Nouveauté! My Art New Ufo Magazine Présente Art contemporain. L'expression « art contemporain » désigne de façon générale et globale l'ensemble des œuvres produites depuis 1945 à nos jours, et ce quels qu'en soient le style et la pratique esthétique mais principalement dans le champ des arts plastiques. Wikipédia
La chanteuse est suivie par le groupe One Direction et la chanteuse Adele, dans ce classement publié mercredi.
La chanteuse et actrice américaine Taylor Swift est l'artiste la
mieux payée de l'industrie musicale devant le groupe One Direction et
l'interprète britannique Adele, selon le classement 2016 du magazine Forbes (article en anglais), publié mercredi 30 novembre.
Les revenus de l'artiste qui, à seulement 26 ans, a déjà remporté dix
Grammy Awards sont estimés à 170 millions de dollars provenant de
tournées, de ventes de disques, de contrats promotionnels et d'autres
engagements.
Sa tournée mondiale 1989 a généré plus de 200 millions de
dollars de recettes uniquement en Amérique du Nord. Le groupe
anglo-irlandais One Direction est deuxième du classement avec 110
millions de dollars de revenus et des recettes atteignant 200 millions
de dollars pour leur tournée On The Road Again.
AC/DC et les Rolling Stones bien placés
Adele, dont la chanson Hello fut l'un des succès de 2015, a
touché 80,5 millions de dollars, soit les plus importants émoluments
depuis le début de sa carrière, son album 25 ayant été la plus grosse vente de l'année passée.
Rihanna a, elle, récolté quelque 75 millions de dollars devant le roi
actuel de la country Garth Brooks (70 millions), les vétérans
australiens du hard-rock AC/DC (67,5 millions) et les infatigables
Rolling Stones (66,5 millions).
Le classement Forbes est établi sur les revenus estimés avant impôt sur une période de douze mois allant de juin 2015 à juin 2016.
Le 14 mai 1949, jour de son anniversaire, Sidney Bechet
donne un concert mythique sur la scène du Victoria Hall de Genève. Le
14 mai 1959, il s’éteint dans sa maison de Garches, en région
parisienne.
Il entretiendra aussi une relation privilégiée avec la Suisse, au point
de songer à s’établir définitivement sur les bords du lac Léman où il
s’est fait des amis.
L’idole du jazz a tissé des liens
d’amitié avec la Suisse. Une fondation genevoise vient d’exhumer des
souvenirs musicaux et photographiques inédits. Un coffret est annoncé
pour la fin de l’année
Quelques secondes suffisent aux oreilles mélomanes
pour le reconnaître. Généreux dans son jeu, virevoltant avec les
syncopes, délicatement ouaté dans le blues, Sidney Bechet appartient –
avec King Oliver, Jelly Roll Morton et Louis Armstrong – à la famille
qui a inventé et popularisé le jazz. Si La Nouvelle-Orléans l’a enfanté
un 14 mai 1897, c’est pourtant l’Europe qui l’a rendu célèbre. Ce 14 mai résonne particulièrement pour ceux qui connaissent
le parcours du célèbre saxophoniste soprano, puisqu’il marque également
la sortie de scène définitive de l’artiste en 1959, rendu silencieux
par un cancer du poumon à l’âge de 62 ans. Ironie de la vie pour un
homme qui n’a jamais manqué de souffle. Pourtant, rares sont les esprits
qui se souviennent que le 14 mai rappelle un autre anniversaire: celui
du créole brûlant les planches du Victoria Hall en 1949 devant 1800
spectateurs. «La salle était entièrement garnie de «moins de 20 ans»,
vibrants, trépidants, à la mèche adroitement ondulée», racontera le Journal de Genève
quelques jours plus tard. Ce soir-là, un samedi, Sidney Bechet
délivrera la version la plus parfaite de «Summertime» parmi les 28 qu’il
a enregistrées entre 1939 et 1954. De cet événement ne subsiste
aujourd’hui qu’une série de disques 78 tours à gravure directe qu’une
fondation genevoise, la United Music Foundation, a décidé d’exhumer. L’histoire pourrait s’achever ici, si la pugnacité n’avait
pas poussé David Hadzis – ingénieur du son et chef de projet de la
fondation – à se lancer sur les traces du génie en terre helvétique.
Durant les dix dernières années de sa vie, Sidney Bechet n’a cessé de
passer par la Suisse. Genève, Zurich, Bâle, mais aussi Lausanne, Berne,
Bienne, Sion, La Chaux-de-Fonds et même Leysin figurent parmi les lieux
où l’artiste s’est produit. Avec ces lieux, autant de photographies pour
la plupart inédites, sur lesquelles le chef de projet a pu mettre la
main et qui révèlent les liens d’amitié que le sopraniste a noués avec
le pays. Une Suisse qui lui est étrangère, même si un Suisse l’avait
déjà remarqué trente ans auparavant: Ernest Ansermet. Petit flash-back ici. En juin 1919, Sidney Bechet entame sa
première tournée européenne au sein du Southern Syncopated Orchestra.
L’orchestre dirigé par Will Marion Cook prend pour résidence le
Philharmonic Hall de Londres. Ernest Ansermet assiste aux répétitions et
reconnaît le talent du jeune homme de 22 ans. «Il y a au Southern
Syncopated Orchestra un extraordinaire virtuose clarinettiste qui est,
paraît-il, le premier de sa race à avoir composé sur la clarinette des
blues d’une forme achevée», écrit Ernest Ansermet dans La Revue romande
d’octobre 1919. «Je veux dire le nom de cet artiste de génie, car pour
ma part je ne l’oublierai pas: c’est Sidney Bechet.» Une critique,
certes raciste, mais élogieuse envers celui qui n’est alors qu’un
musicien d’accompagnement. En 1926, le saxophoniste soprano se produira pour la
première fois en Suisse. Au théâtre de Bel-Air de Lausanne puis à la
Comédie de Genève, il participe à la «super-revue nègre Black People».
Le Journal de Genève évoquera des «jambes au muscle dru
battant l’air en tourbillon vertigineux, des pieds endiablés frappant le
sol jusqu’à la frénésie». Quant à la Gazette de Lausanne,
elle parle d’un «orchestre, entièrement composé d’exécutants colorés,
dirigés par un maestro très noir et très solennel qui jouait sur une
clarinette tout en or des airs aux rythmes drôlement rompus».
Parenthèse fermée. Retour au 14 mai 1949 où l’on doit la
présence de Sidney Bechet au Victoria Hall à un homme: Pierre Bouru.
Alors batteur et président du Hot Club de Genève (association d’amateurs
de jazz fondée en 1939), ce jeune imprésario – exilé à Paris pour cause
de congé militaire – y rencontre Charles Delaunay, président des
disques Swing et de la revue Jazz Hot.
Ce dernier lui rappelle la tenue du Festival de jazz à Paris, où la
présence de Charlie Parker est d’ores et déjà annoncée. «Voudriez-vous
organiser un concert avec lui à Genève?» questionne Charles Delaunay.
«Oui […] mais pas avec Parker, plutôt avec Sidney Bechet», rétorque
Pierre Bouru. C’est donc grâce au désir d’un homme qui a préféré
«l’idole du jazz» à «l’idole du moment» que débute l’histoire d’amitié
du célèbre musicien avec la Suisse, puisqu’il y reviendra chaque année,
presque jusqu’à sa mort. Cette décennie musicale et iconographique est aujourd’hui ressuscitée par la United Music Foundation.
Nul besoin de préciser que ces perles sonores oubliées, ces
photographies parfois jaunies par les années manquent d’intérêt
commercial pour les maisons de disques. Un patrimoine pourtant précieux
qui en dit autant sur le parcours musical et l’homme qu’était Sidney
Bechet que sur un chapitre de l’histoire du jazz en Suisse romande. Et
avec elle, ceux qui ont fait vivre cette musique. Comme Bernard
Wagnière, dit «Zizi», qui a accueilli l’artiste dans son domaine de la
Vigne Rouge à Bellevue. Après plus d’un an de recherches et de restauration, un
coffret comprenant quatre CD et un livre de 180 pages verra le jour pour
les fêtes de fin d’année. Fabrice Zammarchi et Roland Hippenmeyer, les
deux biographes de l’artiste, y retracent les nombreuses tournées de
Sidney Bechet en Suisse entre 1949 et 1958. De quoi, peut-être,
rassasier les cinq cents spectateurs n’ayant pas pu assister au mythique
concert du 14 mai 1949. Pour les autres, l’occasion de faire entrer
Sidney Bechet dans leur salon. Ernest Ansermet, «Revue Romande 1919» «Quelle chose émouvante que la rencontre de ce gros garçon tout
noir, avec des dents blanches […] qui est bien content qu’on aime ce
qu’il fait, mais ne sait rien dire de son art, sauf qu’il suit son «own
way»
IMPRESSIONNANTE PHOTO D'UN GRAND REQUIN BLANC ATTAQUANT UNE FEMME SUR UNE PLANCHE DE SURF
Cette image illustre assez bien l'extraordinaire capacité de la Nature a adapter « ses » créations à leur environnement.
Le Grand Requin Blanc est parfois surnommé la mort blanche bien qu'il
ne soit pas vraiment blanc, mis à part son ventre. Et c'est ce qui en
fait une particularité étonnante et trompeuse pour ses proies : vu de
dessous, sur un ciel lumineux se reflétant à la surface, le prédateur
est bien peu visible.
On remarquera que vu de dessus, quand il évolue entre deux eaux ou près
du fond, son dos grisé ne permet pas vraiment plus de le distinguer.
En clair, de par son aérodynamisme et son « camouflage », notre ami
sharky possède ici 2 armes parfaitement adaptées qui équipent bien son
potentiel et son statut d'Apex Predator (prédateur au sommet de la
chaîne alimentaire).
Ce ne sont évidemment pas les seules particularités qui en font un
redoutable chasseur (de proies non humaines bien sûr, les attaques sur
l'homme sont plus que rares ou témoignent d'une erreur d'appréciation ou
d'une simple volonté d'investigation du requin sur sa proie). Mais je
vous détaillerai ceci dans de prochains posts...
En attendant, force est de constater que depuis qu'ils existent, les
350 millions d'années d'évolution passées ont conservé à ces requins
leurs fabuleuses prédispositions à la chasse. Quand on pense que
l'homme reste en constante évolution (enfin c'est ce qu'on dit...) et
qu'on est censé être plus que parfaits... ça laisse rêveur...
Le Requin Tigre rôde dans les eaux des Seychelles
Attaque de requin sur la plage
Une attaque de requin est une attaque d'un être humain par un requin.
Les
attaques de requins sur l'homme sont rares et exceptionnelles. Les
raisons conduisant à une attaque ne sont pas toutes connues ni bien
définies, le manque de données fait qu'il est délicat d'en déduire des
statistiques fiables. Le comportement en milieu naturel des requins est également mal connu et peu étudié, ce qui contribue à ce qu'il n'y ait pas de systématique en la matière.
LES SEIGNEURS DE LA MER
Le grand requin blanc
Le Requin Formidable Prédateur
Les Requins : La terreur des mers entre légendes et réalité
Les éléphants ont fait la renommée du Cirque Knie et du Cirque Barnum
Ici, Linna Knie-Sun dans un numéro somptueux, en 2009. «Beaucoup de gens seront tristes sans les éléphants»
Franco Knie est conscient de mettre fin à une tradition chère aux Suisses. C’est pour le bien des animaux, affirme le cirque.
Le cirque américain Barnum, lancé en 1871, ne survit plus
financièrement, a annoncé samedi son PDG. En 2016, il a du se séparer
des éléphants qui ont fait son succès, sous la pression de défenseurs
des animaux.
Et pourtant les animaux sont bien traités dans les cirques. Un animal qui est bien nourri, est heureux à l'endroit ou il se trouve et certainement content de faire ce qu'il fait dans un cirque. La protection des animaux en a décidé autrement.
Les photons se comportent
comme des particules ou comme des ondes en fonction de l’expérience à
laquelle on les soumet. Deux équipes ont conçu des dispositifs
interférométriques qui mettent en évidence des états combinant onde et
particule.
Onde ou particule ? Depuis les premiers développements de la physique
quantique, la question de la nature des objets quantiques s'est révélée
féconde. En 1924, le physicien français Louis de Broglie découvre la
dualité onde-corpuscule, qui implique que tout objet a des propriétés
d’onde et de particule. Puis, en 1927, le physicien danois Niels Bohr
propose la notion de complémentarité, selon laquelle plus un objet
quantique se comporte comme une onde, moins il se comporte comme une
particule, et ce en relation avec la configuration expérimentale à
laquelle il est soumis. Cette notion justifie pourquoi la lumière se
comporte tantôt comme une onde, dans les expériences d’interférence par
exemple, et tantôt comme une particule, le photon, par exemple dans
l’effet photoélectrique. Deux équipes, l’une menée par Sébastien
Tanzilli, du Laboratoire de physique de la matière condensée à Nice
(CNRS et Université Nice-Sophia Antipolis), en collaboration avec le
Laboratoire matériaux et phénomènes quantiques à Paris (CNRS et
Université Paris Diderot), et l’autre par Jeremy O’Brien, de
l’Université de Bristol, ont mis au point des expériences permettant
d’étudier cette notion de complémentarité. Leurs résultats montrent que
la nature de l’objet quantique peut combiner un état corpusculaire et un
état ondulatoire, ce qui nécessite de généraliser le notion de
complémentarité.
Examinons le fonctionnement du dispositif de l’équipe de S. Tanzilli.
Le cœur de cette expérience est un interféromètre de Mach-Zehnder,
constitué de deux miroirs et deux miroirs semi-réfléchissants (notés par
la suite A et B). Les photons incidents traversent ou sont réfléchis
par le miroir semi-réfléchissant A, qui offre ainsi à la lumière deux
chemins possibles pour se diriger vers le miroir semi-réfléchissant B,
en sortie de l’interféromètre. Ainsi, deux détecteurs placés après le
miroir semi-réfléchissant B enregistreront l'arrivée de photons avec des
probabilités qui dépendent de la différence de parcours (on parle de
différence de phase) entre les deux chemins possibles.
Lorsqu'on envoie dans le système un photon à la fois, la particule
arrive sur le second miroir semi-réfléchissant B, où il est transmis ou
réfléchi. Comme on ignore par quel chemin le photon est passé (il passe
en quelque sorte par les deux chemins à la fois), les détecteurs
enregistrent des interférences, ce qui traduit un comportement
ondulatoire. On parle de configuration fermée, par opposition à la
configuration ouverte où l’on retire le second miroir semi-réfléchissant
B. Dans ce cas, le photon est détecté par l’un ou l’autre des
détecteurs avec une probabilité de 50 pour cent, et l’on dit que le
photon a un comportement de type corpuscule.
Le comportement ondulatoire ou corpusculaire du photon dépend donc de
la configuration, fermée ou ouverte, de l’interféromètre. En 1978, le
physicien américain John Wheeler proposa de voir ce qui se passe quand
on décide de mettre ou non le miroir semi-réfléchissant B une fois que
le photon est entré dans le dispositif, c’est-à-dire une fois qu’il a
franchi le miroir semi-réfléchissant A. On parle d’expérience à « choix
retardé ». Il s'avère que dans cette situation, la notion de
complémentarité de Bohr est encore respectée : si la configuration est
fermée, on observe un comportement de type ondulatoire ; si la
configuration est ouverte, le comportement est de type corpusculaire,
malgré le choix retardé de la configuration.
Florian Kaiser et ses collègues ont voulu aller plus loin et voir ce
qui se passe quand on ignore la configuration du miroir
semi-réfléchissant B. Pour ce faire, ils ont mis au point un miroir semi-réfléchissant quantique,
c'est-à-dire un dispositif à deux états quantiques dont l'un correspond
à la présence d'un miroir semi-réfléchissant (configuration fermée), et
l'autre à son absence (configuration ouverte). L’idée est d’obtenir un
interféromètre dont la configuration est ouverte ou fermée en fonction
des propriétés du photon, sans pouvoir accéder à cette information. En
l’occurrence, le miroir semi-réfléchissant conçu par l'équipe française
est sensible à la polarisation du photon incident (autrement dit, la
polarisation du photon détermine l'état du miroir semi-réfléchissant B),
et les physiciens ont fait en sorte qu’il ne soit pas possible de
mesurer cette polarisation à la sortie de l’interféromètre.
Mais comment savoir si le photon a eu un comportement corpusculaire
ou ondulatoire dans ce dispositif ? L’équipe de S. Tanzilli a utilisé
une paire de photons intriqués, où les propriétés physiques de chaque
photon restent intimement corrélées l’une à l’autre malgré
l'éloignement. Un photon de ces photons, dit test, est envoyé dans
l’interféromètre, tandis que son jumeau est envoyé dans un autre
dispositif qui mesure sa polarisation. Cette mesure sur le photon jumeau
détermine alors la polarisation du photon test, en vertu des propriétés
de l’intrication. On en déduit dans quel état était l’interféromètre,
ouvert ou fermé, et par conséquent si le photon test a eu un
comportement corpusculaire ou ondulatoire.
Avec son dispositif, l’équipe de S. Tanzilli est capable de modifier
la polarisation du photon jumeau, ce qui change celle du photon test. Il
obtiennent alors un interféromètre dont l'état quantique est une
combinaison de l'état fermé et de l'état ouvert, et ce dans des
proportions contrôlables par l’expérimentateur. En d'autres termes, on
observe d’un photon test ayant un comportement à la fois corpusculaire
et ondulatoire !
La notion de complémentarité de Bohr s’appliquait jusqu’ici à des cas
limites de dispositifs simples : le photon se comportait soit comme une
onde, soit comme une particule. Dans ce nouveau dispositif, l’objet
quantique superpose les deux états, dans des proportions qui vérifient
la notion de complémentarité dans son expression généralisée.
Le comportement du photon
dans l'expérience de l'équipe de Sébastien Tanzilli peut être
ondulatoire, copusculaire ou une combinaison de ces deux états.