Hôtel Hilton Caracas, concert de Donna Sommer 1977
En souvenir du Venezuela...
En 1977, l'année où Elvis Presley nous quittait, je me trouvait à Caracas et me souviens encore que le monde était choqué par cette disparition tragique.
Cette
année là, j'ai eu la chance de me trouver avec Ninoska et de faire des
expériences uniques. Par exemple d'apprendre à piloter un avion et
survoler le Venezuela, l' Amazonie. De me retrouver en pleine forêt
vierge et de dormir à la belle étoile entouré de bêtes féroces, tout
particulièrement un puma qui ne me quittait pas des yeux.
Ou encore avoir survolé la plus grande chute du monde; le saut de l'ange (salto d'el angelo), de
nager dans les rivières d'Amazonie infectés de piranhas, de visiter
des tribus sauvages indiennes et surtout d'admirer la faune et la flore
qui est d'une beauté à vous couper le souffle!
Egalement
j'ai eu le plaisir de participer à des concerts mémorables d'artistes
et de célébrités, tels que Donna Sommer, Tina Turner, et tant d'autres
personnalités.
En train de se prendre une cuite en Amazonie, avec une humidité de 100% et une chaleur torride. Attention la tête!
Je garde un souvenir chaleureux et une affection particulière pour ce beau Pays qui est le Vénézuéla. (P.A.D)
Tina Turner à Caracas 1977 Photographié par Pierre-André Doriot sur scène
Si l’on
veut bien regarder le débat du second tour de l’élection présidentielle
pour ce qu’il était censé montrer —c’est à dire non pas les programmes,
mais les personnalités des deux candidats—, celui du 3 mai aura été très
révélateur : les Français s’apprêtent à choisir comme président pour
les cinq prochaines années un brillant acteur qui ne s’intéresse pas à
eux.
Lors des débats précédents pour le second tour de
l’élection présidentielle, les deux candidats abandonnaient la
rhétorique de leur campagne et se posaient en possible présidents. Ils
ne devaient pas tant expliquer une nouvelle fois leur conception de la
France que montrer leurs capacités personnelles à former une équipe, à
garder leur sang-froid et à défendre l’Intérêt général.
Ce ne fut pas du tout le cas le 3 mai 2017. Marine Le Pen et Emmanuel
Macron se sont empoignés comme des charretiers, poursuivant le combat
de leur campagne.
Cette violence verbale incontrôlable atteste, de mémoire d’électeur,
une fracture sans précédent du pays. Ce dialogue de sourds entre ses
leaders ne peut que conduire leurs électeurs aux mains. À l’évidence, la
France sera dans les prochaines années le théâtre d’un vaste
affrontement de rue, d’une révolution, voire d’une guerre civile.
Nous connaissons tous le diagnostic : d’un côté des gens aisés,
travaillant dans le tertiaire, habitant des centres-villes et
consommateurs d’animations culturelles ; de l’autre des citoyens
pauvres, travaillant dans le primaire et le secondaire, habitant des
banlieues ou des campagnes, privés d’avenir et de services publics. Et,
bien entendu, quantité de gens entre ces deux pôles, redoutant de
basculer dans le second.
Selon Madame Le Pen, ses électeurs sont les victimes d’une
dissolution progressive de la Nation et de la République dans la
globalisation. Selon Monsieur Macron, ses électeurs, en s’enrichissant,
sont devenus les vainqueurs de la modernité et des exemples à suivre.
Les téléspectateurs, sonnés par la violence du débat du 3 mai, n’ont
pas observé les qualités dont faisaient preuve les deux candidats.
Marine Le Pen est apparue affranchie de son éducation
d’extrême-droite, à la fois mère maternante et sévère. Avocate, elle
s’est montrée soucieuse de justice sociale et a placé son talent au
service de la « France d’en-bas ». Elle ne dispose pas d’un esprit
brillant capable d’éclairer des salons parisiens, mais d’un discernement
clair qui lui permet instantanément d’éliminer la verroterie et les
élucubrations.
NARCISSISME
Le narcissisme est, selon Le Petit Robert, en son sens courant, une « admiration de soi-même, attention exclusive portée à soi » synonyme d’égotisme et selon son sens psychanalytique, une « fixation affective à soi-même. ( Photo )
Emmanuel Macron est un esprit supérieur, bien plus intelligent que sa
rivale, souvent charmeur, parfois cassant. Homme de théâtre, il
maîtrise l’illusion. C’est une personnalité narcissique, souvent
malveillante, dénuée de scrupules et de remords. Il s’est amusé à se
jouer de sa rivale en se posant comme le chevalier blanc face à l’enfant
travesti d’un monstre nazi.
À l’issue de cette longue campagne, débat télévisé inclus, il est
probable que Monsieur Macron sera élu par la coalition de la « France
d’en-haut » et de ceux qui espèrent la rejoindre. Mais rien ne permet
d’anticiper la manière dont se dérouleront les élections législatives de
juin. La logique selon laquelle les Français devraient donner une
majorité de députés au président qu’ils viennent d’élire pourrait se
heurter au réveil des forces qui ont été éliminées au premier tour de
l’élection présidentielle. Il n’est donc pas exclu que le charme se
brise plus rapidement que prévu et qu’Emmanuel Macron soit immédiatement
contraint à composer avec d’autres.
Quoi qu’il en soit —que le président Macron préside seul ou qu’il
gouverne en associant ce qui reste de l’UMP et du PS—, le gouffre qui
sépare les deux France va continuer à se creuser et à s’élargir. Les
citoyens qui souhaitent défendre l’Intérêt général, c’est-à-dire la
République, n’ont d’autre choix que de s’organiser pour résister,
derrière la cheffe élue de l’opposition, Marine Le Pen, et de se
préparer à exercer le pouvoir. Ils doivent admettre que le temps de la
courtoisie est fini et que la colère gronde.
$ 6000.- ce que peut vous coûter une boisson << offerte >> au casino de Montreux!
C'est dans tous les cas une moyenne constante.
La roulette est une invention du Diable pour asservir et détruire les esprits les plus faibles!
PROCÉDÉS FRAUDULEUX
Une ex croupière brise l'omerta
et dénonce les astuces des casinos pour déplumer les clients...
Durant ces intenses séances de «brainwashing», on nous enseigne à
détecter le rythme adéquat d’une partie. Il faut s’adapter aux clients.
Chaque joueur a sa façon de jouer, sa personnalité et sa façon de…
dépenser. Il faut les faire «cracher», on a presque la main dans leur
poche. Ne doutez pas de l’immense influence que peut avoir le croupier
sur les joueurs! Par exemple, si le client gagne, on accélérera le
rythme pour qu’il s’emballe et mise plus haut. Les probabilités nous
assurent que ça ne durera pas et qu’il perdra ce qu’il a gagné
rapidement. Quand il commence à perdre, on diminue la cadence pour qu’il
ait l’impression de perdre moins vite et d’avoir le contrôle sur ses
mises. On lui laisse le temps d’analyser le jeu en cours.
Casino en italien signifie littéralement (petite maison). Jadis à travers L'Europe les établissements de jeux étaient appelés << redoute >> corruption de ridotto.
Il Ridotto (en italien : La Salle privée) est une aile de l'ancien Palazzo San Moisè, actuellement l'hôtel Danieli à Venise. Il fut fermé le 27 novembre1774 par décret du Conseil des Dix interdisant les jeux de hasard.
SPECULATION MALEFIQUE
La spéculation des banquiers et des casinos ( établissements de jeux) sont maléfiques, pervers. La loi dans certains pays interdit ces activés destructives. Il s'agit réellement ici de s'enrichir au dépens du peuple; du salarié, du chômeur ou du retraité afin de ruiner et de rendre esclave.
Les banques, les casinos ou seul le profit intéresse, sont le cancer de notre société occidentale. Elles détruisent des populations entières. Les pays qui autorisent ces activités criminelles sont complices, tout comme le peuple qui alimente les poches de ces misérables. La sanction est contre la survie de tous ceux qui ont affaire à ce genre d'activité mafieuse.
Les << Maîtres du monde >> pas plus de douze individus oppriment plus de 7 milliards d'humains sur cette planète terre. Par exemple l'un des douze membre de cette oligarchie possède plus de 150 millions de milliards de dollars. Il est actionnaire à plus de 90% des banques mondiales.
L'empire mis en place par l'oligarchie n'est autre qu'une vaste banque centrale et qui, à l'échelle mondiale, gère tous les échanges de la planète. Comment s’y prendre pour atteindre le but de domination
planétaire ? Une phrase pourrait résumer un modus operandi . Elle est
de Mayer Amshel Rothschild (1743-1812): « Donnez moi le contrôle sur la
monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font
ses lois. » Tout est dit dans cette simple phrase.
Mr. Asselineau: L 'oligarchie économique, financière et industrielle qui a fait main basse sur la démocratie en asservissant à son profil la quasi totalité des médias de masse. En France en dépit d'une opposition massive des Français, Mr. Macron augmentera la TVA et baissera l'impôt sur les grandes sociétés, ce qui revient à faire payer les pauvres et à enrichir les plus riches.
ENVOYE EN MISSION PAR LA BANQUE ROTHSCHILD
Un représentant « commercial » envoyé en mission par la Banque
Rothschild dirige la France aujourd’hui. On ne peut pas rêver un
scénario plus idéal pour exprimer la façon dont le Grand Capital
Financier organise son pouvoir absolu sur le monde entier. Ce pouvoir
exorbitant montre son visage rayonnant de plaisir : il a gagné, il est
le Maître, c’est lui qui décide et qui met en place ses pions
disciplinés pour une ère de profits démesurés assurés par des peuples
enfin dressés et soumis au dictat de la Loi de l’argent…
De nouveau, une large majorité de Français n’a pas voté
Emmanuel Macron. La majorité des Français n’a pas voulu qu’il soit placé
à la présidence de la République Française !
C’est une minorité de Français qui a imposé ce président à la
majorité des citoyens de ce pays ! On retrouve encore logiquement la
perversion du système électoral de la 5ème République et
l’injustice qu’elle fait régner dans cette parodie de « démocratie »…
Une minorité, comme on le voit dans cette élection, peut, en réalité,
s’imposer très facilement à une majorité : en résumé, 20 millions de
voix l’emportent sur 27 millions de voix !
Au pays où la spéculation est interdite, l'économie se porte bien. Le peuple est heureux et en bonne santé!
Le discours de Macron devant la pyramide du Louvre réveille les complotistes sur Twitter
POLITIQUECertains internautes ont clairement vu un lien entre la pyramide du Louvre et les Illuminati…
Certaines images sont riches de symboles… Dimanche soir, des internautes ont été nombreux à voir dans la prise de parole d’Emmanuel Macron, sur l'esplanade du Louvre, devant la pyramide, un signe très clair du lien entre le président élu et les
Illuminati.
Cette appellation est employée pour désigner toutes sortes de groupes
- sociétés secrètes, francs-maçons, services secrets - dont le but
serait de gouverner secrètement le monde afin de créer un nouvel ordre
mondial… Parmi eux figureraient des chefs d’Etat
mais également des
patrons de multinationales.
Leur symbole est… une pyramide surmontée d’un œil. Il n’en fallait
pas plus pour que le choix de lieu d’Emmanuel Macron réveille les
instincts conspirationnistes sur Twitter.
MACRON DIT-IL LA VÉRITÉ SUR CE QU’IL A GAGNÉ À LA BANQUE ROTHSCHILD ?
À côté de Macron, Cahuzac c’est un dealer de shit. Mais il faut se dire qu’il y a pire. Imaginons qu’un journaliste ait la
preuve que Macron possède un compte offshore. Est-ce-que ce journaliste
pourrait diffuser cette information dans la presse?
Non. Pourquoi? Parce que les médias sont tenus à 99,99% par des
pro-macron et que divulguer cette information capitale reviendrait à
faire élire Marine le Pen…
Ça donne à réfléchir sur l’état de notre démocratie.
Les propos de Marine le Pen dérange L'Establishment tout entier, puisque même Obama apporte son soutien à Macron.
Ce que dissimule Emmanuel Macron aux Français
En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire
Emmanuel Macron que ses soutiens omniprésents dans les médias présentent comme « un homme libre et indépendant »
est en réalité un pur produit standardisé du système : le clone de
François Hollande. Rappelons à ces montreurs de marionnette que leur « homme libre et indépendant »
refuse toujours de publier la liste des contributeurs financiers à sa
campagne électorale. Est-ce à dire qu’il aurait bénéficié de millions
d’euros de plusieurs représentants du système pour monter son spectacle
et entrer en scène médiatique en jouant le candidat anti-système ? Car
Macron ne devint pas dès le mois de mai 2012 conseiller économique de
François Hollande puis ministre de l’Economie par un travail personnel
important et innovant en matière économique. Il entra à l’Elysée sur les
recommandations appuyées des vieux briscards des réseaux du clan
élitiste et arrogant des anciens des grandes écoles et de la grande
finance capitaliste. De Jacques Attali à Alain Minc en passant par les
inévitables salonards parisiens comme Bernard-Henri Lévy et quelques
milliardaires à l’image de Pierre Bergé, les entremetteurs ne manquent
pas, tous liés aux cercles atlantistes. De 2011 aux élections
présidentielles de 2017, ceux-ci n’ont cessé de border son parcours avec
le concours, plus ou moins déclaré, des représentants au pouvoir de la
caste des grands propriétaires privés de l’économie. Peu importe qu’ils
soient membres de Les Républicains ou « socialistes», le principal étant
d’assurer la continuité du système. Son parcours a donc un bilan que
les médias officiels n’évoquent pas et qu’il est donc nécessaire de
rappeler.
Un bilan économique désastreux
Rappelons que du 15 mai 2012 au 15 juillet 2014 Macron fut Secrétaire
général de l’Elysée, chef du pôle Economie et finance, puis, du 26 août
2014 au 30 août 2016 ministre de l’Economie et de l’industrie. A ce
titre il est donc celui qui a joué le rôle le plus important avec le
président de la République et les deux Premiers ministres Ayrault et
Valls dans la politique économique et financière de la France de 2012 à
2016. Quels sont les résultats de la politique Macron-Hollande ? Le
chômage a explosé : à son arrivée en mai 2012, la France comptait moins
de 5 millions de chômeurs toutes catégories confondues. A son départ en
août 2016, 11 millions de personnes sont sans emploi ! Car, parmi
celles-ci, aux 6,5 millions de sans emplois officiels s’en ajoutent plus
de 5 millions exclues des statistiques. La dette publique : elle se
situait à un peu lus de 1800 milliards d’euros à son arrivée et dépasse
les 2200 milliards d’euros à son départ en août 2016, soit quasiment
100% du Produit Intérieur Brut. Quant aux impôts dont le montant total
se situait à un peu lus de 900 milliards d’euros par an ils sont de 1000
milliards d’euros par an en août 2016. Les entreprises ? Selon une
étude publiée par le Cabinet Deloitte et Altares, spécialiste des
données sur les entreprises, plus de 63 000 d’entre elles (63 081) ont
défailli en 2015, soit 0,8% de plus qu’en 2014 (62 586). Et au premier
trimestre 2015, plus de 18.000 sociétés feront faillite entre janvier et
mars alors que, depuis 2009, chaque premier trimestre se conclut aux
environs de 16.500 défaillances. Le nombre d’emplois menacés par ces
défaillances dépasse les 66.000, chiffre record depuis 2009. Si en 2016,
la tendance est à une légère baisse sur la majorité des secteurs
d’activité (58057 défaillances contre 63081), par contre dans
l’agriculture, la sylviculture et la pêche le nombre de défaillances
augmente de 4,5 %, passant de 1365 redressements ou mises en liquidation
fin 2015 à 1427 fin 2016 ! L’évolution de ces principaux indicateurs
montre clairement la responsabilité d’Emmanuel Macron dans l’aggravation
de la crise économique et sociale. A peine entré à Matignon comme
ministre de l’Economie et de l’industrie, le jouvenceau de la Rothschild
poursuivit la même politique que ses prédécesseurs.
Le programme Macron est déjà en application
Comme eux, il liquida une nouvelle partie du patrimoine français,
jeta au chômage des milliers de salariés et décida de nouvelles
privatisations importantes : aéroport de Toulouse-Blagnac, de Nice-Côte
d’Azur, de Lyon… Se trouvant un destin médiatiquement obligé pour la
France afin d’assurer la continuité de la politique atlantiste de
François Hollande au service des grandes puissances financières, il
peaufina la casse industrielle : libéralisation des lignes d’autobus ;
accroissement du travail du dimanche et de nuit ; limitation du rôle des
prud’hommes ; affaiblissement du code du travail ; déréglementation de
la profession des notaires ; privatisation de l’industrie de l’armement
et des aéroports ; filialisation de centres hospitaliers
universitaires ; assouplissement des normes environnementales… « Si
le projet apparaît comme un fourre-tout, il n’en possède pas moins une
grande cohérence idéologique, que l’on peut résumer d’une formule :
« Toujours moins ». Moins d’Etat, moins de protection sociale, moins de
droits syndicaux, moins de règles pour les entreprises, moins de
contrôle public » soulignait déjà, en avril 2015, la journaliste Martine Bulard.1 Déjà mis en chantier à cette époque sous l’ancien Premier ministre Valls sous l’appellation grandiloquente de projet « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques »2, imposé par la force à coup d’article 49-3, ce début de programme Macron a déjà des allures de grand bond En marche…
arrière puisqu’il s’est déjà traduit par une aggravation de la
situation économique et sociale. Emmanuel Macron se garde bien, tout
comme les médias officiels, de revenir sur cette loi dont il est
l’initiateur comme sur ses conséquences catastrophiques pour les
entreprises et les français. En réalité, au-travers de sa loi c’est déjà
le programme Macron qui est En marche. De même, la « loi
travail » Valls-El Khomri-Macron n’est qu’un échantillon de son
programme dissimulé sous le vocable trompeur de « libérer le travail ».
Chacun peut imaginer facilement ce qui arrivera si celui-ci avait les
mains libres pour le poursuivre à marche forcée – et funèbre – une fois
installé à l’Elysée.
Ces GOPE que Macron dissimule…
Force est de constater qu’Emmanuel Macron est de tous les projets
conçus pour soumettre la France à des puissances étrangères : soutien au
traité de libre échange transatlantique (TTIP ou TAFTA) qui placerait
les entreprises française sous le droit étasunien, soutien à l’Union
dite « européenne » de Bruxelles qui compte aujourd’hui 123 millions de
citoyens pauvres ou en exclusion sociale, soutien à l’OTAN et à la
guerre en cours contre la Syrie, etc. Mais qui en parle dans les médias
officiels ? Aussi, cet homme là qui n’a de cesse d’agir contre l’intérêt
général des français ainsi que son bilan en atteste n’a pas qualité à
se présenter comme un défenseur du pays dont cet ignare considère même
qu’ « il n’y a pas de culture française » !…3 Toute
son action politique, ses décisions en matière économique et financière
témoignent de son imposture. Les citoyens qui, au-delà des annonces
médiatiques, s’intéressent aux programmes politiques des candidats et à
la réalité de leur activité politique savent que les Grandes
Orientations de Politique Economique (GOPE) décidées par la Commission
européenne des hauts fonctionnaires de Bruxelles seront appliquées à la
lettre par Emmanuel Macron qui les a déjà faites siennes pour en
reprendre les principes et objectifs. Celles-ci se résument en dix
points :
1°- « Réduction des dépenses publiques ». Le
gouvernement a annoncé son plan de 50 milliards d’économie. C’est la
fameuse contrepartie du « pacte de responsabilité » pour ne pas faire
exploser le déficit. Or, tous les économistes savent que pratiquer des
coupes sombres dans les dépenses publiques lorsqu’un pays est déjà en
période de stagnation économique est une politique qui ne peut que
conduire à la récession ;
2°- Redéfinir « la portée de l’action des pouvoirs publics ».
Cela signifie accentuer les privatisations et la destruction de notre
système de santé et de nos services publics auxquels les Français sont
majoritairement attachés. La fermeture de plusieurs dizaines de services
d’urgence médicale est déjà programmée;
3°- Réaliser « d’importantes économies à court terme (qui) ne peuvent être réalisées sans une réduction significative de l’augmentation des dépenses de sécurité sociale ».
Cela se fera par une baisse massive des remboursements de santé puisque
la branche maladie représente quasiment 50 % des dépenses de la
Sécurité sociale et la privatisation rampante de la Sécurité sociale via
le recours croissant aux mutuelles privées. Pour la branche vieillesse,
après la hausse de l’âge de départ à la retraite le gel du montant des
pensions est à l’ordre du jour. Pour le chômage, le texte parle de « dégressivité des allocations » : cela augure d’une baisse plus importante et plus rapide des allocations dans le temps.
4°- « Simplifier les différents échelons administratifs » :
il ne s’agit pas de lutter contre la bureaucratie mais d’éloigner les
citoyens des centres de décision. L’objectif est d’en finir avec la
République française comme Etat souverain et indépendant pour en faire
une province de Washington. Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le
Foll, le déclara lui-même aux agriculteurs en colère : « On ne peut rien faire. La politique agricole se décide à Bruxelles »…
5°- Dans le chapitre coût du travail, « il convient que le salaire minimum continue d’évoluer d’une manière propice à la compétitivité et à la création d’emploi ». Traduction : arrêter les revalorisations du SMIC et commencer à mettre en œuvre sa suppression.
6°- «Une attention particulière devrait être accordée aux
dispositions réglementaires du Code du travail ou aux règles comptables
liées aux seuils spécifiques en matière d’effectifs, qui entravent la
croissance des entreprises françaises ». Le candidat Macron appelle cela « libérer le travail ».
Il s’agit en fait de renforcer la « liberté d’exploitation » par le
grand patronat que la « loi travail » a commencé à mettre en œuvre. Les
français étant fiers de leur pays, des valeurs de leur République et de
leurs conquêtes sociales, les grands propriétaires privés de l’économie
ont souhaité bénéficier d’une main d’œuvre sous-éduquée, bon marché, non
syndiquée et corvéable à merci.[i]
Avec les guerres contre la Libye, puis contre la Syrie, Nicolas Sarkozy
et François Hollande ont ouvert les filières dites « Méditerranée » et
« des Balkan »s. Résultat : non seulement la France est aujourd’hui en
pleine illégalité internationale mais, selon la Commission européenne, « trois millions de personnes supplémentaires devraient arriver dans l’Union européenne »
par ces deux corridors pour la seule période 2015-2017. La Commission
n’a pas fixé de quotas par pays pour les groupes criminels venus par les
mêmes filières…
7°- « Accroître la souplesse des conditions de travail en cas de difficultés économiques provisoires ».
Il s’agit, comme à commencer à l’instituer la « loi travail »
Valls-Macron- El Mokhri, de poursuivre la remise en cause de l’existence
même des contrats de travail à durée indéterminée (CDI) et d’accroître
leur précarisation.
8°- « Une majorité reste confrontée à d’importantes barrières à
l’entrée ou à l’exercice (par exemple les taxis, le secteur des soins de
santé, les notaires et, plus généralement, les professions juridiques)
». L’objectif est de pousser plus loin la déréglementation de ces
professions déjà en difficultés suite à différents traités de l’Union
« européenne ».
9°- « Les tarifs réglementés restent d’application pour les
ménages et, en ce qui concerne l’électricité, ils sont fixés en dessous
des niveaux de coûts et l’accès pour les autres fournisseurs est
limité.» La hausse des tarifs et la privatisation d’EDF sont également programmées.
10°- « Dans le secteur ferroviaire, des barrières à l’entrée continuent d’entraver le bon fonctionnement du marché ».
La privatisation de la SNCF et sa mise en concurrence forcée sont
également envisagés. La privatisation partielle de la SNCF a déjà eu des
effets très « significatifs » en matière de compétitivité : depuis le
lancement du TGV en 1982, aucune ligne à grande vitesse ne relie
toujours pas Paris à une capitale régionale comme Bordeaux, les
actionnaires des sociétés privées trouvant cette réalisation trop
coûteuse…4
Pour faire passer tous ces mauvais coups tout un dispositif de
communication a été élaboré avec des objectifs différents pour le
premier et le second tour des élections présidentielles.
Le contrat social français et la paix en danger
L’importante campagne de communication et de désinformation
orchestrée par l’équipe d’Emmanuel Macron dissimule les conséquences du
programme politique de candidat de la grande finance : la dislocation du
contrat social français et la continuité de la politique belliciste de
Bruxelles contre la Fédération de Russie et la paix. Lors du premier
tour des élections présidentielles, l’objectif recherché par l’équipe et
les soutiens d’Emmanuel Macron fut de mettre François Fillon hors
course sans mener de campagne particulière contre Marine Le Pen. Le but
recherché était alors de réorienter le vote des électeurs LR et du
centre vers le candidat mis en scène par François Hollande et les
milieux atlantistes. D’autre part, ces derniers laissèrent Benoit Hamon
mener sa campagne sous les couleurs du parti « socialiste » avec le seul
objectif de faire échec à Jean-Luc Mélenchon. François Fillon, seul
candidat qui aurait pu mettre en échec Macron, mis hors de course, la
communication change d’orientation pour le second tour. Après « la
rupture » de Nicolas Sarkozy et « le changement maintenant » de François
Hollande, il ne reste plus aux dirigeants « socialistes » qu’à laisser
continuer de diaboliser le Front national par ses habituels détracteurs
tout en présentant Emmanuel Macron comme « l’homme du renouveau ».
Nouveaux visages et recette éprouvée pour la même vieille politique.
« Il nous vend un personnage de théâtre… »
Au théâtre médiatique Macron joue aux français la pièce du « candidat
anti-système». Cette compétition à qui distribuera le plus de promesses
non tenues a fonctionné à fond. Dans cette démocratie rabaissée à un
simple concours de maquillage, les messes médiatiques à grand spectacle
ont donné à certains le sentiment de participer au « pouvoir du peuple
». Las ! Ils ne sont que les brailleurs d’un show de divertissement
politique jetable, les chauffeurs de salle et petits porteurs de
drapeaux applaudissant aux déclarations d’épate, les paumés gavés d’un
produit toxique rendu consommable et envedetté à coups d’annonces
médiatiques répétées. Ainsi que l’a souligné, non sans humour,
l’économiste Jacques Sapir, « tout ceci met au grand jour
ce qu’est la candidature d’Emmanuel Macron. Une pièce montée, avec ce
goût un peu douceâtre et écoeurant des pâtisseries de supermarché qui
ont le sucre et les lipides en excès. C’est une candidature qui précède
le programme, alors que la logique imposerait l’inverse. Car, se
présenter à l’élection présidentielle, ce n’est pas rien, même si ce
n’est que pour briguer le poste de gouverneur d’une France soumise à
l’Allemagne. On attend d’un candidat un programme et une vision, qui ne
se limite pas à des effets de manche dans des salles de réunions et
devant des auditoires conquis d’avance. On attend du fond ; et le fond
ici, contrairement à la fable du laboureur et de ses enfants, c’est bien
ce qui manque le plus. »5
Sous une présentation trompeuse sur le thème de « la
révolution » et du « renouveau », le programme de Macron ne propose rien
d’autre que la continuité de la politique du président et des
gouvernements de François Hollande à laquelle il a lui-même collaboré au
plus haut niveau de l’Etat.
Propose-t-il de dégager la Banque de France du carcan de la Banque
centrale européenne et des intégristes des marchés financiers ? Non.
Propose-t-il de nationaliser le secteur bancaire et financier afin de
permettre aux français de contrôler les mouvements de capitaux pour
assurer la stabilité financière et monétaire du pays ? Non. Propose-t-il
de nationaliser les sociétés du CAC40 afin de mettre l’économie au
service de l’intérêt général, stopper l’évitement fiscal de ces
entreprises, développer la gestion démocratique et créer de nouveaux
rapports entre ces grands groupes et le tissu des PME et TPE ? Non.
Propose-t-il d’interdire les licenciements dans les entreprises qui
réalisent des profits ? Non. Propose-t-il de mettre en place un cadre
législatif favorisant des avancées dans la gestion démocratique des
entreprises, ces lieux où hommes et femmes passent l’essentiel de leur
vie ? Non. Propose-t-il de nouvelles dispositions comme le recours aux
référenda pour développer le débat et le choix démocratique du pays sur
les grandes questions nationales ? Non. Propose-t-il de sortir du bloc
militaire OTAN afin de redonner à la France son indépendance militaire,
la maîtrise de sa défense et de s’engager pour la paix de la planète
contre tout impérialisme ? Non. Propose-t-il de sortir de l’Union
« européenne » de Washington pour participer à la construction de la
grande Europe, bien réelle celle-là, qui s’étend de Vladivostok à
Lisbonne ? Non.2
Rien de tout cela. Et pour cause : produit croisé de l’ENA, de
l’Inspection des finances, de la banque Rothschild, socialo palot –
pléonasme – petit-bourgeois, il est l’esbroufeur type enfanté par la
génération Mitterrand. Se présenter comme « anti-système » quand on a eu
le cerveau formaté à l’ENA – école où l’on apprend à gérer et
reproduire le système à coups de règlements –, quand on a travaillé à la
Banque Rothschild – institution qui figure au nombre des principaux
acteurs de la financiarisation de l’économie –, quand on a été
conseiller économique de François Hollande et ministre de l’Economie et
de l’industrie du gouvernement Valls – avec les résultats désastreux que
l’on connaît –, relève de l’imposture.
Comme l’a si bien dit l’économiste Jacques Sapir, « il nous vend un personnage de théâtre, l’arriviste qui crache dans la soupe qui l’a longtemps nourrie. »6
Et l’on cherche en vain dans le parcours d’Emmanuel Macron le moindre
élément qui permette de juger de son éloignement avec le dit système
bien avant qu’il ne quitte la banque Rothschild en 2012 pour être
injecté dans les allées du pouvoir politique. Aussi, Macron doit-il
rassurer et bercer d’illusions sa « clientèle électorale ».
Il eut du reste, bien maladroitement, à l’occasion du 71ème
congrès de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants
agricoles qui se tenait à Brest en mars 2017, de dire tout haut ce qu’il
pensait tout bas de la France du travail : « Un éleveur n’aime pas faire souffrir ses animaux, c’est comme penser qu’un entrepreneur aime licencier. » Du bétail, des boeufs quoi !…
Ce n’est pas pour rien que les journaleux parigots se pâment devant
ses discours creux à l’odeur des caves vides. Il est à l’image des
rienologues de Balzac dans sa Monographie de la presse parisienne : « La
page à l’air d’être pleine, elle a l’air de contenir des idées ; mais,
quand l’homme instruit y met le nez, il sent l’odeur des caves vides.
C’est profond, et il n’y a rien : l’intelligence s’y éteint comme une
chandelle dans un caveau sans air. Le rienologue est le dieu de la
bourgeoisie actuelle ; il est à sa hauteur, il est propre, ilest net, il est sans accidents. Ce robinet d’eau chaude glougloute et glouglouterait in saecula saeculorum sans s’arrêter. »
L’essentiel : sauver le contrat social français
Comme je l’ai déjà dit, dans les faits, le programme
d’Emmanuel Macron est déjà en application. Ceux qui s’apprêtent à voter
et à faire voter pour cet imposteur contribueront à l’assassinat
prémédité, planifié, cyniquement calculé de ce qu’il reste du contrat
social français qui repose sur l’emploi salarié. Sans doute
faut-il rappeler aux français la nécessité de s’opposer farouchement à
sa destruction en cours ainsi que le fait Hervé Sérieyx, qui fut
dirigeant d’entreprise, haut fonctionnaire et professeur d’université,
dans son ouvrage pertinent Alerte sur notre contrat social : « Rappelons
qu’en France, l’essentiel du contrat social repose sur l’emploi
salarié : c’est lui qui finance pour la plus large part la sécurité
sociale, et donc le système de santé, les retraites et le système de
solidarité générationnelle, le train de vie de l’Etat via l’impôt et
donc l’ensemble des systèmes de redistribution. Cet emploi salarié, au
coeur de notre contrat social, dépend lui-même du destin de nos
entreprises. »7
Les français qui ont voté et s’apprêtent à voter pour le
candidat de la coalition « socialiste-Les Républicains » ou à s’abstenir
n’ont visiblement pas encore pris conscience de la gravité des
conséquences de la conception anglo-saxonne de l’entreprise (le
« tout-actionnaire ») que défend En Marche. Une conception qui
remet en cause l’emploi salarié sur lequel repose l’essentiel du
financement de nos systèmes de solidarité ; une conception dont le
programme de Macron, déjà en cours d’application, peut mettre à terre
tous les fondements de notre protection sociale et dissoudre les liens
qui nous permettent de faire société.
Plus les entreprises seront privatisées au profit d’intérêts
particuliers, plus l’intérêt général continuera de régresser, plus
l’emploi salarié s’affaiblira, plus les solidarités s’effilocheront,
plus le chômage et la misère gagneront de nouvelles couches de la
société, plus l’avenir sera incertain et sombre.
Pour cette raison essentielle, même sans être en accord avec
le programme du Front national qui n’a, de mon avis, rien d’extrémiste,
le vote pour sa candidate appert en la circonstance comme le seul moyen
de faire barrage à la destruction continue de notre société par la
grande finance en redonnant la parole au peuple de France.
A l’opposé, une victoire d’En Marche entraînerait la France
dans l’instabilité politique par les querelles internes et la recherche
de majorité de circonstances des vieux partis – de LR aux groupuscules
gauchistes en passant par les restes du couple Ps-Pcf -, dans
l’aggravation de la situation économique et financière du pays par la
poursuite de la politique de déréglementation et de privatisation avec
pour conséquence une précarisation sociale sans précédent.
On peut y voir des « avantages » à un moment où Macron, ancien collaborateur du criminel François Hollande8 en
regard du droit international, s’est déclaré favorable à la guerre
contre la Syrie et a pris des positions hostiles à l’encontre de la
première puissance du continent européen, la Fédération de Russie.
Mais que peut faire d’autre un candidat de la grande finance apatride
alors que les milieux atlantistes de Washington et de Bruxelles
cherchent à provoquer un nouveau conflit majeur pour effacer leur
endettement et sauver leur système en crise ?9 Mais cela est
une autre histoire dont les résultats du premier tour des élections
présidentielles ont montré qu’elle échappe visiblement à l’entendement
d’une majorité de français. En ce sens également, le vote pour Marine Le Pen est un vote en faveur d’une nouvelle construction européenne et de la paix.
1.Loi Macron, le choix du toujours moins, par Martine Bulard, Le Monde Diplomatique, avril 2015.
2.Sénat Projet de loi considéré comme adopté par l’Assemblée
nationale en application de l’article 49, alinéa 3, de la Constitution
après engagement de la procédure accélérée « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques », 19 février 2015.
3.Discours d’Emmanuel Macron, Lyon, 5 février 2017.
4.Lire sur ces sujet Les GOPE (Grandes Orientations de la Politique Economique) ou la feuille de route économique de Matignon, par Charles-Henri Gallois, responsable national de l’UPR e n charge des questions économiques, 13 mars 2017, www.upr.fr, privatisations en France.
5.L’inquiétant M.Macron, par Jacques Sapir,12 février 2017.
6.Ibid
7.Alerte sur notre contrat social, per Hervé Sérieyx, Ed. Eyrolles, p.16.
8.Lire 56, tome 1 L’Etat français complice de groupes criminels et 56, tome 2 Mensonges et crimes d’Etat, par Jean-Loup Izambert, IS Edition.
9.Lire Trump face à l’Europe, par Jean-Loup Izambert, IS Edition (En vente sur http://www.amazon.fr)
Jacques Attali figure parmi les promoteurs de l’euthanasie.
Le
mondialiste Jacques Attali a annoncé ce matin sur BFM TV qu’il
présenterait à la fin de l’année un programme présidentiel afin
de lancer le débat en vue du scrutin de 2017.
Jacques
Attali dit vouloir « essayer de faire en sorte que l’année 2016 soit
occupée par un débat sur les idées et sur les projets », « de façon à ce
qu’en 2017, les candidats s’affrontent non pas sur la couleur de leur
cravate mais sur le projet qu’ils proposent au pays ».
« Ce
n’est pas un programme ‘UMPS’, ce n’est pas du tout un programme de
consensus entre les partis », a tenté de nier Jacques Attali. Le vilain
menteur ! Le personnage est pourtant l’archétype même de l’émissaire des
plus puissants cercles mondialistes, chargé de rappeler à la fausse
gauche comme à la fausse droite ce que les maîtres du monde attendent de
la politique française.
Qui est Jacques Attali ?
Né en
1943 dans une famille juive d’Algérie, il arrive en France en
1956. Jacques Attali et son frère jumeau Bernard sont inscrits au lycée
Janson-de-Sailly, dans le très chic 16ème arrondissement de Paris. Parmi
leurs condisciples, il y a un certain Laurent Fabius.
Jacques Attali est notamment diplômé de l’Ecole polytechnique et de l’ENA. A 27 ans, il devient auditeur du Conseil d’Etat.
Dès 1974,
il devient conseiller de François Mitterrand (PS). Lorsque Mitterrand
devient président de la république, il lui octroie même le rôle de
représentant personnel du chef de l’Etat aux sommets du G7.
Jacques Attali sera également conseiller de Nicolas Sarkozy (UMP) et de François Hollande (PS).
Jacques
Attali est l’initiateur (en 1989) et le premier président de la Banque
européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).
En 1998, Jacques Attali fonde PlaNet Finance,
organisme international de conseil d’institutions de macrofinance
présent dans 88 pays, développant des activités d’ONG selon les projets
du nouvel ordre mondial, et dont le conseil d’administration est composé
de représentant de la Haute Finance.
Jacques Attali est cofondateur (avec notamment Robert Badinter) de l’association Socialisme et Judaïsme, membre du CRIF.
Régulièrement,
Jacques Attali déclare qu’il est nécessaire d’instaurer un gouvernement
mondial dont Jérusalem serait la capitale.
Jacques Attali est aussi un intervenant du Congrès juif mondial qui se proclame « bras diplomatique du peuple juif« .
Il faut
se souvenir que les principaux dirigeants du Congrès Juif Mondial (parmi
lesquels le banquier David de Rothschild et Roger Cukierman, président
du CRIF) étaient réunis en France lorsque Manuel Valls a été désigné
premier ministre. Le Congrès Juif Mondial avait immédiatement publié un
communiqué de presse faisant « l’éloge du nouveau Premier ministre Manuel Valls pour avoir agi avec détermination contre le comédien antisémite Dieudonné« . Le même communiqué du Congrès Juif Mondial félicitait Manuel Valls d’avoir soutenu la « pleine légitimité des mesures qui restreignent la liberté de parole« .
Jacques Attali a écrit de nombreux livres, parmi lesquels un Dictionnaire amoureux du judaïsme ainsi que l’ouvrage Les Juifs, le monde et l’argent.