samedi 13 août 2011

RELIGIONS DU MONDE



LES GRANDS MAITRES DU PASSE


Par exemple, le christ et les grands maîtres en remontant... il y en a eu six ou huit dans le passé. Mon vieux, ils sont arrivés sur Terre tellement chargés de vérité, qu'ils pouvaient à peine marcher. Maintenant je suis sans réserve très certainement en bons termes en ce qui concerne ces gars, très certainement. Et avec les gars qui les ont accompagnés et qui ont fait quelque chose de ces enseignements et les ont gâchés et les ont utilisés comme des mécanismes de domination, et des choses de ce genre, j'ai peur de ne pas être en bons termes avec cette deuxième catégorie. Ainsi c'est ma position sur la religion au cas ou quiconque s'engagerait dans une discussion là-dessus.

DIEU - DIABLE

L'infini devrait inclure nécessairement Dieu et le Diable afin d'être l'infini. Si quelqu'un vient et vous dit : <<  Dieu est tout  >>, mon vieux, il veut dire que Dieu est aussi cette prison là-bas. Il veut dire que Dieu est également cet accident d'automobile qui vient de se produire sur la route. Et que Dieu est le parti républicain, et que Dieu est les conservateurs! C'est intéressant!
<< Dieu est tout >> ainsi donc doit-il être Dieu-Diable. C'est une des maximes les plus anciennes de la magie que tous les anges ont deux visages, un bon visage et un mauvais visage. Afin d'être un ange complet, ils doivent avoir un bon visage et un mauvais visage. Ainsi voilà vos dynamiques. LRH




Les Illuminati en Amérique
Article de CentrExNews.com

Question : Est-ce que l'origine des familles des Illuminati remonte à certaines villes d'Europe particulières ?
Réponse : Oui, mais cela dépend des familles. Il y a la branche allemande, la branche française, la branche anglaise, et la branche russe. Chaque branche a ses racines dans certaines villes et régions de l'Europe. Les villes d'Allemagne centrale et d'Autriche sont les berceaux de la branche allemande. Celle-ci remonte aux Templiers, qui ont unifié les nations européennes au temps des Croisades.
Question : Est-ce que les Illuminati croient en Dieu ? Le considèrent-ils comme un menteur ?
Réponse : Les Illuminati croient en la déification de l'homme par la connaissance. Ils savent qu'il y a des êtres surnaturels qui les aident dans ce processus. Mais ils ne répartissent pas nécessairement ces êtres surnaturels en "bons" et "mauvais". Ils parlent plutôt de ceux qui sont "éclairés" et de ceux qui sont "enténébrés". Ils croient en l'existence du Dieu des Chrétiens. Mais ils pensent que les Chrétiens ne sont pas "éclairés" et qu'ils n'ont pas une "vision d'ensemble" comme eux. Ils croient que les Chrétiens sont des moutons qui ont "gobé" une belle histoire pour les aider à se sentir mieux, parce qu'ils sont "trop faibles" pour connaître "toute la vérité". C'est comme cela que vous parleraient les Illuminati. Ils tendent à se montrer cyniques envers le Dieu des Chrétiens.
Ils pensent qu'Il n'est qu'un "placebo" pour les faibles !
Question : Considèrent-ils que leur dieu est aussi un menteur, même s'il ment "pour le bien" ?
Comment peuvent-ils faire confiance à leur dieu ?
Réponse : Ils croient en plusieurs dieux. Effectivement, ils croient que leurs "dieux" sont des menteurs. Ces dieux sont capables de leur donner la puissance, la richesse, la gloire, et tout ce qu'ils désirent. Mais ils savent qu'il leur faut payer un prix pour tout cela, un prix horrible. Ils disent que l'on n'a rien sans rien, et que plus ils doivent payer cher, et plus ce qu'ils obtiennent a de la valeur. Il est difficile d'expliquer ce type de raisonnement à ceux qui ne sont pas des Illuminati.


La plupart des gens pensent que ce ne sont que d'horribles satanistes, des ennemis du Christianisme. Eux-mêmes ne se considèrent pas comme cela. Certes, ils se moquent des Chrétiens et les méprisent, mais uniquement parce qu'ils veulent faire comprendre à leurs adeptes que ce sont les Chrétiens qui sont "séduits". C'est Satan, le "dieu de ce monde", qui les a aveuglés. Les Illuminati ne font donc pas plus confiance à leurs dieux qu'à aucune autre personne.


Cet article fait partie d'une série d'articles qui sont la transcription d'une série d'interviews
exclusives réalisées par l'Editeur principal de CentrExNews, HJ Springer. Il a posé par e-mail à Svali un certain nombre de questions précises concernant les Illuminati en Amérique et dans le monde. Svali a exercé des responsabilités de formation au sein du groupe des
Illuminati. Après sa conversion à Jésus-Christ, elle a décidé de témoigner, tout en désirant
conserver son anonymat.



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jeudi 11 août 2011

CONSPIRATION MONDIALE LE VIRUS SECRET

Discours du Président John F. Kennedy
sur la
Conspiration et les Sociétés Secrètes au
Waldorf-Astoria Hotel à New York City le 27 Avril 1961.

Le Président qui disait la vérité
Extrait du discours de J-F KENNEDY

 

« Mesdames et Messieurs »,

Le mot « secret » est en lui-même répugnant dans une société libre et ouverte.
Et en tant que peuple par nature et historiquement, nous nous opposons aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes.

Parce que nous devons faire face tout autour du monde à une conspiration massive et impitoyable qui s’appuie d’abord sur des moyens déguisés permettant le déploiement de leur sphère d’influence basée sur l’infiltration plutôt que l’invasion, utilisant la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre-arbitre.

C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable. Elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements (CIA, Mossad, etc..), économiques, scientifiques et politiques. Leurs planifications sont occultées et non publiées.

Leurs erreurs sont passées sous silence et non relayées par la presse.

Leurs détracteurs sont réduits au silence, et leur avis n’est pas sollicité.

Aucune dépense n’est remise en question, aucun secret n’est révélé. C’est pourquoi le législateur athénien Solon décréta comme crime tout citoyen de désintéressant du débat.

Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain, avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pourquoi il est né : Libre et indépendant.

J.F. Kennedy

A. Lincoln et J.F. Kennedy, deux opposants au « Système de la Réserve Fédérale » … ils furent tous deux assassinés !




Le Virus "SECRET"
qui détruit dans "l'ombre" notre humanité et notre planète

Ce virus secret, remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.
Il est plus connu sous le nom d
'Illuminati. Il est la forme moderne d'une société secrète très ancienne, la "Fraternité du Serpent" (ou "Confrérie du Serpent").

Ce virus qui a pour projet "secret" de détruire les 2/3 de la population mondiale et d'Instaurer le Nouvel Ordre Mondial, est constitué de diverses souches. Il a par ailleurs la particularité d'être multiforme et de s'infiltrer  comme un serpent partout, notamment au sein de toutes les institutions mondiales, de manière discrète. Le SECRET qu'il revendique, lui permet de grangréner et de cancériser à souhait notre humanité et notre planète, en toute discrétion et impunité. Cette forme discrète d'infiltration, le rend difficilement décelable pour le commun des mortels. D'où la difficulté de le localiser, de l'identifier clairement et de trouver les traitements ou les vaccins adéquats pour l'éliminer définitivement.


En effet, depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s'est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les "écoles de mystère" égyptiennes et grecques, l'église chrétienne de Rome (utilisée comme "véhicule" par la "Fraternité" pour s'implanter en Europe), les Mérovingiens (d'où le personnage "Mérovingien" dans le film "Matrix"), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications - Franc-Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jerusalem, Ordre de Malte...), et enfin les "Illuminati" et les organisations qui y sont rattachées.

Ce virus mortel est constitué de plusieurs souches extrêmement dangereuses pour :l'homme, les animaux, les végétaux et pour l'ensemble de notre planète.Ces différentes souches sont :Les Illuminati (Elite de la Franc-maçonnerie), les clubs privés des élites, les banques mondiales dont la FED,
l'ONU, l'OTAN, Le Bildenberg Group, le CFR, Le Bohemian Club, Le Siècle,
Le complexe militaro-industriel et scientifique US, la CIA, ainsi que de toutes ses
ORGANISATIONS PLANETAIRES

D'autres souches sont actuellement en cours d'identification par nos laboratoires, mais ce virus semble déjà avoir engendré une pandémie mondiale depuis quelques siècles.
Lien : http://www.humanae-libertas.fr/

Etrait du discours d'Eisenhower


Intervention TV du président Dwight D. Eisenhower lors de son discours d'adieu, où il met en garde contre ce qu'il appelle le complexe militaro industriel.

Bonsoir Chers compatriotes,

Ce soir je vous adresse un message d’adieu. Je voudrais partager quelques données avec vous.
Nous avons atteint la 6ème décennie d’un siècle qui a connu 4 conflits mondiaux impliquant de grandes nations. Notre pays a participé à 3 d’entre eux.

Nous avons dû développer une vaste industrie de l’armement permanente.
3,5 millions d’hommes pour le secteur de la défense. Son influence économique, politique et même morale se ressent dans chaque ville, chaque parlement des Etats, chaque bureau du Gouvernement.

Ce développement est certes nécessaire, mais nous devons aussi comprendre la gravité de ses conséquences.

Triste constat aujourd'hui.

« Chaque arme fabriquée, chaque guerre déclarée, chaque roquette mise à feu, signifie en fin de compte un vol envers ceux qui ont faim et qui ne sont pas nourris, ceux qui ont froid et qui ne sont pas habillés. »

Dans les services du Gouvernement, nous devons nous méfier d’une influence non justifiée, qu’elle soit voulue ou non, par le complexe militaro-industriel.

Le risque d’un accroissement funeste des abus de pouvoir existe et persistera.
Ne laissons jamais le poids de ce complexe mettre en danger nos libertés ou notre démocratie.

Seuls les citoyens vigilants et informés peuvent imposer le bon tissage entre la machine industrielle et militaire de la défense avec nos objectifs pacifistes, pour que la sécurité et la liberté prospèrent ensemble.

Président Dwight D. Eisenhower
16 Avril 1953


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mercredi 10 août 2011

PSY LES HUIT RAISONS POUR LESQUELLES LES JEUNES AUX ETATS-UNIS NE SE REVOLTENT PAS

LES HUIT RAISONS POUR LESQUELLES LES 
JEUNES AUX ETATS-UNIS  NE SE REVOLTENT PAS

Psychiatrie








« Aujourd’hui, la fonction de la psychiatrie, de la psychologie et de la psychanalyse menace de devenir l’instrument de la manipulation des êtres humains ».


Les huit raisons pour lesquelles les jeunes aux Etats-Unis ne se révoltent pas: comment les Etats-Unis ont annihilé tout esprit de résistance...


Stories by Bruce E. Levine


Ce sont les jeunes qui ont toujours dynamisé les mouvements démocratiques. et donc, c’est un sacré exploit qu’ont réalisé les classes dirigeantes en créant des structures sociétales qui ont assujetti les jeunes en Amérique et brisé leur esprit de résistance à la domination.
Les jeunes aux Etats-Unis –plus encore que les autres générations – semblent avoir intégré l’idée que la « corporatocratie » peut les arnaquer complètement et qu’ils sont impuissants à réagir face à cela. Un sondage Gallup réalisé en 2010 demandait: « pensez-vous que le système de Sécurité Sociale pourra vous verser une pension quand vous partirez à la retraite? Parmi les 18-34 ans, 76 % ont répondu non. Pourtant, bien qu’ils pensent qu’ils n’auront pas accès à la Sécurité Sociale, peu d’entre eux ont manifesté pour que cette institution soit renflouée en imposant les riches plus équitablement; la plupart semblent résignés à se voir prélever davantage de cotisations sociales, même s’ils pensent qu’ils n’en bénéficieront pas.

Comment donc la société a-t-elle réduit la jeunesse américaine au silence?

1. Les remboursements des prêts étudiants.

Un énorme endettement – et l’angoisse qu’il engendre – est un « facteur de paix ». 
Il n’y avait pas de frais de scolarité à payer à l’Université publique de New York quand je faisais mes études dans les années 1970, une époque où les frais de scolarité étaient si abordables dans de nombreuses universités publiques américaines qu’il était facile d’obtenir une licence, et même des grades universitaires plus élevés, sans avoir à accumuler les dettes pour rembourser des prêts-étudiants. 
Alors que cette époque est révolue aux Etats-Unis, les universités publiques sont toujours gratuites dans le monde arabe, et sont soit gratuites, soit demandent une participation minime dans de nombreux pays du monde entier.

Les millions de jeunes Iraniens qui risquaient de se faire tirer dessus en manifestant contre les résultats des élections présidentielles de 2009, les millions de jeunes Égyptiens qui risquaient leur vie pour exiger le départ de Moubarak, et les millions de jeunes Américains qui manifestaient contre la guerre du Vietnam ont tous en commun qu’ils n’avaient pas à rembourser de prêt étudiant. 
Actuellement, aux Etats-Unis, deux tiers des étudiants en dernière année de licence (quatrième année, NDT) ont un crédit à rembourser. Alors que l’endettement des étudiants s’élève à près de 25000 dollars en moyenne, de plus en plus d’étudiants licenciés me disent qui auront à rembourser près de 100.000 dollars. 
A une époque de la vie où il serait plus facile de contester l’autorité parce qu’on n’a pas de charge de famille, beaucoup de jeunes gens ne s’inquiètent que du coût que représenterait le fait de s’en prendre au pouvoir, de perdre son emploi et de se retrouver dans l’incapacité de rembourser une dette en constante augmentation.

2. Traiter la rébellion comme une psychopathologie

En 1955, Erich Fromm, psychanalyste de gauche très respecté à l’époque, et qui militait contre l’autoritarisme, écrivait:

« Aujourd’hui, la fonction de la psychiatrie, de la psychologie et de la psychanalyse menace de devenir l’instrument de la manipulation des êtres humains ».

Fromm est mort en 1980, l’année même où une Amérique de plus en plus autoritaire élisait Ronald Reagan à la tête de l’Etat, et où une « Association Américaine de Psychiatrie » de plus en plus autoritaire ajoutait à sa bible de classifications des diagnostics (appelée alors le DSM-III) les troubles graves du comportement chez l’enfant et l’adolescent, comme le « trouble oppositionnel avec provocation » de plus en plus en vogue. 
Parmi les symptômes officiels du « trouble oppositionnel avec provocation » on trouve: « souvent contestataire ou refuse d’obéir aux ordres ou aux règles donnés par des adultes », « souvent en conflit avec les adultes » et « agit souvent dans l’intention d’exaspérer les autres ». 
De nombreux contestataires connus en Amérique, parmi lesquels Saul Alinsky (1909–1972), l’ »organizer » légendaire , auteur de « Reveille for Radicals » et « Rules for Radicals », seraient sans aucun doute diagnostiqués comme étant atteints de trouble oppositionnel avec provocation et d’autres troubles du comportement. 
Evoquant son enfance, Alinsky raconte:


« Il ne m’était jamais venu à l’idée de marcher sur une pelouse, jusqu’à ce qu’un jour, je tombe sur un panneau: ‘pelouse interdite’. Par la suite, quand j’en voyais un, je piétinais la pelouse de long en large ».
Des puissants neuroleptiques (comme le Zyprexa et le Risperdal) sont actuellement les médicaments qui réalisent le plus de bénéfices aux Etats-Unis (16 milliards de dollars en 2010). Une des raisons principales, selon le « Journal of the American Medical Association » en 2010, c’est que beaucoup d’enfants qui prennent ces neuroleptiques ne souffrent pas de trouble oppositionnel avec provocation ou d’autres troubles du comportement (ce qui est particulièrement vrai pour les patients en pédiatrie assurés par Medicaid).

3. Des écoles qui apprennent l’obéissance, pas la démocratie

Lors de la remise du prix du Professeur de l’Année décerné par la ville de New York le 31 janvier 1990, John Taylor Gatto choquait une grande partie de l’assistance en déclarant:

« La vérité, c’est que les écoles n’enseignent pas grand chose en réalité, si ce n’est à obéir aux ordres. C’est un grand mystère pour moi parce que des milliers de personnes dévouées et attentionnées travaillent dans les écoles en tant qu’enseignants, assistants et administrateurs mais la logique abstraite de l’institution neutralise leurs contributions individuelles ».

Il y a une génération de ça, la question de l’éducation obligatoire en tant qu’instrument servant à créer une société autoritaire faisait l’objet de nombreux débats, mais, alors que la situation est bien pire aujourd’hui, on n’en entend pratiquement plus jamais parler. 
La nature de la plupart des classes, quelle que soit la discipline enseignée, prépare les élèves à être passifs et à être dirigés par d’autres, à obéir aux ordres, à prendre au sérieux les récompenses et les sanctions données par les autorités, à faire semblant de s’intéresser à des sujets qui ne les intéressent pas, et à se convaincre qu’ils sont impuissants à changer cet état de fait. 
Un professeur peut faire un cours sur la démocratie, mais les écoles sont essentiellement des lieux antidémocratiques, et donc, ce n’est pas la démocratie qui est enseignée aux élèves. 
Jonathan Kozol, dans ‘The Night Is Dark and I Am Far from Home », parle de la façon dont l’école nous retient de nous livrer à des actions courageuses. 
Kozol explique comment les écoles nous enseignent une sorte de « sollicitude inerte » où le fait de se sentir concerné – en soi et de soi-même, et sans risquer les conséquences d’une véritable action – est considéré comme « éthique ». L’école nous apprend que nous sommes « moraux et mûrs » si nous affirmons nos préoccupations poliment, mais la nature de l’école – son exigence d’obéissance – nous apprend à ne pas chercher à provoquer des frictions.

4 – Les réformes éducatives « No child left behind » et  » Race to the Top »

La corporatocratie a imaginé un moyen de rendre nos écoles déjà autoritaires encore plus autoritaires. 
Les politiques à la fois des Démocrates et des Républicains ont engendré les guerres en Afghanistan et en Irak, l’ALENA, le PATRIOT Act, la guerre contre la drogue, le sauvetage de Wall Street, et les actions éducatives comme les programmes « No child left behind » (« aucun enfant laissé pour compte » – gouv. Bush, NDT) et « Race to the Top » (la course au sommet – gouv. Obama, NDT).
Ces politiques consistent essentiellement à soumettre les élèves à la tyrannie de tests normalisés, générateurs de crainte, ce qui est, pour une société démocratique, antinomique avec l’éducation. 
L’angoisse pousse les élèves et les professeurs à ne plus travailler que pour répondre aux exigences de ceux qui élaborent les sujets des tests. Elle annihile la curiosité, l’esprit critique, la remise en cause de l’autorité et la contestation et la résistance à l’autorité illégitime. 
Dans une société plus démocratique et moins autoritaire, on mesurerait l’efficacité d’un enseignant non pas à des résultats de tests imposés par la corporatocracy, mais en demandant aux élèves, aux parents et à toute la communauté si le professeur incite les élèves à être plus curieux, à lire davantage, à se cultiver indépendamment de l’école, à chercher à former son esprit critique, à remettre en cause les autorités, et à contester l’autorité illégitime.

5. Montrer du doigt les jeunes qui prennent au sérieux l’éducation – mais pas les études.

Une enquête réalisée en 2006 aux Etats-Unis montre que 40% des enfants entre le CP et le CE2 lisent tous les jours, mais quand ils arrivent en CM1, ce pourcentage tombe à 29 %. Malgré l’effet anti-éducatif de l’école, les parents et les enfants sont de plus incités par la propagande à croire que ne pas aimer l’école, c’est ne pas aimer apprendre. 
Cela n’a pas toujours été le cas aux Etats-Unis. On se souvient de la réflexion de Mark Twain: « je ne permets pas à mes études de nuire à mon éducation ». Vers la fin de la vie de Twain, en 1900, seulement 6 % des Américains avaient un diplôme de fin d’études secondaires. 
Actuellement, environ 85 % des Américains ont un diplôme de fin d’études secondaires, mais ce n’est encore pas assez pour Barack Obama qui a déclaré en 2009:

« Et abandonner le lycée avant la fin des études n’est plus possible. Ce n’est pas seulement faillir à soi-même, c’est faillir à son pays ».

Mais, plus les Américains font d’études, moins ils sont conscients de la lutte des classes qui a lieu actuellement, et plus ils sont incapables de contester la classe dirigeante. 
Dans les années 1880 et 1890, les agriculteurs américains qui avaient fait peu ou pas du tout d’études avaient créé un mouvement populiste qui avait mis en place la plus importante coopérative de travailleurs en Amérique, avaient formé le Parti Populaire qui avait recueilli 8 % des voix aux élections présidentielles de 1892, conçu un projet de « sous-trésorerie » (qui, s’il avait été appliqué aurait permis aux agriculteurs de bénéficier de meilleurs crédits et aurait cassé le pouvoir des grandes banques), envoyé 40.000 conférenciers dans toute l’Amérique pour l’expliquer, et avaient développé toutes sortes d’idées politiques, de stratégies élaborées, que la population instruite d’aujourd’hui est incapable de concevoir. 
Aujourd’hui, les Américains sans diplômes universitaires sont constamment montrés du doigt et qualifiés de ‘losers ». 
Pourtant, Gore Vidal et George Carlin, deux des détracteurs les plus intelligents et cohérents de la corporatocratie en Amérique, ne sont jamais allés à l’université, et Carlin a abandonné les études en classe de 3eme.

6. La banalisation de la Surveillance.

La crainte d’être surveillée rend la population plus facile à maîtriser. On a beaucoup entendu parler de la National Security Agency (NSA) qui a intercepté les mails et écouté les conversations téléphoniques de citoyens américains, et alors que les dispositifs de contrôle sont de plus en plus fréquents en entreprise, les jeunes acceptent de plus en plus d’être surveillés par la corporatocratie parce que, y ayant été habitués dès l’enfance, la surveillance est, pour eux, une pratique normale. 
Leurs parents consultent systématiquement Internet pour connaître les notes des tests de leurs enfants et savoir quelles tâches ont été accomplies, et, tout comme les patrons, ils surveillent les ordinateurs de leurs enfants et leurs pages Facebook. Certains parents utilisent le GPS des téléphones portables de leurs enfants pour les localiser et d’autres parents ont installé des caméras de surveillance chez eux. Je rencontre de plus en plus de jeunes gens qui n’osent pas organiser une fête quand leurs parents sont partis et, donc, comment pourraient-ils oser se lancer dans l’organisation d’un mouvement démocratique sous l’œil des autorités?

7. La télévision

En 2009, la Nielsen Company disait qu’il n’y a jamais eu autant d’Américains devant un écran qu’actuellement, si on compte les trois écrans »: le poste de télé, l’écran de l’ordinateur et celui du téléphone. Les enfants sont en moyenne huit heures par jour devant un écran, que ce soit pour la télévision, les jeux vidéo, les films, Internet, les téléphones portables, les iPods, et d’autres appareils (en dehors de l’usage qu’il en est fait pour l’école).
De nombreux progressistes s’inquiètent de l’énorme contrôle sur le contenu exercé par les medias de masse, mais le simple fait de regarder la TV— quel que soit le programme – est le facteur de paix fondamental (les prisons privées ont reconnu que fournir des postes de télévisions aux prisonniers peut être une méthode plus économique pour les faire tenir tranquilles que d’embaucher davantage de gardiens).
Pour une société autoritaire, la télévision est le rêve devenu réalité: les gros capitalistes possèdent pratiquement tout ce que les gens regardent.
Les programmes-télé qui suscitent l’angoisse rendent les gens plus craintifs et plus méfiants vis-à-vis des autres, ce qui est parfait pour une classe dirigeante dont la méthode se résume à « diviser pour régner ». La télévision isole les gens de façon à ce qu’ils ne se rassemblent pas pour organiser la résistance contre les autorités; et quels que soient les programmes, les ondes cérébrales des téléspectateurs sont au ralenti, ce qui les met dans un état proche de l’hypnose, et qui n’est pas propice au développement d’un esprit critique. 
Même si les jeux vidéo ne réduisent pas autant leurs adeptes à l’état de zombies que la télévision, ces jeux sont devenus pour beaucoup de garçons et de jeunes hommes leur seule expérience de la puissance, or cette « puissance virtuelle » ne constitue pas une menace pour la classe dirigeante.

8. La religion fondamentaliste et le consumérisme fondamentaliste.

La société américaine offre à la jeunesse le « choix » entre la religion fondamentaliste et le consumérisme fondamentaliste. Toutes les formes de fondamentalisme réduisent notre vision et inhibent notre esprit critique. Alors que certains progressistes se plaisent à appeler la religion fondamentaliste l’ »opium du peuple », ils oublient trop souvent la nature lénifiante de l’autre fondamentalisme majeur aux Etats-Unis. 
Le consumérisme fondamentaliste annihile l’autonomie en formant des individus qui se sentent complètement dépendants des autres et qui sont ainsi plus enclins à remettre le pouvoir de décision aux autorités, exactement ce qui ravit les classes dirigeantes. 
Un système de consumérisme fondamentaliste légitime la publicité, la propagande et toutes sortes de manipulations, y compris les mensonges; et quand une société légitime les mensonges et le pouvoir de manipuler, elle détruit la capacité de la population à se faire confiance mutuellement et à organiser des mouvements démocratiques. Le consumérisme fondamentaliste favorise l’égocentrisme, qui empêche la solidarité nécessaire pour organiser des mouvements démocratiques. 
Ces aspects ne sont pas les seuls de notre société à désarmer la jeunesse américaine et anéantir leur résistance à la domination. 
Le complexe industriel agroalimentaire a contribué à créer une épidémie d’obésité infantile, de dépressions, et de passivité. 
Le complexe industriel carcéral se charge de discipliner ceux qui sont réfractaires à l’autorité (et, en plus, maintenant à cause de la crainte de se retrouver devant des juges comme les deux de Pennsylvanie qui avaient touché 2,6 millions de dollars de la part des prisons privées pour qu’ils veillent à ce que les mineurs soient condamnés à des peines de prison). 
Comme l’a dit Ralph Waldo Emerson: « tout ce qui est en place est à la fois bon et mauvais. Le mal s’attaque à toutes nos institutions de la même façon ».


Psychiatric Drugs and Poor Kids (Les neuroleptiques et les enfants des milieux pauvres. Les enfants qui sont assurés par Medicaid – assurance publique pour les familles pauvres – risquent quatre fois plus de se voir prescrire des neuroleptiques que les enfants assurés par le secteur privé, même s’ils n’ont pas de symptômes psychotiques …).
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Pour ce qui est des dettes étudiantes, l’évolution s’est faite progressivement. Jusqu’à ce que le système soit complètement corrompu, les étudiants qui faisaient des études supérieures avaient la possibilité de trouver un emploi rémunérateur et, donc, de rembourser leur crédit relativement rapidement. Ce qui explique d’une certaine façon leur manque de réaction à l’époque. 
Mais, aujourd’hui, les diplômés n’ont plus l’assurance de trouver un emploi à la sortie de l’université (délocalisations, licenciements, crise économique, etc.), et s’ils en trouvent un, ils ne sont pas assurés de le conserver, sans compter que la Sécurité Sociale est de moins en moins à la charge de l’employeur, ce qui signifie qu’il leur faut déduire de leurs salaires les cotisations pour l’assurance maladie ou la retraite.

    

J’ajouterai aussi que les jeunes des pays occidentaux, et en particulier aux US, sont très cloisonnés, ils ne se rencontrent pas, et leurs aspirations et leurs chances de trouver un emploi sont très dissemblables.



EMEUTES DE LONDRE UNE CULTURE MALADE


Comment suivre les émeutes de Londres sur Internet

Les émeutes anglaises ne servent que l'oligarchie et l'agenda liberticide...

La sous-classe émeutière est le produit d’une culture malade
« La rebellion sans la conscience critique est pour ainsi dire une explosion d’impuissance ».

Pression venant du dessus, pression venant du dessous; le but est d’étriper la classe mnoyenne en les manipulant pour qu’elle demande d’elle-mème sa propre mise en esclavage.


Par Paul Joseph Watson
(Londres)
Le 09 Août 2011


Les émeutes qui ont paralysées Londres et ont déferlées sur d’autres villes majeures du Royaume-Uni sont le produit d’une culture sociétaire qui mène à la violence et au chaos, ce qui en fait ne sert que les intérêts de l’élite dominante dans sa volonté d’anihiler la classe moyenne en la manipulant à demander elle-même sa propre mise en esclavage.


Premièrement, quiconque pense vraiment que les émeutiers brûlent et pillent pour protester contre des contraintes légitimes, du moins dont ils soient conscient, a besoin de se faire examiner.


Un clip de la BBC montre un groupe d’adolescentes saoûlent décrivant à quel point il est amusant de s’engager dans la violence gratuite et le vol. Dans une tentative imbécile de justifier leurs actions, les filles commencent à balbutier à propos “du gouvernement… des conservateurs, ou.. peu importe, on sait pas”, avant de répondre à la question de savoir pourquoi elles attaquent des résidents locaux dans leur propre communauté en éructant: “Ce sont les riches, les gens qui ont des businesses, voilà pourquoi tout cela se passe… à cause des riches”.


Ces “gens riches” incluent un magasin de meubles familial local à Croydon, qui a survécu deux guerres mondiales et qui vient d’ètre brûlé complètement, un centre de charité qui collecte des fonds pour les personnes âgées et un centre de sauvetage pour les chats errants à Enfield, parmi beaucoup d’autres maisons, d’œuvres de charité et de petits businesses locaux qui appartiennent à des gens simples et loin “d’être riches”.


Dire que cette jeunesse désœuvrée est l’avant-garde d’un quelconque mouvement révolutionnaire est complètement insensé. Si ceci était une véritable révolte contre l’establishment, pourquoi la foule ne se concentre t’elle pas autour de Downing Street (NdT: lieu de la résidence de travail du premier ministre britannique, l’équivalent de Matignon en France), du parlement ou de Buckingham Palace, les vrais coupables de la dégradation totale de la situation économique britannique ? Pourquoi au contraire remplissent-ils des chariots complets de chaussures de sport, de téléphones portables, ainsi bien sûr de gnôle et de cigarettes volées aux petits commerçants locaux ?


Les émeutiers sont composés de manière dominante par des jeunes nihilistes, des agressifs intellectuellement castrés, qui sont devenus avec le temps les représentants du terme de la “Grande-Bretagne cassée” (NdT: en anglais “broken Britain” expression qui a plus d’impact dans la langue d’origine..)


C’est comme dans un mauvais film de zombies, l’avènement des idiots. La peste a commencé à Tottenham. Cela s’est rapidement propagé à d’autres zones de Londres, et bientôt les hordes déferlaient dans les cités principales de la nation. Mais ces zombies là ne recherchaient pas la cervelle, ils recherchaient les tenues de sport, les télés 40 inches et les iPads. La police resta de marbre et laissa faire. Le public pétrifié de peur fit bon accueil aux troupes dans les rues, aux couvres-feu, à plus de surveillance et de contrôle. Merci beaucoup les abrutis.


La cause de ce chaos ne peut en aucun cas être remontée à une quelconque revendication politique légitime, elle est presque essentiellement le produit d’une culture sociale malade, renforcée par les multinationales et l’industrie du spectacle obsédée par ses célébrités, et qui lavent les cerveaux des jeunes gens en leur faisant aspirer à un style de vie qu’ils ne pourront jamais atteindre.


Le déclin social de la jeunesse devient une prophécie qui s’auto-réalise comme résultat d’une fascination médiatique constante de la diabolisation des jeunes en leur offrant un régime putride fait à base de “héros”, de footballers débiles et de musiciens camés, dont les attitudes donnent à penser aux enfants impressionables que la vie tourne autour de la bringue, de s’engager dans des conquêtes sexuelles immorales et de prouver leur valeur en ne démontrant que des attitudes agressives animales.


Les icônes du rap fabriquées par MTV, les films et les jeux vidéos ont entraîné une génération entière de jeunes défavorisés à grandir en aspirant devenir gangsters, traîner en ville avec leurs jeans au milieu de leurs cuisses en gangs qui terrorisent le public. Un autre coupable est aussi le consumérisme galopant. Les enfants défavorisés dépendants des subsides de l’état ne peuvent pas s’acheter les iPods et autres ordinateurs portables dont on matraque à longueur de journée, qu’ils sont des objets obligatoires pour obtenir la reconnaissance de ses pairs; ainsi une opportunité comme celle-ci ne peut pas être gâchée. Comme le rapporte le Guardian aujourd’hui: “Alors que nous étions définis par ce que nous faisions, maintenant nous sommes définis parce que nous achetons. Ces grandes chaînes de magasins sont dans le business de tenter les gens, les consommateurs, et d’un seul coup d’un seul, ces gens se trouvent dans la situation où ils n’ont quà juste entrer dans ces magasins et se servir, tout obtenir.”


Cette armée de paumés à la Orange Mécanique sont ensuite montés en épingle contre le public qui, parfaitement terrifié par l’incessante hyper-médiatisation du problème, ouvre les bras aux soldats dans les rues, à plus de surveillance, aux couvres-feu et tout ce qui peut être nécessaire pour simplement “nous maintenir en sécurité.”


Si les quelques nuits passées n’ont rien prouvé d’autre, c’est que les autorités, la police ne peuvent pas nous garder en sécurité. Presque tous les témoins oculaires qui ont décrits la violence et le pillage ont fait état de la police ne faisant rien, restant en retrait.


Seul l’establishment bénéficie de l’étendue du chaos, parce que l’appel du public pour une répression plus forte retentit de plus en plus haut. Maintenant le parlement a été rappelé pour une journée afin de s’assurer de l’opportunité de passer des législations encore plus draconiennes et liberticides, qui auront un impact sur les citoyens de base.


Voilà comment la classe moyenne est habituellement manipulée pour soutenir l’état policier qui est ultimement utilisé pour opprimer la classe moyenne elle-même. Ceci est également un excellent exemple du comment faire monter la pression par le bas; par la culture encouragée d’une sous-classe de demeurés, qui sont ensuite lâchés dans la nature par le système afin de créer la crise dont il a besoin pour resserrer l’étau sur la société.


Nous avons tous besoin de nous réveiller pour enfin réaliser que nous sommes en fait joués les uns contre les autres par une oligarchie qui est ravie de ce genre d’émeutes sans aucun fondement, comme celles que nous avons vues depuis plusieurs nuits; parce que cela créé le prétexte parfait pour l’establishment de se retrancher sur lui-même et d’étendre son pouvoir au nom bien sûr de la sécurité et du bien-être de tous.

 Toute reproduction autorisée sous réserve de citer http://doriot-univers.blogspot.com/

mardi 9 août 2011

MOSCOU : L'OTAN PLANIFIE UNE NOUVELLE CAMPAGNE MILITAIRE CONTRE LA SYRIE



Syria


L’OTAN planifie une campagne en Syrie et resserre le noeud coulant autour de l’Iran d'après la diplomatie russe !

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Ne pas… ne jamais être dupe, et informer les autres de façon à ce que toute guerre ne trouve aucun soutien dans les opinions publiques.
Les opinions publiques font arrêter les guerres (ex: Vietnam). Le mieux est d’avoir une opinion publique si alerte qu’il est même impossible pour les rats du pouvoir de commencer une guerre sans avoir les peuples en insurrection directement sur le paletot…
Pour c ela il faut des citoyens informés, alertes, décidés et solidaires… Cela commence avec nous tous et puis les autres, pas à pas…

tout changement réel, toute révolution commence avec un petit groupe de gens décidés et irréductibles quelle que soit la tendance politique, quand on parle de résistance au fascisme (brun ou rouge), tout le monde est concerné bien au-delà de toute « couleur » politique.

Informez les gens autour de vous, que les éveillés en éveillent d’autres. Si chaque citoyen éveillé (informé hors propagande et n’avalant plus les couleuvres) en éveille deux autres autours de lui… Combien en éveilleront 100 000 ?… Un million ?… 2 millions ?…

R71                                        _______________________________

Par l’agence RIA Novosti
 « RIA Novosti » –

MOSCOU –   L’OTAN planifie en ce moment une campagne militaire contre la Syrie afin d’aider à renverser le régime du président Bashar Al-Assad avec comme objectif a longue échéance de préparer une tête de pont dans la région pour l’attaque contre l’Iran, a dit l’envoyé de la Russie à l’OTAN Dimitri Rogozin.

Le conseil de sécurité de l’ONU a condamné Mercredi la violence récurrente en Syrie et a demandé vigoureusement aux autorités du pays d’arrêter d’utiliser la force contre des manifestants pacifiques, tout en disant que la situation dans le pays ne demande pas encore une interférence de l’OTAN.

“Cette déclaration veut dire que la planifiication de la campagne militaire est déjà bien avancée. Ceci pourrait être une conclusion logique des opérations de propagande et militaires, qui ont été perpétrées par certains pays occidentaux contre l’Afrique du Nord”, a dit Rogozin dans une interview avec le journal Izvestia publié Vendredi.

Le diplomate russe a signalé le fait que l’alliance vise à interférer seulement avec les régimes “dont les vues ne coïncides pas avec celles de l’occident”.

Rogozin renforça l’opinion exprimée par certain experts que la Syrie puis le Yémen pourraient bien être les deux dernières étapes de l’OTAN dans l’optique de lancer une attaque sur l’Iran.

“Le nœud coulant autour de l’Iran se resserre. Des préparations militaires contre l’Iran sont déjà en train de se faire. Nous sommes certainement concernés et préoccupés par l’escalade vers une guerre de grande importance dans cette grande région”, a dit Rogozin.

Après avoir appris de la leçon libyenne, la Russie “continuera à s’opposer à l’utilisation de la force en ce qui concerne la situation en Syrie”, a t’il déclaré, ajoutant que les conséquences d’un vaste conflit en Afrique du Nord seraient dévastatrices pour l’ensemble de monde.
       

Q - We Are The Plan