DEMOCRATIE PRONEE PAR LA SUPERPUISSANCE DES USA

Démocratie versus—-l’inconnu


L’affrontement, au niveau international, devient assez clair : les « forces démocratiques » contre les « politiques islamistes ».





À l’époque de la guerre froide, nous avions deux “super-puissances” qui se confrontaient au niveau international. L’une défendait la démocratie, l’autre le socialisme. Le 26 décembre 1991 la super-puissance défendant le socialisme bascula et l’URSS fut dissoute.

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Le monde entrait dans une nouvelle ère géopolitique; il n’y avait plus qu’une seule superpuissance : les USA qui se disait « Démocratique ».

Durant la décennie qui suivit, la démocratie s’installa chez les anciens satellites de l’URSS ainsi qu’en Russie. Pendant ce temps, d’autres « puissances en herbe », ayant une politique « théocratique » commencèrent à prendre du poil de la bête.

L’Iran, suite à sa révolution de 1979, installe un régime « théocratique » et élimine tous les représentants prônant un régime différent. En 1980 les USA rompt ses relations diplomatiques et impose des sanctions économiques au pays.

En 1991, lors de la guerre du Golfe, l’Iran reste « neutre », mais permet à l’aviation Irakienne de se poser sur son territoire  et accueille les réfugiés irakiens.  Il est clair que la position « théocratique » prend de la force au Moyen Orient, même si les « dirigeants de cette « politique » ne sont pas tous en accord. En 1999, l’Iran est déchiré politiquement entre les demandes de réformes par le peuple et la puissance du clergé conservateur. Cette situation prévaudra jusqu’en 2005 où Mahmoud Ahmadinejad est élu président. La puissance islamique anti américaine est, à ce moment-là, solidement établie.

Entretemps, en mars 2003, l’Irak est envahie par une coalition des « forces démocratiques », sans mandat de l’ONU. Il est facile de voir que la « démocratie » ne pouvant se permettre d’attaquer l’IRAN, affaiblit la « puissance montante islamiste » en éliminant l’Irak. Cette « action » des défenseurs de la « démocratie » est tout simplement le début d’une guerre, déclaré en 2001 par les USA, dont l’excuse est : le « terrorisme » islamiste.

Il est clair que les USA et tous ses alliés ne sont pas intéressés à laisser se développer une deuxième « superpuissance » représentée par des pays islamiques. Ils ne veulent pas se placer dans une position de politique internationale où deux superpuissances seraient en place, dont l’une composée d’islamistes. Ils savent très bien que la « guerre froide » qui en découlerait, ne serait pas aussi « froide » que la précédente, composée d’une superpuissance « athée ».

L’affrontement, au niveau international, devient assez clair : les « forces démocratiques » contre les « politiques islamistes ».

Par contre, il y a du sable dans l’engrenage des « nouvelles démocratie » installées par les « alliés démocratiques ». Les politiques théocratiques qui perdent le pouvoir, ne perdent pas  beaucoup de puissance; et elles continuent de se manifester dans ce que l’on pourrait appeler une guerre de « guérilla ». Évidemment, cette guerre livrée par « l’ennemi », n’en est pas une aux yeux des « démocraties ». Elle est considérée publiquement, comme étant une suite « d’attentats terroristes ». Ce qui éloigne de l’esprit l’idée d’une « guerre mondiale » et empêche les pays non directement impliqués à rester « neutres ». D’un autre côté, il est publiquement entendu que ces « alliés de la démocratie » considèrent qu’ils livrent une « vraie guerre » au terrorisme « où qu’il soit dans le monde ».

Ce « où qu’il soit dans le monde » décrit exactement la position géographique de cette force rebelle islamique. Elle se réfugie dans plusieurs « états arabes » en restant plus ou moins « incognito ».

Les alliés « démocratiques » partent à leur poursuite et se rendent compte rapidement qu’il leur est impossible de les vaincre sans s’assurer de diriger le pouvoir de ces « États arabes ». Leur simple « influence » économique ne s’avère pas suffisante.

En Afghanistan, l’ancienne puissance URSS n’a jamais pu en prendre le contrôle. Il s’en est suivit une guerre civile qui permit au Talibans de prendre le contrôle du pays en 1997.  Jusqu’en 2001, le Pakistan appuie publiquement le régime Taliban d’Afghanistan. Cette année-là, cependant, les choses changent et le Pakistan se met à faire ressortir « la politique extrémiste » des Talibans.

La même année, l’attentat du World Trade center, donne l’occasion aux « alliés démocratiques » d’attaquer les Talibans d’Afghanistan avec l’aide du Pakistan. C’est alors qu’ils déclarent la « guerre aux terrorisme partout où il est dans le monde ». Encore une fois, on s’attaque à la « puissance islamique » pour l’empêcher de prendre trop d’essor. La puissance islamiste « Talibanaise » retourne dans « l’incognito » et continue sa guerre de guérilla.

Un problème s’amplifie de plus en plus : Partout où les « alliés démocratiques » prennent le pouvoir, ils sont constamment attaqués par les «  maquisards terroristes ». Nulle part, ils ne parviennent à soumettre ces « combattants du Jihad ». L’OTAN et l’ONU sont alors obligées de prendre part à la défense de la « démocratie ». C’est-à-dire que l’OTAN se permet, de plus en plus, avec l’appui de l’ONU, de s’attaquer aux pays arabes qui n’adoptent pas « la politique démocratique » prônée par la « superpuissance » internationale, les USA.

Celle-ci a, depuis longtemps, préparé un « agenda » qui lui permettra d’effacer cette menace « terroriste ». Et comme cette menace se trouve dans la plupart des pays arabes, l’agenda concerne la prise de pouvoir de ces pays. Évidemment, puisque le maintien du pouvoir par les « alliés de la démocratie » dans ces pays ne tient toujours qu’à un fil, l’ONU et l’OTAN deviennent très présent et actif dans ces « administrations ». Chacun de ces pays subjugués devient une « dictature militaire » des alliés, cachée sous un vernis « démocratique ». C’est d’ailleurs la seule façon de contrer et combattre les forces du « maquis » islamistes.

Par contre, le coût de cette « guerre », parce que le pouvoir doit être constamment appuyé militairement, est faramineux. L’administration financière de ces différentes guerres se fait souvent au dépend de « pillage des richesses » du pays « libéré ». D’autant plus que plusieurs des « forces d’occupation » est laissée aux mains de « sous-contractants » c’est-à-dire des « mercenaires ». Ceux-ci ne se privent donc pas de « se payer » pour renflouer leur possible « déficits ». Très peu d’effort est fait pour empêcher ce pillage.

Mais, encore là, ce n’est pas suffisant pour diminuer efficacement « la facture »; et la population des pays « démocratiques » ressent les conséquences des coûts de cette « guerre ». Comme la facture n’est pas « publique », la population a l’impression vague qu’une minorité de privilégiés « vampirise » les moins nantis. En fait c’est bien le cas, mais une bonne portion des argents recouvrés sert à financer cette volonté de « démocratiser » le monde entier.

Voici une carte montrant les pays où l’Islam est présent :

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Il est bien évident que les « combattants du jihad » se réfugient strictement dans les pays où la population est à 100% islamique. Et c’est dans la liste de ces pays qu’on peut trouver le nom des pays inscrits dans l’agenda des « alliés démocratiques ».

En 2010 le mouvement anti-islam se précipite. Les « alliés de la démocratie » nous donnent l’impression d’être devant une « urgence ». Le « printemps arabe » devient le nouveau stage de cette guerre contre la « puissance islamiste », qui pourrait devenir une « superpuissance » éventuellement.

Le tout débute par la Tunisie en décembre 2010. Le slogan « dégage!!! » se fait entendre dans une série de pays arabes, où le pouvoir est détenu par une dictature. Les pays qui suivent le mouvement sont : l’Égypte, la Libye, le Bahreïn, le Yémen et la Syrie. Le mouvement se réclame de la « non-violence ». En réalité on s’est rapidement rendu compte qu’on pouvait ajouter : « excepté là où c’est nécessaire ». La Lybie est le pays qui souffre le plus de cette « nécessité » jusqu’à maintenant.

Actuellement, les « alliés de la démocratie » n’étendent pas plus loin, ce « printemps arabe ». Ils en ont plein les bras pour l’instant.

Il est impossible de croire que ce « printemps arabe » se limite aux pays cités. Lorsque ceux, actuellement en effervescence, seront sous contrôle, un second souffle du « printemps arabe » est à prévoir. Le but ultime est de faire disparaître au plus tôt, les appuis qui pourraient aller vers l’Iran. Car, il est évident que si l’Iran parvient à devenir une « puissance nucléaire », les pays Islamistes seront tentés de se joindre à l’Iran et, à ce moment-là, la coalition islamique pourra devenir une « superpuissance », possédant la richesse du pétrole, avec qui il faudra compter. Une telle superpuissance deviendrait rapidement « la seule superpuissance mondiale » à cause du pétrole.

L’inquiétude des USA au sujet de l’issu de cette guerre contre le « terrorisme » transparaît dans les appels d’urgence, de Barak Obama, à se libérer de leur dépendance au pétrole. Si les USA devenaient indépendant du pétrole, le danger de la « superpuissance islamique » serait beaucoup moindre, puisque les USA pourraient répondre militairement à toutes menaces de leur part. Mais avec le contrôle du pétrole dans les mains de la superpuissance islamique, la partie serait perdue.

Le Pakistan possède bien l’arme nucléaire; mais ce pays ne peut pas rassembler les forces islamiques parce que l’Inde, son voisin, possède également des armes nucléaires. La position du « Pakistan nucléaire » est loin d’être identique à la position que détiendrait un « Iran nucléaire ». Il est plus que probable que l’urgence de la prise de contrôle des « alliés de la démocratie » des dictatures de l’Islam est causée par l’imminence de l’Iran à se doter de l’arme nucléaire.

On se rend compte, depuis longtemps, que la démocratie imposée à des pays arabes, ne réussit jamais et ne résulte qu’en appauvrissement de la population et en augmentation du pouvoir des dictateurs « élus ». Le nouvel optique est de déchoir ces dictatures, non pas pour « enrichir » la population comme on le prétend, puisque les libyens étaient déjà plus qu’à l’aise; mais pour, tout simplement, enlever des appuis susceptibles à l’Iran.

Si jamais l’Iran était sur le point d’avoir l’arme nucléaire, une guerre mondiale serait imminente. La Chine et l’Inde sont des « amis de l’Iran ». La Russie et les anciens pays soviétiques ont également des liens solides et importants avec l’Iran. La république islamique d’Iran accorde la priorité à ses relations avec les autres états de la région et avec le reste du monde islamique.

Il est très clair que l’Iran est actuellement, la cible des « alliés de la démocratie ». Il est tout à fait clair que l’enjeu est d’une importance capitale pour la « démocratie » tout autant que pour le « capitalisme » dont je n’ai pas souligné l’importance et l’implication; mais le capitalisme n’est que l’autre facette de notre « démocratie ». Il est également très clair que la partie est loin d’être jouée.

Amicalement

André Lefebvre

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ANGELINA JOLIE

Angelina Jolie, née Angelina Jolie Voight le 4 juin 1975 à Los Angeles, est une actrice américaine et une ambassadrice de bonne volonté pour le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. Elle a reçu trois Golden Globes, deux Screen Actors Guild Awards et un Oscar du cinéma. Angelina Jolie a défendu diverses causes humanitaires à travers le monde et est réputée pour son travail en faveur des réfugiés avec le HCR. Elle a déjà été désignée comme l'une des plus belles femmes du monde et sa vie hors-caméras est suivie de très près.


Malgré des débuts à l'écran aux côtés de son père Jon Voight dans Lookin' to Get Out, en 1982, sa carrière d'actrice démarre en réalité avec le film à petit budget Glass Shadow (1993). Son premier rôle principal dans un film important est dans Hackers, en 1995. Elle joue ensuite dans George Wallace et Femme de rêve, films biographiques acclamés par la critique. Angelina Jolie remporte aussi un oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour sa prestation dans Une vie volée (1999). L'actrice atteint le sommet de sa célébrité avec 60 secondes chrono (2000) et son interprétation de l'héroïne de jeu vidéo Lara Croft dans Lara Croft : Tomb Raider (2001), et s'impose depuis comme l'une des actrices les plus célèbres et les mieux payées d'Hollywood. Elle a connu ses plus grands succès commerciaux avec la comédie Mr. et Mrs. Smith (2005) et le film d'animation Kung Fu Panda (2008).



Divorcée des acteurs Jonny Lee Miller et Billy Bob Thornton, Angelina Jolie vit actuellement avec l'acteur Brad Pitt, dans une relation qui attire l'attention des médias du monde entier. Le couple a adopté trois enfants, Maddox, Zahara et Pax, et a également eu trois enfants biologiques, Shiloh, Vivienne et Knox.




La Sulfureuse Angelina Jolie




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dimanche 4 septembre 2011

JOURNALISTES OBEISSANTS

Au-delà de la Libye, nous sommes tous bombardés.

KEIRA KNIGHTLEY



Pirates des Caraibes



Fille d’un acteur et d’une scénariste, Keira Knightley tient différents rôles dans des productions télévisées comme les téléfilms " Princess of Thieves " et " The Beginning " et des films publicitaires depuis l’âge de 7 ans.


Keira Knightley n’avait que 17 ans lorsque le tournage des
Pirates Des Caraïbes, La Malédiction Du Black Pearl a commencé. Elle a précédemment joué dans The Hole de Nick Hamm, Star Wars épisode 1 - La Menace Fantôme de George Lucas (grâce à sa ressemblance avec Natalie Portman), Les Péchés Mortels de Patrick Dewolf, Le Roi Arthur d'Antoine Fuqua où elle incarne Guenièvre face à Clive Owen, Joue-la Comme Beckham de Gurinder Chadha et Love Actually, dans lequel elle joue aux côtés de Colin Firth, Hugh Grant, Laura Linney, Liam Neeson, Alan Rickman et Emma Thompson.

Grâce au succès de la trilogie des pirates, Keira Knightley obtient la consécration et enchaîne les projets : The Jacket avec Adrien Brody et Jennifer Jason Leigh, Domino de Tony Scott et avec Mickey Rourke, Jacqueline Bisset, Christopher Walken et Lucy Liu. Elle est à l'affiche de la nouvelle adaptation du roman de Jane Austen Orgueil Et Préjugés. En 2006, elle tourne Pirates Des Caraïbes, Le Secret Du Coffre Maudit toujours aux côtés de Johnny Depp et Orlando Bloom.


En 2007, Keira Knightley enfile à nouveau sa panoplie de pirate puisqu’elle tourne le troisième épisode de Pirates des caraïbes, Pirates Des Caraïbes : Jusqu'Au Bout Du Monde.
Elle retrouve Joe Wright en 2008 pour Reviens-moi où elle joue une jeune fille issue de la haute bourgeoisie anglaise dans les années 30.


Keira Knightley enchaîne sur un autre film en costume, mais ceux du XVIIIème siècle, puisqu’elle partage l’affiche de The Duchess avec Ralph Fiennes. Enfin, on la retrouve début 2011 aux côtés de Guillaume Canet dans Last Night, de Massy Tadjedin, dans l'étrange Never Let Me Go de Mark Romanek, ainsi qu'aux côtés de Colin Farrell pour le thriller London Boulevard.

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Q - We Are The Plan