Le discours de Macron devant la pyramide du Louvre réveille les complotistes sur Twitter
POLITIQUECertains internautes ont clairement vu un lien entre la pyramide du Louvre et les Illuminati…
Certaines images sont riches de symboles… Dimanche soir, des internautes ont été nombreux à voir dans la prise de parole d’Emmanuel Macron, sur l'esplanade du Louvre, devant la pyramide, un signe très clair du lien entre le président élu et les
Illuminati.
Cette appellation est employée pour désigner toutes sortes de groupes
- sociétés secrètes, francs-maçons, services secrets - dont le but
serait de gouverner secrètement le monde afin de créer un nouvel ordre
mondial… Parmi eux figureraient des chefs d’Etat
mais également des
patrons de multinationales.
Leur symbole est… une pyramide surmontée d’un œil. Il n’en fallait
pas plus pour que le choix de lieu d’Emmanuel Macron réveille les
instincts conspirationnistes sur Twitter.
MACRON DIT-IL LA VÉRITÉ SUR CE QU’IL A GAGNÉ À LA BANQUE ROTHSCHILD ?
À côté de Macron, Cahuzac c’est un dealer de shit. Mais il faut se dire qu’il y a pire. Imaginons qu’un journaliste ait la
preuve que Macron possède un compte offshore. Est-ce-que ce journaliste
pourrait diffuser cette information dans la presse?
Non. Pourquoi? Parce que les médias sont tenus à 99,99% par des
pro-macron et que divulguer cette information capitale reviendrait à
faire élire Marine le Pen…
Ça donne à réfléchir sur l’état de notre démocratie.
Les propos de Marine le Pen dérange L'Establishment tout entier, puisque même Obama apporte son soutien à Macron.
Ce que dissimule Emmanuel Macron aux Français
En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire
Emmanuel Macron que ses soutiens omniprésents dans les médias présentent comme « un homme libre et indépendant »
est en réalité un pur produit standardisé du système : le clone de
François Hollande. Rappelons à ces montreurs de marionnette que leur « homme libre et indépendant »
refuse toujours de publier la liste des contributeurs financiers à sa
campagne électorale. Est-ce à dire qu’il aurait bénéficié de millions
d’euros de plusieurs représentants du système pour monter son spectacle
et entrer en scène médiatique en jouant le candidat anti-système ? Car
Macron ne devint pas dès le mois de mai 2012 conseiller économique de
François Hollande puis ministre de l’Economie par un travail personnel
important et innovant en matière économique. Il entra à l’Elysée sur les
recommandations appuyées des vieux briscards des réseaux du clan
élitiste et arrogant des anciens des grandes écoles et de la grande
finance capitaliste. De Jacques Attali à Alain Minc en passant par les
inévitables salonards parisiens comme Bernard-Henri Lévy et quelques
milliardaires à l’image de Pierre Bergé, les entremetteurs ne manquent
pas, tous liés aux cercles atlantistes. De 2011 aux élections
présidentielles de 2017, ceux-ci n’ont cessé de border son parcours avec
le concours, plus ou moins déclaré, des représentants au pouvoir de la
caste des grands propriétaires privés de l’économie. Peu importe qu’ils
soient membres de Les Républicains ou « socialistes», le principal étant
d’assurer la continuité du système. Son parcours a donc un bilan que
les médias officiels n’évoquent pas et qu’il est donc nécessaire de
rappeler.
Un bilan économique désastreux
Rappelons que du 15 mai 2012 au 15 juillet 2014 Macron fut Secrétaire
général de l’Elysée, chef du pôle Economie et finance, puis, du 26 août
2014 au 30 août 2016 ministre de l’Economie et de l’industrie. A ce
titre il est donc celui qui a joué le rôle le plus important avec le
président de la République et les deux Premiers ministres Ayrault et
Valls dans la politique économique et financière de la France de 2012 à
2016. Quels sont les résultats de la politique Macron-Hollande ? Le
chômage a explosé : à son arrivée en mai 2012, la France comptait moins
de 5 millions de chômeurs toutes catégories confondues. A son départ en
août 2016, 11 millions de personnes sont sans emploi ! Car, parmi
celles-ci, aux 6,5 millions de sans emplois officiels s’en ajoutent plus
de 5 millions exclues des statistiques. La dette publique : elle se
situait à un peu lus de 1800 milliards d’euros à son arrivée et dépasse
les 2200 milliards d’euros à son départ en août 2016, soit quasiment
100% du Produit Intérieur Brut. Quant aux impôts dont le montant total
se situait à un peu lus de 900 milliards d’euros par an ils sont de 1000
milliards d’euros par an en août 2016. Les entreprises ? Selon une
étude publiée par le Cabinet Deloitte et Altares, spécialiste des
données sur les entreprises, plus de 63 000 d’entre elles (63 081) ont
défailli en 2015, soit 0,8% de plus qu’en 2014 (62 586). Et au premier
trimestre 2015, plus de 18.000 sociétés feront faillite entre janvier et
mars alors que, depuis 2009, chaque premier trimestre se conclut aux
environs de 16.500 défaillances. Le nombre d’emplois menacés par ces
défaillances dépasse les 66.000, chiffre record depuis 2009. Si en 2016,
la tendance est à une légère baisse sur la majorité des secteurs
d’activité (58057 défaillances contre 63081), par contre dans
l’agriculture, la sylviculture et la pêche le nombre de défaillances
augmente de 4,5 %, passant de 1365 redressements ou mises en liquidation
fin 2015 à 1427 fin 2016 ! L’évolution de ces principaux indicateurs
montre clairement la responsabilité d’Emmanuel Macron dans l’aggravation
de la crise économique et sociale. A peine entré à Matignon comme
ministre de l’Economie et de l’industrie, le jouvenceau de la Rothschild
poursuivit la même politique que ses prédécesseurs.
Le programme Macron est déjà en application
Comme eux, il liquida une nouvelle partie du patrimoine français,
jeta au chômage des milliers de salariés et décida de nouvelles
privatisations importantes : aéroport de Toulouse-Blagnac, de Nice-Côte
d’Azur, de Lyon… Se trouvant un destin médiatiquement obligé pour la
France afin d’assurer la continuité de la politique atlantiste de
François Hollande au service des grandes puissances financières, il
peaufina la casse industrielle : libéralisation des lignes d’autobus ;
accroissement du travail du dimanche et de nuit ; limitation du rôle des
prud’hommes ; affaiblissement du code du travail ; déréglementation de
la profession des notaires ; privatisation de l’industrie de l’armement
et des aéroports ; filialisation de centres hospitaliers
universitaires ; assouplissement des normes environnementales… « Si
le projet apparaît comme un fourre-tout, il n’en possède pas moins une
grande cohérence idéologique, que l’on peut résumer d’une formule :
« Toujours moins ». Moins d’Etat, moins de protection sociale, moins de
droits syndicaux, moins de règles pour les entreprises, moins de
contrôle public » soulignait déjà, en avril 2015, la journaliste Martine Bulard.1 Déjà mis en chantier à cette époque sous l’ancien Premier ministre Valls sous l’appellation grandiloquente de projet « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques »2, imposé par la force à coup d’article 49-3, ce début de programme Macron a déjà des allures de grand bond En marche…
arrière puisqu’il s’est déjà traduit par une aggravation de la
situation économique et sociale. Emmanuel Macron se garde bien, tout
comme les médias officiels, de revenir sur cette loi dont il est
l’initiateur comme sur ses conséquences catastrophiques pour les
entreprises et les français. En réalité, au-travers de sa loi c’est déjà
le programme Macron qui est En marche. De même, la « loi
travail » Valls-El Khomri-Macron n’est qu’un échantillon de son
programme dissimulé sous le vocable trompeur de « libérer le travail ».
Chacun peut imaginer facilement ce qui arrivera si celui-ci avait les
mains libres pour le poursuivre à marche forcée – et funèbre – une fois
installé à l’Elysée.
Ces GOPE que Macron dissimule…
Force est de constater qu’Emmanuel Macron est de tous les projets
conçus pour soumettre la France à des puissances étrangères : soutien au
traité de libre échange transatlantique (TTIP ou TAFTA) qui placerait
les entreprises française sous le droit étasunien, soutien à l’Union
dite « européenne » de Bruxelles qui compte aujourd’hui 123 millions de
citoyens pauvres ou en exclusion sociale, soutien à l’OTAN et à la
guerre en cours contre la Syrie, etc. Mais qui en parle dans les médias
officiels ? Aussi, cet homme là qui n’a de cesse d’agir contre l’intérêt
général des français ainsi que son bilan en atteste n’a pas qualité à
se présenter comme un défenseur du pays dont cet ignare considère même
qu’ « il n’y a pas de culture française » !…3 Toute
son action politique, ses décisions en matière économique et financière
témoignent de son imposture. Les citoyens qui, au-delà des annonces
médiatiques, s’intéressent aux programmes politiques des candidats et à
la réalité de leur activité politique savent que les Grandes
Orientations de Politique Economique (GOPE) décidées par la Commission
européenne des hauts fonctionnaires de Bruxelles seront appliquées à la
lettre par Emmanuel Macron qui les a déjà faites siennes pour en
reprendre les principes et objectifs. Celles-ci se résument en dix
points :
1°- « Réduction des dépenses publiques ». Le
gouvernement a annoncé son plan de 50 milliards d’économie. C’est la
fameuse contrepartie du « pacte de responsabilité » pour ne pas faire
exploser le déficit. Or, tous les économistes savent que pratiquer des
coupes sombres dans les dépenses publiques lorsqu’un pays est déjà en
période de stagnation économique est une politique qui ne peut que
conduire à la récession ;
2°- Redéfinir « la portée de l’action des pouvoirs publics ».
Cela signifie accentuer les privatisations et la destruction de notre
système de santé et de nos services publics auxquels les Français sont
majoritairement attachés. La fermeture de plusieurs dizaines de services
d’urgence médicale est déjà programmée;
3°- Réaliser « d’importantes économies à court terme (qui) ne peuvent être réalisées sans une réduction significative de l’augmentation des dépenses de sécurité sociale ».
Cela se fera par une baisse massive des remboursements de santé puisque
la branche maladie représente quasiment 50 % des dépenses de la
Sécurité sociale et la privatisation rampante de la Sécurité sociale via
le recours croissant aux mutuelles privées. Pour la branche vieillesse,
après la hausse de l’âge de départ à la retraite le gel du montant des
pensions est à l’ordre du jour. Pour le chômage, le texte parle de « dégressivité des allocations » : cela augure d’une baisse plus importante et plus rapide des allocations dans le temps.
4°- « Simplifier les différents échelons administratifs » :
il ne s’agit pas de lutter contre la bureaucratie mais d’éloigner les
citoyens des centres de décision. L’objectif est d’en finir avec la
République française comme Etat souverain et indépendant pour en faire
une province de Washington. Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le
Foll, le déclara lui-même aux agriculteurs en colère : « On ne peut rien faire. La politique agricole se décide à Bruxelles »…
5°- Dans le chapitre coût du travail, « il convient que le salaire minimum continue d’évoluer d’une manière propice à la compétitivité et à la création d’emploi ». Traduction : arrêter les revalorisations du SMIC et commencer à mettre en œuvre sa suppression.
6°- «Une attention particulière devrait être accordée aux
dispositions réglementaires du Code du travail ou aux règles comptables
liées aux seuils spécifiques en matière d’effectifs, qui entravent la
croissance des entreprises françaises ». Le candidat Macron appelle cela « libérer le travail ».
Il s’agit en fait de renforcer la « liberté d’exploitation » par le
grand patronat que la « loi travail » a commencé à mettre en œuvre. Les
français étant fiers de leur pays, des valeurs de leur République et de
leurs conquêtes sociales, les grands propriétaires privés de l’économie
ont souhaité bénéficier d’une main d’œuvre sous-éduquée, bon marché, non
syndiquée et corvéable à merci.[i]
Avec les guerres contre la Libye, puis contre la Syrie, Nicolas Sarkozy
et François Hollande ont ouvert les filières dites « Méditerranée » et
« des Balkan »s. Résultat : non seulement la France est aujourd’hui en
pleine illégalité internationale mais, selon la Commission européenne, « trois millions de personnes supplémentaires devraient arriver dans l’Union européenne »
par ces deux corridors pour la seule période 2015-2017. La Commission
n’a pas fixé de quotas par pays pour les groupes criminels venus par les
mêmes filières…
7°- « Accroître la souplesse des conditions de travail en cas de difficultés économiques provisoires ».
Il s’agit, comme à commencer à l’instituer la « loi travail »
Valls-Macron- El Mokhri, de poursuivre la remise en cause de l’existence
même des contrats de travail à durée indéterminée (CDI) et d’accroître
leur précarisation.
8°- « Une majorité reste confrontée à d’importantes barrières à
l’entrée ou à l’exercice (par exemple les taxis, le secteur des soins de
santé, les notaires et, plus généralement, les professions juridiques)
». L’objectif est de pousser plus loin la déréglementation de ces
professions déjà en difficultés suite à différents traités de l’Union
« européenne ».
9°- « Les tarifs réglementés restent d’application pour les
ménages et, en ce qui concerne l’électricité, ils sont fixés en dessous
des niveaux de coûts et l’accès pour les autres fournisseurs est
limité.» La hausse des tarifs et la privatisation d’EDF sont également programmées.
10°- « Dans le secteur ferroviaire, des barrières à l’entrée continuent d’entraver le bon fonctionnement du marché ».
La privatisation de la SNCF et sa mise en concurrence forcée sont
également envisagés. La privatisation partielle de la SNCF a déjà eu des
effets très « significatifs » en matière de compétitivité : depuis le
lancement du TGV en 1982, aucune ligne à grande vitesse ne relie
toujours pas Paris à une capitale régionale comme Bordeaux, les
actionnaires des sociétés privées trouvant cette réalisation trop
coûteuse…4
Pour faire passer tous ces mauvais coups tout un dispositif de
communication a été élaboré avec des objectifs différents pour le
premier et le second tour des élections présidentielles.
Le contrat social français et la paix en danger
L’importante campagne de communication et de désinformation
orchestrée par l’équipe d’Emmanuel Macron dissimule les conséquences du
programme politique de candidat de la grande finance : la dislocation du
contrat social français et la continuité de la politique belliciste de
Bruxelles contre la Fédération de Russie et la paix. Lors du premier
tour des élections présidentielles, l’objectif recherché par l’équipe et
les soutiens d’Emmanuel Macron fut de mettre François Fillon hors
course sans mener de campagne particulière contre Marine Le Pen. Le but
recherché était alors de réorienter le vote des électeurs LR et du
centre vers le candidat mis en scène par François Hollande et les
milieux atlantistes. D’autre part, ces derniers laissèrent Benoit Hamon
mener sa campagne sous les couleurs du parti « socialiste » avec le seul
objectif de faire échec à Jean-Luc Mélenchon. François Fillon, seul
candidat qui aurait pu mettre en échec Macron, mis hors de course, la
communication change d’orientation pour le second tour. Après « la
rupture » de Nicolas Sarkozy et « le changement maintenant » de François
Hollande, il ne reste plus aux dirigeants « socialistes » qu’à laisser
continuer de diaboliser le Front national par ses habituels détracteurs
tout en présentant Emmanuel Macron comme « l’homme du renouveau ».
Nouveaux visages et recette éprouvée pour la même vieille politique.
« Il nous vend un personnage de théâtre… »
Au théâtre médiatique Macron joue aux français la pièce du « candidat
anti-système». Cette compétition à qui distribuera le plus de promesses
non tenues a fonctionné à fond. Dans cette démocratie rabaissée à un
simple concours de maquillage, les messes médiatiques à grand spectacle
ont donné à certains le sentiment de participer au « pouvoir du peuple
». Las ! Ils ne sont que les brailleurs d’un show de divertissement
politique jetable, les chauffeurs de salle et petits porteurs de
drapeaux applaudissant aux déclarations d’épate, les paumés gavés d’un
produit toxique rendu consommable et envedetté à coups d’annonces
médiatiques répétées. Ainsi que l’a souligné, non sans humour,
l’économiste Jacques Sapir, « tout ceci met au grand jour
ce qu’est la candidature d’Emmanuel Macron. Une pièce montée, avec ce
goût un peu douceâtre et écoeurant des pâtisseries de supermarché qui
ont le sucre et les lipides en excès. C’est une candidature qui précède
le programme, alors que la logique imposerait l’inverse. Car, se
présenter à l’élection présidentielle, ce n’est pas rien, même si ce
n’est que pour briguer le poste de gouverneur d’une France soumise à
l’Allemagne. On attend d’un candidat un programme et une vision, qui ne
se limite pas à des effets de manche dans des salles de réunions et
devant des auditoires conquis d’avance. On attend du fond ; et le fond
ici, contrairement à la fable du laboureur et de ses enfants, c’est bien
ce qui manque le plus. »5
Sous une présentation trompeuse sur le thème de « la
révolution » et du « renouveau », le programme de Macron ne propose rien
d’autre que la continuité de la politique du président et des
gouvernements de François Hollande à laquelle il a lui-même collaboré au
plus haut niveau de l’Etat.
Propose-t-il de dégager la Banque de France du carcan de la Banque
centrale européenne et des intégristes des marchés financiers ? Non.
Propose-t-il de nationaliser le secteur bancaire et financier afin de
permettre aux français de contrôler les mouvements de capitaux pour
assurer la stabilité financière et monétaire du pays ? Non. Propose-t-il
de nationaliser les sociétés du CAC40 afin de mettre l’économie au
service de l’intérêt général, stopper l’évitement fiscal de ces
entreprises, développer la gestion démocratique et créer de nouveaux
rapports entre ces grands groupes et le tissu des PME et TPE ? Non.
Propose-t-il d’interdire les licenciements dans les entreprises qui
réalisent des profits ? Non. Propose-t-il de mettre en place un cadre
législatif favorisant des avancées dans la gestion démocratique des
entreprises, ces lieux où hommes et femmes passent l’essentiel de leur
vie ? Non. Propose-t-il de nouvelles dispositions comme le recours aux
référenda pour développer le débat et le choix démocratique du pays sur
les grandes questions nationales ? Non. Propose-t-il de sortir du bloc
militaire OTAN afin de redonner à la France son indépendance militaire,
la maîtrise de sa défense et de s’engager pour la paix de la planète
contre tout impérialisme ? Non. Propose-t-il de sortir de l’Union
« européenne » de Washington pour participer à la construction de la
grande Europe, bien réelle celle-là, qui s’étend de Vladivostok à
Lisbonne ? Non.2
Rien de tout cela. Et pour cause : produit croisé de l’ENA, de
l’Inspection des finances, de la banque Rothschild, socialo palot –
pléonasme – petit-bourgeois, il est l’esbroufeur type enfanté par la
génération Mitterrand. Se présenter comme « anti-système » quand on a eu
le cerveau formaté à l’ENA – école où l’on apprend à gérer et
reproduire le système à coups de règlements –, quand on a travaillé à la
Banque Rothschild – institution qui figure au nombre des principaux
acteurs de la financiarisation de l’économie –, quand on a été
conseiller économique de François Hollande et ministre de l’Economie et
de l’industrie du gouvernement Valls – avec les résultats désastreux que
l’on connaît –, relève de l’imposture.
Comme l’a si bien dit l’économiste Jacques Sapir, « il nous vend un personnage de théâtre, l’arriviste qui crache dans la soupe qui l’a longtemps nourrie. »6
Et l’on cherche en vain dans le parcours d’Emmanuel Macron le moindre
élément qui permette de juger de son éloignement avec le dit système
bien avant qu’il ne quitte la banque Rothschild en 2012 pour être
injecté dans les allées du pouvoir politique. Aussi, Macron doit-il
rassurer et bercer d’illusions sa « clientèle électorale ».
Il eut du reste, bien maladroitement, à l’occasion du 71ème
congrès de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants
agricoles qui se tenait à Brest en mars 2017, de dire tout haut ce qu’il
pensait tout bas de la France du travail : « Un éleveur n’aime pas faire souffrir ses animaux, c’est comme penser qu’un entrepreneur aime licencier. » Du bétail, des boeufs quoi !…
Ce n’est pas pour rien que les journaleux parigots se pâment devant
ses discours creux à l’odeur des caves vides. Il est à l’image des
rienologues de Balzac dans sa Monographie de la presse parisienne : « La
page à l’air d’être pleine, elle a l’air de contenir des idées ; mais,
quand l’homme instruit y met le nez, il sent l’odeur des caves vides.
C’est profond, et il n’y a rien : l’intelligence s’y éteint comme une
chandelle dans un caveau sans air. Le rienologue est le dieu de la
bourgeoisie actuelle ; il est à sa hauteur, il est propre, ilest net, il est sans accidents. Ce robinet d’eau chaude glougloute et glouglouterait in saecula saeculorum sans s’arrêter. »
L’essentiel : sauver le contrat social français
Comme je l’ai déjà dit, dans les faits, le programme
d’Emmanuel Macron est déjà en application. Ceux qui s’apprêtent à voter
et à faire voter pour cet imposteur contribueront à l’assassinat
prémédité, planifié, cyniquement calculé de ce qu’il reste du contrat
social français qui repose sur l’emploi salarié. Sans doute
faut-il rappeler aux français la nécessité de s’opposer farouchement à
sa destruction en cours ainsi que le fait Hervé Sérieyx, qui fut
dirigeant d’entreprise, haut fonctionnaire et professeur d’université,
dans son ouvrage pertinent Alerte sur notre contrat social : « Rappelons
qu’en France, l’essentiel du contrat social repose sur l’emploi
salarié : c’est lui qui finance pour la plus large part la sécurité
sociale, et donc le système de santé, les retraites et le système de
solidarité générationnelle, le train de vie de l’Etat via l’impôt et
donc l’ensemble des systèmes de redistribution. Cet emploi salarié, au
coeur de notre contrat social, dépend lui-même du destin de nos
entreprises. »7
Les français qui ont voté et s’apprêtent à voter pour le
candidat de la coalition « socialiste-Les Républicains » ou à s’abstenir
n’ont visiblement pas encore pris conscience de la gravité des
conséquences de la conception anglo-saxonne de l’entreprise (le
« tout-actionnaire ») que défend En Marche. Une conception qui
remet en cause l’emploi salarié sur lequel repose l’essentiel du
financement de nos systèmes de solidarité ; une conception dont le
programme de Macron, déjà en cours d’application, peut mettre à terre
tous les fondements de notre protection sociale et dissoudre les liens
qui nous permettent de faire société.
Plus les entreprises seront privatisées au profit d’intérêts
particuliers, plus l’intérêt général continuera de régresser, plus
l’emploi salarié s’affaiblira, plus les solidarités s’effilocheront,
plus le chômage et la misère gagneront de nouvelles couches de la
société, plus l’avenir sera incertain et sombre.
Pour cette raison essentielle, même sans être en accord avec
le programme du Front national qui n’a, de mon avis, rien d’extrémiste,
le vote pour sa candidate appert en la circonstance comme le seul moyen
de faire barrage à la destruction continue de notre société par la
grande finance en redonnant la parole au peuple de France.
A l’opposé, une victoire d’En Marche entraînerait la France
dans l’instabilité politique par les querelles internes et la recherche
de majorité de circonstances des vieux partis – de LR aux groupuscules
gauchistes en passant par les restes du couple Ps-Pcf -, dans
l’aggravation de la situation économique et financière du pays par la
poursuite de la politique de déréglementation et de privatisation avec
pour conséquence une précarisation sociale sans précédent.
On peut y voir des « avantages » à un moment où Macron, ancien collaborateur du criminel François Hollande8 en
regard du droit international, s’est déclaré favorable à la guerre
contre la Syrie et a pris des positions hostiles à l’encontre de la
première puissance du continent européen, la Fédération de Russie.
Mais que peut faire d’autre un candidat de la grande finance apatride
alors que les milieux atlantistes de Washington et de Bruxelles
cherchent à provoquer un nouveau conflit majeur pour effacer leur
endettement et sauver leur système en crise ?9 Mais cela est
une autre histoire dont les résultats du premier tour des élections
présidentielles ont montré qu’elle échappe visiblement à l’entendement
d’une majorité de français. En ce sens également, le vote pour Marine Le Pen est un vote en faveur d’une nouvelle construction européenne et de la paix.
1.Loi Macron, le choix du toujours moins, par Martine Bulard, Le Monde Diplomatique, avril 2015.
2.Sénat Projet de loi considéré comme adopté par l’Assemblée
nationale en application de l’article 49, alinéa 3, de la Constitution
après engagement de la procédure accélérée « Pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques », 19 février 2015.
3.Discours d’Emmanuel Macron, Lyon, 5 février 2017.
4.Lire sur ces sujet Les GOPE (Grandes Orientations de la Politique Economique) ou la feuille de route économique de Matignon, par Charles-Henri Gallois, responsable national de l’UPR e n charge des questions économiques, 13 mars 2017, www.upr.fr, privatisations en France.
5.L’inquiétant M.Macron, par Jacques Sapir,12 février 2017.
6.Ibid
7.Alerte sur notre contrat social, per Hervé Sérieyx, Ed. Eyrolles, p.16.
8.Lire 56, tome 1 L’Etat français complice de groupes criminels et 56, tome 2 Mensonges et crimes d’Etat, par Jean-Loup Izambert, IS Edition.
9.Lire Trump face à l’Europe, par Jean-Loup Izambert, IS Edition (En vente sur http://www.amazon.fr)
Jacques Attali figure parmi les promoteurs de l’euthanasie.
Le
mondialiste Jacques Attali a annoncé ce matin sur BFM TV qu’il
présenterait à la fin de l’année un programme présidentiel afin
de lancer le débat en vue du scrutin de 2017.
Jacques
Attali dit vouloir « essayer de faire en sorte que l’année 2016 soit
occupée par un débat sur les idées et sur les projets », « de façon à ce
qu’en 2017, les candidats s’affrontent non pas sur la couleur de leur
cravate mais sur le projet qu’ils proposent au pays ».
« Ce
n’est pas un programme ‘UMPS’, ce n’est pas du tout un programme de
consensus entre les partis », a tenté de nier Jacques Attali. Le vilain
menteur ! Le personnage est pourtant l’archétype même de l’émissaire des
plus puissants cercles mondialistes, chargé de rappeler à la fausse
gauche comme à la fausse droite ce que les maîtres du monde attendent de
la politique française.
Qui est Jacques Attali ?
Né en
1943 dans une famille juive d’Algérie, il arrive en France en
1956. Jacques Attali et son frère jumeau Bernard sont inscrits au lycée
Janson-de-Sailly, dans le très chic 16ème arrondissement de Paris. Parmi
leurs condisciples, il y a un certain Laurent Fabius.
Jacques Attali est notamment diplômé de l’Ecole polytechnique et de l’ENA. A 27 ans, il devient auditeur du Conseil d’Etat.
Dès 1974,
il devient conseiller de François Mitterrand (PS). Lorsque Mitterrand
devient président de la république, il lui octroie même le rôle de
représentant personnel du chef de l’Etat aux sommets du G7.
Jacques Attali sera également conseiller de Nicolas Sarkozy (UMP) et de François Hollande (PS).
Jacques
Attali est l’initiateur (en 1989) et le premier président de la Banque
européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).
En 1998, Jacques Attali fonde PlaNet Finance,
organisme international de conseil d’institutions de macrofinance
présent dans 88 pays, développant des activités d’ONG selon les projets
du nouvel ordre mondial, et dont le conseil d’administration est composé
de représentant de la Haute Finance.
Jacques Attali est cofondateur (avec notamment Robert Badinter) de l’association Socialisme et Judaïsme, membre du CRIF.
Régulièrement,
Jacques Attali déclare qu’il est nécessaire d’instaurer un gouvernement
mondial dont Jérusalem serait la capitale.
Jacques Attali est aussi un intervenant du Congrès juif mondial qui se proclame « bras diplomatique du peuple juif« .
Il faut
se souvenir que les principaux dirigeants du Congrès Juif Mondial (parmi
lesquels le banquier David de Rothschild et Roger Cukierman, président
du CRIF) étaient réunis en France lorsque Manuel Valls a été désigné
premier ministre. Le Congrès Juif Mondial avait immédiatement publié un
communiqué de presse faisant « l’éloge du nouveau Premier ministre Manuel Valls pour avoir agi avec détermination contre le comédien antisémite Dieudonné« . Le même communiqué du Congrès Juif Mondial félicitait Manuel Valls d’avoir soutenu la « pleine légitimité des mesures qui restreignent la liberté de parole« .
Jacques Attali a écrit de nombreux livres, parmi lesquels un Dictionnaire amoureux du judaïsme ainsi que l’ouvrage Les Juifs, le monde et l’argent.
Ce régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par peux de personne (oligarchie) est contre Marine le Pen la nouvelle Jeane d'Arc du 21e siècle.
Présidentielle 2017! Un vote pour Marine Le Pen est un vote contre l’Ordre Mondial
Brigitte Bardot, Alain Delon soutiennenent Marine
Vous vous rendez compte qu’à l’heure actuelle les médias ne font que
critiquer Marine Le Pen et son projet sans même élaborer sur celui de
Macron ? C’est la bonne affaire.
Vous devez voter Marine Le Pen car elle va montrer aux élites du
Groupe Bilderberg – dont je rappelle que M. Fillon, M. Juppé et M.
Macron ont participé à au moins une réunion au cours des 5 dernières
années – que la France ne se laissera pas happer par ce nouvel ordre
mondial.
Le Nouvel Ordre Mondial est comme son nom l’indique : nouveau. C’est
un terme qui est né et qui a été rendu populaire par George Bush suite à
la chute du mur de Berlin, la fin de la guerre froide et donc la
disparition de ce monde bipolaire pour dire qu’un monde nouveau arrive.
Jusque là tout va bien… Mais quel est ce monde nouveau ? Le monde
nouveau se moque de qui vous êtes, d’où vous venez et ce que vous
croyez, le monde nouveau mis en avant par une poignée d’individus
élitistes sera constitué d’apatrides qui voyageront de pays en pays
comme si c’était des hôtels. Vous êtes un humain avant d’être un
Français.
Ils utilisent les plus beaux concepts de la race humaine tels que
l’égalité et la fraternité pour vous inciter à accepter des étrangers
car « nous sommes tous égaux » et car il ne faut pas être traité de
raciste. Vous êtes programmés pour avoir peur de sortir de ce carcan
idéologique qu’il faut obligatoirement avoir de la compassion pour son
prochain, que ce prochain soit français ou pas vous devez avoir de la
compassion. Quiconque sort du carcan est automatiquement un facho ou un
raciste. Les riches industriels se moquent de savoir si vous êtes blanc
noir ou jaune, vous êtes de la main d’oeuvre, ils exploitent donc les
plus beaux aspects de la philosophie humaniste à des fins très égoïstes.
Ils détruisent nos pays au nom des droits de l’homme.
Ils font cela depuis des décennies et vous n’y voyez que du feu car
ils nous font culpabiliser en permanence. Même Macron a osé dire que la
colonisation était un crime contre l’humanité, en faisant cela il sert
ses maîtres qui cherchent perpétuellement à nous faire culpabiliser en
vue de nous faire accepter l’inacceptable. L’Allemagne étant l’exemple
suprême de nation cherchant la rédemption, elle a accueilli des millions
de migrants car les Allemands veulent se repentir. Les mondialistes
n’ont cessé de faire culpabiliser les Allemands pour Hitler et la
Seconde Guerre Mondiale, et nous on nous fait culpabiliser sur la
colonisation et le traitement des algériens lors des premiers
regroupements familiaux dans les années 1970.
Cette élite ne vous donnera aucune chance. Si vous un(e) blanc(he)
hétérosexuel(le) vous n’avez pas le droit de voter pour Macron car il va
faire passer la Nation après les besoins de ses amis politiques,
industriels et médiatiques. Vous devez comprendre que les médias n’ont
fait qu’utiliser le Front National jusqu’à présent pour faire élire un
paquet de gens dont Chirac qui a eu un score de 82% face à JM Le Pen en
2002.
Je sais pertinemment que Marine ne gagnera pas la présidentielle donc
vous vous dite que ça ne servira à rien de voter pour elle mais bien au
contraire ! Il faut que l’élite politique en place ait peur du Front
National pour qu’il y ait une forme d’opposition. Si ça avait été
Jean-Luc Mélenchon au deuxième tour j’aurais dit de voter pour Mélenchon
! Il faut que le candidat des élites politico-industriels du Bilderberg
et j’en passe… il faut que ce candidat gagne les élections avec un
score qui ne ressemble pas à ceux des élections en République
Démocratique du Congo. Il faut que les résultats soient le plus serrés possibles.
Vous ne ferez pas élire Le Pen car de nombreuses personnes sont
encore traumatisées et en quête de rédemption et de pardon vis à vis
d’un passé dont ils ne sont absolument pas responsables, mais vous
contribuerez à faire trembler les élites car votre populisme doit
survivre. Vos idéaux ne meurent pas avec cette élection. Vous devrez
continuer à vous battre contre l’oligarchie en place.
Et vous devrez faire des choix contraires à « vos » convictions mais
ce ne sont pas les vôtres, c’est celles que les élites vont ont
injectées avec la télé et les médias…
Vous vous rendez compte qu’à l’heure actuelle les médias ne font que
critiquer Marine Le Pen et son projet sans même élaborer sur celui de
Macron ? C’est la bonne affaire.
Votez Le Pen et faites les trembler.
Il faut qu’à la prochaine conférence du Groupe Bilderberg qui se
tiendra en juin, qu’ils en parlent et qu’ils aient peur du populisme
Français. Vous êtes tous très doués pour voter contre et pour les fameux
« votes utiles » alors SVP soyez utiles.
Voila j’ai terminé, maintenant le vilain raciste conspi que je suis va publier cet article. http://www.nouvelordremondial.cc/
Où l'on apprend qu'Emmanuel Macron est, en fait, "maoïste"
Je suis un maoïste.
Une précision doit ici être apportée : non, l’auteur de ces quelques
lignes n’est pas en état d’ébriété. C’est bien comme un « maoïste »
qu’Emmanuel Macron se décrit dans le quotidien national, précisant que,
s’il se revendique de Mao c’est parce que pour l’ancien leader chinois,
« un bon programme est un programme qui marche ».
On espère simplement qu’Emmanuel Macron n’a pas pour ambition
d’instaurer un Grand bond en avant puis une Révolution culturelle en
France. Ce que le nom de son mouvement En Marche ! et le titre de son
ouvrage, Révolution, semblent indiquer…
Ou pire : lui Président, il mettra en place un régime totalitaire.
Non parce que si certains trouvent le maoïsme plutôt sympa, n’oublions
pas que cette idéologie est, pour résumer, responsable de la mort de 60 à
80 millions de personnes. http://lelab.europe1.fr/ou-lon-apprend-quemmanuel-macron-est-en-fait-maoiste-2991992
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