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Lecteurs, attention ! Certains mots vont sans doute vous transporter à travers le temps dans votre folle jeunesse jusqu'aux prémices des yé-yé. Souvenez-vous, c'était hier… À l'époque, les « bad boys » s'appelaient Johnny Hallyday ou Eddy Mitchell. Mais ces étoiles montantes du rock français balbutiant en cette fin des années 1950, pour la plupart fauchées, manquaient de bonnes guitares, telles les Fender ou Gibson, deux marques phares américaines coûtant à l'époque jusqu'à plusieurs mois de salaire… « Un luthier parisien va alors satisfaire cette demande nationale croissante à un prix abordable, affirme Marc Touché, sociologue du CNRS3, qui a participé à l'ouvrage et à l'exposition. Vincent Jacobacci, un immigrant sicilien installé à Ménilmontant depuis les années 1920. »
À l'origine, l'homme fabriquait des banjos et des mandolines. Ses fils, Roger et André, se destinaient à l'agriculture et à l'hôtellerie. Mais dans les années 1950, le rock débarque en France. Et sa vague bouleverse les plans des Jacobacci. André et Roger rejoignent finalement l'atelier de leur père qui devient très vite le lieu d'innovation d'une révolution technologique et musicale, c'est-à-dire celui de l'électrification en petite série et sur-mesure. Dès lors, les Jacobacci fournissent leurs premières guitares électriques aux groupes français, des Vautours aux Chaussettes Noires en passant par les Chats Sauvages. Et leurs guitares plates Texas et Ohio deviennent en 1960 l'attribut indispensable des jeunes rockers.
Alu Dibond 28 x 21 cm (Dimensions extérieures : 32,6 x 25,6 cm) Caisse américaine chêne naturel Kit de crochets d'angle + chevilles Fischer. Prix sur demande!
La malédiction de ce monde n'est pas la bombe atomique, bien que ce soit déjà suffisant. La malédiction de ce monde est
l'irresponsabilité de ceux qui, ne cherchant à étudier qu'un seul univers - l'univers physique - essayent de réduire tous les êtres à des choses motivées mécaniquement, sans rêve, ni éthique. Le mot << science >> a été déshonoré, car il signifie vérité et vérité signifie lumière. Se fixer continuellement sur un seul univers et ne dépendre que de lui en ignorant les deux autres ( l'univers de soi et l'univers des autres) conduit à l'obscurité, au désespoir, au rien. Il n'y a rien de mal à l'univers physique. On ne devrait pas cesser l'observation de l'univers physique, mais cela ne signifie pas non plus que l'on doive uniquement se concentrer sur lui, pour ne trouver d' << accord >> qu'avec lui et ses lois. Il possède des lois qui lui sont propres. Il est préférable et de loin que l'individu se concentre sur son univers personnel, plutôt que sur l'univers matériel, quoique cela ne soit pas la solution définitive. Un équilibre est atteint dans les trois univers et dans la certitude de ces trois univers.
Tout contrôle s'effectue en introduisant des incertitudes et des influences cachées : << Regarde comme tout est horrible là-bas, tu ferais mieux de me regarder. >> On arrive donc à l'esclavage uniquement en amenant les gens à fixer leur attention sur une seule chose. Dans ce cas cette chose c'est l'univers physique. Ce qu'on appelle aujourd'hui la science invente les machines pour nous moucher le nez, pour penser à notre place et elle avance tous les arguments possibles et imaginables pour nous prouver que nous devrions considérer notre corps comme quelque chose de fragile et dont on ne peut se passer. La science, dominée par le capital, crée la pénurie. Elle crée la pénurie d'univers en fixant les gens sur un seul univers.
Les choses rares sont celles que l'individu ne croit plus pouvoir créer, ni avoir. L'individu qui ne peut pas créer a besoin de s'accrocher à ce qu'il possède. Cela l'amène à s'accrocher à ce qu'il avait. Lorsque dans le passé il a été certain que quelque chose existait, il commence a s'y agripper de plus en plus. Son espace diminue, son état d'être se réduit, il devient moins actif. Le mental réactif ( inconscient ) qui ne peut pas créer d'enfants à perdu l'espoir de créer. Il peut ensuite influencer le mental analytique ( conscient ) et lui faire croire qu'il ne peut plus créer. Le mental analytique qui crée artistiquement dans l'univers physique, mais pas du tout dans son propre univers, ni dans les univers des autres, d'après ce qu'il peut reconnaître, dégringole jusqu'à ce qu'il rencontre le mental réactif sur son propre terrain. C'est à ce niveau que nous trouvons celui qui réduit les autres à l'esclavage, la personne qui raréfie les choses, le type qui se sert de sa prétendue éthique pour imposer des jugements cruels et pour réduire à des << choses >> des êtres qui pourraient être des hommes.
A ce niveau là, quand le mental analytique et le mental réactif sont de force égale, le seul effet qui puisse être produit est celui de la douleur. Lorsqu'il existe un désir ardent de souffrir qui se déguise de milliers de façons et que toute impulsion positive haute de ton est raillée, la criminalité et la guerre font leur apparition. Là, la conscience n'existe pas. Ces choses agissent simplement selon un mécanisme d'excitation-réflexe.
Tout en haut de l'échelle, nous avons la grandeur, le rayonnement et l'ampleur qu'il y a à être, l'ampleur de la compréhension et celle de la conscience. Pour arriver là, il suffit de prendre conscience de l'existence des trois univers grâce à une observation directe.
La société, toujours plus avide de dominer davantage de gens, substitue la religion à l'esprit, le corps à l'âme, l'identité à l'individu, et la science et les données à la vérité. Dans cette direction résident la folie, un esclavage croissant, moins de savoir, plus de pénurie et moins de société. LRH/BSU