mercredi 30 mai 2012
mardi 29 mai 2012
PETITION CONTRE LES LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES
Pouvez-vous prendre le temps de regarder cette vidéo et de signer la pétition, c’est vraiment très important pour tous les européens que nous sommes et les français en particulier puisque nous vivons dans ce pays.
CLIK ICI :
http://institut-protection-sante-naturelle.eu/video/Petition1204/Petition1205.html
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lundi 21 mai 2012
dimanche 20 mai 2012
LE CAS DU SERGENT GRISCHA
A gauche Arnold Zweig
___________________________________________________
Le cas du sergent Grischa, un roman qui débute avec la prémisse intéressante selon laquelle quand un gouvernement fait du tort à un individu, il est alors voué à l'échec. Il lui suffit de faire du tort à un individu et il est perdu. J'ignore si le roman contenait beaucoup de philosophie pour soutenir cette prémisse, mais cette pensée m'a paru particulièrement frappante par sa justesse: faire du tort à une personne, c'est faire du tort à une personne de trop. N'est-ce pas ?
Comment pensez-vous que quelqu'un puisse apporter l'ordre public à une société s'il utilise la menace et la violence ? Il existe de meilleures méthodes. Il existe des méthodes plus efficaces.
Je veux dire qu'il y a un très grand nombre de gens bien dans ce monde qui essaient de faire marcher les choses, mais ce qui bloque le chemin de l'homme aujourd'hui, c'est l'aberration individuelle. Il faut prendre une société à raison d'un individu à la fois. La masse n'existe pas. Je me moque des lois qui ont été adoptées récemment au Kremlin, il n'existe toujours pas de masse - une masse de gens, les masses. Il n'existe pas vraiment de groupes; il y a des rassemblements d'individus.
Et ces rassemblements d'individus ont alors l'air de coopérer ou de ne pas coopérer ou d'agir comme une entité. Mais si vous essayez de traiter cette entité, en tant que telle, sans accorder aucune attention à l'individu, vos efforts seront vains. N'est-ce pas ? L'idée de dire : << Eh bien, nous travaillons pour le bien de la masse et, par conséquent, nous nous fichons de vous >>, ça ne fonctionne pas. Après tout, qu'est-ce que la masse si ce n'est un rassemblement de << vous >> ?
Bon, où allez-vous trouver quelqu'un dans le monde aujourd'hui qui puisse prendre cet individu et le libérer de la violence et de la confusion qu'il a subies pendant tous les infiniment nombreux millénaires qu'il a vécus ?
Ce n'est pas que la psychanalyse et les autres pratiques du dix-neuvième siècle soient mauvaises ; elles ne sont pas mauvaises. Les gens qui les pratiques sont tout à fait sincères. Leur effort de comprendre leurs semblables reflète leur dévouement. Mais au bout de sept ans, qu'avez-vous ? Vous avez encore un patient. C'est de l'efficacité dont nous parlons maintenant. Nous ne critiquons pas quelqu'un parce qu'il essaie et ne réussit pas. Ce ne serait pas très beau joueur, n'est-ce pas ? Hein ?
Là où je veux en venir, c'est que quand on essaie de s'adresser à la vaste multitude au moyen de restrictions et de lois arbitraires en vue de soigner ses maux sociaux, on le fait parce que l'homme a oublié comment faire face à un homme. Et, en évitant de faire face à cet homme seul, il manque alors tout le monde. C'est quelque chose de tout à fait intéressant.
Vous verrez des fois une organisation ou un bateau - je parle beaucoup de bateaux parce que j'ai acquis de l'expérience avec. Vous observez ceci : une règle apparaît sur le tableau d'affichage : << Jamais, à aucun moment, en aucune circonstance, nulle ne devra laisser la porte d'entrée ouverte et celui qui laissera béante la porte d'entrée se verra congédier sans ménagement ! >>
Ils destinent cette règle à toute l'organisation ? Eh bien, qui a trouvé la porte ouverte ? Un cadre. Qui a laissé la porte ouverte ? Une ou deux ou trois personnes. Alors maintenant, on va punir tout le personnel ! Et je crains que ce ne soit ainsi qu'ont pris forme le règlement du roi, le règlement de la marine américaine et tout autre ensemble de règles qui punissent, punissent, punissent, tranchent, tranchent, tranchent. Au lieu d'aller trouver celui qui a laissé la porte ouverte et de lui dire : << Mon fils, vous péchâtes >>, on peut faire face à cette chose nébuleuse appelée << èquipage >> et le menacer d'une contrainte affreuse si jamais quelqu'un laisse à nouveau la porte ouverte. Et cela ne marche pas !
Je n'entends pas par là que les lois humaines sont impraticables ni que la société devrait être mise en pièces. De même que vous devriez toujours améliorer un individu et ne jamais le mettre en pièces, vous devriez pouvoir améliorer une société et ne pas la mettre en pièces. Vous ne pouvez pas enlever à cette société sa structure législative actuelle et en fourrer une autre à la place, juste comme ça. Et c'est ce qu'un grand nombre de réformateurs aimeraient faire. Ils disent : << Toutes ces lois sont mauvaises ; nous nous en débarrasserons donc et introduirons ces lois idéales comme le code d'Hammourabi. >>
A une époque, c'est ce qu'utilisèrent les réformateurs. Ils dirent : << Nous allons faire de la société une bonne société et nous allons y arriver en arrachant un oeil pour un oeil et une dent pour une dent. Ca leur apprendra. >>
Eh bien, ces vastes choses, ces mandats et ces arbitraires d'une vaste amplitude ne portent pas un but final de paix. Ils ne portent pas une plus grande probité parce qu'ils ont l'inconvénient de nuire à l'individu ( ouvrez les guillemets ) << pour le bien de la masse >> ( fermez les guillemets )
Maintenant, voici notre problème en tant que société. Les individus dans cette sociètè sont soumis à une violence considérable au nom d'une grande humanité et chaque individu que l'on égare un peu plus au moyen de violence dégrade la société tout autant. L'empressement des gens à aider et à vivre est amputé ; il est réduit. Et qu'est-ce que la volonté de la société de survivre si ce n'est la volonté collective ou agrégée des individus de vivre ? C'est tout ce que c'est. C'est aussi simple que ça. 1958/LRH
Bon, où allez-vous trouver quelqu'un dans le monde aujourd'hui qui puisse prendre cet individu et le libérer de la violence et de la confusion qu'il a subies pendant tous les infiniment nombreux millénaires qu'il a vécus ?
Ce n'est pas que la psychanalyse et les autres pratiques du dix-neuvième siècle soient mauvaises ; elles ne sont pas mauvaises. Les gens qui les pratiques sont tout à fait sincères. Leur effort de comprendre leurs semblables reflète leur dévouement. Mais au bout de sept ans, qu'avez-vous ? Vous avez encore un patient. C'est de l'efficacité dont nous parlons maintenant. Nous ne critiquons pas quelqu'un parce qu'il essaie et ne réussit pas. Ce ne serait pas très beau joueur, n'est-ce pas ? Hein ?
Là où je veux en venir, c'est que quand on essaie de s'adresser à la vaste multitude au moyen de restrictions et de lois arbitraires en vue de soigner ses maux sociaux, on le fait parce que l'homme a oublié comment faire face à un homme. Et, en évitant de faire face à cet homme seul, il manque alors tout le monde. C'est quelque chose de tout à fait intéressant.
Vous verrez des fois une organisation ou un bateau - je parle beaucoup de bateaux parce que j'ai acquis de l'expérience avec. Vous observez ceci : une règle apparaît sur le tableau d'affichage : << Jamais, à aucun moment, en aucune circonstance, nulle ne devra laisser la porte d'entrée ouverte et celui qui laissera béante la porte d'entrée se verra congédier sans ménagement ! >>
Ils destinent cette règle à toute l'organisation ? Eh bien, qui a trouvé la porte ouverte ? Un cadre. Qui a laissé la porte ouverte ? Une ou deux ou trois personnes. Alors maintenant, on va punir tout le personnel ! Et je crains que ce ne soit ainsi qu'ont pris forme le règlement du roi, le règlement de la marine américaine et tout autre ensemble de règles qui punissent, punissent, punissent, tranchent, tranchent, tranchent. Au lieu d'aller trouver celui qui a laissé la porte ouverte et de lui dire : << Mon fils, vous péchâtes >>, on peut faire face à cette chose nébuleuse appelée << èquipage >> et le menacer d'une contrainte affreuse si jamais quelqu'un laisse à nouveau la porte ouverte. Et cela ne marche pas !
Je n'entends pas par là que les lois humaines sont impraticables ni que la société devrait être mise en pièces. De même que vous devriez toujours améliorer un individu et ne jamais le mettre en pièces, vous devriez pouvoir améliorer une société et ne pas la mettre en pièces. Vous ne pouvez pas enlever à cette société sa structure législative actuelle et en fourrer une autre à la place, juste comme ça. Et c'est ce qu'un grand nombre de réformateurs aimeraient faire. Ils disent : << Toutes ces lois sont mauvaises ; nous nous en débarrasserons donc et introduirons ces lois idéales comme le code d'Hammourabi. >>
A une époque, c'est ce qu'utilisèrent les réformateurs. Ils dirent : << Nous allons faire de la société une bonne société et nous allons y arriver en arrachant un oeil pour un oeil et une dent pour une dent. Ca leur apprendra. >>
Eh bien, ces vastes choses, ces mandats et ces arbitraires d'une vaste amplitude ne portent pas un but final de paix. Ils ne portent pas une plus grande probité parce qu'ils ont l'inconvénient de nuire à l'individu ( ouvrez les guillemets ) << pour le bien de la masse >> ( fermez les guillemets )
Maintenant, voici notre problème en tant que société. Les individus dans cette sociètè sont soumis à une violence considérable au nom d'une grande humanité et chaque individu que l'on égare un peu plus au moyen de violence dégrade la société tout autant. L'empressement des gens à aider et à vivre est amputé ; il est réduit. Et qu'est-ce que la volonté de la société de survivre si ce n'est la volonté collective ou agrégée des individus de vivre ? C'est tout ce que c'est. C'est aussi simple que ça. 1958/LRH
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Roman de Zweig Arnold (Auteur)
Arnold Zweig est un écrivain allemand né en Silésie en 1887 et mort à Berlin-Est en 1968. Marqué par l'antisémitisme puis par la Première Guerre mondiale, il s'est beaucoup engagé dans le pacifisme et le sionisme. Le roman qui l'a fait connaître est Cas du sergent Grischa qui l'a aussi fait connaître à Sigmund Freud. Il a depuis entretenu avec ce dernier un lien d'amité à l'instar de celui qui liait Freud à son homonyme Stefan Zweig. L'abondante correspondance Freud - A. Zweig s'étend de 1927 à 1939. A. Zweig a aussi fait l'expérience d'une psychanalyse.
Après avoir séjourné en Israël, il s'installe à Berlin-est où il s'engage politiquement et écrit même si les libertés se restreignent de plus en plus. Ses idées pacifistes et nombre de points de vue sur des sujets de société le mettent de plus en plus en désaccord avec le communisme.samedi 19 mai 2012
THE JIVE ACES BARE NECESSITIES-BRITAIN'S GOT
Description: Watch The Jive Aces get their groove on as they perform The Jungle Book classic Bare Necessities in the Live Semi Final. See more from Britain's Got Talent…Fantastic!!!
vendredi 18 mai 2012
DONNA SOMMER
VENEZUELA 1977
Lors d'une émission de télévision tournée à Caracas, je me souviens de Donna Sommer. J'étais invité avec mon amie Vénézuélienne par la chaîne. Nous étions assis à côté de Donna Sommer, qui d'ailleurs m'avait esquissé un joli sourrire.
Je garde un bon souvenir de cet instant et n'oublierai jamais cette grande dame de la musique disco. PAD
Donna Summer, nom de scène de LaDonna Andrea Gaines (née le 31 décembre 1948 à Dorchester, un quartier de Boston et décédée des suites d'un cancer le 17 mai 2012[1] à Key West en Floride), est une chanteuse disco américaine. Elle est un mythe de la musique disco des années 1970 et 1980. Ses plus grands tubes sont Love to Love You Baby, I Feel Love (reprise par Beyoncé, Jimmy Somerville, John Frusciante des Red Hot Chili Peppers, Kylie Minogue, Madonna durant son Confessions Tour et David Vendetta en 2007), Last Dance (Grammy Award en 1978 dans la catégorie Best R&B vocal performance female, Hot Stuff (Grammy Award en 1979 dans la catégorie Best rock vocal performance female et célébré en 1997 dans le film The Full Monty), Could It Be Magic (reprise en français avec Le temps qui court par Alain Chamfort puis par les Enfoirés en 2006 ; inspiré du prélude no 20 de Chopin), On The Radio et She Works Hard For The Money. Elle a vendu plus de 130 millions de disques.
jeudi 10 mai 2012
VENISE
Fondée peu après 528, elle fut la capitale pendant huit siècles (1001-1797) de la République de Venise. La ville est célèbre pour ses canaux, sa place Saint-Marc, son palais des Doges ainsi que son carnaval. Venise comptait 268 993 habitants début 2008[2] dont 60 052 intra-muros[3]. Venise et sa lagune sont inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO.
FRANCOIS HOLLANDE
Élections présidentielles. Et maintenant, préparer le 3e tour social.
Nicolas Sarkozy a été battu et va maintenant pouvoir aller se reconvertir chez Bouygues ou chez un autre de ses amis du Fouquet’s. Vu les cinq années de casse sociale que nous venons de subir et vu la campagne d’extrême-droite qu’a menée l’UMP durant ces dernières semaines, nous ne pouvons que nous réjouir d’avoir échappé à un nouveau mandat du président sortant.
Mais si la défaite du fossoyeur des droits sociaux apparaît comme un soulagement pour le camp du travail, nous sommes encore loin du vrai changement et le temps des cerises n’est certainement pas pour demain. Il y a d’abord eu les appels du pied au FN durant l’entre-deux tours. Pierre Moscovici, directeur de campagne de F. Hollande et, par ailleurs, vice-président du lobby patronal Le Cercle de l’industrie, a ainsi annoncé qu’il comptait « combattre fermement l’immigration illégale ». Les propos de F. Hollande sur l’immigration lors du débat télévisé du 2 mai étaient également plus qu’ambigus. Ensuite, la posture « anti-austérité » des socialistes ces dernières semaines ne doit pas faire oublier qu’en novembre dernier Hollande voulait « donner du sens à la rigueur » et qu’il n’a pris quasiment aucun engagement sérieusement en faveur des travailleurs et des travailleuses : rien sur la retraite pleine et entière à 60 ans, rien sur les privatisations, rien sur les licenciements etc. il s’est d’ailleurs bien gardé de promettre quoi que ce soit après l’annonce des résultats, préférant évoquer des thèmes fédérateurs qui ne mangent pas de pain : la justice et la jeunesse. La période qui s’ouvre avec l’élection de F. Hollande appelle donc à la plus grande lucidité sur la politique qu’il va mener, afin d’éviter toute désillusion. Il y a bien longtemps que le Parti Socialiste est entièrement converti au libéralisme et ne propose plus que de le modérer. A l’heure des premiers choix, il y a donc fort à parier que le nouveau pouvoir préservera sans état d’âme les intérêts des capitalistes plutôt que de défendre les droits des travailleuses et des travailleurs. Si nous ne voulons pas de l’austérité qui s’annonce et si nous ne voulons plus de ce monde qui tourne à l’envers, il va donc falloir dès maintenant organiser la résistance et nous tenir prêt-es à riposter quand les promesses électorales feront place aux mesures de rigueur. Le 2e tour est passé et c’est à présent le 3e tour social qu’il faut imposer.
Publié le 7 mai 2012 par Commission Web
mercredi 9 mai 2012
mardi 8 mai 2012
LEADERSHIP
Savez-vous c'est très bien de dire leadership. Mais quest-ce que c'est ? Quest-ce que c'est ? C'est une chose curieuse. Mais savez-vous qu'il y a des tomes qui ont été écrits sur ce sujet. Vous allez dans l'armée américaine, la marine américaine, l'armée de l'air américaine, l'armée de l'air africaine, l'armée africaine, l'armée de l'air britanique, l'armée de de Gaule, n'importe laquelle de celle-ci, et vous allez trouver des livres traitant du leadership.
Ca alors ! comme ces livres vous courbent le dos ! ils sont, pour la plupart, publiés pour les sous-officiers. Les officiers s'écartent tellement de ce qu'ils contiennent qu'ils ne le voient même pas. En général, ils les écrivent.
Nous avons ici tous ces tomes sur le sujet du leadership et il y a des petits trucs et des petits gadgets et des << vous ne faites pas ceci mais vous faites cela >>. Il y a d'innombrables règles mais personne n'a jamais dit ce que c'était un leadership.
Si nous allons vers une sociètè virtuellement sans leader nous ferions mieux de savoir ce qu'est un leader.
Un leader est quelqu'un qui peut assumer la responsabilité de sa sphère d'influence. C'est très simple, n'est-ce pas ? Il peut assumer la responsabilité de sa sphère d'influence.
C'est très difficile d'amener une organisation à prendre une responsabilité quelconque parce qu'une organisation en elle-même n'est pas responsable. Seulement les terminaux qui en font partie peuvent être responsables.
Nous obtenons alors la prochaine caractéristique de ce qu'est le leadership. En présence de leadership, la communication est possible. Ha ha ! Dis donc, cela paraît bizarre, n'est-ce pas, lorsque vous entendez que le général marche dans les rangs et qu'aucun soldat ne doit lui parler et que nous disons : << Le général est le leader de ces soldats ? >> Ha ha ha ha ha ! Peut-être que les sergents le sont, mais pas le général.
Pourquoi ? Parce que ces soldats ne peuvent pas lui parler. La communication. Un leader doit être capable de donner et de recevoir une communication. C'est très simple, n'est-ce pas ? Donner et recevoir une communication. C'est bien sûr dans la limite de ses possibilités à avoir suffisamment de temps pour écouter chaque chose qu'on lui dit, néanmoins il peut en écouter pas mal. Et il doit certainement avoir cette capacité à communiquer.
De plus, il doit avoir la capacité à avoir de l'affinité pour les gens qu'il dirige. Il doit aussi inspirer de l'affinité chez ces gens pour lui.
Les buts et les choses dont il épouse la cause doivent être réels. Ils doivent être réels. Ils doivent jusqu'à un certain point, être réalisables. L'entente doit être suffisamment bonne en ce qui concerne ces buts.
En plus de cela, il doit être capable d'avoir une réalité sur la condition dans laquelle sont les gens qu'il essaie de diriger. Quelle est leur réalité ? En reconnaissant leur réalité clairement, il n'a pas nécessairement besoin de s'y laisser prendre le moins du monde.
Un des plus grands empires de tous les temps avait à sa tête un dénommé Soliman le Magnifique, L'Empire turc, début du XVIe siècle. En fait, il a fait s'écrouler l'empire turc. Il avait un grand défaut. Il n'a jamais assigné de tâche humainement possible à faire. Il a fait en sorte que beaucoup soit fait, mais il a tout fait s'écrouler.
En d'autres termes, il n'a jamais considéré ou obtenu une réalité sur ce que les gens pouvaient réellement faire et il a donc échoué à être le leader de cette nation en particulier.
Mais les leaders ne font pas que diriger les nations. Chaque famille doit avoir un leader. LRH
dimanche 6 mai 2012
ESTAVAYER-LE-LAC A VENDRE SPLENDIDE MAISON
INVESTISSEURS ACHETER MAINTENANT
AU BORD DU LAC DE NEUCHATEL
SPLENDIDE MAISON NEUVE
MAISON A VENDRE :
SALVADOR DALI
samedi 5 mai 2012
ART
L’art[note 1] est une activité humaine, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait, s'adressant délibérément aux sens, aux émotions et à l'intellect. On peut dire que l'art est le propre de l'homme, ce qui le distingue au sein de la nature, et que cette activité n'a pas de fonctions clairement définies.
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