dimanche 1 juillet 2012

CREMONA LIUTERIA













ECOLE INTERNATIONALE DE LUTHERIE CREMONE




est le centre international de la . C’est là, dans cette ville du Nord de l’Italie, qu’ont vécu parmi les plus grands luthiers du monde : les , (), , , etc. Encore aujourd’hui, la ville de perpétue cette tradition vieille de quatre cents ans. Symbole de savoir-faire, l’école internationale de lutherie Antonio Stradivari, le concours international de lutherie qui s’y déroule tous les trois ans et la foire internationale baptisée « Mondo Musica » qui, elle, se tient chaque année, au début du mois d’octobre.




scuola internazionale di liuteria cremona


La manière de construire les instruments n’a guère changé depuis les débuts de la

, il y a quatre cents ans. D’ailleurs, n’utilise aucun outil électrique. La raison de ce choix tient au fait que la construction d’un instrument se doit de refléter toute la sensibilité de la main de celui qui taille dans le bois pour déterminer, par exemple, l’épaisseur de la table (la clé de la sonorité d’un instrument) et du fond. Pour construire un instrument qui possède une belle et puissante sonorité, il faut compter trois mois.



Antonio Stradivari

                                                     , dit

 

ANTONIO STRADIVARI




Le mystère, un des plus épais de l'histoire de la musique, tenait depuis trois siècles. Depuis la mort, en 1737, à 93 ans, d'Antonio Stradivari, des générations de luthiers, de musiciens, d'acousticiens et de chimistes avaient tenté de percer le secret du maître. Le bois, la colle, l'assemblage des matériaux, leur traitement : la composition des fameux violons avait été passée à la loupe, ou plutôt à tout ce que la palette scientifique proposait d'optiques surpuissantes. Un élément résistait toutefois à l'analyse, celui-là même dont le maître de Crémone avait toujours refusé de révéler la formule : le vernis.


STADIVARIUS

















C'est aujourd'hui chose faite. Après quatre années de recherche, on connaît désormais la structure exacte du mystérieux revêtement. Une équipe d'une quinzaine d'intervenants issus de sept laboratoires français et allemands, coordonnée par Jean-Philippe Echard, chimiste au laboratoire de recherche et de restauration du Musée de la musique, à Paris, doit en faire l'annonce, vendredi 4 décembre. Une publication a été mise en ligne sur le site de la Angewandte Chemie International Edition, la plus importante revue de chimie au monde. Une version papier devrait suivre en janvier, accompagnée d'un article dans la revue Nature. Autant dire que ces conclusions devraient dépasser le cercle des mélomanes.

Scuola internazionale di liuteria cremona



ARCHIVIO FOTOGRAFICO Costruzione del Violino



L'œuvre d'Antonio Stradivari tient de la légende. De son vivant déjà, les cours européennes s'arrachaient ses réalisations. Rescapé d'une épidémie de peste qui décima les luthiers de la plaine du Pô (nord de l'Italie), il régnait sur la profession. Harpes, cistres, violes, altos, violoncelles, basses, et bien sûr violons : 1 100 instruments quittèrent son atelier au cours de ses soixante-dix ans d'activité. Il en resterait aujourd'hui environ 650.



Entre-temps, le stradivarius s'est imposé comme une référence. Dans les salles de concert, où les virtuoses qui le pouvaient l'ont adopté presque unanimement. Chez les collectionneurs, les prix atteignent plusieurs millions d'euros. Mais aussi chez les luthiers et les scientifiques qui ont tenté de percer le "secret" de Stradivari. L'essence des arbres (des épicéas pour la table, des érables pour le fond) ? La période de coupe (traditionnellement une nuit d'hiver par lune descendante) ? Les plans exacts de ses instruments étaient connus. Pour le reste, on se perdait en conjectures. En 1830, le physicien Félix Savart obtient du grand luthier français Vuillaume le droit de désosser deux stradivarius. Sans résultat. Par la suite, on évoqua le traitement subi par le bois: densifié par une vague de froid, selon les uns, dopé par un parasite, selon les autres, bonifié par un passage dans la lagune vénitienne pour les troisièmes; on copia la perfection et l'équilibre de son dessin, qui fixa l'instrument dans sa forme définitive. Et l'on se pencha sur le fameux vernis.



L'équipe du Musée de la musique a employé les grands moyens. Elle a intégré à son étude un luthier, Balthazar Soulier, qui avait déjà observé plus d'une soixantaine de stradivarius. Surtout, elle a assis sa recherche sur cinq instruments conservés dans la collection de l'établissement de la porte de La Villette. Quatre violons et une tête de viole d'amour – un instrument à douze cordes tombé en désuétude au XIXesiècle – réalisés entre1692 et 1724, autrement dit au cours d'une très large période. Sur chacun d'entre eux, ils ont prélevé une parcelle de vernis de la taille d'un grain de semoule. Et ils ont commencé l'expérience, ou plutôt les expériences.


D'abord ils ont passé les particules au microscope à ultraviolets. Ils ont ainsi pu déterminer que les échantillons étaient composés de deux couches avec, dans la seconde, des grains de pigments. "Mais nous ignorions encore comment étaient composées ces couches", raconte Jean-Philippe Echard.


Les échantillons ont alors pris le chemin de Saclay, dans l'Essonne, pour être analysés en lumière infrarouge dans le synchrotron Soleil. Cet immense accélérateur d'électrons permet de disposer d'une source suffisamment intense pour dresser la cartographie chimique d'un matériau. Et c'est là que l'information essentielle est tombée: le maître utilisait un simple vernis à l'huile. Pas de sous-couche dopée aux extraits de peau, d'os, ou d'esturgeon, comme le voulaient certaines légendes. "Il n'était pas non plus allé traire les abeilles de Hongrie orientale une nuit de pleine lune", s'amuse Jean-Philippe Echard. Non: pour sa base, le maître utilisait une simple huile siccative, à la façon des peintres ou des ébénistes.



Cette conclusion a été affinée au laboratoire du Museum d'histoire naturelle, à Paris. En couplant deux techniques – la chromatographie en phase gazeuse et la spectrométrie de masse – les scientifiques ont pu préciser la composition de chacune des deux couches. Dans la première, ils n'ont trouvé que de l'huile de peintre. Dans la seconde, un mélange composé de cette même huile et de résine de pin.


AH, LE VERNIS !
"Pendant deux cent cinquante ans, on a tout entendu, sourit Jean-Philippe Echard, tout imaginé. En termes de sonorité, comme de couleur. On a dit que Stradivari ajoutait au liant de l'ambre fossile de la propolis, cette gomme rougeâtre que les abeilles recueillent sur certains bourgeons, ou encore de la coquille de crustacés…" Depuis la seconde guerre mondiale, une quinzaine d'articles scientifiques ont été publiés sur le sujet. Les réponses demeuraient toutefois partielles. L'échantillon – un ou deux instruments – restait insuffisant. Réalisés par les seuls chimistes, les travaux ne permettaient pas de s'assurer que la partie analysée était bien d'origine.

Restait à déterminer le contenu des grains de pigment. Cette fois, c'est au Laboratoire de dynamique, interactions et réactivité (Ladir), à Thiais (CNRS, Paris-VI) et à Dortmund, en Allemagne, que le dernier élément du rébus a été déchiffré. Et là, nouvelle surprise! Le génial Antonio n'avait pas inclus dans son vernis du rouge, mais des rouges, passant, au cours de sa vie, d'un coloris nourri d'oxyde de fer à un vermillon au sulfate de mercure pour finir avec un pigment laqué à base de cochenille. "Avec le vernis, l'intentionnalité de Stradivari n'était pas acoustique, mais visuelle", conclut Jean-Philippe Echard.

De quoi détruire le mythe ? Pas sûr. "Le luthier reste fasciné par la perfection du travail, la méthode extraordinairement aboutie", assure Balthazar Soulier. Le public écarquillera toujours les yeux devant le prix astronomique des instruments. Les meilleurs solistes, gorgés de confiance, continueront à le faire sonner comme aucun autre. Quant aux fêlés des quatre cordes, artistes ou scientifiques, ils poursuivront leur recherche éperdue du secret du vieux maître de Crémone.

 
SITE BIENVENUE A SAUBRAZ :  http://doriotunivers.blogspot.ch/CAROLINE BADER BONIFAS

vendredi 29 juin 2012

SKI EN ETE




SKI EN TURQUIE


Le ski en Turquie est un sport qui reste à développer. Bien que Dame Nature ait généreusement pourvue la Turquie en hauts sommets, le domaine skiable turc a été relativement peu exploité jusqu’à présent. Et le ski plutôt réservé à une élite.


mardi 26 juin 2012

EXCLUSIF CHARLOTTE CASIRAGHI




Charlotte de Monaco




Les spécialistes noteront que Charlotte Casiraghi s’inscrit comme icône de la mode, obtenant la faveur de Vogue de faire la couverture de ce numéro de septembre, le plus attendu de l’année. Cette couv’ est aussi un clin d’œil aussi à sa mère, la princesse Caroline, qui avait posé pour Vogue, en décembre 1983, colorisée par Andy Warhol.


A 25 ans, la jolie Charlotte au minois parfait, deuxième du classement Young Style Icon of 2011 dressé par le magazine Hello!, a également la tête bien faite. La clé évidente de son succès !

Biographie

Née le 3 août 1986 à la clinique Grace de Monte Carlo, à Monaco, Charlotte Casiraghi est la fille de la princesse Caroline et de Stefano Casiraghi, un riche industriel italien décédé dans un accident de bateau alors qu’elle n’avait que 4 ans. Quatrième héritière du trône de Monaco, Charlotte a deux frères, Andrea et Pierre.



Princesse Caroline de Monaco et sa fille Charlotte




La très belle cavalière de Monaco




A la plage



JOLIE CHARLOTTE CASIRAGHI

BIOGRAPHIE DE CHARLOTTE DE MONACO


Charlotte Marie Pomeline Casiraghi est née le 3 août 1986 au Centre Hospitalier Princesse-Grace de Monte-Carlo, à Monaco. Membre de la famille princière de Monaco, c'est une cavalière ayant participé à plusieurs championnats d’équitation ainsi qu’une personnalité du monde de la mode. Fréquemment présente à la une de la presse du cœur, Charlotte Casiraghi a également fait la couverture de l’édition française du magazine Vogue en juillet 2011. Depuis fin 2009, la jeune femme est par ailleurs l’égérie de la ligne hippique de la marque italienne Gucci. BSU


Les spécialistes noteront que Charlotte Casiraghi s’inscrit comme icône de la mode, obtenant la faveur de Vogue de faire la couverture de ce numéro de septembre, le plus attendu de l’année. Cette couv’ est aussi un clin d’œil aussi à sa mère, la princesse Caroline, qui avait posé pour Vogue, en décembre 1983, colorisée par Andy Warhol.


A 25 ans, la jolie Charlotte au minois parfait, deuxième du classement Young Style Icon of 2011 dressé par le magazine Hello!, a également la tête bien faite. La clé évidente de son succès !

Biographie

Née le 3 août 1986 à la clinique Grace de Monte Carlo, à Monaco, Charlotte Casiraghi est la fille de la princesse Caroline et de Stefano Casiraghi, un riche industriel italien décédé dans un accident de bateau alors qu’elle n’avait que 4 ans. Quatrième héritière du trône de Monaco, Charlotte a deux frères, Andrea et Pierre.



Princesse Caroline de Monaco et sa fille Charlotte




La très belle cavalière de Monaco




A la plage



dimanche 24 juin 2012

L'ITALIE EN DEMI-FINALE



       Gianluidgi Buffon


L'Italie élimine l'Angleterre aux tirs au but et affrontera l'Allemagne en demi-finale

L'Italie n'a pas volé sa victoire contre l'Angleterre. Il a fallu des tirs au but pour s'imposer. Buffon, le meilleur gardien du monde, a arrêté un tir au but. Il fallait s'attendre à un exploit de Buffon pour permettre à l'Italie de se qualifier.

MORT BLANCHE ET GRAND REQUIN

impressionnante photo d'un grand requin blanc attaquant une femme sur une planche de surf

IMPRESSIONNANTE PHOTO D'UN GRAND REQUIN BLANC ATTAQUANT UNE FEMME SUR UNE PLANCHE DE SURF

cool Would you pet that ? Check more at http://weirdhood.com/bizarre-oddities/wtf-items-september-2014/


Cette image illustre assez bien l'extraordinaire capacité de la Nature a adapter « ses » créations à leur environnement.
Le Grand Requin Blanc est parfois surnommé la mort blanche bien qu'il ne soit pas vraiment blanc, mis à part son ventre. Et c'est ce qui en fait une particularité étonnante et trompeuse pour ses proies : vu de dessous, sur un ciel lumineux se reflétant à la surface, le prédateur est bien peu visible.
On remarquera que vu de dessus, quand il évolue entre deux eaux ou près du fond, son dos grisé ne permet pas vraiment plus de le distinguer.

En clair, de par son aérodynamisme et son « camouflage », notre ami sharky possède ici 2 armes parfaitement adaptées qui équipent bien son potentiel et son statut d'Apex Predator (prédateur au sommet de la chaîne alimentaire).
Ce ne sont évidemment pas les seules particularités qui en font un redoutable chasseur (de proies non humaines bien sûr, les attaques sur l'homme sont plus que rares ou témoignent d'une erreur d'appréciation ou d'une simple volonté d'investigation du requin sur sa proie). Mais je vous détaillerai ceci dans de prochains posts...


En attendant, force est de constater que depuis qu'ils existent, les 350 millions d'années d'évolution passées ont conservé à ces requins leurs fabuleuses prédispositions à la chasse. Quand on pense que l'homme reste en constante évolution (enfin c'est ce qu'on dit...) et qu'on est censé être plus que parfaits... ça laisse rêveur...



Le Requin Tigre rôde dans les eaux des Seychelles


Attaque de requin sur la plage

Une attaque de requin est une attaque d'un être humain par un requin.
Les attaques de requins sur l'homme sont rares et exceptionnelles. Les raisons conduisant à une attaque ne sont pas toutes connues ni bien définies, le manque de données fait qu'il est délicat d'en déduire des statistiques fiables. Le comportement en milieu naturel des requins est également mal connu et peu étudié, ce qui contribue à ce qu'il n'y ait pas de systématique en la matière.






LES SEIGNEURS DE LA MER

Le grand requin blanc

Grand requin blanc









Link25 (103) – The Feeding A Crocodile Edition


Q - We Are The Plan