dimanche 19 juin 2011

GUERRE ELARGIE AU MOYEN - ORIENT

                   




























La déstabilisation de la Syrie et la guerre élargie au Moyen-Orient

Ingérence impérialiste:

Ce qui émerge de la Syrie est une insurrection armée, soutenue secrètement par des puissances étrangères incluant les Etats-Unis, la Turquie et Israël.Des rebelles armés qui appartiennent à des organisations islamistes ont traversé la frontière depuis la Turquie, le Liban et la Jordanie. Le département d’état américain a confirmé qu’il soutenait l’insurrection.

Les Etats-Unis vont augmenter leurs contacts avec les Syriens qui comptent sur un changement de régime dans le pays. Ceci fut déclaré par une officielle du département d’état américain nommée Victoria Nuland. “Nous avons commencé à élargir nos contacts avec les Syriens, ceux qui veulent un changement, à la fois en Syrie et à l’extérieur,” a t’elle dit. Nuland a aussi répété que Barack Obama a demandé au président Bachar Al-Assad “d’initier des réformes ou de partir du pouvoir.” (Voix de la Russie du 17 Juin 2011).

La déstabilisation de la Syrie et du Liban comme nations souveraines est sur l’agenda des choses à faire de l’alliance militaire Etats-Unis-OTAN-Israël depuis au moins dix ans. Des actions contre la Syrie font partie d’une “feuille de route militaire”, une segmentation des opérations militaires. D’après l’ancien chef d’état-major de l’OTAN, le général américain Wesley Clark, le Pentagone a clairement identifié l’irak, la Libye, la Syrie et le Liban comme étant des pays cibles pour une intervention militaire des Etats-Unis et de l’OTAN:

“Le plan de campagne de cinq ans inclut au total sept pays en commençant avec l’Irak, puis viennent la Syrie, le Liban, la Libye, l’Iran, la Somalie et le Soudan” (officiel du Pentagone citant Clark)

Dans son livre “Gagner les guerres modernes” (page 130), le général Wesley Clark dit ceci:

“Alors que je retournais au Pentagone en Novembre 2001, un des officiers supérieurs les plus expérimentés avait un peu de temps pour une discussion. Oui, nous étions toujours dans les temps pour attaquer l’Irak, dit-il. Mail il y avait plus. Ceci fut discuté comme faisant partie intégrante d’un plan de campagne quinquennal, dit-il avec une provision pour sept pays commençant avec l’Irak, puis la Syrie, le Liban, la Libye, l’Iran la Somalie et le Soudan.”

“… Il le dit avec reproche, avec presqu’incrédulité en contemplant l’ampleur de la chose. Je changeais de sujet, car ce n’était pas quelque chose que je voulais entendre; non plus quelque chose que je voulais voir arriver… Je quittais le Pentagne cete après-midi là en étant très préoccuppé.”

L’objectif est de déstabiliser l’état syrien et changer de régime par le biais du soutien d’une insurrection armée, intégrée par des milices islamistes.

La désinformation des médias

De manière tacitement reconnue, l’existence d’une insurrection armée est balayée du revers de la main par les médias occidentaux. Si cela était reconnu et analysé à juste titre, notre compréhension du déroulement des évènements s’en trouverait complètement transformée.

Ce qui est mentionné en veux-tu en voilà est que les forces armées et la police sont impliquées dans une tuerie indiscriminée de manifestants civils. Des rapports de presse confirment pourtant venant du mouvement de protestation, des échanges de coups de feu entre des manifestants armés et la police et des victimes répertoriées des deux côtés.

L’insurrection a commencé à la mi-Mars dans la ville frontalière de Daraa, située à 10km de la frontière jordanienne. Le mouvement de protestation de Daraa le 18 Mars, avait toutes les apparences d’un évènement mis en scène, impliquant en toute probabilité, un soutien secret des terroristes islamistes par le Mossad et/ou par des services de renseignement occidentaux. Les sources gouvernementales montrent du doigt le rôle des groupes radicaux salafistes (tous soutenus par Israël). D’autres ont montré le rôle de l’Arabie Saoudite dans le financement du projet.

Ce qui s’ensuivit à Daraa dans les semaines qui ont suivies les heurts initiaux violents des 17 et 18 Mars, fut la confrontation entre la police et les forces armées d’un côté et des unités armées de terroristes et de francs-tireurs de l’autre côté, qui ont infiltrés le mouvement de protestation.

Ce qui est très clair de ces rapports initiaux, est que beaucoup de ces manifestants n’étaient pas des manifestants mais des terroristes impliqués dans des actes prémédités de meurtre et de vandalisme. Le titre des agences israéliennes résume très bien ce qui s’est passé: “Syrie: sept policiers tués, des bâtiments incendiés dans des protestations”.

(voir Michel Chossudovsky, SYRIA: Who is Behind The Protest Movement? Fabricating a Pretext for a US-NATO « Humanitarian Intervention »,
http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=24591 Global Research,  May 3, 2011)

Le rôle de la Turquie

Le centre de l’insurrection s’est maintenant déplacé dans la petite ville frontalière de Jisr al-Shughour, située à 10km de la frontière turque.

Jisr al-Shughour a une population de 44 000 habitants. Des combattants armés ont traversé la frontière depuis la Turquie. Des membres de la confrérie des Frère Musulmans sont rapportés avoir pris les armes dans le nord-ouest de la Syrie.

Il y a des indications que l’armée turque et ses services de renseignement soutiennent ces incursions.

Il n’y a eu aucune manifestation à Jisr al-Shughour. La population a été prise entre deux feux. Les combats entre des rebelles armés et les forces syriennes ont contribué à créer une crise de refugiés, qui est maintenant au centre de l’attention des médias.

En contraste, dans la ville capitale de Damas, d’où l’essentiel du mouvement social émane, il y a eu des manifestations de masse, mais en soutien du gouvernement et non pas de l’opposition.

Le président Bachar al –Assad est comparé de manière désinvolte aux présidents Ben Ali de Tunisie ou Moubarak d’Egypte. Ce que les médias de masse ont oublié de dire est que malgré la nature autoritaire du régime syrien, le président Al-Assad est une figure populaire qui bénéficie d’un soutien massif au sein de la population.

Le grand rassemblement de Damas qui a eu lieu le 29 Mars avec “des dizaines de milliers de supporteurs” (Reuters) du président Al-Assad ne fut que brièvement mentionné. Pourtant, dans une pirouette improbable, les montages vidéo de plusieurs évènements pro-gouvernement syrien, furent utilisés dans les médias occidentaux pour convaincre l’opinion publique internationale que le président était confronté à des rassemblements massifs anti-gouvernement.

Le 15 Juin, des milliers de personnes marchèrent sur des kilomètres sur le boulevard principal de Damas, en tenant un drapeau syrien de 2,3km de long. Le rassemblement fut mentionné dans les médias mais relégué au rang du sans importance.

Alors que le régime syrien n’est en rien démocratique, l’objectif de l’alliance militaire des Etats-Unis, de l’OTAN et d’Iraël n’est pas du tout de promouvoir la démocratie. Bien au contraire, l’intention de Washington est d’y installer un régime marionnette.

L’objectif est de diaboliser le président Al-Assad via une campagne médiatique de désinformation et de manière plus élargie de déstabiliser la Syrie en tant qu’état séculier. Le dernier objectif étant réalisé par le soutien discret d’organisations islamistes variées:

La Syrie est dirigée par une oligarchie autoritaire qui a utilisée la force brutale envers ses citoyens. Néanmoins, les émeutes ayant cours en Syrie sont complexes. Elles ne peuvent pas être vues comme une quête directe de liberté et de démocratie. Il y a eu une tentative de la part des Etats-Unis et de l’UE d’utiliser des émeutes en Syrie afin de mettre la pression et d’intimider les dirigeants syriens. L’Arabie Saoudite, Israël, la Jordanie et l’alliance du 14 Mars ont tous joué un rôle dans le soutien de l’insurrection armée.

La violence qui a éruptée en Syrie a été soutenue de l’extérieur avec pour objectif de tirer avantage des tensions internes ainsi générées… A part pour ce qui est de la réaction violente de l’armée syrienne, des mensonges médiatiques et des montages vidéo truqués ont été utilisés. De l’argent et des armes ont également été fournis à des éléments de l’opposition syrienne par les Etats-Unis et l’UE. Des fonds aont aussi été donnés à des figures impopulaires d’une opposition syrienne basés à l’étranger, alors que des armes sont introduites en Syrie par la Jordanie, le Liban (Mahdhi Darius Nazemroaya, Le prochain théâtre de guerre de l’Amérique)

Syria and Lebanon?
http://globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=25000, Global Research, June 10, 2011)

L’accord militaire et de renseignement entre Israël et la Turquie

Les aspects géopolitiques de ce processus de déstabilisation sont conséquents. La Turquie est directemenmt impliquée à soutenir les rebelles.

Le gouvernment turc a cautionné des groupes d’opposition syriens en exil qui soutiennent l’insurrection armée; la Turquie met aussi la pression pour que Damas se conforme aux demandes de changement de régime de Washington.

La Turquie est membre de l’OTAN, qui est une force militaire puissante. De plus, Israël et la Turquie ont des accords militaires et de renseignnement mutuels de longue date, explicitement dirigés contre la Syrie.

… Une Mémo de compréhension datant de 1993 mena à la création d’un comité commun israélo-turc de compréhension des menaces régionales. Sous les termes de ce memorandum, la Turquie et Israël se sont mis d’accord pour “coopérer à accumuler les renseignements sur la Syrie, l’Iran, l’Irak et de se rencontrer régulièrement afin de partager les évaluations faites en rapport avec le terrorisme et les capacités militaires de ces pays.”

La Turquie a donné son accord pour autoriser les forces de sécurité israéliennes de collecter des données électroniques sur la Syrie et l’Iran depuis la Turquie. En échange, Israël aidait dans l’équipement et l’entrainement des forces militaires turques dans le domaine du contre-terrorisme le long des frontières avec la Syrie, l’Irak et l’Iran.”

Déjà pendant l’administration Clinton, une coopération militaire tripatite entre les USA, Israël et la Turquie s’était dessinée. Cette “alliance tripartite”, qui est dominée par l’état major états-unien, intègre et coordonne les décisions de commandement militaire entre les trois pays en ce qui concerne le grand Moyen-Orient. Elle est fondée sur les relations militaires étroites entre respectivement Israël et la Turquie et les etats-Unis, s’ajoutant à une forte relation militaire bilatérale entre Tel Aviv et Ankara.

La triple alliance est aussi jumelée avec l’accord de coopération militaire de 2005 entre l’OTAN et Israël et qui inclus “beaucoup de zones d’intérêts communs, comme la lutte contre le terrorisme et les exercices militaires conjoints. Ces liens de coopération militaire avec l’OTAN sont vus par les militaires israéliens comme un moyen de renforcer la capacité de dissuasion israélienne contre des ennemis menaçant le pays comme la Syrie ou l’Iran.”

(See Michel Chossudovsky,
« Triple Alliance »: The US, Turkey, Israel and the War on Lebanon, August 6, 2006)

Un soutien de l’insurrection armée en Syrie depuis la Turquie ou la Jordanie serait sans nul doute coordonné sous les auspices de l’accord israélo-turc de coopération militaire et de renseignement.

Une croisée des chemins très dangereuse: la guerre élargie au Moyen-Orient

Israël et l’OTAN ont signé en 2005 un accord de coopération militaire crucial. Sous ces accords, Israël est considéré comme un membre de facto de l’OTAN. Si une opération militaire venait à être lancée contre la Syrie, Israël serait de toute évidence impliquée militairement aux côtés des force de l’OTAN (sous couvert des accords bilatéraux israélo-OTAN). La Turquie jouerait bien sûr un rôle militaire prépondérant.

Une intervention militaire en Syrie sous un prétexte humanitaire fallacieux menerait sans conteste à une escalade dans la guerre menée par les Etats-Unis et l’OTAN dans une zone élargie s’étendant de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient à l’Asie Centrale, de la Méditerranée orientale à la frontière occidentale de la Chine avec l’Afghanistan et le Pakistan.

Ceci contribuerait également à un processus de déstabilisation politique du Liban, de la Jordanie et de la Palestine. Cela planterait certainement le décor pour un conflit

avec l’Iran.



samedi 18 juin 2011

GUERRE EN LIBYE QUELS SONT LES BUTS










Quels sont les buts de la guerre en Libye ?


A court terme, se débarasser d’un Kadhafi encombrant et qui, à l’instar des vieux autocrates de la région comme Ben Ali et Moubarak refusant l’hégémonie anglo-américaine, empêche le pillage de ses ressources nationales par les multinationales choisies. Il s’agit également de s’approprier pour l’empire les ressources pétrolières et gazières de la Libye, tout comme l’Irak, non pas pour les exploiter plus que de raison… mais pour les contrôler et donc pouvoir a volonté maintenir la “rareté” du produit et donc influer sur les prix.

A moyen et long terme: mettre en Libye un régime totalement inféodé à l’empire qui le moment venu, intégrera l’Union Africaine et fera bloc contre l’Iran. Il est de plus en plus clair aujourd’hui que l’empire essaie de former un bloc sunnite contre l’Iran chi’ite et sa diaspora régionale et essaie en cela de poursuivre une tactique qui a échouée jusqu’ici au Moyen-Orient: diviser et provoquer une guerre religieuse sunnites contre chi’ites pour mieux contrôler le monde musulman en insufflant le chaos, de la même manière que cela fut fait, avec un grand succès, entre catholiques et protestants.

Les musulmans sont bien plus fins que les occidentaux et ne sont pour l’heure jamais tomber dans le piège tendu. Ceci est tout a leur honneur !

De plus, cela permettra d’implanter des bases militaires dans ce pays portail de l’Afrique permettant ainsi a l’empire de mettre le pied indéfiniment sur le sol africain.

Le cas de la Libye est un cas de guerre civile, qui n’a rien a voir avec un soulèvement populaire dans les rues d’un pays où des manifestants s’expriment contre leur gouvernement pour demander certaines réformes. Il n’y a jamais eu de manifestations en Libye, mais une insurrection armée à laquelle un état souverain a répondu comme d’habitude par la violence, mais avait-il le choix pour préserver son intégrité ? La problématique de cette guerre libyenne a bien plus a voir avec l’agenda impérialiste de l’oligarchie occidentale, que d’une répression supposée et non prouvée d’un peuple désarmé par un dictateur local.

Assimiler la Libye aux révoltes populaires tunisiennes et égyptiennes est a notre sens erronné et procède d’un amalgame propagandiste. Les rebelles (leurs cadres pour le moins) sont entrainés et armés de longue date par l’occident; la situation a été d’autant plus facile a envenimer pour le bénéfice de l’empire que l’Est de la Libye a toujours été traditionnellement contre le pouvoir, la région abritant les tribus royalistes et les fondamentalistes religieux, en lutte contre Kadhafi depuis des décennies.

La guerre de Libye n’est de fait que la continuité de la doctrine hégémonique anglo-américaine s’imposant plus avant au monde et dans l’optique de pousser pour l’avènement final de leur Nouvel Ordre Mondial transnational fasciste annoncé depuis des décennies. Paul Warburg PDG de la banque Morgan avait annoncé au tout début du XXème siècle:

“Nous aurons un nouvel ordre mondial, la question est plus de savoir s’il se réalisera par choix ou par force.”

La guerre de Libye pose un précédent qui pourra être utilisé ultérieurement pour attaquer toute nation souveraine ne se pliant pas aux diktats en vigueur. Le processus utilisé (décision belliqueuse illégale du conseil de sécurité de l’ONU pour raison “humanitaire”, appliquée sur le terrain par l’OTAN et les armées impériales) s’appliquera afin de détruire la souveraineté des nations récalcitrantes et dissidentes au Nouvel Ordre Mondial sous couvert d’un ”humanitarisme” bidon; tandis que les nations du giron auront leur souveraineté diluée puis éliminée par le truchement d’une interaction tronquée dans des “Unions” régionales diminutrices et oppressives, gérées par le cartel oligarchique habituel.

Fait marquant, les armées impériales s’appuient plus que jamais au sol sur des terroristes qu’ils financent et forment depuis des années, comme
la nébuleuse Al Qaeda, créée par la CIA, le MI6 et l’ISI pakistanaise en 1978, avec des fonds américains et saoudiens.

Il est maintenant reconnu par les médias de masse qui diffusent l’information, que le chef des rebelle libyens a été formé par la CIA, financé par la CIA et qu’il reconnait, ainsi que d’autres rebelles, des liens avec Al Qaeda. L’empire se trouve donc piégé dans la situation orwellienne qu’il a lui-même créé a savoir qu’il demande aux peuples des nations qui agressent la Libye (nous) de supporter des rebelles dont des éléments sont des terroristes notoires membres d’Al Qaeda, que l’empire a soi-disant pour mission de combattre globalement par cette “guerre contre la terreur” déclarée par l’administration Bush après les attentats de Septembre 2001… Attentats qui sont officiellement imputés à Al Qaeda (et ce même si le FBI ne recherche pas Bin Laden pour le 11 septembre “faute de preuves”) dans la version officielle du gouvernement américain, qui par la même occasion 10 ans plus tard financent et entrainent (toujours) la nébuleuse terroriste qu’il est supposé combattre sans merci…

Troublant pour le moins non ?

Ceci amène immanquablement à une question, qui dès lors ne peut que brûler les lèvres:

Si
le gouvernement Américain finance, aide et entraine Al Qaeda en Libye, ne l’a t’il pas fait ailleurs ?… et si oui, depuis quand et qu’en est-il donc des attentats du 11 Septembre ?… Pour qui travaillaient réellement  les membres d’Al Qaeda qui ont perpétrés les attentats ?

Les ramifications politiques de cette guerre de Libye sont potentiellement énormes, pourvu que l’on veuille bien poser les bonnes questions !…


Lien :   http://resistance71.wordpress.com/2011/04/02/nouvel-ordre-mondial-guerre-imperialiste-de-libye-attaque-des-etats-nations-qui-se-doivent-de-disparaitre-pour-laisser-place-a-une-gouvernance-mondiale/








LIBYE: SARKOZY POURRAIT ETRE ACCUSE DE CRIMES CONTRE L'HUMANITE


                                       





















LA RESPONSABILITE PENALE DES CHEFS D'ETAT ET DE GOUVERNEMENT

Le code pénal s’applique aussi aux ministres

Justice écrit " En France la responsabilité pénale du président de la République fait l'objet de l'article 68 de la constitution, qui énonce << Le président de la République n'est responsable des actes accomplis dans l'exercice de ses fonctions qu'en cas de haute trahison. Il ne peut être mis en accusation que par les deux assemblées statuant par un vote identique au scrutin public et à la majorité et à la majorité absolu des membres les composants; il est jugé par la Haute cours de justice. >>





300511 - Libye - Verges et Dumas ataque Sarkozy par fred-lille59






PARIS, 30 mai - RIA Novosti
Deux célèbres avocats, l'ancien ministre français des Affaires étrangères Roland Dumas et Jacques Vergès, ont annoncé à Tripoli qu'ils allaient déposer une plainte contre le président français Nicolas Sarkozy, l'accusant de "crimes contre l'humanité", annoncent lundi les médias occidentaux.

Au cours d'une conférence de presse qui s'est tenue dimanche soir à Tripoli, le porte-parole du gouvernement libyen, Ibrahim Boukhzam a annoncé que les deux avocats avaient décidé de soutenir une plainte des familles "victimes des bombardements de l'Otan" contre le président français.

Roland Dumas a indiqué avoir été "stupéfait de constater que cette mission (de l'Otan) qui vise à protéger les civils est en train de les tuer".
Il a dénoncé "une agression brutale contre un pays souverain", et a affirmé qu'il était prêt à défendre le colonel Mouammar Kadhafi au cas où il serait jugé par la Cour pénale internationale (CPI).

Qualifiant les pays de l'Alliance atlantique d'"assassins", Me Vergès a fustigé de son côté un "Etat français conduit par des voyous et des assassins". "Nous allons briser le mur du silence", a-t-il dit.

A l'issue d'une visite de deux jours en Libye, les deux avocats ont indiqué qu'ils allaient commencer les procédures juridiques pour le dépôt de la plainte, dès leur retour lundi à Paris.

Lien :  http://fr.rian.ru/world/20110530/189665181.html

vendredi 17 juin 2011

LIBYE






Nouvel Ordre Mondial: guerre impérialiste de Libye, attaque des états-nations qui se doivent de disparaître pour laisser place a une gouvernance mondiale


Guerre de Libye: l’agenda impérialiste fasciste de l’occident pour une hégémonie totale se précise



Le fils de Kadhafi propose des élections «dans les trois mois» en Libye




Guerre civile | Selon le fils du dirigeant libyen, présenté comme un successeur possible à son père âgé, "des élections pourraient se tenir dans les trois mois. Au maximum d’ici la fin de l’année".


Le clan Kadhafi est prêt à accepter des élections "dans les trois mois" en Libye sous la supervision d’observateurs internationaux, a affirmé Seif al-Islam, fils de Mouammar Kadhafi, dans une interview au quotidien italien Corriere della Sera publiée jeudi.

Selon le fils du dirigeant libyen qui a été présenté comme un successeur possible à son père âgé de 68 ans, "des élections pourraient se tenir dans les trois mois. Au maximum d’ici la fin de l’année. Et la garantie de leur transparence pourrait être la présence d’observateurs internationaux".

"Nous ne nous formalisons pas sur lesquels (observateurs). Nous acceptons l’Union européenne, l’Union africaine, les Nations Unies, même l’OTAN, l’important étant que le scrutin soit propre, qu’il n’y ait pas de soupçons d’embrouilles", a ajouté Seif al-Islam, que le journal italien a interviewé mardi à l’hôtel Radisson Blu à Tripoli, alors que la personnalité annoncée pour l’interview était le ministre des Affaires étrangères Abdelati al-Obeïdi.

Seif al-Islam ajoute qu’"un mécanisme devra être mis en place" pour garantir l’intégrité des chefs de l’opposition pour ce scrutin.

La rébellion a encore remporté de nouveaux succès mercredi dans l’ouest de la Libye en prenant le contrôle de localités sur la route de Tripoli, au moment où les raids de l’Otan se poursuivent et où le régime paraît sérieusement affaibli.

http://www.24heures.ch/actu/monde/fils-kadhafi-propose-elections-trois-mois-libye-2011-06-16




jeudi 16 juin 2011

Dix stratégies de manipulation des masses


Cette liste détaille l’éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation, pour maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité. 


Voici 10 règles qui démontrent comment les politiques, les médias ou autres institutions peuvent aisément manipuler la société, donc nous manipuler.
J'avais depuis longtemps idée de tels rouages dans notre société, mais le "concept de manipulation de masse" s'éclaircie un peu plus en lisant les 10 règles proposées par Noam CHOMSKY.

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »


2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions


Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.


3/ La stratégie de la dégradation


Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.


4/ La stratégie du différé


Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.


5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge


La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »


6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion


Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…


7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise


Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »


8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité


Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…


9/ Remplacer la révolte par la culpabilité


Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes



Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.




mercredi 15 juin 2011

LE POUVOIR













Peter Levenda: Sinister Forces

Peter Levenda est l'auteur de l'ouvrage convaincant, puissant et très documenté: Sinister Forces. Cette trilogie nous plonge dans les liens infâmes entre les Nazis, les sociétés occultes, la manipulation et le contrôle mental, et la politique américaine moderne. Il pose des questions embarrassantes sur les forces qui contrôlent les évènements mondiaux.

Le pouvoir a déjà changé de mains
                                             http://www.syti.net/Topics2.htmlLA

LA FIN PROGRAMMEE DE LA DEMOCRATIE

Les véritables maîtres du monde ne sont plus les gouvernements, mais les dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels, et d'institutions internationales opaques (FMI, Banque mondiale, OCDE, OMC, banques centrales). Or ces dirigeants ne sont pas élus, malgré l'impact de leurs décisions sur la vie des populations.





vendredi 10 juin 2011

DERIVE INQUIETANTE DU DROIT PENAL



Vers une criminalisation du citoyen ordinaire


Nous assistons actuellement à une dérive inquiétante
du Droit pénal. Plusieurs nouvelles lois visent un même but: condamner le citoyen ordinaire à des peines d'emprisonnement, même lorsqu'il n'a commis aucun crime... 

La criminalisation de la vie quotidienne

Alors que le "monde d'en-haut" bénéficie d'une impunité sans limite pour ses crimes financiers, économiques, écologiques ou sociaux, le "monde d'en-bas" est soumis à un contrôle incessant et à une répression disproportionnée par rapports aux actes.

Depuis 2 ans, des lois nouvelles sont apparues simultanément dans les pays occidentaux: leur but est que le citoyen ordinaire devienne condamnable à la prison pour des actes
 
Prison pour les parents dont les enfants ne sont pas allés à l'école.


Prison pour ceux qui n'ont pas acheté leur billet de train.

Prison pour les exclus du système économique, mendiants ou squatters.Prison pour excès de vitesse. (Au début du mois de Décembre , un automobiliste a été condamné à 2 ans de prison ferme pour un simple excès de vitesse, sans avoir causé d'accident)

Prison pour les exclus du système économique, mendiants ou squatters.

Prison si l'un de vos proches qui vous accompagnait est mort à cause de votre erreur de conduite.

Prison si l'un de vos amis a causé un accident de voiture après être parti ivre de chez vous.
(en décembre 2003, un couple a été inculpé pour ce motif en France - voir les
archives des "brèves nouvelles du monde" pour les détails)

Prison si vous causez la mort d'un tiers dans un accident de la route. (10 ans de prison, soit davantage que certaines condamnations prononcées -ou réellement exécutées- dans des cas de violences préméditées, viols, actes de torture, ou assassinats)

Causer la mort d'une personne d'une personne dans un accident routier est un drame, mais ce n'est pas un crime intentionnel et cela ne doit pas être puni comme tel. Vouloir éliminer tout risque d'accident est un but illusoire, car les risques d'accident existeront tant qu'il y aura des voitures. Une société doit être capable d'accepter une part de risque, car le risque est inhérent à la vie. Dès lors qu'on est vivant, on risque de mourrir. Quand il n'y a plus de risque, c'est qu'on est mort. Et il en est de même pour une société. Une société qui a éliminé tout risque est une société morte.

Dans l'ordre nouveau qui s'instaure actuellement sans susciter d'opposition réelle, le citoyen ordinaire du monde d'en-bas sera soumis à une oppression permanente, une surveillance électronique constante, et une peur omniprésente. Car qui sème la peur récolte la soumission.

L'invention du concept de "dangerosité"


Depuis une dizaine d'années, les médias ont introduit progressivement un mot et un concept qui n'existaient pas précédemment: la "dangerosité". Comme George Orwell l'avait prévu dans "1984", l'introduction de mots nouveaux ou la suppression de mots anciens dans le langage sont un puissant moyen de manipulation des esprits.

Plutôt que de parler tout simplement de "danger", les médias ont donc inventé (ou plutôt "relayé") ce concept de "dangerosité". L'idée est que même si quelque chose ou quelqu'un n'est pas réellement et objectivement dangereux, il pourrait l'être potentiellement. L'appréciation du danger potentiel étant d'ordre subjectif, tout innocent devient potentiellement coupable.

Une dérive inquiétante du Droit


Une fois que les médias ont préparé le terrain et introduit ce nouveau concept, les gouvernements ont créé des nouvelles lois et des nouveaux délits basés sur des notions juridiques floues. On a ainsi créé des peines de prison pour la "mise en danger d'autrui". En vertu cette loi, une personne peut être emprisonnée même si elle n'a causé aucun dommage réel à autrui.

Grâce au prétexte du 11 Septembre, une étape supplémentaire a été franchie aux Etats-Unis, avec le principe des "arrestations préventives". En matière de terrorisme, vous pouvez désormais être emprisonné pour une durée illimitée (sans jugement et sans limite de délai pour votre jugement), si on pense que vous "pourriez" commettre un acte de terrorisme. Par exemple, posséder des livres sur l'écologie peut faire supposer que vous "pourriez" commettre des actes de terrorisme écologique. La notion d'acte terroriste peut être ainsi étendue à des faits qui n'ont rien à voir avec le terrorisme.

Cette dérive inquiétante du Droit consiste en la pénalisation des INTENTIONS et non des ACTES.

Elle est absolument contraire à l'état de droit, à la démocratie, et aux droits de l'homme les plus élémentaires. La pénalisation des actes ou des intentions est exactement ce qui différentie la démocratie du fascisme.

La pénalisation des intentions est l'outil juridique qui va permettre aux Maitres du Monde de passer à la prochaine étape de leur plan: emprisonner des personnes pour leurs opinions.

mercredi 8 juin 2011

BILDERBERG

 Un sommet «secret» pour Doris Leuthard – Suisse

KEYSTONE
                                         Hôtel Suvretta House, Grison Suisse


Les organisations du pouvoir planétaire



Une rencontre au sommet se tient depuis jeudi et jusqu’à dimanche dans la station grisonne de StMoritz. Seuls quelques signes le laisse deviner. La conférence de Bilderberg rassemble en toute discrétion des personnalités d’importance mondiale.

L’entrée de l’hôtel Suvretta House, où la réunion a lieu, est bloquée et des grillages ont été déployés, a constaté l’ATS sur place. Une cinquantaine d’activistes se trouvaient près de l’hôtel. Mais jeudi matin, le défilé attendu de limousines n’a pas eu lieu.

Seules quelques voitures aux vitres teintées ont pénétré dans l’enceinte de l’établissement le plus « aristocratique » de la station grisonne, protégé des regards par des sapins. Une cinquantaine de policiers contrôlaient en outre les personnes qui s’approchaient des grillages.

On ignore combien parmi les 120 invités sont arrivés à St-Moritz. Les mauvaises conditions météo ont empêché l’atterrissage à Samedan (GR) de la grande majorité des jets privés attendus, précise à l’ATS un porte-parole de l’aéroport.

Plus visibles, les détracteurs de la conférence ont installé leurs quartiers dans d’autres hôtels, moins prestigieux. Trois groupuscules ont mis sur pied un centre de presse. Les jeunes UDC sont attendus vendredi et samedi à St-Moritz pour une contre-conférence.
Doris Leuthard invitée

La conférence de Bilderberg rassemble depuis 1954 d’importantes personnalités de l’économie, de la politique, de l’armée, des médias et de l’aristocratie. La conseillère fédérale Doris Leuthard participera à l’événement, a indiqué la présidente de la Confédération Micheline Calmy-Rey en début de semaine.

La liste des participants est généralement communiquée après la rencontre. L’ancien secrétaire d’Etat américain Henry Kissinger, l’ex-président américain Bill Clinton ou l’ex-chancelier allemand Gerhard Schröder y ont participé à plusieurs reprises.

Côté suisse, Christoph Blocher a fait partie des invités. Le banquier Josef Ackermann et le président de Norvartis Daniel Vasella siègent dans le comité directeur du groupe.

Lien :
http://www.voltairenet.org/Ce-que-vous-ignorez-sur-le-Groupe


L’élite à la Conférence Bilderberg : La Guerre est la Solution pour la Surpopulation


Les sources internes anonymes Bilderberg de Jim Tucker lui ont dit que la guerre au Moyen Orient est au top de l’agenda de l’élite.

Parlant avec Alex Jones aujourd’hui, le détective Bilderberg de tout temps a dit que l’élite croit que le monde est surpeuplé et que la guerre représente une solution partielle.

« Ils sont unifiés sur leur projet de guerre, » dit Tucker, citant sa source Bilderberg-Trilatérale, « ils rationalisent que le monde est trop peuple de toute façon, ils doivent limiter la croissance de la population, la seule manière de le faire est avec nos guerres. Ils n’ont pas arrêté d’accentuer cela toute la journée. »

L’élite est outrée à la présence d’activistes en face des portes de l’hôtel exclusif dans lequel ils sont cloîtrés à St Moritz, en Suisse, a dit Tucker.

Suivant un appel fait par Alex Jones pour protester contre les mondialistes, des activistes se préparent à arriver au village, et une démonstration aura lieue demain, Samedi, 11 Juin.


La liste secrète des participants dévoilée

JPEG - 21.7 ko






David Rockefeller 96 ans, conseiller co-fondateur  du Groupe de Bilderberg



"Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des É-U, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est   l'accusation, je suis coupable et fier de l’être." --David Rockefeller, MEMOIRES, page 405








Conférence | La reine Beatrix des Pays-Bas, Eric Schmid, patron de Google ou encore Peter Brabeck, président de Nestlé: voilà quelques noms des participants au sommet de Bilderberg, dont la liste a été dévoilée.

Cent-trente personnalités du monde de la politique, de l’économie et des médias sont rassemblées depuis jeudi au sein du luxueux hôtel "Suvretta House" à St-Moritz. Habituellement, la liste des participants n’est dévoilée qu’après la fin de la conférence. Pas cette année.

Les membres discutent de l’euro, de la sécurité dans les réseaux sociaux, du Moyen-Orient, de la compétitivité de la Suisse ou encore de la croissance économique. C’est la première fois, dans les 56 ans d’histoire du sommet, que les participants rendent publics les thèmes de leurs discussions. Leur objectif est de couper l’herbe sous les pieds des opposants à la conférence, qui critiquent son opacité et son manque de contrôle démocratique.

Liste secrète dévoilée

L'idée du lancement de cette conférence informelle date de 1952. Elle a commencé en mai 1954 à l'hôtel Bilderberg (d'où son nom), situé à Oosterbeek aux Pays-Bas. Ses membres s'appellent eux-mêmes les "Bilderbergers". Les participants sont invités par le comité de direction. Ils sont installés par ordre alphabétique, sans aucune notion d'étiquette.

C’est également la première fois que la liste des participants est révélée avant la fin du sommet, dévoilée par le site 20 Minuten Online. La Suisse est représentée par:


- Peter Brabeck, Nestlé
- Hans Groth, Pfizer Europe
- Janom Steiner,  canton des Grisons
- André Kudelski, Kudelski
- Doris Leuthard, conseillère fédérale
- Martin Schmid, canton des Grisons
- Eric Schmid, Google
- Rolf Schweiger, conseiller aux Etats
- Rolf Soiron, Holcim, Lonza
- Daniel Vasella, Novartis
- Jürg Witmer, Givaudan et Clariant

Ci-dessous, la liste complète (en anglais):

Belgique

Coene, Luc Governor, National Bank of Belgium

Davignon, Etienne Minister of State

Leysen, Thomas Chairman, Umicore

Chine

Fu, Ying Vice Minister of Foreign Affairs

Huang, Yiping Professor of Economics, China Center for Economic Research, Peking University

Danemark

Eldrup, Anders CEO, DONG Energy

Federspiel, Ulrik Vice President, Global Affairs, Haldor Topsøe A/S

Schütze, Peter Member of the Executive Management, Nordea Bank AB

Allemagne

Ackermann, Josef Chairman of the Management Board and the Group Executive Committee, Deutsche Bank

Enders, Thomas CEO, Airbus SAS

Löscher, Peter President and CEO, Siemens AG

Nass, Matthias Chief International Correspondent, Die Zeit

Steinbrück, Peer Member of the Bundestag; Former Minister of Finance

Finlande

Apunen, Matti Director, Finnish Business and Policy Forum EVA

Johansson, Ole Chairman, Confederation of the Finnish Industries EK

Ollila, Jorma Chairman, Royal Dutch Shell

Pentikäinen, Mikael Publisher and Senior Editor-in-Chief, Helsingin Sanomat

France

Baverez, Nicolas Partner, Gibson, Dunn & Crutcher LLP

Bazire, Nicolas Managing Director, Groupe Arnault /LVMH

Castries, Henri de Chairman and CEO, AXA

Lévy, Maurice Chairman and CEO, Publicis Groupe S.A.

Montbrial, Thierry de President, French Institute for International Relations

Roy, Olivier Professor of Social and Political Theory, European University Institute

Grande-Bretagne

Agius, Marcus Chairman, Barclays PLC

Flint, Douglas J. Group Chairman, HSBC Holdings

Kerr, John Member, House of Lords; Deputy Chairman, Royal Dutch Shell

Lambert, Richard Independent Non-Executive Director, Ernst & Young

Mandelson, Peter Member, House of Lords; Chairman, Global Counsel

Micklethwait, John Editor-in-Chief, The Economist

Osborne, George Chancellor of the Exchequer

Stewart, Rory Member of Parliament

Taylor, J. Martin Chairman, Syngenta International AG

Grèce

David, George A. Chairman, Coca-Cola H.B.C. S.A.

Hardouvelis, Gikas A. Chief Economist and Head of Research, Eurobank EFG

Papaconstantinou, George Minister of Finance

Tsoukalis, Loukas President, ELIAMEP Grisons

Organisations internationales

Daele, Frans van Chief of Staff to the President of the European Council

Kroes, Neelie Vice President, European Commission; Commissioner for Digital
Almunia, Joaquín Vice President, European Commission

Lamy, Pascal Director General, World Trade Organization

Rompuy, Herman van President, European Council

Sheeran, Josette Executive Director, United Nations World Food Programme

Solana Madariaga, Javier President, ESADEgeo Center for Global Economy and Geopolitics

Trichet, Jean-Claude President, European Central Bank

Zoellick, Robert B. President, The World Bank Group

Irlande

Gallagher, Paul Senior Counsel; Former Attorney General

McDowell, Michael Senior Counsel, Law Library; Former Deputy Prime Minister

Sutherland, Peter D. Chairman, Goldman Sachs International

Italie

Bernabè, Franco CEO, Telecom lia SpA

Elkann, John Chairman, Fiat S.p.A.

Monti, Mario President, Univers Commerciale Luigi Bocconi

Scaroni, Paolo CEO, Eni S.p.A.

Tremonti, Giulio Minister of Economy and Finance

Canada

Carney, Mark J. Governor, Bank of Canada

Clark, Edmund President and CEO, TD Bank Financial Group

McKenna, Frank Deputy Chair, TD Bank Financial Group

Orbinksi, James Professor of Medicine and Political Science, University of Toronto

Prichard, J. Robert S. Chair, Torys LLP

Reisman, Heather Chair and CEO, Indigo Books & Music Inc. Center, Brookings Institution

Pays-Bas

Bolland, Marc J. Chief Executive, Marks and Spencer Group plc

Chavannes, Marc E. Political Columnist, NRC Handelsblad; Professor of Journalism

Halberstadt, Victor Professor of Economics, Leiden University; Former Honorary

H.M. the Queen of the Netherlands

Rosenthal, Uri Minister of Foreign Affairs

Winter, Jaap W. Partner, De Brauw Blackstone Westbroek

Norvège

Myklebust, Egil Former Chairman of the Board of Directors SAS, sk Hydro ASA

H.R.H. Crown Prince Haakon of Norway

Ottersen, Ole Petter Rector, University of Oslo

Solberg, Erna Leader of the Conservative Party

Autriche

Bronner, Oscar CEO and Publisher, Standard Medien AG

Faymann, Werner Federal Chancellor

Rothensteiner, Walter Chairman of the Board, Raiffeisen Zentralbank Österreich AG

Scholten, Rudolf Member of the Board of Executive Directors, Oesterreichische Kontrollbank AG

Portugal

Balsemão, Francisco Pinto Chairman and CEO, IMPRESA, S.G.P.S.; Former Prime Minister

Ferreira Alves, Clara CEO, Claref LDA; writer

Nogueira Leite, António Member of the Board, José de Mello Investimentos, SGPS, SA

Russie

Mordashov, Alexey A. CEO, Severstal

Suède

Bildt, Carl Minister of Foreign Affairs

Björling, Ewa Minister for Trade

Wallenberg, Jacob Chairman, Investor AB

Suisse

Brabeck-Letmathe, Peter Chairman, Nestlé S.A.

Groth, Hans Senior Director, Healthcare Policy & Market Access, Oncology Business Unit, Pfizer Europe

Janom Steiner, Barbara Head of the Department of Justice, Security and Health, Canton

Kudelski, André Chairman and CEO, Kudelski Group SA

Leuthard, Doris Federal Councillor

Schmid, Martin President, Government of the Canton Grisons

Schmid, Eric, Executive Chairman, Google Inc.

Schweiger, Rolf Member of the Swiss Council of States

Soiron, Rolf Chairman of the Board, Holcim Ltd., Lonza Ltd.

Vasella, Daniel L. Chairman, Novartis AG

Witmer, Jürg Chairman, Givaudan SA and Clariant AG

Espagne

Cebrián, Juan Luis CEO, PRISA

Cospedal, María Dolores de Secretary General, Partido Popular

León Gross, Bernardino Secretary General of the Spanish Presidency

Nin Génova, Juan María President and CEO, La Caixa

H.M. the Queen of Spain

Turquie

Ciliv, Süreyya CEO, kcell Iletisim Hizmetleri A.S.

Gülek Domac, Tayyibe Former Minister of State

Koç, Mustafa V. Chairman, Koç Holding A.S.

Pekin Sefika, Founding Partner, Pekin & Bayar Law Firm

USA

Alexander, Keith B. Commander, USCYBERCOM; Director, National Security Agency

Altman, Roger C. Chairman, Evercore Partners Inc.

Bezos, Jeff Founder and CEO, Amazon.com

Collins, Timothy C. CEO, Ripplewood Holdings, LLC

Feldstein, Martin S. George F. Baker Professor of Economics, Harvard University

Hoffman, Reid Co-founder and Executive Chairman, LinkedIn

Hughes, Chris R. Co-founder, Facebook

Jacobs, Kenneth M. Chairman & CEO, Lazard

Johnson, James A. Vice Chairman, Perseus, LLC

Jordan, Jr., Vernon E. Senior Managing Director, Lazard Frères & Co. LLC

Keane, John M. Senior Partner, SCP Partners; General, US Army, Retired

Kissinger, Henry A. Chairman, Kissinger Associates, Inc
.
Kleinfeld, Klaus Chairman and CEO, Alcoa

Kravis, Henry R. Co-Chairman and co-CEO, Kohlberg Kravis Roberts & Co.

Kravis, Marie-Josée Senior Fellow, Hudson Institute, Inc.

Li, Cheng Senior Fellow and Director of Research, John L. Thor

nton China

Mundie, Craig J. Chief Research and Strategy Officer, Microsoft Corporation

Orszag, Peter R. Vice Chairman, Citigroup Global Markets, Inc.

Perle, Richard N. Resident Fellow, American Enterprise Institute for Public Policy Research

Rockefeller, David Former Chairman, Chase Manhattan Bank

Rose, Charlie Executive Editor and Anchor, Charlie Rose

Rubin, Robert E. Co-Chairman, Council on Foreign Relations; Former Secretary of the Treasury

Steinberg, James B. Deputy Secretary of State

Thiel, Peter A. President, Clarium Capital Management, LLC

Varney, Christine A. Assistant Attorney General for Antitrust

Vaupel, James W. Founding Director, Max Planck Institute for Demographic Research

Warsh, Kevin Former Governor, Federal Reserve Board

Wolfensohn, James D. Chairman, Wolfensohn & Company, LLC







mardi 7 juin 2011

MAITRES DU MONDE







Les organisations du pouvoir planétaire





       











Au pouvoir déclinant des gouvernements des états-nations s'est substitué un nouveau pouvoir, planétaire, global, et échappant au contrôle de la démocratie. Les citoyens continuent d'élire des institutions nationales alors que le pouvoir réel a été déplacé vers de nouveaux centres.
               
Le gouvernement mondial
              
La planète est aujourd'hui dirigée par une constellation d'organisations au rôle exécutif ou politique.

Les organisations exécutives se répartissent en 3 sphères de pouvoir:
- la sphère du pouvoir économique et financier
- la sphère du pouvoir militaire et policier
- la sphère du pouvoir scientifique

Le pouvoir politique du système est exercé par une quatrième catégorie d'organisations: les "clubs de réflexion", réseaux d'influence, ou réunions de "global leaders" comme le Groupe de Bilderberg ou le World Economic Forum de Davos.

Toutes ces organisations ne sont pas concurrentes mais étroitement liées et complémentaires.

En observant le diagramme de ces organisations, ceux qui connaissent la cybernétique verront à quel point ce système a été ingénieusement conçu. Structurées en réseau, plusieurs organisations se partagent la même fonction, et les centres ainsi que les "circuits de commande" ont été doublés ou triplés, afin d'assurer plus de sécurité et de stabilité à l'ensemble.

Ainsi, au cas où une organisation ou un lien devient inopérant, le contrôle global n'est pas menacé. Exactement comme Internet: un système sans centre unique, dont les flux d'information peuvent "contourner" un centre local hors service.

Elles forment un ensemble dont la cohésion est assurée par l'appartenance simultanée de certaines personnalités à plusieurs organisations.

Ces personnes-clé peuvent être considérées comme les Maitres du Monde. Quelques uns sont des leaders politiques de premier plan, comme George Bush (le père) ou Henry Kissinger. Mais la plupart d'entre eux sont inconnus du grand public.





LE GRAND COMPLOT






Q - We Are The Plan