Rockfeller et l’OMS: Les dessous du cartel pharmaceutique
Plusieurs
membres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont étroitement liés
aux compagnies pharmaceutiques : un véritable cartel, une véritable
industrie, dont l’objet est moins de guérir que de soigner…
L’humanité et le soin des plus fragiles ne sont plus leur
credo : ils ont congédié Hippocrate et lui ont préféré Rockefeller. Il
faut faire du chiffre !
La vidéo ci-dessus vidéo révèle l’emprise des multinationales pharmaceutiques depuis Rockefeller :
Notre santé dans les mains de l'industrie pharmaceutique!
Les Rockfellers collaborent avec les nazis, aide à la création de l'OMS (organisation mondiale de la santé)
De 1925 à 1939, IG Farben devient un empire industriel de tout
premier plan. Grâce à un important groupe de recherche et de nombreux
partenariats (en particulier avec la
Standard Oil américaine
3), de Rockfeller elle met au point plusieurs
procédés industriels très importants conduisant à de nouveaux produits :
IG Farben finance le camp de
Monowitz-Buna (ou Auschwitz III), qui est un sous-camp dépendant d'
Auschwitz,
construit en octobre 1942 comme un Arbeitslager (camp de travail) mais
comprenant une forte composante d'extermination. Il contiendra environ
12 000 prisonniers,
surtout Juifs, sans femmes, avec quelques prisonniers de droit commun
et politiques. Les détenus feront à pied les 14 km/jour pour aller et
revenir à l'usine, avant qu'un train ne leur fasse faire la route. Dès
mi-avril
1941,
IG Farben construit son usine avec de nombreux prisonniers
loués aux nazis (en provenance du
camp de concentration d'
Auschwitz, voisin). L'usine doit aussi produire de l'
essence synthétique.
Les Allemands avaient besoin de ce caoutchouc synthétique, car ils ne
disposaient pas de colonie riche en hévéas (comme les colonies
britanniques ou françaises d’Asie). L'Allemagne avait entamé une
production de caoutchouc synthétique dès la Première Guerre mondiale,
mais durant la Seconde Guerre mondiale,
IG Farben, à cause notamment des bombardements alliés, semble n'avoir pas pu produire de caoutchouc synthétique à Auschwitz.
De plus, l’une de ses filiales, la
Degesch, produisant le gaz
Zyklon B, initialement utilisé comme
insecticide et
raticide, en produira de grandes quantités pour les
nazis qui les utiliseront dans les
chambres à gaz de certains
camps d’extermination.
Pour satisfaire à la demande grandissante de main-d'œuvre, la société
exploita aussi des travailleurs forcés dans plusieurs camps de travail.
Au faîte de sa puissance, le conglomérat employa environ
190 000 personnes, dont
80 000 travailleurs forcés.
Après la Seconde Guerre mondiale
Les dirigeants d’IG Farben sont jugés par un tribunal américain en
1947 à
Nuremberg ; certains sont reconnus coupables de crimes de guerre et condamnés à des peines de prison
18. En partie dans le cadre de la
dénazification, la société est dissoute par décret en août 1950, et démantelée en 1952 en douze sociétés héritières, dont
Agfa,
BASF,
Hoechst,
Bayer AG et
Dynamit Nobel.
Une nouvelle société, IG Farben in Abwicklung (« IG Farben en
dissolution »), est créée afin de régler des contentieux juridiques en
cours. Celle-ci est dissoute à son tour en 2003.
Le
siège social d’IG Farben, construit à
Francfort-sur-le-Main par l'architecte
Hans Poelzig
et qui était considéré, en son temps, comme étant le bâtiment le plus
moderne d'Europe, fut récupéré intact par les Américains en 1945. Il
abrita jusqu’à la chute du
Mur de Berlin le quartier général des forces américaines en Allemagne. Après leur départ, il a été entièrement rénové et transformé en un
campus, celui de l'
Université Johann Wolfgang Goethe.
Une controverse relative à la direction de l'entreprise durant la
période nazie perdure : plusieurs hommes d'affaires américains, dont
Edsel Ford,
Henry Ford,
Walter Teagle,
C.E. Mitchell,
Paul Warburg et
W.E. Weiss, ont joué un rôle essentiel dans le développement d'
IG Farben19.
- les trois sociétés de la « petite IG » (BASF, Bayer et Agfa) ;
- Meister Lucius et Brüning/Höchst ;
- Griesheim Elektron ;
- Weiler ter Meer.